Avis du vol entre Bogota et Medellin en classe Economique avec Avianca

Suite de ce petit vol, je vous avais laissé en escale à BOG en venant de Cali. 

Rappel du routing.  

Je ne ferai pas un énorme FR, les vols se ressemblant mais Avianca n’étant pas hyper reportée je me devais d’enrichir la base de données. 

La ligne BOG-MDE est la ligne la plus fréquentée du pays, presque 40 vols par jours et 40 vols retour. C’est énorme ! Deux aéroports existent à MDE, j’atterrirai ici au principal international, le second se trouve au centre mais ne peut accueillir que des petits porteurs. 

J’attends donc sagement et confortablement mon vol suivant. Je me répète mais BO vraiment agréable, il ne faut jamais se battre pour avoir un siège. 

J’en profite pour insérer la lettre que j’avais reçue de LH après ma plainte concernant les mésaventures de Miss Keos. 
Plusieurs choses m’énervent
1. J’aurais écrit cette lettre le 21 septembre alors que j’ai volé le 15 octobre… ils se sont trompés d’un mois. 
2. Ils m’invitent moi même à rappeler le service clientèle pour confirmer la réservation (depuis la Colombie c’est 3€ la minute) au lieu de le confirmer par eux même. 
3. Aucune explication. Bref. C’est classé sans suites direct.  

Révenons au principal. Il est temps d’embarquer ! Avec comme toujours respect des priorités. J’embarque dans les derniers a 10h50 pour un décollage 20 Minutes après. Au total ce sera 20 Minutes de retard au départ mais les horaires sont toujours larges donc no stress.  

Belle vue du tarmac vide. 

Et passerelle aveugle. 

Fuselage shot. Nous volons avec un 320 plus vieux que sur mes 2 vols précédents, 8 ans d’âge exclusivement chez AV.  

Instant Esteban 

Nous passons par la vraie J, le cuir semble légèrement vieilli. 

Je serai assis au milieu donc peu de photos extérieures.  

Le PAS est un peu plus léger que d’habitude. 

La fiche de sécu. Je n’aurai pas de magazine de bord, le réapprovisionnement n’a pas été fait.  

Mon voisin prendra énormément de place suite à sa jambe défectueuse. 

L’IFE,âgé, est toujours présent dans une cérésine moins moderne. Mais c’est évidemment un luxe pour 35 minutes de vol. 

Le siège sera confortable et rembourré, bien loin des planches à repasser allemandes. 
Il y a une prise, je connais la cachette maintenant ! 

Le têtières ne sont pas ajustables mais confortables. 

Le boarding touche à sa fin. 

Le PSU assez moderne malgré 8 ans. 

Comme toujours les consignes de sécurité seront sur écran et bilingues. C’est la seule fois où j’entendrai parler anglais. 

Le contenu est le même que les vols précédents mais la présentation est légèrement différente. Aucun écouteur distribué mais c’est normal pour un si petit vol. 

Par contre la geoloc… on se croirait sur un vieux COI de AF. 

Seule l’heure sera indiquée. Pas d’info de temps de vol. 

Et les deux villes à atteindre. 

Nous voilas en vol, pas de logo Avianca sur l’aile. 

L’instant boisson arrive, pour rappel c’est café, bouteille eau ou berlingot de jus. Je choisis le café au lait en poudre. Je n’ai toujours pas apporté mon gobelet personnel comme le PDG le conseille pour être ecolo.  

Nous arrivons vite à destination, tout le monde aura été servi. Débarquement en passerelle lumineuse. 

En passant je spotte cette magnifique ancienne livrée, le bleu était dominant à l’époque. 

L’aéroport est assez vieillot et j’arrive dans une toute petite salle de bagages. 

Une grande enseigne arrive sur le territoire également. 

Faut pas se tromper de vol. 

Et le plan de vol final avc quelques turbulences. 

Merci de la lecture et à bientôt à Cartagène pour la dernière liaison avec Avianca.