Bonjour à toutes et à tous !
Dernier opus de ce voyage, sans doute le moins passionnant, puisqu'il s'agit d'un simple vol de post-acheminement, de nuit, et au couloir. Mais ne faisons pas la fine bouche… Avant de commencer, un dernier récapitulatif du routing :
Tout commençât en mars, après avoir décidé d'éliminer à regret le MD80 AA de ma todo-list (élimination très probablement définitive vu qu'ils doivent disparaître d'ici la fin de l'année). Je décidai, pour me consoler, de regarder dès à présent mon périple pour attraper le 737-600 de la compagnie scandinave SAS. Et je décidai également d'arrêter d'utiliser le passé simple pour ce récit, parce que ça va bien deux minutes.
Bref, le but étant de prendre un 737-600, en juin (seule période avec des week-ends disponibles pour moi, je suis un homme très occupé, que voulez-vous), je me retrouve à chercher un peu toutes les lignes qu'opère SAS en Europe pour en trouver qui sont réalisées avec cet appareil. Je tombe notamment sur deux liaisons intéressantes prévues en 737-600, les vendredis soirs à partir de fin juin : Un Biarritz - Stockholm, et un Bologne - Stockholm. Ces deux vols ont l'avantage d'être atteignables depuis Lyon en ne me demandant qu'une demi-journée de RTT.
Je choisis finalement le vol de Biarritz du 21 juin, fort tenté par l'aspect insolite de cette liaison, d'autant plus que ça sera le premier vol de la saison : le taux de remplissage s'annonce donc particulièrement faible. Bref, tout ceci est fort génial, mais comme me le disait l'ami Akivi, SAS est coutumière du changement d'appareils sans crier gare. Et en effet, le surlendemain de ma réservation, le vol passe en 737-800… Heureusement, j'avais prévu le coup en réservant le samedi matin un vol Stockholm - Luleå, lui aussi prévu en 737-600 !
Pour le retour, je penche d'abord pour un Luleå - Stockholm avec Norwegian, histoire de découvrir cette compagnie avant sa faillite (oui, je suis médisant, mais son modèle économique me laisse circonspect). Mais j'opte plutôt pour le bien plus charmant train de nuit, qui met un peu moins de 14 heures pour rallier le chef-lieu du Norrbotten et la capitale suédoise, en première classe avec une cabine privative comprenant WC et douche, un confort sans doute bien supérieur à ce qu'aurait proposé la low-cost scandinave.
Pour revenir de Stockholm à Lyon, j'opte pour Air France, via CDG, histoire de découvrir la déchéance du service par rapport à la période marathonienne… Et pour aller à Biarritz, ce sera évidemment Hop!, puisque c'est la seule solution aux horaires que je recherche.
Le routing prévu ressemblera donc à ça :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 423/06/2019 - Air France AF1263 - Économique - Stockholm → Paris CDG en Airbus A320
- 523/06/2019 - Air France AF7648 - Économique - Paris CDG → Lyon en Airbus A321
Pour ce dernier vol, rien d'inédit, mis à part ma bêtise crasse : A l'enregistrement en ligne, je suis placé en 4D, et beaucoup d'autres sièges sont disponibles. Mais comme, à ce moment-là, je m'apprête à partir pour Luleå, je ne m'occupe pas de mon placement immédiatement.

Forcément, quand j'y repense le lendemain, la cabine est quasiment complète… Je suis donc condamné à rester en 4D. Pour un vol de soirée, ça n'est heureusement pas trop gênant, même si c'est regrettable, vu le choix de places que j'avais quand je me suis enregistré…
Dernier salon avant la fin du statut
Je vous avais laissé devant le FIDS, après avoir passé la PAF. Mon vol est prévu en porte F28, dans exactement cinq heures. L'accès au salon sera donc fortement apprécié…
Comme d'habitude, ce panneau me fait rêver, tant de destinations que je voudrais découvrir sur ces écrans !

La nouvelle signalétique pour les correspondances est toujours aussi flashy, mais au moins, c'est assez clair.

Pour rallier les jetées du 2F, il faut monter à l'étage supérieur. J'arrive au niveau du PIF, qui est un peu chargé…

On aperçoit quelques appareils Air France au travers de cette paroi…

Arrivée sous la cathédrale de verre de la jetée 2F-1, très lumineuse et aérée, mais aussi bondée…

Il y a en effet beaucoup de monde, et en plus, plusieurs vols sont en train d'embarquer.

Le passage pour accéder au fond de la jetée est totalement bloqué par les embarquements, je passe donc par un chemin détourné pour rallier le lounge, le couloir d'accès aux WC étant connecté à celui permettant d'accéder au salon…

L'accueil est très cordial, comme d'habitude. Le salon est assez rempli, je descends à l'étage inférieur pour trouver une place pour mon auguste séant.

Rapide tour de l'offre de ce salon, en commençant par un bout de l'offre de presse (avec une pub AMEX AF discrètement placée au milieu)

Malgré l'affluence assez importante, les buffets sont bien approvisionnés : Le choix en salé est bon, même s'il n'y a que du froid…

On trouve aussi du pain, des fruits et de quoi assaisonner les salades. Pas de pains placés à l'envers, tout va bien, nous ne sommes pas maudits.

De l'autre côté, le sucré et les fromages sont également bien approvisionnés.

La machine à boissons chaudes est fonctionnelle.

Le reste des boissons est assez classique, et les viennoiseries sont présentes en quantité suffisante, tout comme les snacks salés.

Mais surtout, il y a du vin, en bouteille ! Dieu soit loué ! On trouve aussi du blanc et de la vodka, mais je n'ai d'yeux que pour ce rouge (honnête sans être exceptionnel). Pas de champagne dans le seau, l'habituel passage pour en proposer à 18h sera effectué, mais aura très peu de succès, à la surprise de l'hôtesse : Je la verrai en proposer à une grosse dizaine de personnes, aucune n'acceptera !

Je ne suis toujours pas affamé (assoiffé, ça c'est autre chose), je me contente d'une frugale sélection de taboulé, fromages, gâteau et d'un pain. La bouteille d'eau est là pour me donner bonne conscience. Le tout est bon, comme toujours.
Les observateurs ayant la capacité de lire à l'envers pourront remarquer que l'agent qui m'a accueilli au salon m'a noté le numéro de porte sur mon BP imprimé à Arlanda.

Je prends également un peu de lecture, pour occuper ces heures d'attente. La visite des pompiers viendra également me divertir : Une vague odeur de brûlé emplira en effet fugacement le salon, les pompiers ne trouveront toutefois pas la source, et ne sembleront par ailleurs pas spécialement inquiets… Je n'aurais donc pas le plaisir de reporter une évacuation incendie du terminal, à mon grand regret.

Un peu avant l'heure d'embarquement, je quitte le salon, histoire de profiter un peu d'un bain de foule comme seul le T2-F sait en faire…

Mon appareil est déjà en porte. Il est arrivé un peu avant 20h, le temps de rotation est donc d'environ 1h30, ça devrait être suffisant pour partir à l'heure ! Il s'agit de l'Airbus A321 F-GTAZ, dernier A321 de la flotte Air France, en service depuis moins de huit ans. L'enchevêtrement de passerelles n'aide pas à le prendre en photo…

Il y a du monde en porte, mais de toute façon, vu la conception du terminal F, il y a du monde partout, toujours, tout le temps…

Et le positionnement des vols sur les différentes portes n'aide pas à fluidifier les choses : On a en porte F29 un vol à 21h05 (Toulouse), en porte F28 à 21h20 (Lyon) et en porte F27 à 21h15 (Zürich). Il serait bon de mieux répartir les embarquements simultanés sur les différentes portes et jetées pour éviter cette sur-saturation…
Notons, du coin de l'oeil, les nouvelles procédures d'embarquement à Paris : Par numéro de zone.

En tant que pax Elite+, je suis en zone 2…

Deux minutes avant l'heure prévue, l'embarquement est lancé, avec respect des priorités. Les passagers Skypriority sont invités à passer par le comptoir plutôt que par les portiques automatiques, chose que j'apprécie.
La passerelle est vitrée dans sa première partie…

… Et toujours vitrée, mais floutée, dans la deuxième partie, empêchant tout "instant nez".

L'accueil à bord est très enjoué et souriant ! Je m'installe à mon 4D, cette cabine Smart est toujours aussi agréable à mon goût, et le hublot est plutôt bien aligné. Bon, je ne profiterai pas de ce bon alignement depuis le couloir de toute façon…

Le pitch est bon, même avec mon magazine dans la pochette. Magazine que j'oublierai d'ailleurs bêtement en partant…

Avant de récupérer mes voisins, j'en profite pour jeter un œil dehors, où l'A318 pour Zürich s'apprête à partir…

Et je vérifie aussi l'état de la moquette. Il y a une miette, c'est tout à fait inacceptable !

Contrairement à mon vol précédent, le porte-gobelet n'a pas jauni.

Et les prises USB sont toujours fonctionnelles !

Le séparateur de classes est placé derrière le rang 2, et il comportent le picto "Interdit de fumer", alors que le plafonnier de l'appareil est passé à la modernité, avec ce logo "Appareils électroniques interdits".

L'embarquement est très lent, malgré les efforts de ce PNC qui aide à caser les bagages cabine dans les racks, trimballant des valises d'un bout à l'autre de la cabine au petit trot…

L'embarquement est terminé à 21h15, je peux donc boucler ma ceinture, qui est siglée, puisque mes voisins se sont installés. Le vol est complet ou presque, la place au couloir aura le mérite d'améliorer mon confort…
Le cockpit prend rapidement la parole, pour nous annoncer un vol de 45 minutes, une durée habituelle pour du Roissy Lyon.

On repousse à 21h24, avec quelques minutes de retard donc. Les démonstrations de sécurité sont réalisées, visiblement la partie audio est réalisée par une hôtesse nouvellement formée, la diction n'est pas aussi assurée que d'habitude (sans que ce soit incompréhensible toutefois).
Voici donc la notice de sécurité de cet A321. Les dessins pour l'équipement électronique perdu sont un petit peu hors-sujet, le jour où Air France mettra des sièges J dans ses appareils moyen-courrier n'est pas encore arrivé…

Le verso, sur lequel je n'ai pas de remarques inutiles à faire…

Après un roulage de quelques minutes, il nous faut patienter un peu pour accéder à la piste… On s'élance finalement à 21h42. En l'absence d'IFE naturel, et de divertissement en cabine, je me rabats sur le magazine de bord. Notre appareil du jour…

… Et la route du jour. Notons sur la carte du réseau domestique l'absence des liaisons "Régions" <> Corse. Oubli ou omission volontaire ? En tout cas, c'est étrange, puisque l'aéroport d'Angers n'est relié qu'à Bastia, il apparait donc sur la carte, mais sans aucune ligne qui le dessert…

Bref ! Le service approche, je me rafraichis donc un peu les mains avant d'entamer le festin…

Je prends mon menu habituel : Chocolat chaud et sucré, des galettes bretonnes. Bien que le vol soit court et l'appareil complet, le service est réalisé tranquillement et avec le sourire, sans presser les passagers. C'est très appréciable.

Je sirote tranquillement ma boisson en continuant ma lecture… La descente est annoncée à 22h07, elle semble assez rapide puisqu'on la ressent bien physiquement.

Le marathonage est aisé, je ne vais pas jusqu'à casser la petite cuillère toutefois…

Le niveau 100 est annoncé à 22h17, la cabine sera prête pour l'atterrissage juste après.

On touche le sol de LYS à 22h24, tandis qu'Emirates décolle à côté de nous…
On arrive en porte à 22h30, et trois minutes plus tard, me voilà dans la passerelle ! Nous ne sommes pas parqués à la porte habituelle (celle du bout du terminal), ça me chamboule toutes mes habitudes !

Il faut prendre ces escaliers pour atteindre les arrivées… Un passager un peu perdu attendra une bonne dizaine de secondes devant une porte clairement marquée "Issue de secours", qui mène dans la zone des départs airside. Heureusement qu'il n'a pas poussé la barre, pas envie de vivre une alarme anti-intrusion…

Je n'ai pas de bagages à attendre, et rien à déclarer…

… Je peux donc quitter serein la zone airside, suivant ce père et son fils qui se dirigent vers Rhônexpress.

Starbucks est vide et fermé, je coupe donc par là pour gagner au moins deux secondes de trajet.

Il ne faut pas espérer faire des emplettes à l'arrivée le soir à LYS !

L'aéroport manque aussi de personnel, je ne verrai personne de tout mon cheminement… Mieux vaut ne pas avoir besoin d'aide le soir.

Les connaisseurs de la plateforme l'auront peut-être constaté : Je ne me dirige ni vers Rhônexpress, ni vers les parkings. Il est trop tard pour avoir un train pour mon domicile, et je travaille le lendemain… J'ai donc préféré dormir directement à l'aéroport, plus précisément au NH Hôtel de LYS (une chaine d'hôtel espagnole qui ne m'a jamais déçu, malheureusement très peu présente en France, seulement à LYS, TLS, Marseille et Nice…).
L'accès est facile, il suffit de traverser la route devant le terminal 1, Hall A. J'y suis 9 minutes après notre arrivée en porte.

La procédure d'enregistrement est curieusement très lente, et il y a du monde, c'est donc une dizaine de minutes plus tard que j'approche de ma chambre. Bon point pour NH Hôtel : Il est possible de choisir sa chambre à l'avance sur plan, en s'enregistrant en ligne (enregistrement en ligne qui simplifie grandement le check-in à l'hôtel).

J'ai donc logiquement choisi une chambre en étage élevé, et bien sûr face aux pistes ! On aperçoit (difficilement) la dérive du 737-800 KLM qui est arrivé peu après mon vol.

La chambre est confortable et assez vaste…

Et la salle de bains est bien équipée également. Un bon rapport qualité/prix, pour cette nuit à 125€…

Quelques minutes plus tard, c'est au tour de ce CRJ1000 Air Nostrum d'arriver, en provenance de Madrid.

Après une bonne nuit de sommeil, la vue sur l'aéroport est tout aussi sympathique… Un appareil Easyjet s'en va pour une destination inconnue.

Je suis tout aussi fan que Chevelan de la gare TGV…

Comme souvent le lundi matin, c'est plutôt calme ici.

Et comme tout aussi souvent, je loupe à deux minutes près le Rhônexpress (j'entendrais son "gong" de départ en traversant la gare TGV)…

La rame suivante arrive rapidement, pour me permettre d'atteindre mon bureau un peu avant 9h30 !

Et je ne me lancerai pas dans un "travail-report", c'est donc là que je m'arrête, avec la trace radar du vol !

Merci d'avoir suivi cette série scandinave, on se retrouve très bientôt pour des routings datant du premier trimestre, dont deux spécifiquement avgeeks (et bien trop cher pour l'un d'eux !) !
A bientôt , n'hésitez pas à commenter !
Bonjour Robin et merci pour ce récit,
Sacré temps de connexion à CDG... et beaucoup de monde dans les couloirs de l'aérogare!
L'offre est immuable aux salons du 2F, au moins, les buffets sont correctement approvisionnés.
Le sucré est généralement pas mal chez AF, ça ne semble pas déroger à la règle aujourd’hui.
C'est nouveau la Grey Goose chez AF? En fait ce n'est pas nouveau, mais elle semble en rotation avec la "vertical"
Le salon fait le job, et l'intervention des pompiers devrait participer à la note divertissement :)
Encore une fois, un joyeux boxon en porte avec cette organisation toute particulière du terminal 2F... en même temps, ça en fait du monde un 321!
Une fois à bord, un peu plus de boxon avec la politique bagage, et un service complet, ce qui est positif.
Un tour dans un hôtel aéroportuaire, un bon moyen de finir agréablement son weekend et son routing :)
Merci encore et à très bientôt.
Merci pour ton commentaire Mathieu :)
C'était soit 5 heures de correspondance, soit 40 minutes. Les 40 minutes étaient jouables, mais à un tarif bien plus élevé (environ 200€ contre 135 en faisant la correspondance longue). Quand on a l'accès au salon, l'attente n'est pas si douloureuse que ça !
Ma plus grande hantise au 2F, c'est l'absence de dessert au chocolat, heureusement que l'approvisionnement était bien suivi...
N'étant pas très réceptif aux saveurs de la vodka, je ne saurais dire les nouveautés dans ce domaine !
J'aurais mis un 10/10 si on avait eu une évacuation incendie, et 11/10 si celle-ci avait été dirigée sur le tarmac ! ^^
Environ 200 personnes à faire la queue dans un espace aussi réduit, ça donne forcément un beau capharnaüm (à moins d'avoir l'organisation et les bonnes manières des Japonais).
Je pense que le PNC était un expert à Tétris vu sa capacité à caser les bagages cabine à chaque essai...
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR.
La nouvelle signalétique pour les correspondances est toujours aussi flashy => en effet, nous en avons discuté avec Stephan dimanche, le jaune est moche mais une autre couleur serait moins voyante, ce qui est le but.
Pas de pains placés à l'envers => je ne suis pas la seule à faire attention à cela !
Je n'aurais donc pas le plaisir de reporter une évacuation incendie du terminal, à mon grand regret. => Tant mieux
Sinon c’est un vol classique avec un traditionnel chocolat chaud.
A bientôt
Merci pour ton commentaire Valérie !
Je pense qu'il est possible de faire une signalétique claire et jolie, mais il est vrai que ça demande un peu plus d'étude sur le terrain... Au moins, le jaune flashy ça marche et ça coûte pas cher en réflexion préalable...
Je fais principalement attention à ça grâce à Marathon !
Ca aurait au moins été une exclu sur FR, une petite évacuation...
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR,
Ou va t'on avec les passagers qui osent refuser les petites bulles !!
Je trouve que le 2F montre encore une fois clairement ses limites avec ces saturations en cas d'embarquement simultané en portes voisines!!
Bon weekend à toi et à bientôt!
Merci pour le commentaire Benoit !
Je laisse volontiers ma part de champagne aux plus assoiffés, je reste sur mon petit vin rouge...
Le terminal n'est clairement pas adapté... Je me demande comment c'était du temps où des vols LC partaient de la deuxième jetée !
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR :)
Le salon du 2F est connu pour son offre standardisée et pas très évoluée. Néanmoins, on peut toujours y boire des breuvages sympathiques, encore faut-il que les passagers ne les refusent pas ^^
Quelle plaie cette architecture du 2F... Les embarquements simultanés engendrent de sacrés bouchons dans les allées.
Je n'ai jamais dormi dans un NH préférant Accor si possible, mais ça me semble tout à fait correct !
A bientôt !
Merci pour ton com' Jules !
L'offre standardisée a au moins le mérite de ne pas être trop mauvaise... Je n'aurais rien contre un passage avec des verres de Côte-Rôtie ou de Chateauneuf du Pape !
Le pire dans cette architecture du 2F, c'est qu'à moins de défigurer le terminal, il n'y a pas vraiment de possibilité d'agrandissement.
J'ai tendance à préférer Accor aussi, mais les NH sont souvent de bonnes qualités (en général ce sont des 4*), et les tarifs sont assez intéressants... et le programme fidélité bien plus simple : On cumule des points, que l'on peut utiliser pour payer, au ratio de 1 point = 1 €uro (et ce, dès le premier point cumulé) !
A bientôt !
Merci pour le partage Robin !
Un vol qui fait le job mais qui te rappelle de ne jamais passer à côté du check in online :)
A bientôt !
Merci pour ton commentaier Stephan !
Je n'étais définitivement pas bien réveillé quand j'ai pris la décision de choisir mon siège plus tard... Le décalage horaire avec la Suède sans doute ^^
A bientôt !
Merci Robin pour cette navette qui va faire exploser ton compteur de vues :-D
Et pas de smoothies, damned ! Eux qui m'ont quasiment sauvé la vie en remettant du piment dans l'offre de ma cantine qui sans ce Deus ex machina détox eût été bien lassante.
Je confirme que le rang 4 en A321 n'est pas mal du tout, en revanche c'est assez difficile de faire de jolies photos de l'aile. On peut tout au plus réussir à avoir un bout de winglet et un demi CFM56. C'est le seul défaut que je lui trouve, parce que sinon le hublot est parfait pour faire des shootings frénétiques du paysage !
Réclamation directe et indemnisation de 10 000 miles. Non mais oh !
Oui, je me suis parfois fait cette réflexion... en revanche le pictogramme "sieste interdite" me fait toujours autant rire !
Au final une bonne navette comme on les aime, avoir les cabines Smart sur ces durées en augmente considérablement le confort...
Quant à l'hôtel, il a l'air très sympathique et fort pratique pour ce genre de situation.
À bientôt pour de nouvelles aventures !
Merci pour ton commentaire !
Ce vol banal est en passe de devenir mon deuxième FR le plus lu... Comme me le disait Vinzbg sur Twitter, le luxe est visiblement passé de mode, ce qui fait rêver les gens, c'est le sucré-salé AF !
Diantre, j'ai loupé les smoothies ! J'y aurais goûté avec grand plaisir pourtant... Enfin, moins de plaisir que le vin, mais tout de même !
Le choix est dur : Photos de paysage, ou photos de CFM56 ? Cruel dilemme !
Au moins tout ça ! Déjà que j'ai à peine récolté 2.000 Miles pour un salon fermé à LYS... :P
Pour en arriver à dormir comme ça sur un vol Paris-Lyon, je pense qu'il faut avoir ingurgité plusieurs bouteilles de Grey Goose au salon !
J'ai tellement l'habitude de voler sur ces cabines Smart que j'en ai oublié à quoi ressemble le confort des cabines domestiques... Il va falloir que je remédie à ça un de ces jours.
A très bientôt !
Salut Robin
Au moins tu auras pris un bon repas au salon avant d'embarquer !
A bord R.A.S mis à part le chocolat chaud, j'espère qu'il était bon, le dernier que j'ai pris à bord d'un avion était franchement pas à mon goût !
Le NH Hoteles est évidemment bien situé à LYS et la vue sur les pistes est formidable.
Merci pour cette fin, à bientôt.
Salut Hervé !
J'ai essayé de bien profiter du salon, mon dernier avant presque un an à priori !
Les chocolats d'AF sont bons, j'y rajoute toujours le creamer toutefois... C'est donc un peu "lourd", mais bon !
Je serai bien resté toute la matinée à regarder le ballet des avions depuis ma chambre...
A bientôt, merci pour ton commentaire !
Merci Robin pour le FR.
« en bouteille » tu ne t’attendais pas à une cubie tout de même ?
« aucune n'acceptera » certains ne font aucun effort !
« la carte du réseau domestique » étrange que SXB soit plus relié aux régions française que ne l’est MLH alors que pour l’international, c’est résolument l’inverse ! AF une cherche pas à contrer DS à l’EAP.
Ton compteur de vue à plus de 2000 est renversant. Parfois je constate des étrangetés : un LX BEG-ZRH twitté par FR.com péniblement à plus de 400 vues puis le U2 EAP-FCO suivant à 2000 vues… soit 3 fois plus que la normale…
Merci pour ton com' Quentin !
Après l'expérimentation du vin servi à la "fontaine" au salon d'ARN, je goûtais au plaisir d'un vrai breuvage, qui plus est servi de manière civilisée, et non pas comme ces sauvages de vikings !
Même un couple d'américains a refusé le champagne, l'hôtesse était toute désemparée... Je suppose qu'elle a du se boire tous les godets pour se remettre.
Je n'avais pas fait attention à cette curiosité en effet... MLH fait un peu abandonné, AF baisse facilement les bras face à l'agent orange.
La photo de couverture doit jouer... De la bouffe et du vin sur ce récit, 2000 vues. Une porte de salon pour le suivant, 300 vues. Ton FCO-EAP doit donner envie avec le gin tonic !