la genèse
Avril 2021. Fatigué par un emploi du temps harassant, un virus qui n'en finit pas de jouer avec nos nerfs comme un chat avec sa pelote, l'espoir naissant de la vaccination et l'ouverture des frontières me donnent envie de retourner quelque part, loin, à la découverte du Monde. Bref, je ressens plus que jamais l'envie de faire un routing un peu dingue, ça commence sérieusement à me manquer !
Pas question toutefois de quitter l'Europe pour sécuriser l'affaire.
Un mois plus tôt, l'éruption spectaculaire et photogénique du Fagradalsfjall en Islande réveillait mes appétits nordiques et volcanologiques. Même si je sais que l'éruption sera probablement terminée lors de mon passage, je suis malgré tout très motivé pour y aller car ce bout de terre me fascine depuis toujours.
En outre, sur un plan avgeek, les 757 d'Icelandair me font également de l'oeil depuis bien longtemps ! Ceux-ci sont déployés sur Paris régulièrement, alors il ne faut pas s'en priver avant que les 737max ne reviennent sur le devant de la scène.
Bref, que faudrait-il d'autre pour me décider ? Rien ^^
Je me concocte donc un petit programme intense façon "Islande en 6 jours", avec un maximum de vols et de visites possibles !
Après cette première série Islandaise, on passera de l'extrême nord-ouest de l'Europe à l'extrême sud-ouest. Indice : encore des Volcans ! ;)
Mais trêves de bavardages ! Commençons par ce premier tronçon inclus dans un A/R CDG-KEF avec Icelandair, vol aller en 767-300ER (type d'avion déjà pris, mais vu leur âge, toute occasion est bonne à prendre) et retour théoriquement en 757-300 (c'est surtout ce modèle là que je vise, n'ayant jamais pris le 753 et ce dernier étant difficile à trouver).
Pour le reste du programme "local", ce sera à découvrir petit à petit dès chaque nouvel opus ;)
le routing
Enchainement de vols
- 108/07/21 |CDG → KEF| Icelandair | B767-300ER
- 2
- 3
- 4
- 5
- 609/07/21 |AEY → RKV| Air Iceland Connect | Dash 8-Q400 + Bonus éruption Fagradalsfjall
- 712/07/21 | "Une approche mythique"
- 813/07/21 | "Rien ne se passe comme prévu"
- 914/07/21 | "Retour en France + Bonus roadtrip"
- 1015/07/21 | "Un petit air de long-courrier"
- 1115/07/21 | "Saut de puce"
- 1216/07/21 | "Volcans Express"
- 1317/07/21 | "Fin de l'aventure"
arrivée à Roissy
L'aventure commence donc par l'incontournable RER B. Ce dernier a le bon goût d'être direct, ponctuel et peu fréquenté.

On retrouve l'immense FIDS, qui retrouve progressivement une belle variété d'escales.

C'est avec un certain plaisir que je me dirige vers le 2D au lieu du 2F habituel.

Le 2D était encore intégralement en travaux. Tous les enregistrements se déroulaient donc au 2B.

Il y a déjà pas mal de monde mais l'enregistrement du vol Icelandair n'est pas encore annoncé (j'avais pris une grosse marge pour être tranquille).
Pour ne pas payer d'option bagage (le billet était déjà fort cher) et éviter le passage au check-in, j'avais opté de voyager le plus léger possible en sac à dos. Manque de pot, avec les documents sanitaires à vérifier, il était impossible de récupérer un BP en ligne.

Je profite donc d'une pause café pour vérifier que je suis à jour dans les documents indispensables : schéma vaccinal complet et QR code du PLF Icelandais.

longue attente
Je retourne en zone d'enregistrement pour voir ce qu'il en était. Je vois une énorme queue qui se distingue des autres. Je me dis alors "oh les pauvres !" J'avance jusqu'à la file Icelandair et je réalise qu'en fait cette longue attente est pour mon vol. Diantre !
Il est 11h30 lorsque je prends cette photo et seulement 2 comptoirs semble être ouverts pour notre vol.
D'autant plus que normalement, 2 vols Icelandair sont sensés partir à 5min d'intervalles et que l'un d'entre eux a été supprimé. Heureusement, ce n'était pas le mien et FR24 me confirme qu'il sera bien en 767-300. Il n'y a plus qu'à s'armer de patience !

Le temps passe et on progresse lentement. A 12h20, il me reste encore un sacré tour à faire. Un troisième comptoir a été ouvert entretemps.
J'enrage un peu parce que ce genre de vérifications pourrait aussi se faire en porte pour les pax sans bagages en soute. Et d'un autre côté, je ne vois personne voyageant aussi léger que moi.

D'un seul coup, ça s'accélère. A 12h30, j'y suis presque !

Et voilà, le précieux sésame est enfin en main. Avec autant d'attente, j'ai bien vérifié que mon siège pré-réservé était bien le même. 10G, à l'avant de la cabine éco : parfait !

Voyez vous cette file ? C'est toujours pour le vol Icelandair et celle-ci sort quasiment du terminal !

airside
J'espère que les derniers arriveront à temps à s'enregistrer. Pour ma part, c'est par là que ça se passe.
La dernière fois que je suis passé au 2B, ce terminal était séparé du 2D. Je vais maintenant les redécouvrir dans ce nouvel aménagement jumelé.

Le PIF se situe à l'étage dans un nouveau bâtiment dont l'architecture moderne tranche avec le reste des terminaux.


10min plus tard, le PIF est franchit. Je n'aime pas le système en place consistant à avoir jusqu'à 6 personnes simultanée par filtrages. Lorsqu'on a plusieurs bacs à utiliser, ceux-ci se retrouvent mélangés avec ceux des autres pax. Je n'aime pas l'idée de voir mon APN et ma tablette franchir le filtrage avant que je ne puisse le faire moi-même.
Attention, je ne dis pas que l'idée n'est pas bonne pour fluidifier l'attente, mais il faudrait que chaque passager puisse envoyer tous ses bacs ensemble.

Comme tout bon aéroport moderne, le passage par le Duty-free est désormais imposé.

La "place centrale" entre les 2B et 2D est très belle, mais il y a trop de monde. Je préfère me diriger en porte. Cette dernière sera située au 2D.

Par ici, c'est nettement plus calme !

Les files d'attente sont clairement matérialisées. Ne manquent plus que l'avion et… les passagers ! (une grande partie d'entre eux étant encore coincés au check-in).

Pour l'instant, le vol est encore prévu à l'heure. Le restera-t-il ?

D'ailleurs, en parlant du loup, qui voilà ? ^^

L'oiseau du jour sera donc le TF-ISO, relativement récent puisqu'il vola pour la première fois en 2000. Il aura volé pour Air New Zealand, Air India, Garuda, Air Austral, Nas Air, Transaero avant d'arriver chez Icelandair en 2016.
Il est baptisé Hlöðufell, du nom d'un volcan. Belle mise en matière !

Si le 767 n'est pas un avion qui m'attire particulièrement, je suis heureux de pouvoir en profiter tant qu'il vole encore.
Si j'avais déjà effectué 3 vols en 767-300 auparavant (2 avec AA en 2001 et 1 avec BA en 2016), ce sera mon premier vol en 767 wingletté.

Les bagages arrivent au compte goutte par train de 2 containers.

à bord
Si l'embarquement devait avoir lieu à 13h15, il faudra finalement attendre 13h45 pour voir ce dernier débuter.

Si l'intérieur des terminaux a été fortement rénové, l'extérieur rappelle bien le béton brut originel.

Enfin ! J'y suis ! J'avais tellement rêvé d'Islande dans ma jeunesse. Enfin un rêve qui se réalise !

Qui dit 767 dit pas d'instant porte ! Une particularité de cet avion héritée du DC-10 qui me fascine grandement.

On passe par la classe Saga qui semble offrir de confortables sièges.

Puis on arrive rapidement en classe éco.

La cabine est plutôt élégante et les sièges sont assez confortables.

Le pitch est également très bon.

Face à nous, on retrouve un IFE de bonne taille, avec malheureusement beaucoup de reflets.

Enfin, dans l'aumônière, on retrouve une safety card qui subira étrangement la loi de Newton.


Je n'oublie pas mon instant favori ;)

Du côté hublot, voici ce que me réserve la vue pour ces 3 prochaines heures. Inutile de dire que je suis aux anges !

L'IFE diffuse quelques clips promotionnels. Le Groenland est sur ma to-do-list of course, mais pour cette fois, on va se contenter de l'Islande, ce qui est déjà formidable.

En attendant le départ, j'observe le trafic autour, comme cet élégant A350 AF.

ou encore cet A319 LH dont les PNT ont oublié de rétracter les spoilers.

Petit coup d’œil à la pochette remise à l'entrée de l'avion. Elle contient le nécessaire pour nettoyer son espace vital.

Au final, nous repousserons à 14h25, soit avec 10min de retard seulement.

Les démonstrations de sécurité s'effectueront en vidéo. C'est l'occasion de se familiariser un peu plus avec l'islandais !

Nous roulerons vers la piste 26 droite, ce qui nous fera contourner l'ensemble des terminaux 2E/F.


Encore quelques mètres…

l'envol
Et c'est partit !


Le camembert du T1, si reconnaissable, avec ses quelques 777 AF encore en stockage.

Là, il s'agissait du tout dernier A380 AF stocké à CDG (F-HPJD). Il en partira définitivement en février 2022.

Seule la flotte Fret offre encore des appareils variés, tels ces MD-11 Fedex.


Cap plein nord !

La montée est assez lente, et nos moteurs rugissent bien.

Encore quelques minutes et nous atteignons le pays du beau temps éternel.

Petite curiosité en terme de plan de vol : notre route contournera une grande partie de l'Angleterre.

Nous passerons donc quasiment à la verticale de Rotterdam, où le ciel se découvre.

Focus sur l'embouchure du port de Rotterdam.

Puis nous filons plein nord-ouest en direction de l’Écosse.

Instant winglet, ce dernier est bien assorti aux couleurs foncées du ciel d'altitude.

IFE et service
Du côté catering, on est sur du BOB. Chose importante : l'eau, sodas, jus de fruits et café sont offerts.
Je n'ai rien contre le BOB à partir du moment ou l'eau à minima est gratuite et que le prix du billet n'est pas exorbitant. Dans le cas d'Icelandair, le prix minimal payé (hors promo) justifie mal à mes yeux un service BOB. Toutefois, la gratuité des softs vient rattraper en partie le coup. A chacun de se faire sa propre opinion.

Parmi l'offre solide, j'opte pour une pizza margherita qui me sera servie chaude en moins de 10min. Notez la petite fiole d'huile d'olive qui m'a été apportée avec.

Une fois déballé, la présentation n'est évidemment pas gastronomique, mais je dois dire que ce fut plutôt bon.

Du côté IFE, l'offre de divertissement est plutôt bien fournie. Comme les écouteurs n'étaient pas fournis gratuitement, et n'ayant pas pris les miens, je n'ai pas chercher à regarder un film. Le paysage extérieur était déjà un excellent programme !

Nez-en-moins, je vous présente sommairement la chose en commençant par le menu.

Côté films, il y a un choix assez large et varié.

Du côté musique, on retrouve la touche mélomane nordique avec un énorme choix de musiques islandaises, et le reste des styles n'est pas en reste.

Mais le plus important reste la géovision qui peut s'afficher en pop-up au-dessus du programme en cours, ce que je trouve fort pratique (photo prise avant le décollage)

En plein écran, ça donne ceci (photo prise avant le décollage)


retour au vol
Tout est beau, calme et paisible au-dessus de la Mer du Nord.

Nous continuons notre progression vers l’Écosse.

Mais celle-ci ne se laissera guère apercevoir.

survol glaciaire magistral
Les minutes passent, et plus on s'approche du but, plus je suis heureux :)

Alors je guette, assis en tailleur face au hublot. Une sombre ombre se mêle bientôt à l'horizon. Puis du blanc des nuages se détache une autre nuance de blanc plus brillant.
La Terre de la Glace et du Feu est enfin en vue !

Cette arrivée sur l'Islande est magnifique, avec cette vue plongeante sur l'immense calotte glaciaire du Vatnajökull.
On distingue surtout au premier plan l'Öræfajökull, plus grand volcan d'Islande. Il en est également le point culminant (2110m sur le Hvannadalshnjúkur).


Le bord occidental du Vatnajökull avec tout au fond le plateau glacé de l'Askja, un autre volcan moins vaste mais beaucoup plus actif !

La côte Islandaise en grand angle. On mesure mieux l'immensité du Vatnajökull. A gauche, on commence à voir apparaître la calotte du Mýrdalsjökull, 4e plus grand glacier islandais.

Le Mýrdalsjökull vu d'un peu plus près.

Focus sur le Kötlujökull, l'un des nombreux font du glacier.

On se dirige encore plus vers l'Ouest. Le Mýrdalsjökull est à droite.
A gauche, les quelques sommets perçant les nuages que vous pourrez observer ne sont autre que ceux de l'Eyjafjöll, un volcan qui défraya la chronique mondiale en avril 2010. Vous avez surement plus en tête le nom Eyjafjallajökull si célèbre pour sa prononciation délicate (Eyo - fiatlo - yokoutl) qui pourtant ne désigne que la calotte glaciaire au sommet de l'Eyjafjöll.

approche à keflavik
La descente débutera rapidement après. Nous irons au nord de la péninsule de Reykjanes pour intégrer une main gauche piste 19, le tout dans les nuages et les turbulences.
On y est presque.


Et pouf !

Le terminal étant au nord du terrain, il va falloir tout remonter.

De l'autre côté, on retrouve les secteurs fret et militaires avec notamment un rare et massif Antonov 124.

On traverse la piste est/ouest.

La végétation rase et les fleurs mauves balayées par le vent fort nous mettent tout de suite dans l'ambiance !

En arrivant au parking, on a un bel aperçu de la flotte d'Icelandair qui ravit encore les avgeeks européens avec ses 767 et 757.

Dernier virage.

Nous arrivons en porte avec seulement 9min de retard. J'ai hâte de fouler cette nouvelle terre !

L'équipage demande à ce que le débarquement se fasse par rangée. Cette consigne sera plutôt bien respectée, évitant l'effet danette (pour une fois ^^).

On transite à nouveau par la classe Saga. Pour un vol vers l'Europe et au regard de la concurrence, je pense que le rapport qualité/prix peut valoir le coup. En revanche, je doute qu'elle soit si attractive en direction des amériques.

Keflavik
La partie du terminal proche des portes est très agréable.

Mais ce n'est pas trop le cas de la liaison avec le terminal principal que je trouve assez oppressant. Les hublots rond donnent plus l'impression d'être dans une station polaire qu'un terminal.

La suite du parcours est bien fléché !

L'affiche est prometteuse ! Espérons que la météo des prochains jours s'y rapproche au maximum ^^

On arrive au hall de délivrance des bagages, bien surchargé. Heureusement, ce point là sera facultatif me concernant. Toutefois, il y a un petit quelque-chose que j'aimerai voir…

Me voyez-vous venir ?

Je n'allais quand même pas manquer l'incontournable macareux moine ! (Non Sylvestre, ça ne se mange pas ! :p)

Vient ensuite le passage du filtre sanitaire, où sont séparés les passeports européens des autres nationalités. J'appréhende ce moment avec l'éternelle question : n'ai-je rien oublié dans le protocole ?
Heureusement, tout va bien et me voici landside. Islande, j'arrive !

de keflavik à reykjavik
Au départ de Keflavik, il existe 2 lignes de navettes :
- l'une relie Keflavik à l'aéroport domestique en centre ville.
- l'autre (Flybus) relie Keflavik à la gare routière BSI.
La liaison Flybus appartient à la société Reykjavik Excursions qui s'occupe également de vendre les billets.

Ayant déjà réservé mon billet, je pouvais prendre le premier départ qui se présentait.

Le trajet jusqu'à Reykjavik est assez long (comptez environ 40min). A noter que les sièges sont munis de prises USB (ce qui peut être fort pratique après un long vol).

Au loin dans cette direction, sommeille depuis quelques jours le Fagradalsfjall, volcan bien actif ces derniers mois. Les fumées proviennent elles du Blue Lagoon.

On arrive au terminal BSI d'où partent l'essentiel des activités d'excursion.

Celui-ci est situé à côté du terminal domestique. Le dash 8-200 au décollage est une belle mise en bouche pour le programme du lendemain.

Je choisis de terminer mon trajet en traversant Reykjavik à pied, en commençant par son imposante cathédrale.

Une des principales rues de Reykjavik.

Et voici mon hébergement pour les 6 prochains jours. Afin de réduire le coût au maximum, j'ai choisi un capsule hotel. C'est une première pour moi !

L'ensemble est très fonctionnel, confortable et futuriste. Le gros avantage est de pouvoir verrouiller la porte, ce qui me permettra de laisser un maximum d'affaires pendant mes excursions. En outre, l'hôtel est assez vide, ce qui augmente le confort.

Je n'avais encore jamais séjourné aussi proche du cercle polaire. C'est vraiment dépaysant de voir une telle clarté à 22h20 (heure de la photo ci-dessous).

Autre première pour moi : réserver un billet d'avion la veille pour le lendemain ! Les tarifs de ce routing étant fixes, je n'avais aucune crainte de voir les prix grimper. J'étais surtout indécis sur la faisabilité de ce routing (un "triangle" points A > B > C acheté dans un A/R A <> C avec seulement 15min d'escale pour s'enregistrer). C'est finalement la veille que je me décide d'y aller.
Je vous laisse essayer de deviner le routing. La réponse fera l'objet des prochains opus ;)

Merci pour votre lecture :)
A bientôt !
Salut Cyrille et merci pour le FR sur un 767 vintage, tout aussi vieux que le RER qui t'a emmené à CDG!
J'aime beaucoup les photos du vétéran bousin avec wifi et winglet, de quoi essayer de se rajeunir!
La cabine a l'air agréable avec l'IFE.
Je suis d'accord avec toi, les softs devraient être un minimum si la compagnie choisit de faire payer ses passagers.
Jamais essayé ce genre d'hôtel ça me rappelle le 5ème élément!
Merci Chris :)
Pour le coup, je préfère le premier au second ;)
C'est vrai que ça lui donne un look bien plus moderne !
Oui, d'où le dilemme dans la notation : le BOB est parfait s'il offre les softs, mais Icelandair étant la compagnie la plus chère sur le marché européen depuis KEF, je trouve qu'un service gratuit serait plus adéquat envers le produit global.
A bientôt !
belles vues de l'arrivée et FR plaisant à lire
Merci beaucoup ! A bientôt ;)
Bravo pour avoir repéré et cité tous les volcans…on a envie de lire la suite du périple islandais ?
Merci beaucoup !
Ce n'était pas chose aisée, mais ma passion pour la topographie montagneuse n'a pu résister à l'envie de trouver tous les sommets islandais croisés en chemin ;)
A bientôt !
Salut Cyrille et merci pour ce FR ! Très belle prise que ce 767, même si ce n'est pas ton avion favori. Tu étais idéalement placé pour voir l'aile et les paysages, est-ce que la réservation de sièges est toujours gratuite chez FI ?
Le service ne semble pas avoir beaucoup changé depuis mon passage chez eux il y a quelques années, mais comme tu dis, il faut le mettre en regard du prix payé et des autres services inclus dans le billet.
A bientôt pour la suite de ce très beau routing dont j'ai eu quelques avant-premières :)
Merci Guillaume :)
Non, elle ne l'était pas, du moins pour la partie avant de la cabine. Néanmoins, elle n'était pas très chère (10€ je crois pour mon siège). J'ai toujours peur avec Boeing de tomber sur une rangée aveugle, alors j'ai pris mes devants !
A bientôt ! ;)
Bonjour et merci pour ce FR à bord d'un avion qui se fait effectivement rare en Europe (Condor va bientôt mettre ses 757 au rebus aussi de mémoire...). L'islande à l'air assez chouette mais ça serait super sans le ciel gris... CDG n'a pas été super pour le coup, avec un retard restant raisonnable. Je trouve la jonction entre le 2D et le 2B très réussies ! Pour le coup, au vu du prix du billet, je vous rejoins sur le BOB, ça n'est pas super et cela me fait penser à LH qui commercialise ses vols vers la France assez cher pour avoir au final une bouteille d'eau. TO s'est emparé du marché vers l’Islande avec des routes vers ORY, NTE (plus l'an prochain) et AMS en plus d'Air France. Le siège semble convenable tout comme l'IFE pour cette durée. Je commente la suite très prochainement ! A bientôt !
Merci :)
ça, faut pas en demander trop vu la présence quasipermanente d'une dépression à proximité !
La faute surtout à Icelandair qui imposait le contrôle des documents sanitaire à l'enregistrement, empêchant les voyageurs sans bagages comme moi de faire la queue au check-in. Et d'un autre côté, je devais être quasiment le seul à n'avoir aucun bagage à enregistrer ^^
Surtout que depuis ORY, le nouvel horaire est beaucoup plus sympathique que le redeye imposé jusqu'à présent (vol retour 23h45>06h30 !)
Après, si la différence tarifaire entre TO, Play et Icelandair n'est pas trop élevée, je conseillerai quand même ICE pour son offre de softs gratuite ainsi que l'IFE. Et prendre du 757/767 est quelque chose dont il ne faudrait pas se priver tant que ça vole encore.
A bientôt !