Bonjour à tous, voici le vol retour vers Reykjavík, après cette belle journée d'exploration dans le nord-est de l'Islande.
le routing
Enchainement de vols
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- 609/07/21 |AEY → RKV| Air Iceland Connect | Dash 8-Q400 + Bonus éruption Fagradalsfjall
- 712/07/21 | "Une approche mythique"
- 813/07/21 | "Rien ne se passe comme prévu"
- 914/07/21 | "Retour en France + Bonus roadtrip"
- 1015/07/21 | "Un petit air de long-courrier"
- 1115/07/21 | "Saut de puce"
- 1216/07/21 | "Volcans Express"
- 1317/07/21 | "Fin de l'aventure"
aéroport d'akureyri
On reprend le cours du récit au petit café de l'aéroport où je célèbre mes prises avgeek du jour !

Ce café est un très bel endroit pour spotter, d'autant plus qu'il y a pas mal d'animation avec quelques vols charters opérés en Twin et Be-200 Norlandair qui repartent vers le nord-ouest de l'Islande, ainsi que des privés qui font la navette avec Keflavik ou retournant en Europe.


Puis c'est à notre Q400 de faire son entrée dans le magnifique paysage !

Encore quelques pieds…

Pchit !

Il s'agit du même appareil qui m'a emmené à AEY le matin même, à savoir le TF-FXA, mis en service en 2000 et baptisé Auður djúpúðga (Aude la Très Sage, reine viking du IXe siècle).

Il a une sacré bouille quand-même !


Cet avion a depuis changé de livrée et adopté la nouvelle d'Icelandair, et je trouve cette dernière assez laide désormais !
https://www.planespotters.net/photo/1328829/tf-fxa-icelandair-bombardier-dhc-8-402q-dash-8

Déchargement des bagages.

Avant d'embarquer, je fais un petit tour au check-in pour voir comment cela se passe. Ayant déjà ma carte d'embarquement, je n'ai pas besoin d'y faire étape.

Petite vue générale de la salle d'embarquement où se trouve le fameux café.

le vol
Et voici la porte d'embarquement. Il y en a 2 au total, et celle là est la principale. L'autre peut-être "non schengenlisable" avec un PIF sommaire pour les vols vers le Groenland et les avions privés.

L'embarquement est lancé dans les temps. Je touche du bois, tous mes vols du jour furent parfaitement ponctuels.

Comparé au Twin Otter, j'ai l'impression d'embarquer en wide-body :p

Nous sommes accueillis par une CC très souriante.
A bord, la cabine semble comme neuve, malgré les 21 ans de l'avion.

Le siège est plutôt souple malgré leur dossier fin. Ce dernier est d'ailleurs inclinable.

Le pas est plutôt bon.

Mon instant favori ;)

Pour ce vol, j'avais pré-réservé un siège (payant) vers l'avant de la cabine pour ne pas être gêné par l'encombrant moteur comme à l'aller.

L'avion sera quasiment complet et nous partirons à l'heure.

Bye bye Akureyri ! C'était un pur plaisir !

Au loin, le majestueux Kaldbakur domine le fjord du haut de ses 1173m.

On s'engage sur la piste et nous roulerons jusqu'au seuil de la piste 01. Comme un air de déjà vu ^^

Cette vallée est vraiment magnifique. Si une deuxième vie était possible, je la passerai bien dans une de ces maisons sur le versant d'en face :)

Décollage !
Quelques petits focus sur Akureyri


au-dessus des glaciers…
Le virage à gauche à la verticale d'Akureyri est juste magnifique !!

L'aéroport et sa piste à moitié entourée d'eau est bien reconnaissable.


On grimpe fort, et c'est normal vu le relief qu'on va bientôt devoir franchir.

La vue est imprenable. On voit ici la crête qui mène de gauche à droite : du Ytri-Súla (1213m) au Kerling (1536m), le tout dominant la vallée du Geráldalur.

Focus sur la partie sommitale du Kerling.


Au premier plan, le Tröllafjall (1483m). C'est si beau !

J'aime suffisamment la neige et la montagne pour me sentir au paradis, surtout en plein mois de juillet :)


Le beau temps en Islande est quelque-chose d'assez rare et je sais qu'à Reykjavík, le temps y est bien plus mitigé. Alors je dévore le paysage à chaque instant pour ne pas en perdre une miette.

On n'est pas bien là ? ;)

Après cette première journée, je suis déjà largement comblé par ce voyage. Alors, quoiqu'il se passe d'autre les prochains jours, ce ne sera que du bonus !

Au loin, le Hofsjökull, immense calotte glaciaire que nous avions survolé le matin-même.

Focus sur le Hofsjökull. Tout au fond, on distingue l'immense et célèbre Vatnajökull.

On laisse le Hofsjökull derrière nous.

Puis on se rapproche du Langjökull, autre calotte glaciaire qui malheureusement se noie dans les nuages de plus en plus nombreux. Le vent venant du sud-ouest et par effet de foehn, toute la côte sud est bouchée par les nuages. Puis la masse d'air franchissant les premiers sommets s’asséchant, le ciel se dégage sur tout le nord-est de l'île.

Alors, je ne boude pas le plaisir d'observer ces derniers bouts de glacier ensoleillés !

ça y est, les nuages ont gagné la partie. Quand à notre vol, il touche déjà à sa fin.

Reykjavík
Ceci étant, le spectacle des pentes abruptes coincées entre les nuages et l'océan dégage une autre atmosphère qui ne m'est pas insensible !

Nous sommes en finale piste 19.

Cette approche nous fera passer au plus près de Reykjavík que l'on commence à apercevoir à droite.

Courte finale au-dessus de la capitale.

L'imposante Hallgrímskirkja ne passe pas inaperçue !

Après un freinage puissant, nous roulons vers le terminal domestique.

Au loin, en direction de la péninsule de Reyjkanes, se cache dans la grisaille le Fagradalsfjall, dont l'éruption s'était arrêtée 6 jours auparavant après 4 mois d'activité ininterrompue. Tout le monde pensais alors que l'éruption s'etait terminée mais un nouveau fort trémor sismique a eu lieu pendant que j'étais à Akureyri et ne laisse pas impossible un possible redémarrage de l'activité. Je m'y rend le lendemain, tout espoir n'est pas perdu !

On viendra se positionner à la même place que le matin, juste devant un Q200.

Sur le tarmac, une camionnette de la poste locale attend très certainement courrier et colis transportés par notre avion.

Merci Auður djúpúðga pour ce superbe vol !


Le cheminement vers l'aérogare se fait au grand air.

Un Dash 8-Q200 qui sera au programme des 2 prochains vols ;)

Le cheminement de sortie est exactement le même que celui de l'embarquement.

Cela permet de repasser sous la belle maquette du DC-3 :)

La sortie se situe tout au bout.

Et juste avant, on transite par le carrousel à bagages.

Le tableau des vols pour la soirée. Je note que mon avion retourne une nouvelle fois à AEY.

L'aérogare domestique d'Air Iceland ne paie pas de mine extérieurement mais il est vraiment bien pensé et efficace.

Pour rentrer, il y a toujours la possibilité de prendre le bus, mais je choisis la solution pédestre, le centre ville n'étant qu'à 30min à pieds et mon logement à 50min.

La route longe l'aéroport ainsi qu'une zone protégée pour les oiseaux migrateurs.

Ce qui permet de voir ce genre de volatiles (un Q200).

et des volatiles qui sont plus portées sur le long courrier ! (oies cendrées).

L'artère sud de la ville. C'est là qu'on trouve la gare routière BSI, principal point de départ d'excursions ainsi que de la navette vers KEF.

Bonus n°1 : Hallgrímskirkja
On ne peut passer à Reykjavík sans s'arrêter à la Hallgrímskirkja, une église luthérienne construite entre 1945 et 1986. Bien qu'intégralement en béton, je la trouve très élégante. J'aime particulièrement sa forme rappelant les orgues basaltiques, nombreuses dans la région.

A l'intérieur, c'est cathédralesque ! ;)


Et le musicien que je suis ne peut rester insensible à la puissance du grand orgue ici installé !

Un petit détail que j'ai trouvé extrêmement ingénieux. Dans les églises, l'orgue est très souvent disposé à l'opposé de l'autel, isolant l'organiste du public lors des concerts. Ici, ils ont trouvé la solution : le dossier est amovible dans un sens où dans l'autre, ce qui permet d'inverser très facilement le sens des bancs !

Bonus n°2 : l'éruption du fagradalsfjall.
Le lendemain matin, c'est le grand jour ! Et quelle n'a pas été ma surprise en découvrant la webcam du volcan diffusée depuis l'accueil de mon hôtel ! J'y croyais pas mes yeux. Le Fagradalsfjall a daigné se réveiller ! Incroyable… Je n'ai pas de mots pour vous décrire la joie qui m'envahit !

C'est au pas de course que je rejoins la gare routière BSI d'où partent des navettes spéciales qui permettaient de rejoindre le volcan à moindre coûts (50€ de mémoire, bien moins cher qu'une location de voiture à la même période).

Le volcan est situé sur la péninsule de Reykjanes (où se situe également Keflavik), non loin de Grindavik.
La dernière éruption dans la région remonte au XIIe siècle mais toute la région porte encore les stigmates des derniers champs de lave, comme en témoigne ce sol totalement chaotique.

Tous ces édifices endormis depuis longtemps semblent inoffensifs.

Mais ce petit panache de fumée, qui se mélange aux nuages, rappellent qu'une éruption est bien en cours. L'odeur prenante du souffre se fait d'ailleurs bien sentir à ce moment.

Si j'ai opté pour la navette mise en place par Reykjavik excursions, c'était aussi pour bénéficier des conseils de sécurité à respecter scrupuleusement car la randonnée n'est en aucun cas encadrée. Le guide nous confirme que nous avons une chance exceptionnelle car, non seulement l'éruption est repartie le matin même, mais en plus il ne pleut pas !
Le car nous dépose le long de la route 427 après Grindavik. Je suis saisi par le contraste offert par cette langue noire au milieu d'une végétation de toundra.
En effet, ayant déjà exploré pas mal de volcans (Auvergne, Vésuve, Etna, Stromboli, Vulcano, Nisyros, Guagua Pichincha…) dont 2 en éruption (Stromboli et Etna) qui sont majoritairement des stratovolcans (édifices complexes), je n'avais encore jamais vu d'éruptions en fissures avec une lave si fluide qu'elle s'écoule bien plus qu'elle ne batît un édifice.
Le Fagradalsfjall étant un édifice très ancien, il ressemble bien plus à de simples collines, et la présence de cette coulée de lave qui vient glisser dans la vallée tel un glacier était quelque chose que je n'avais encore jamais vu.

Je regrette de ne pas avoir connu le spectacle qui eu cours ici même entre mars et juin 2021 lorsque ces coulées étaient encore actives, mais ce n'est déjà pas mal !
D'ailleurs, on arrive à la zone la plus dangereuse du parcours car cette lave noire en plein refroidissement (figée depuis 2 semaines) cache de nombreuses poches de gaz. Il est donc vivement déconseillé de s'y attarder longuement, et encore moins marcher dessus. La surface est fragile et cache de nombreux tunnels de laves encore chauds et plein de gaz.

C'est vraiment impressionnant, tout ce "glacier" noir. Toutes les parties blanches correspondent à des bouches de gaz, majoritairement du souffre (mais pas que !).

La gendarmerie locale veille sur cette zone sensible qui attire la plupart des touristes, peu informés des risques encourus.

La randonnée se corse ensuite, avec une grosse montée de 300m de dénivelé sur un terrain très instable, le tout en plein vent.
Mais voilà, en arrivant sur la crête, la récompense est là-bas… Tout au loin…

C'est juste la quintessence de ce voyage !

Je vous propose ci-dessous un petit florilège de mes plus belles photos, malgré des conditions difficiles (vent très fort, distance de 2km, nuages et panache de fumée).
L'éruption se déroule sur un cycle régulier. Elle a lieu toutes les 15/20min et dure environ 5min. Cette régularité correspond aux remontées du gaz depuis le réservoir magmatique, tel des bulles de champagne.




Une petite dernière pour la route…

film de l'éruption
Et enfin, un petit film que je vous invite à regarder avec un casque, en grand écran et en HD ;)
Je tiens à dire qu'aujourd'hui encore, je n'en reviens pas de la chance que j'ai eu ce jour ! J'avais déjà assisté de très près aux éruptions du Stromboli, mais même si ce dernier éjectait des scories et bombes volcaniques à moins de 300m de notre position, cela n'avait rien à voir avec ce magma qui sort à gros bouillon. Voir se fabriquer la matière qui constitue notre bonne vieille terre est extrêmement émouvant. C'était sans nul doute l'un des spectacles de la nature les plus beau que j'ai vu jusqu'ici :)
bonus n°3 : silfra, plongée au coeur du rift
Une autre chose que je tenais absolument de faire : aller nager à Silfra, une faille submergée au coeur même du rift séparant les plaques américaine et européenne. L'eau y est réputée pour être la plus pure et nette du monde car filtrée par les roches en amont.
La faille se situe au bout du lac Þingvallavatn, le plus grand d'Islande. Ce lac est également en plein cœur du rift. Sur la photo ci-dessous, nous sommes en bordure de plaque américaine tandis que les montagnes au bout du lac sont sur la plaque européenne. Entre les 2 se trouve le rift, cette grande vallée truffée de fissures, parfois de cônes stromboliens et de lacs comme ici, témoins de l'écartement régulier des 2 plaques (3cm par an).

Cette grande cassure correspond à la bordure américaine du rift. Il y a la même à l'exact opposé quelques kilomètres derrière nous.

Voici cette fameuse faille de Silfra. Extérieurement, elle semble assez banale.

Mais l'intérêt n'est pas au-dessus mais dessous ;)
Et effectivement, la transparence de l'eau n'a rien à envier aux lagons polynésiens ! Bon, par contre, la vie poissonneuse y est inexistante et l'eau n'est qu'à 2 petits degrés. Même muni d'une combinaison étanche, je dois bien avouer que l'aclimatation est un peu rude ;)

Mais l'effort en valait la peine ! ;)




C'est donc en mode Cousteau que je vous remercie d'avoir lu ce FR bourré d'hélices, de glaciers, de bonus, de volcans…
Et en espérant que cela vous aura plu et vous donnera l'envie d'explorer ce merveilleux pays ;)
A bientôt !
Merci pour cet excellent report. On s’habitue agréablement à ce niveau d’excellence.
Sur le vol proprement dit, je suis surpris par l’état de la cabine qui est d’un très bon niveau vu l’âge avancé de l’appareil.
Pour y avoir passé deux semaines en juin 2005, je ne peux que confirmer et dire que ça relève presque de l’exploit.
En ce qui concerne le bonus, je reste sans voix. Quelle chance inouïe d’avoir pu assister à cette éruption, de voir de ses propres yeux de la lave. J’en ai vu une fois depuis le hublot d’un A320 d’Iberia à l’approche de SJO (San-Jose-de-Costa-Rica), mais c’était de nuit et bien furtif. Là, en Islande, quel spectacle extraordinaire !
Merci beaucoup pour le com' et les compliments Greg :)
C'est vrai qu'avec les éruptions volcaniques, il faut être là au bon moment et soit on peut se permettre de partir du jour au lendemain, soit on s'en remet au hasard. Dans ce cas ci, le hasard a bien voulu m'offrir ce cadeau totalement inespéré et je pense que de toute ma vie, je n'en reviendrai pas ! Si l'occasion se présente un jour, il ne faut pas hésiter ! ;)
A bientôt !
Les mots me manquent pour qualifier ce FR et ceux qui l'ont précédé depuis mon dernier commentaire. Le trait d'union entre l'intérêt avgeek et la découverte touristique n'a jamais été aussi fort. Avec ce zeste d'imprévu et d'aventure dont seules des destinations telles que l'Islande peuvent se prévaloir, et sans trahir tes FRs à paraître je sais que l'on n'est pas au bout des surprises ! Je te soumets juste une suggestion, c'est de mentionner Icelandair et non pas Air Iceland Connect en titre de ce FR et de celui de l'aller puisque les vols en question sont opérés sous code FI avec un Q400 aux pleines couleurs Icelandair.
A très vite pour la suite et merci pour ces magnifiques récits.
Merci infiniment cher Luc :)
L'Islande permet tellement de jumeler les deux, et c'est juste fantastique !
Oui, je peux m'estimer chanceux de n'avoir qu'une seule planterie de ce genre, tant la météo peut vite se dégrader
C'est toujours difficile de savoir quoi mettre dans ce genre de situation. Etant donné qu'Air Iceland Connect existe toujours et opère pour le compte d'Icelandair, et malgré un service / tarification géré par Icelandair, je préfère mentionner Air Iceland. On est sur le même schéma que sur bon nombre d'opérateurs régionaux où tout évoque la maison mère alors que l'entité régionale existe bel et bien.
A bientôt !
Caspita! Tu m'auras compris, j'imagine. Que demander de plus?
Merci beaucoup cher Guillaume :)
A très bientôt ;)
Merci Cyril pour ce FR.
Cela me tente de retourner en Islande et de m’amuser avec les vols intérieurs.
On en prend plein les yeux niveau paysage.
Quand au bonus je trouve cela passionnant de pouvoir assister à une éruption !!
A bientôt
Merci Valérie :)
Je t'encourage à t'amuser sans modération avec ces vols là ;)
A bientôt !
Salut Cyril et merci pour le somptueux FR à la fois très avgeek et dont le récit est une vraie aventure, avec un très beau bonus..
D'où d'ailleurs tu ne prends pas un café ahah
Superbe photos de spotting..
tout à fait d'accord même si je préfère les ATR..
Les sièges ont l'air agréables
Le fameux!!
Quelles superbes photos au décollage
incroyable cette église. énorme ce coup du dossier amovaible!
Incroyable je n'ai jamais vu de la lave en "vrai", ça doit être une expérience toride, tout comme la prononciation du volcan!
Niveau transparence non, niveau chaleur de l'eau par contre... :p
Merci beaucoup Chris :)
J'avais déjà pris ma dose journalière au même café plus tôt :ppp
C'est tellement bien pensé !
Pour le coup, en plein vent froid et humide en équilibre précaire sur une crête, je puis dire que j'en suis sorti de cette journée bien gelé ! Mais oui, le spectacle était vraiment extraordinaire ! J'aurai aimé y rester indéfiniment tellement c'est hypnotisant.
Boarf, de l'eau à deux degrés, c'est à peine moins que Bora ;)
A bientôt !
Merci pour beaucoup pour ce partage. Autant le vol était déjà scénique, avec de belles vues et un avions sympa, le bonus est tout simplement superbe!
Merci beaucoup Moritz :)
A bientôt !
Merci beaucoup pour ce partage d'un vol très original et des paysages à couper le souffle.
Merci Christophe :)
A bientôt !
Merci pour ce superbe FR ! Ça fait toujours plaisir d'en voir un sur l'Islande. De plus tu connais mieux les montagnes du pays qu'une grande partie des Islandais. Je trouve d'ailleurs qu'Akureyri a une situation géographique particulièrement magnifique et la ville offre l'une des meilleures qualité de vie au monde. En ce qui concerne le réseau de bus à Reykjavík, Google Maps fonctionne assez bien pour trouver son chemin ; pour les paiements il faut télécharger une application et effectivement c'est un peu compliqué. Mais l'aéroport se trouve effectivement dans le centre donc on peut s'y rendre facilement à pied.
Merci beaucoup David :)
Je ne savais pas, mais cela ne m'étonne absolument pas !
J'ai pourtant bien essayé d'utiliser l'appli mais impossible d'insérer un moyen de paiement. Vu les distances à parcourir qui ne sont pas insurmontables, j'ai préféré la marche.
A bientôt !
Dur de savoir si j'ai préféré le FR avec son vol sympathique et un avion avec une cabine récente et les paysages superbes ou les différents bonus qui font tous rêver sans exception.
Merci !!!
Merci beaucoup :)
A bientôt !