Avis du vol entre Copenhagen et Amsterdam en classe Economique avec KLM

Fraîchement débarqués de notre virée en Avro RJ100, Akivi et moi-même devrons nous délester de 13 euros par personne pour rejoindre le centre ville de Malmö. Les transports en commun paraissent cher en Scandinavie quand on est habitués aux prix français, sauf à Lyon peut-être?^^ 

Petite déception en traversant l'Øresund. Le train est certes un excellent moyen de se rendre au Danemark mais la vue nous a quelque peu laissés sur notre faim.

La gare aussi !!! Avec un peu d'éclairages scéniques, je pourrais transformer cet endroit lugubre en quelque chose de vraiment plus accueillant.

Nous prenons la direction du terminal. Les accès sont vraiment facilités.

Les routes des avgeeks se croisent dans les aéroports du monde entier. Akivi avait un vol pour Paris et moi, une chambre d'hôtel non loin de Kastrup. Mais avant, il doit retirer une carte d'embarquement.
Sympathique invitation, n'est-ce pas? 

Nous irons donc visiter le lounge américain local.

Après avoir profité de la vue sur la vie qui passe, l'heure est venue de se dire au-revoir et de se souhaiter un bon voyage.

Je quitte le terminal repus, prêt pour une marche digestive vers mon point de chute pour la nuit. Google maps est mon ami.

Une bonne marche plus tard, je goûterai à l'une des spécialités locales au bar de l'hôtel.

Sur ce, bonne nuit.

Il me faudra une bonne demi-heure de marche entre le moment où je quitte l'hôtel…

… et celui où j'arrive près de l'aéroport. Tiens, une invitation au retour en Suède?

En attendant un prochain passage en Suède, le routing si vous avez raté les épisodes précédents.

Encore quelques mètres et me voici arrivé.

Ai-je le temps pour des "okapiades" comme dirait Akivi? Après tout, j'ai bien quelques avions à prendre aujourd'hui alors un de plus…

Bref, soyons sérieux (pour une fois). Et j'ai une bonne excuse, il fait froid dehors. Direction le fast-track.

Les contrôles PIF seront passés très rapidement. CPH est un modèle d'organisation en la matière. Place au shopping spotting! Celui-là, faudra bien que je l'attrape un jour.

Je n'irai pas au salon, pas faim et pas envie de faire mes courses (oui, ça m'arrive!). Direction la porte d'embarquement surtout que je ne suis pas très en avance.

J'aurais pu rentrer sur Paris en vol direct avec la sœur de l'Hollandaise mais j'ai déjà donné et pour quelques euros de plus, je me suis concocté une journée dans les airs.

Si chez Air France on fait la queue…

Un peu plus loin…

on est logés à la même enseigne.

Instant nez. Au même moment, je me dis que je n'ai toujours pas mis les pieds dans un vrai avion Norwegian…

Instant Playstation

Et instant porte.

Accueil sympathique ce matin. Mon siège ne sera pas à fond de cale en raison d'une correspondance courte.

Vu sur le travail en cours.

Et sur les voisins.

Aumônière propre

et son contenu.

En attendant le départ, je commence à feuilleter quelques pages du magazine de bord. Celles du réseau notamment.

Le repoussage se fera dans la foulée de celui de l'Airbus d'Air France, avec un peu de retard.

Siège à l'avant de la cabine avec un pitch amélioré.

Siège milieu libre.

Filons!

Décollage bien venteux.

Et montée turbulente dans la crasse danoise.

Mon voisin se met déjà au travail.

10 minutes plus tard, nous sommes en croisière au-dessus des nuages.

C'est également le moment où commence la distribution des rations de combat.

Cette fois-ci, la tranche de cake était bonne, tout comme la vue depuis mon hublot.

Éclaircissement naturel…

…ou artificiel, en mode F-OITN

Superbes formations nuageuses en cours de route que nous contournons à distance. On approche déjà d'Amsterdam.

Ce vol est passé vite, la descente est déjà bien entamée et augure d'une arrivée à l'heure ce qui m'arrange vu le peu de temps à disposition pour une correspondance et que les parcours sol de Schipol peuvent être assez longs.

Quelques tours en l'air avant de se positionner sur l'ILS.

Cabin crew, take a seat for landing!

Atterrissage un peu rude en vent de travers.

A ce moment, j'espère qu'on ne va pas trainer pour une place de parking. Il est déjà un peu tard.

Le soleil se couche déjà pour certaines espèces.

Mais pas pour les okapis. La relève est déjà là, comme ce Dreamliner que j'ai déjà essayé entre Amsterdam et Madrid.

Ou d'autres espèces qui envoient certes moins de rêve mais qui sont là pour rester, ne vous en déplaise!

Nous nous garons près de ce finnois. Pour une fois, je ne traîne pas à bord.

C'est que j'ai une correspondance dans quelques minutes!

Et maintenant… enfin, presque.

Voilà, c'est tout pour le moment. La suite au prochain numéro.
Comme d'habitude, merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈