Avis du vol entre Kilimanjaro et Zanzibar en classe Economique avec Precision Air

Bonjour à toutes et tous.

Dernier vol exotique de ce routing tanzanien.

Et ce sera à nouveau avec Precision Air.

C’était le vol le moins cher et le moins matinal, en effet nous venons de Machame, il y a donc un petit peu de trajet, avec pas mal de camion, et de check point sur la route, donc autant ne pas avoir à se lever aux aurores pour cela.

Autre contrainte que nous avions lors de la réservation du billet c’était d’avoir du temps à Stone Town pour faire un test PCR avant de partir de l’autre côté de l’île pour une fin de séjour en mode relax.

L’horaire était donc parfait, allons-y même si l’appareil sera le même que le vol précédent pour un coût de 90€ via un OTA.

Entre temps, l’obligation d’un test PCR n’était plus nécessaire car nous étions toutes les 3 pleinement vaccinés.

Cela va nous permettre de profiter davantage de notre bungalow sur la plage, ce qui réjouit l’une de mes amies qui a très mal supporté le traitement anti-palu et qui est bien fatigué.

Kilimanjaro International Airport

Le matin nous quittons notre hôtel au pied du Kilimandjaro pour 40 minutes de route.

Le taxi nous dépose sur le parking.

Direction le hall des départs.

JRO est le second aéroport international de Tanzanie.
L'aéroport a été rénové entre 2015 et 2017 par un financement des Pays-Bas et de la Tanzanie

Il y a deux familles devant nous.

Premier contrôle de nos passeports et réservation, cette fois ci il nous faut ôter notre masque pour bien vérifier notre visage avec la photo du passeport.

Nous commençons à en avoir l’habitude, nos affaires doivent passer au rayon X pour entrer dans le terminal.

Pour le premier couple, Monsieur fait tomber son ipad au sol, et perd du temps à vérifier s’il fonctionne encore.

Puis le deuxième couple avec enfant se perd dans l’amoncellement de chose présente dans leur poche at qui doit être mis dans un bac.

Finalement c’est à nous.

Je bip, et à nouveau contrôle corporel, et pourtant j’ai même ôté mes chaussures.

Évidemment elle ne trouve rien et je peux passer.

Je récupère mes affaires et fait un rapide tour d’horizon de la zone.

J’observe que tous les passagers attendent sur le dernier comptoir à droite et je sais qu’ils sont sur le même vol que nous puisqu’ils ont présenté leur réservation pour accéder au terminal.

Cependant je ne vois pas de panneau Precision Air alors qu’à gauche du terminal il y a deux comptoirs d’ouvert avec des grand panneau de la compagnie.

Je dis à mes amies de me retrouver à cet endroit là je vais voir si c’est le bon comptoir.

Il n’y a personne et me voilà aimablement accueilli par deux agents qui s’ennuient légèrement.
A ce moment-là la file à droite à compris enfin qu’ils attendent au mauvais endroit et ils arrivent tous derrière moi.

Comment doubler tout le monde sans le vouloir.

Mes amies sont mortes de rires.

Nous récupérons nos BP et expédions nos valises en soute.
Cette fois ci nous avons 3 hublots chacune à quelques rangs de distance, nous n’iront pas essayer de changer quoi que ce soit, c’est mieux que 3 couloirs.

Nous sommes amusés de voir que sur ce vol ils n’y a que des touristes (allemand, russe et français).

Ces fiches concernent la sortie du pays.

Nous nous dirigeons ensuite vers le PIF domestique, ou un agent nous renvoie aimablement vers le PIF international en nous disant que notre porte qui sera la numéro 5 est situé las bas.

Et c’est reparti pour ôter les chaussures, ceintures etc.…

Cette fois ci pas de bip, heureusement.

Nous avons du temps, j’en profite pour une petite visite de l’aéroport.

Quelques boutiques mais rien de génial.

Un restaurant qui semble agréable.

Allons voir ce qu’il y a à l’étage.

Une zone pour attendre avec un panneau pour un salon, qui visiblement est loin d’être terminé niveau travaux.
Et qui ne risque pas d’être ouvert de sitôt.

Retour à nos sièges, voici mon BP.

J’entends une annonce pour l’embarquement en commençant par les rangs 1 à 10, ce qui nous concernent.

Contrôle du BP, une passagère à côté de moi s’émeut du fait que l’on ne conserve pas le BP en entier mais que le petit coupon (peut être une collectionneuse).

C’est à pied que nous nous rendons à l’ATR du jour.

J’aime bien cela permet de prendre des photos.

Swissport est partout.

Et pas de no photo ici.

Mais il ne s’agit pas non plus de trop trainer.

L'escalier.

a bord du vol pw431 direction zanzibar

Accueil agréable à bord avec à nouveau la dose de GHA sur les mains.

Je récupère mon siège qui n’est pas de première jeunesse.

Le pas

La carte de sécu.

La cabine a du vécu.

Un groupe de russe arrive et j’ai une voisine, le vol est complet.

L’embarquement sera un peu plus long, mais finalement tout le monde est installé.

Démonstration rapide de sécurité.

Puis on prend le chemin de la piste de décollage. 

Il semble être en maintenance ici, il reprend les vols mi août.

Au revoir JRO, c’était une expérience fort sympathique.

La montée est assez lente, et la météo est trop nuageuse pour admirer grand-chose.

Une fois le signal éteint pour les ceintures, les PNC se mettent au travail pour lancer le service.

Les couleurs de l'uniforme.

Celui-ci sera identique : un jus de fruit et des noix de cajou.

Le vol est tranquille.
Le siège est inclinable.

La descente se fait dans les nuages.
Je commence à apercevoir des ilots.

Puis la côte de Zanzibar.

Le survol de la ville est assez long, on a l’impression qu’elle ne cesse de s’étendre.

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Aéroport international de Zanzibar

Touché assez doux des roues.

On quitte la piste pour se diriger vers le terminal.

On longue le nouvel aéroport avec 3 avions QR stationnés.

.

On tourne et on stoppe.

Flydubai qui arrive.

Le débarquement commence. 

Je sors avant mes amies qui sont au fond de l’avion.

Et je les attends en admirant les alentours.

Le nouveau terminal

Un bus doit nous emmener au terminal mais j’attend.

Une de mes amies arrive mais toujours pas de trace de la dernière, qui sortira en même temps que l’équipage.

La tour et l'ancien terminal

Elle a surement du vouloir rester à bord.

Du coup plus de bus, nous sommes 5 passagers et c’est avec des agents de piste que nous allons cheminer à pied vers le terminal et les arrivées.

Une longue file attend.

Nous devons à nouveau prendre une dose de GHA, et des agentes surveillent que nous n’esquivons pas la chose.

A l’intérieur nous retrouvons les passagers de notre vol en train de remplir des fiches.

Un agent en distribue, je lui demande si c’est nécessaire alors que nous venons d’un vol domestique.
Il me répond que non, demande à voir le tampon d’arrivée dans nos passeports et nous indique que dans ce cas nous pouvons sortir de suite sans passer par la PAF

A nouveau nous grillons l’intégralité des passagers de l’avion et nous retrouvons à attendre nos valises.

Finalement les autres passagers viennent en râlant d’avoir du faire de la paperasse pour rien.
En même temps, nous avions l’avantage d’avoir fait déjà quelques vols domestiques et donc de savoir que nous n’avions pas besoin de tout cela.

Ma valise arrivera parmi les dernières et c’est maintenant nous qui sortons en dernier.

Avec à nouveau des valises à passer au rayon X avec des agents qui ne sont guère motivés.

Nous pouvons maintenant quitter l’aérogare.

Un dernier passage avant de rejoindre la zone de récupération des touristes par les taxis.

petit clin d’œil à notre prochain vol.

Le chauffeur de notre hôtel est là.

C’est parti pour une heure de route vers Pongwe.

Retour à ZNZ dans quelques jours pour un retour en Europe dont je me souviendrais longtemps #teasing.

Pour les plus curieux un bonus sur un endroit qui est très peu visité en Tanzanie, typiquement hors des sentiers battus.

bonus