Avis du vol entre Oslo et Stockholm en classe Economique avec Ethiopian Airlines

Encore une cinquième liberté! La passion avgeek absolue. J'ai connu Cathay Pacific entre Londres et Paris, Kuwait Airways entre Paris et Rome, Singapore Airlines entre Munich et Manchester et bien d'autres encore mais ça, c'était il y a fort longtemps. D'autres routes plus récentes ont été publiées sur ce site mais dans mon registre, une manquait à l'appel : Ethiopian Airlines entre Oslo et Stockholm. C'est plus exotique que le Rome Fiumicino - Milan Malpensa que je voulais prendre l'été dernier en 777 pour 44 euros…

A peine sorti de mon vol en CRJ Cityjet/Scandinavian Airlines, j'ai rendez-vous avec un illustre contributeur, à l'origine de ce prochain parcours en commun. Si vous souhaitez lire la vraie version de ce vol à deux, cliquez ICI (après avoir lu ce FR, bien entendu).

Il m'attendait airside, juste après l'heure du déjeuner et avant celle du goûter. Du coup, je n'ai plus qu'à retourner landside pour aller faire quelques provisions pour l'amateur de burgers. Mais avant, j'ai envie d'une cigarette carte d'embarquement collector.

Il faut montrer patte blanche pour aller en Afrique?

L'enregistrement en ligne avait pourtant bien fonctionné pour moi, j'ai même eu mon BP dans le wallet de mon iPhone mais la machine refusera de me délivrer une version papier.

Qu'a cela ne tienne, j'irai réclamer mon dû aux comptoirs.

Sauf que les passagers lambda ont bien trop de bagages à mon goût. Et hop! Côté nantis, une minute suffira. J'en profite pour récupérer deux  étiquettes bagages.

Et voilà le travail!

Maintenant, que faire? Retourner airside? Sans provisions?

Mais non! Je sais quoi prendre pour mon acolyte, enfin, presque!^^

Contrôles rapidement passé, le (vrai) burger n'aura pas eu le temps de refroidir! Ma deuxième tarte aux pommes et quelques reliques d'un #jefaismescoursesausalon de l'avant veille compléteront la dotation de voyage.

L'heure d'embarquer approche. Il est temps de passer les contrôles PAF notre avion poursuivant son parcours vers Addis Ababa.

Ça va, je me sens moins petit tout d'un coup!

Tiens, j'en ai presque oublié le routing…

Fin spotting en cours de route.

Test H2(VOSS)kapi!

Sur le départ.

Notre destrier a été tracté en porte. Yesss! 

Oh, mais nous avons un voisin!

Souvenirs de galères nocturnes pour l'Akivi?

Tôt ou tard, je l'aurais moi aussi ma dose d'exotisme :-)

Quelques instants plus tard, on nous fera sortir de cette zone de pré-embarquement pour rejoindre la file avant un contrôle de la carte d'embarquement et du passeport. 

L'opération aura été assez fluide et nous permettra de photographier l'avion du soir en toute tranquillité.

Instants Playstation et porte.

Fuselage et wing shot

L'accueil est très cordial, je vais en profiter pour mitrailler et nous faire connaitre auprès de la cheffe de cabine.

À droite vers mon fond de cale tandis que Akivi rejoindra son siège sur le côté opposé de l'appareil.

Pour les plus grands d'entre vous qui rechercheront un peu plus de confort en cas de vol long-courrier.

Perso, mes jambes sont au format classe éco!

Instant nettoyage, les équipes ne se sont pas trop foulées pendant le long layover pour peaufiner cette jolie cabine.

Devant moi, l'IFE.

L'espace est plutôt généreux. Quant au porte-gobelet, je me demande encore qui a bien pu le réaliser de la sorte. Un des ingénieurs ayant contribué à la stabilité en vol du 737 Max peut-être?

La tablette est propre.

Et comme on n'alimente pas que son estomac dans un avion…

Finissons le tour du propriétaire avec cet écran télécommandé depuis l'accoudoir. Pas forcément le choix le plus judicieux..

Et une moquette relativement propre.

A disposition sur les sièges, une couverture sous blister.

Ainsi que des écouteurs de basse qualité comme souvent en avion. Au moins, ils sont gratuits.

Ce sera toujours ça de pris si vous êtes du genre à regarder des films en avion. Mon usage des écrans étant plus restreint, je n'ai pas d’intérêt pour ce genre d'accessoires. C'est l'heure des messages de bienvenue, en zoulou et chinois? ainsi que des démos de sécurité en vol. 

Cabine assez clairsemée pour ce premier tronçon.

Prêts pour le repoussage mais quelques minutes d'attente. J'en profite pour faire un tour à l'arrière.

Les toilettes sont propres.

Retour à ma place. L'embarquement est terminé, pour mon plus grand confort.

J'étais parti chercher un verre d'eau à fond de galley. Fichu porte-gobelet qui ne sert vraiment que quand le verre est vide.

La cabine est finalement plongée dans l'obscurité, nous pouvons partir.

Le CdB dans son message de bienvenue nous informe que nous devrons passer au dégivrage.

Il n'a pas menti le bougre. Pour les photos, déjà que de nuit elles sont pourries…

Je vous épargne donc le décollage, silencieux à souhait et on se retrouve une fois dans les airs.

C'est un vol de nuit donc je fais semblant de m'allonger!

Pas pour très longtemps puisqu'un service de rafraîchissement débute. Non, Messieurs Akivi et NZ1, ce n'est pas du Fanta! Un très bon jus d'ananas, fruit typique du sud de la Norvège, si je ne m'abuse.

ቺርስ !!!

Nous en sommes là.

Et de nouveau, un passage du plateau. Les trolleys ne sont pas de mise sur ce vol court. C'était la norme avec ET il y a fort longtemps quand je les prenais et c'est resté. Bravo!

Saleté de porte-goblet!

Je ne tiens pas vraiment en place. Un tour aux toilettes, toujours propres et une photo de cette cabine pendant ce court moment en vol.

De retour à mon siège, j'en profite pour vous présenter la paperasse de bord. Commençons par l'utile.

Puis l'inutile,

Quoique…

Et puis une louable intention mais finalement, non merci.

Ça par contre, je veux bien!

Et le magazine de bord, plutôt bien fait.

Rafraîchissant même!

Ou bien appétissant.

Sans oublier les pages avgeek!

Ils vont loin les Éthiopiens! Faut pas s'étonner si ils gagnent des marathons.

Un sacré réseau européen mais les destinations africaines me font tout autant rêver : Faya-Largeau, Juba, Goma (chez les okapis), Mbuji-Mayi pour les amateurs de chèvres et de diamants, Pemba pour ses plages!

Pour ce soir, le voyage sera quand même moins long. La Suède approche, le moment de la descente aussi.

A propos de descente, j'irai demander un souvenir à fond de cale mais sans succès. Pas d'alcool sur ce vol court. Le sourire de l'hôtesse a compensé ce refus.

Atterrissage en douceur et roulage vers notre point de stationnement.

Les deux Guillaume sortiront de cet avion satisfaits et sous l'escorte d'un agent sol, venu exprès à notre rencontre. Pas de visite cockpit possible en raison de la présence à bord du chef pilote de la flotte Dreamliner en examen de ses PNT mais nous quittons l'avion avec les sourires sincères de l'équipage. Il ne nous reste plus qu'à tirer une dernière fois le portrait de notre Dreamliner une dernière fois…

Avant de nous diriger vers la sortie

Pas de contrôles ni bagages, juste une chose à déclarer…

Une petite faim!

Agapes truffées conclues, direction la sortie et surtout l'hôtel qui a lui seul mérite bien un bonus!

Voilà, c'est tout pour le moment. La suite au prochain numéro.
Comme d'habitude, merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈