Ia Orana !
Après neuf jours idylliques passés en Polynésie française, il est hélas temps de rentrer à la maison. Nous serions bien restés plus longtemps, notamment pour découvrir d'autres archipels (les Australes, les Marquises ou les Tuamotu). Nous serons donc obligés d'y revenir !
Le routing
Enchainement de vols
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Le départ de PPT
Comme je l'expliquais dans mon FR précédent, nous avons retenu le Tahiti Airport Motel comme point de chute en revenant des îles. Celui-ci est situé juste en face de l'aéroport et offre de belles vues sur le tarmac. Gros avantage : il permet de rejoindre le terminal à pied, même s'il est vrai que l'accès, très pentu, peut être un peu sportif avec des bagages.

Notre vol décolle à 7h30, un horaire peu agréable pour une fin de vacances. Echaudés par notre départ de PPT 8 jours plus tôt (cf. FR PPT-RFP), nous arrivons à 5h pour le check-in. Je note que les néons défectueux du nom de l'aéroport ont été remplacés.

Heureuse surprise, il n'y a pratiquement personne. A l'entrée de la file SkyPriority, deux agents très souriants nous demandent nos certificats de vaccination (ou le motif impérieux).

Nous sommes ensuite accueillis sans attente au check-in par une préposée Air Tahiti (VT assurant le service au sol pour le compte d'AF). Celle-ci est vraiment charmante (à l'image de tous les Polynésiens que nous avons rencontrés), et d'ailleurs nous la retrouverons à l'embarquement. Le comptoir SkyPriority bénéficie d'une touche de décoration florale.

Nous enregistrons nos bagages et une question se pose, car nous transportons avec nous une pagaie marquisienne, bien emballée mais malgré tout de taille imposante. Dans le doute, elle en réfère à son responsable, tout aussi sympathique. Il indique que la pagaie ne posera pas de problème, mais que le tiki en bois que nous avons également ne passera pas le PIF (le tiki fera donc tiquer ^^).
Nos bagages sont déjà partis sur le tapis et l'agente VT court pour récupérer un de nos sac afin d'y loger notre volumineux souvenir. Merci madame !

Nous voici délestés de nos bagages avec nos BP en main.

Elle nous remet également un bon nominatif pour l'accès au salon.

Direction ensuite le bureau des douanes, pour détaxer nos achats de perles. Là encore, la douanière est très aimable et valide rapidement nos bordereaux.

Ces formalités accomplies, nous pouvons nous diriger vers les portes d'embarquement.

Contrairement aux départs domestiques (cf. notre vol PPT-RFP), la partie internationale est extrêmement fluide. Il n'y a pour l'instant encore que peu de monde et les formalités PAF et PIF seront passées très rapidement sans histoire. Comme partout en Polynésie, les agents seront très souriants, nous plaisanterons même avec eux sur notre pagaie… Je propose que les agents d'ADP viennent faire un stage ici.
Ensuite, passage obligé par le dutyfree.
Nous en profitons pour reprendre de cet excellent rhum de Tahaa.

On trouve aussi du vin local (si, si !), produit sur l'atoll de Rangiroa, dans les Tuamotu. Surprenant !

La salle d'embarquement est encore déserte. L'ambiance est un peu défraîchie mais possède un charme suranné.

Le vol en provenance de Paris est déjà arrivé, on voit de loin les passagers qui arrivent pour effectuer leurs formalités au son du ukulele.

Voici notre oiseau du jour.

Le salon Air Tahiti Nui
Air France a un accord pour envoyer ses pax au salon Air Tahiti Nui, dont l'entrée est joliment encadrée par deux imposant tikis.

Nous sommes accueillis avec le sourire et sommes invités à nous installer.

Le salon TN est d'excellente qualité, il est spacieux et la décoration est soignée.



Il a en outre le mérite d'offrir une vue imprenable sur les gros porteurs stationnés juste en face.


Des objets de décoration polynésiens (disponibles à l'achat) apportent une touche locale bienvenue.

Le FIDS de la journée, avec seulement 3 LC au départ de PPT.

Nous nous installons bien sûr près des fenêtres pour admirer le 772 d'AF et le 787 de TN.
Voyons voir l'offre de restauration.



L'offre liquide est de qualité, avec ces excellents jus de fruits locaux.

Il est encore un peu tôt pour cela, mais notons la présence de champagne.

Et de bières locales.

Notre sélection pour ce petit-déjeuner.

De notre place, nous pouvons admirer la lumière du soleil levant sur ces beaux appareils.


A 6h30, notre équipage embarque.

La livrée du 787 de TN est vraiment très réussie, et si nous devions revenir en Polynésie, TN serait une option très sérieuse à étudier.

La lumière est vraiment belle. Un ATR de VT me rappelle nos récents vols inter-îles.

Le salon est très agréable, d'autant que nous ne sommes pas très nombreux. Un Français, se croyant sans doute seul, parlera très fort avec son co-pax, mais à part cet énergumène, l'ambiance est très calme.

L'embarquement
L'embarquement étant prévu à 6h45, nous rejoignons la salle d'embarquement quelques minutes avant. Celle-ci s'est un peu remplie, mais je suis étonné par le peu de monde.

Les passagers avec enfants ont déjà "pré-embarqué".

PPT est ouvert à tous les vents, et il est possible de fumer une dernière cigarette dans ce jardin accessible directement depuis la salle d'embarquement.

L'embarquement est lancé à l'heure prévue, dans le respect des priorités.

Aujourd'hui, c'est F-GSPY qui nous ramènera en métropole, un 777-200 de pratiquement 20 ans.

Nous sommes accueillis à la première porte par une agente au sol.

C'est toujours excitant d'embarquer sur un gros porteur depuis le tarmac.

Le flight report
Nous sommes accueillis avec le sourire en porte par un steward qui était sur notre vol aller. Celui-ci me reconnaît également.
Nous retrouvons cette cabine bien connue. C'est amusant, le pax avec le tshirt orange était aussi derrière nous au vol aller.


Pour ce vol retour, nous avons testé une nouvelle configuration, en voyageant de part et d'autre de l'allée. J'ai donc un hublot au 1A et Madame le 1E.

Il y a théoriquement deux hublots, mais le second est derrière le coffre de rangement.

La boîte à pied est immense.

L'avantage des sièges hublot, c'est que la tablette latérale est un peu plus large que pour les sièges milieu, ce n'est pas du luxe quand on a du bazar à mettre comme moi.

Madame n'aura pas de voisin au 1F, mais les PNC laisseront la cloison de séparation pour plus d'intimité.

Notre pagaie marquisienne a trouvé sa place, non sans faire sourire le PNC.

La porte du cockpit est entrouverte.

Je ne m'attarde pas sur la configuration et l'équipement du siège, celui-ci est bien connu et au besoin je vous renvoie aux FR des deux vols aller. Je profite de la large boîte à pied.

En revanche, et j'ai bien peur que cela ne devienne systématique sur les 777, les finitions laissent un peu à désirer. Certes il y a eu des réparations, mais celles-ci font plutôt bricolage que réel entretien. Comme ce sparadrap…

Ou cette fissure sur le cadre de l'écran IFE, réparée avec un joint bien visible.

Bon, tout cela ne gâche pas fondamentalement le confort, mais c'est un peu dommage.
Profitons plutôt du soleil qui se lève sur notre voisin local.

Les PNC passent rapidement nous proposer une trousse de confort, ainsi qu'une lingette rafraîchissante.

Cela ne vaut pas l'oshibori sur réglette que nous avions avant le Covid, mais c'est mieux que rien.

Le protocole s'enchaîne agréablement, avec ensuite la proposition du verre de bienvenue. Au choix : jus, eau ou champagne.

En dépit de l'heure matinale, je me laisse tenter par le champagne. Trinquons donc à ce beau voyage !

Et à ce bel archipel que nous avons beaucoup aimé !

A 7h30, les escabeaux sont retirés et nous repoussons.

Les consignes de sécurité sont lancées et nous retrouvons l'élégante Dorcas Coppin.

Le roulage n'est pas désagréable, avec la vue sur la mer et Moorea en second plan.

Je crois que c'est la première fois que je vois des pêcheurs en pleine besogne au bord d'une piste d'aéroport.

Nous nous alignons.

Aujourd'hui, c'est un décollage face au sud-ouest (alors que la veille c'était face au nord-est). Vue sur le terminal de PPT.

La zone domestique avec l'armada d'ATR72-600 d'Air Tahiti prêts à rallier les différents îles de l'archipel.

Du coup, je suis du bon côté pour admirer le lagon de Tahiti et ses innombrables bateaux.


On distingue bien l'intérieur de l'île, avec son relief escarpé et sauvage.

C'est donc parti pour 9h de vol et plus de 8.000 km à parcourir jusqu'à Vancouver.

En centrant la vue sur notre position, cela permet de réaliser à quel point la Polynésie se trouve au milieu d'une immense étendue d'eau. C'est assez vertigineux !

Dès le début du vol, nous avons droit aux salutations de la CCP, qui vient discuter un peu avec nous. J'en profite pour lui demander s'il est possible de retarder un peu le premier service. La lecture des FR sur ce vol m'a en effet appris que le déjeuner était servi tout de suite après le décollage, alors qu'il n'est pas encore 8h… Cette demande est acceptée avec le sourire par la CCP, qui nous indique qu'elle va en informer l'équipage.
Le PNC que nous avons eu pour le vol Vancouver-Papeete dix jours plus tôt officiera dans notre allée et viendra prendre notre commande en priorité pour garantir la disponibilité de notre choix. Il me confirme à cette occasion qu'il a bien noté notre souhait de différer le service du repas et nous convenons d'un service vers 11h (heure polynésienne). Ce dine on demand ne fait pas partie du protocole AF et aurait sans doute été difficile à mettre en oeuvre pour tous les passagers, aussi apprécions-nous d'autant plus l'acceptation de cette requête.
Peu après le décollage, je me rends aux toilettes. Les produits Clarins sont disponibles.

L'endroit est propre.

Le galley avant.

Et la porte 1R, avec le jumpseat PNC.

Je profite d'avoir un hublot pour admirer les atolls des Tuamotu que nous survolons.


Le service débute donc rapidement après le décollage, mais nous bénéficions d'un traitement de faveur. Nous en profitons pour nous reposer un peu. Après le service, la plupart des pax passent en mode dodo et de nombreux hublots sont fermés. Il faut dire que le réveil a été matinal pour tout le monde.

Après deux heures de sieste, nous nous retrouvons au galley. Celui-ci dispose d'un bar avec de nombreuses boissons soft et du champagne.

Il serait dommage de ne pas en profiter !

C'est aussi l'occasion de discuter un peu avec les PNC, qui ont revêtu (pour les PNCettes uniquement) une tenue polynésienne.

A l'heure convenue, notre steward nous demande s'il peut nous servir la prestation et nous retournons donc à nos places. Madame me fait remarquer que nous passons au large d'Hawaii.

La nappe est dressée.

J'en profite donc pour vous présenter le menu du jour.

On notera quelques touches locales, comme les rillettes de mahi mahi (le nom polynésien de la dorade coryphène) et les chevrettes (des crevettes). Pour ce dernier plat, on regrettera juste que le fagot soit "d'haricots verts" et non "de haricots verts".

La cave a un peu changé par rapport au vol aller (sans doute l'intérêt de faire un aller - retour à cheval sur deux semestres différents). On retrouve le Château l'Hospitalet, déjà présent dans les salons depuis longtemps.

Côté rouge, je note tout de suite le millésime de ce Pessac-Léognan.

Voici donc le plateau du jour.

Mettons-y un peu d'ordre, avec pour commencer l'entrée : rillettes de mahi mahi et mi-cuit de saumon, salade de boulgour aux agrumes. Les rillettes de dorade coryphène étaient excellentes.

Y a-t-il meilleur endroit pour déjeuner ? ^^

Ni meilleure altitude ?

Puis vient le plat chaud.

J'ai opté pour le plat typé polynésien : chevrettes sauce tomate, riz et fagots de haricots verts. Les crevettes étaient en quantité généreuse et assez savoureuses je dois dire.

Ce Saint-Véran les accompagnera à merveille.

Nous sommes alors à mi-parcours du premier vol, c'est-à-dire au quart du voyage retour.

Nos PNC sont très prévenants et nous proposent de goûter les vins pour valider notre choix.

Pour le fromage, je choisirai sans hésiter ce Pessac-Léognan de très bonne tenue.

Salade et fromage, donc.

Et le trio de dessert, soit dit en passant un peu à l'étroit sur cette réglette. Feuilletine chocolat noisette, tartelette amande framboise, macaron à la banane.

Contrairement à l'aller, les thés ont été chargés, ce qui permettra à Madame d'en demander un en fin de repas.

Fidèle à moi-même, je terminerai avec un peu de bulles.

Et un expresso pour clôturer ce bon repas.

Sous nos pieds, le temps s'est couvert et une épaisse couche de nuages s'étend jusqu'à l'horizon.

Nous profitons de la suite du vol pour marmotter et regarder des films, dont le choix est assez large et qui nous contentera sans difficulté.
1h15 avant l'atterrissage, le second service est lancé. C'est un peu tôt, mais il faut dire que nos co-pax ont déjeuné beaucoup plus tôt que nous !

Voici le menu de la collation.

Celle-ci est servie au plateau.

Bizarrement le gâteau au chocolat est servi dans la même assiette que les crevettes et la saint-jacques…

Nous ne sommes plus très loin des côtes canadiennes.

Madame en profite pour visionner des vidéos d'Air France, dont celle avec le 787.

L'approche sur YVR sera superbe. Les nuages resteront cantonnés à l'océan.


Entre fleuves, montagnes et volcans, je reste scotché au hublot.

Les côtes canadiennes sont très découpées, avec tout un entrelacs de fjords et d'îles.


Le soleil de fin de journée donne un magnifique rendu lumineux.

L'atterrissage est désormais proche, plus que quelques minutes de vol. Les PNC seront venus prendre congés de nous et nous souhaiter un bon retour.

Nous arrivons en vue de la ville de Vancouver.


Nous passons juste au dessus de la Serpentine River, dont on comprend aisément l'origine du nom.

Puis nous opérons un virage à gauche pour nous aligner sur la piste. Dommage, la vue sur Vancouver est du côté droit ! Ici le fleuve Fraser.

L'atterrissage est imminent.

Bienvenue à YVR !

Air Canada est le patron ici, comme le rappelle cette livrée "Fly this flag".

Cet agent de piste n'a pas l'air commode.

Après un roulage assez rapide, nous arrivons au contact.

Inévitable instant danette.

Les PNC bloquent le flux des pax Y/Y+ et nous débarquons en porte 2L, avec les salutations de l'équipage.
Notre 772 a déjà fait la moitié du chemin.

Derrière lui, je note les dérives de JAL et Eva Air.

Notre appareil aura deux heures pour se reposer et procéder au ravitaillement et au changement d'équipage.

Merci de m'avoir lu et à bientôt pour le tout dernier tronçon de ce voyage.
Merci pour la présentation de cet excellent vol retour avec Air France. Le voyage commence bien dans ce lounge qui à l'air très agréable. A bord, un équipage présent et attentionné qui fait la différence. Le repas et la collation me plaisent bien mais j'avoue que le gateau sur le même plat que le salé ce n'est pas terrible. L'essentiel c'est que cela soit bon ! Carte des vins sympa et champagne accompagnent ces repas même si je vois que C. a été plus raisonnable que toi. :-)
Petit détail sans réelle importance : il me semble que le catering de PPT a inversé les réglettes entre le fromage et les desserts !
Merci Christophe pour le commentaire !
Agréable surprise que ce salon TN effectivement. Quelques étourderies du catering de PPT, mais sans gravité.
Comme d'habitude !
A bientôt !
Merci pour ce FR très complet.
Ravi de savoir que vous avez bien aimé votre séjour dans nos iles et que vous comptez revenir.En effet , tester TN peut être une bonne idée et motivation.Je trouve la J de TN légèrement inférieure car en 2-2-2 mais comme vous voyagez en couple, cela peut être sympa.
En effet sur AF , on voit souvent des réparations de fortune plus ou moins bien faites.Pas digne d'une J, il y a du scotch partout (siège, cloisons, WC).
Vous avez aussi pu apprécier la gentillesse des PNC polynésiens.
J'ai remarqué que le menu avait légèrement changé par rapport au mois précédent.
Vous êtes repassés avec l'horaire départ habituel de PPT, c'est à dire , lever très tôt, ce qui est un peu difficile. L'avantage c'est d'arriver à CDG en fin d'après midi.
On a donc juste quelques heures à tenir avant d'aller se coucher car business ou pas , le vol vers CDG est quand même fatiguant et le décalage horaire pas très évident les premiers jours en Métropole.
A bientôt!
Merci pour ce commentaire !
Effectivement les sièges de TN sont bien adaptés aux couples, qui représentent j'imagine une grosse partie de la clientèle pour PPT.
Le menu a changé sans doute parce que nous avons changé de semestre.
J'aurais aussi préféré un départ en fin de journée, qui aurait évité une nuit d'hôtel et un lever matinal, mais nous étions déjà contents de partir alors ne nous plaignons pas !
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce premier tronçon de retour !
Encore une fois la gentillesse des polynésiens est à l'honneur.
A bord, le catering fait vraiment envie, juste, comme tu l'as noté, la présence incongrue du gâteau au chocolat avec les crevettes et les st jacques :)
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Les Polynésiens, en vol comme au sol, sont vraiment accueillants et souriants ! Le retour à Paris a été dur...
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce FR.
Après votre première expérience à PPT, j'aurais fait de même avec une arrivée bien tôt.
Le passage a été cette fois ci très agréable.
A bord vous avez tester un autre mode de duo, qui permet d'avoir un hublot.
Service à la demande, ce qui est une faveur exceptionnelle.
je tique aussi sur le gâteau au chocolat avec les crevettes.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
La zone internationale est forcément plus calme étant donné le peu de vols à l'affichage, mais prudence est mère de sûreté
(suite de ma réponse)
Finalement, même si cela permet d'avoir un hublot, l'orientation des sièges ne rend pas la configuration idéale, et les 2 sièges centraux restent l'option la plus adaptée quand on voyage à deux je trouve.
Faveur exceptionnelle effectivement, mais il est vrai que les PNC d'AF sont (le plus souvent) assez enclins à satisfaire les demandes des clients dès lors qu'elles sont formulées avec le sourire !
Les crevettes au chocolat : un scoop culinaire
Merci Stéphane pour ce premier leg du vol retour.
Quelle délicate attention de la part du PNC d'avoir accepté ta demande de Dine On Demand. C'est exactement ce genre de petites attentions qui rend le voyage plus agréable. Ca te donne une légère impression de voyager en First Class ;-)
Je suppose que la collation a été prise uniquement pour le Flight report, n'est-ce pas? ^^
J'ai rarement vu un plat chaud aussi bien fourni en crevettes
Merci Bernard.
Nous avons beaucoup apprécié ce geste, d'autant que cela a été fait sans emphase et sans chichis. La First au prix de la Business, what else ?
Eh bien écoute nous n'avions pas plus faim que ça, mais finalement le vol est assez long, donc nous n'avons pas eu à nous forcer.
Nous nous sommes fait la même remarque.
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce fabuleux moment de rêve éveillé !
"Après neuf jours idylliques passés en Polynésie française"=> Il faudrait être sacrément blasé pour dire le contraire !
Il est important de préciser que toutes les personnes croisées ont été charmantes, l'accueil Polynésien n'est pas une légende ...
Le salon est très joli et l'offre conséquente à cette heure matinale, dommage qu'un énergumène gâche la tranquillité des lieux, peut être était t'il sourd ? ^^
La cabine connue est bien sympa et le confort est réel, les PNC se sont pliés à vos désirs, ce qui prouve que certains sont attentifs à la clientèle.
Belle carte des vins et le bar dressé dans le galley est du plus bel effet.
Les deux prestations donnent envie.
Comme toi, je passe mon temps à me reposer et regarder des films lorsque je voyage, ( je ne vais pas au cinéma à terre ).
Un vol très sympa, en espérant que le second segment soit de même qualité !
A bientôt...
Merci Hervé pour le commentaire.
Sauf que les touristes qui sont arrivés quelques semaines après nous se sont retrouvés confinés dans leur hôtel...
Certains pensent souvent qu'ils sont seuls et que leur discussion intéresse tout le monde...
Globalement chez AF, il y a une vraie culture du service (en tout cas en LC)
A bientôt !
Bon salon qui avait l’air très tranquille.
La vue est superbe au décollage! De belles couleurs et une belle lumière.
C’est particulier ce service un déjeuner pour un vol qui part aussi tôt mais c’est une belle attention de l’équipage d’avoir accepter de servir le déjeuner un peu plus tard. Il serait peut-être plus simple de servir un petit déjeuner léger au départ puis un vrai déjeuner avant d’arriver à Vancouver.
Merci pour ce Fr
Merci Moritz.
La Polynésie offre toujours de belles couleurs au décollage, c'est sympa de pouvoir en profiter une dernière fois en repartant.
Ce serait plus logique, mais en toute franchise je trouve l'offre de déjeuner/dîner plus qualitative que celle du petit déjeuner, donc finalement ça me convient mieux.
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce superbe FR retour,
Délicate attention des PNC pour le déjeuner sur demande. Il faut dire que déjeuner dès après le décollage n'aurait pas été top.
En plus le menu a l'air délicieux et copieux avec toutes ces "chevrettes" !
Bizarre pour le gâteau au chocolat au milieu des crevettes de la 2ème prestation...!
Il me semble que Madame à choisi le thé du "Hammam" ; c'est celui que je préfère !
Un vol qui permet de continuer le rêve polynésien !
A bientôt pour le dernier tronçon.
Merci Patrick pour le commentaire.
Le catering était d'excellente qualité et en quantité généreuse.
Et effectivement, ce doit être un thé du hammam !
A bientôt.
Merci pour ce fr.
L'horaire de départ est difficile en effet.
Belles vues au décollage.
Le catering donne vraiment envie.
Un équipage au top, que demander de mieux.
A bientôt.
Merci Lucas pour le commentaire.
Nous aurions en effet préféré un départ le soir, mais AF est revenu à un horaire matinal un peu dur, qui permet toutefois de profiter des vues sur Papeete au décollage.
A bientôt !
Un vol qui pique, mais au vu de sa durée il y a de quoi avoir le temps de récupérer surtout en business. Surtout qu'il est vrai que le fait de pouvoir profiter du survol des îles est un bonus non négligeable quand même. Un équipage à nouveau très attentif, de quoi compenser une cabine qui s'abime doucement mais sûrement. Sachant que les 777-200 sont poussés vers la sortie par les A350, je doute que le soin apporté sera plus grand hélas. D'ailleurs, pour un vol si long je m'étonne qu'AF utilise toujours ses -200 plutôt vorace en carburant. Mais les contraintes opérationnelles doivent avoir des bonnes raisons.
À bientôt !