Avis du vol entre Geneva et Frankfurt en classe Economique avec Air Dolomiti

Bonjour à toutes et à tous,

Nouveau routing avec cette fois ci l'Italie comme destination, et Florence en particulier.

Nous avions plusieurs choix de destinations, dont Berlin, Budapest et Edimbourg. Mon mari étant particulièrement frileux n'a pas hésité très longtemps pour finalement choisir la capitale Toscane. Le prix des billets n'étant pas synonyme de ruine, la réservation s'effectue un bon mois à l'avance.

Nous logerons à l'hôtel Mercure Centre, situé à 5 minutes de marche de l'arrêt de tram desservant l'aéroport de Peretola. Notre logement est stratégiquement placé en bordure de la vieille ville et de ses nombreux sites touristiques, dont le musée des Offices, ( réservé en même temps que l'achat des billets d'avion. )

Pour une fois l'organisation du séjour est géré par ma douce moitié !

Je cesse mes infidélités au Groupe LH, qui vient d'ailleurs de m'envoyer une nouvelle carte SEN, valable jusqu'en 2028, avec en + 4 vouchers de surclassement. A l'issue de la validité du précieux sésame, je recevrais une autre carte, et ainsi de suite… Pour rappel j'ai acquis le privilège de devenir Senator à vie, en octobre 2023…

Le dernier segment entre ZRH et GVA ne sera pas reporté.

Avanti pour le premier opus de la série italienne.

Arrivée à GVA

Comme je considère GVA être ma deuxième maison, le Parking P26 est le second garage de la grande soeur de Bombinette.

Cheminement traditionnel pour rejoindre l'aérogare, depuis le P26 il faut emprunter les couloirs de la gare CFF.

Bifurquer ensuite à droite, et pénétrer dans le hall des arrivées, la quasi totalité des gens se rendant à l'aéroport empruntent l'escalator, sortent de la gare, longent le Terminal pour entrer dans le hall des départs.

L'escalier mécanique menant à l'étage débouche devant les comptoirs du Groupe LH, une aubaine pour nous aujourd'hui.

Un coup d'oeil sur le FIDS afin de vérifier l'état de notre vol vers FRA avec EN, tout baigne…

Nous récupérons nos BP dans la file du comptoir, ( vide ), réservé à la First, L'agente est particulièrement aimable, ainsi que sa voisine. Notre dévouée préposée devra s'enquérir de l'avis de son superviseur, pour laisser passer mon conjoint par le fast track. Tout est en ordre quelques minutes plus tard. Nous quittons les charmantes dames, qui nous souhaitent un excellent séjour en Toscane.

Mon mari se trimballe toujours avec une gourde pleine de thé, il doit jeté le liquide dans un container prévu à cet effet, situé à quelques mètres en amont du PIF.

Ensuite direction la zone prioritaire, quasiment pas d'attente dans cette partie du terminal, ou l'agente de sécurité est aussi très sympa, idem concernant ses collègues placés derrière le portique de l'accès airside.

GVA airside

Avant de monter au salons nous allons saluer un ami de mon mari travaillant au duty free, l'ami en question est très occupé, nous ne restons que quelques minutes dans ce lieu voué à la consommation.

Le lounge SEN est rejoint dans la foulée.

Swiss Senator Lounge

Nous recevons ici aussi un très bon accueil de la part de la gardienne du temple. Le salon n'est pas trop fréquenté en ce vendredi après midi.

Ce lieu est archi reporté sur Flight Report, je ne m'attarde pas sur la présentation du buffet et de son offre, surtout que nous n'avons qu'à peine 20 minutes pour nous sustenter, avant de prendre la direction de la porte.

Mon choix conséquent sans réapprovisionnement intermédiaire.

L'embarquement

Nous quittons le lounge environ cinq minutes avant l'embarquement théorique, afin de rejoindre la porte A09 située dans le bâtiment principal. L'appel a déjà été lancé, il ne nous reste plus qu'à profiter de la file prioritaire désertée.

La passerelle est encombrée, preuve que l'embarquement a débuté avec un peu d'avance.

Le fuselage shoot et l'instant porte ne sont pas oubliés.

La vie à bord

L'accueil par la Cheffe de Cabine est très cordial, cinq rangs de J aujourd'hui pour ce court vol vers Francfort.

La cabine avant sera occupée par 5 pax, dont 4 assis côté gauche.

Le pas(parazzi), pourrait être pire, mais mieux aussi !

La littérature spécifique est rangée dans l'aumônière, le WiFi est disponible à bord.

L'ensemble de la documentation.

Le sac vomitoire.

La fiche sécurité.

La carte payante…

… Et son contenu.

La démarcation de la Business Class avec la bétaillère est de guingois, comme Félicie : Les rideaux aussi !

Les portes sont fermés, on remarque que la Classe Affaires n'est remplie qu'au quart de sa capacité.

PSU spécifique aux Embraer.

Le Commandant de Bord s'exprime en Allemand, Anglais et Français, avec un fort accent italien, mama mia ! Il prévoit un départ à l'heure avec 50' de vol jusqu'à FRA, et une météo favorable à l'arrivée. Les démonstrations de sécurités sont réalisées à l'ancienne.

Au loin, des empennages LX, AZ et IB,  2 alliances majeures sont représentées, ç'aurait pu faire 3 si ITA n'avait pas rejoint Star Alliance !

Le vol

Nous repoussons pile à l'horaire prévu.

Le taxi est effectué à une allure soutenue, nous décollerons vers l'ouest. 

Nous sommes numéro 2 derrière un A320 d'Easy Jet et l'atterrissage d'un A220 d'Air France, le moment est venu d'entrer sur la piste.

C'est parti !

Nous prenons un cap Nord Est directement après l'envol.

On distingue le lac Léman, GVA, Genève mais aussi Meyrin située au dessus de Méfès.

Puis nous suivons pendant quelques minutes une route vers l'Est, avec toujours au premier plan l'aéroport de Cointrin, les lumières de la ville de Calvin et de son lac.

" Sur les bords de la Riviera ou murmure une brise embaumée…" Avec un coucou aux Georgette Lemaire & Plana, sans oublier Betty Mars. 

A table !

Le trolleys est de sortie dix minutes après le décollage, une bouteille d'eau ainsi qu'un biscuit emballé sont distribués, le BoB n'aura pas un large succès.

Heureusement que nous avons mangé au salon…

Approche et atterrissage

La descente commence 20 minutes avant l'atterrissage, le circuit d'approche est relativement tourmenté. 

Un aéronef se place à côté de notre avion.

Le stade de l'Entracht Frankfurt.

On pourrait presque deviner le modèle et la compagnie de notre voisin.

Nous touchons le béton sans brutalité, la sortie de la piste se fait en bout de piste et le roulage prend une petite dizaine de minutes. Aucun retard n'est à signaler, ce qui est de bonne augure pour notre courte correspondance, ( 1h05 ).

Nous stoppons sur un parking éloigné des terminaux, synonyme de transfert via paxbus.

Ce qui permet l'observation rapide de la bête.

Nous montons dans le premier bus articulé, il faudra une fois de plus une bonne dizaine de minutes pour relier le point de stationnement au lieu de débarquement.

La suite dans le l'épisode suivant…

Merci de m'avoir lu, à très vite pour la narration du prochain segment.