Bonjour à tous, bonjour à toutes :)
On se retrouve aujourd'hui pour la fin de ma journée avgeek en Italie, avec un petit vol pour rentrer de Paris à Lyon. La création du voyage, comme d'hab, est dans dans le spoiler ci-dessous :
Post-pandémie, le hub lyonnais de Hop! est drastiquement réduit, et de la petite dizaine de lignes européennes que nous avions, il ne reste aujourd'hui que la ligne Lyon - Bologne, à une fréquence bien moindre qu'avant (3 vols par semaine si je ne m'abuse).
Cette décision regrettable fait le bonheur des compagnies low-cost, mais quelques lignes ne sont plus effectuées par aucune compagnie, comme Lyon - Nuremberg ou Lyon - Milan…
C'est là qu'arrive TwinJet, qui, elle, arrive à voir le potentiel dans les courtes liaisons européennes sans passer par Paris. En juillet, la compagnie annonce qu'elle reprend la ligne, avec deux vols par jour en semaine, et aucun le week-end (comme c'est l'habitude chez T7). La clientèle visée est plus spécifique qu'Air France, c'est clairement orienté pour une clientèle d'affaires, avec des horaires permettant un aller-retour dans la journée, et un tarif en conséquence de 360€ l'aller simple.
Heureusement, quelques places sur chaque vols sont disponibles à 70€, à condition de réserver bien à l'avance.
Après quelques jours d'hésitation, je craque et réserve une place (à 70€, pas 360) sur le vol du 12 septembre pour Milan, c'est à dire le vol inaugural de la ligne !
Il faut dire que cette ligne me tenait particulièrement à cœur, je l'ai empruntée à de multiples reprises dans l'autre sens, quand j'allais voir Madame Kethu quand elle vivait au fin fond de l'Estonie… La voir reprise me fait donc grandement plaisir.
Reste le sujet du retour : La solution de simplicité serait le train Trenitalia Milan - Lyon, lancé depuis le début de l'année, et qui propose des tarifs très compétitifs et un temps de trajet raisonnable de 4h30 environ, avec un très bon confort.
Mais quitte à faire un vol "inutile" (pour le commun des mortels, j'entends), autant continuer dans cette lancée !
En début d'année, j'avais planifié de faire un Gênes - Paris CDG avec Volotea, mais suite à des annulations et modifications en cascade, c'était tombé à l'eau. C'est l'occasion de remettre ça sur le tapis, puisqu'il y a un vol en fin d'après-midi le 12 septembre, et qu'il ne me coûtera quasiment rien, ayant j'ai une trentaine d'euros en crédits Volotea à utiliser.
Le train entre Milan et Gênes coûte environ 20€, pour 1h30 de temps de trajet en train Intercity, pas un gros problème pour le faire rentrer dans le budget et dans le timing.
Et pour finir, plus qu'à rajouter un vol CDG-LYS sur Air France, acheté au tarif "Carte Week-end" multidestination avec un Lyon - Nantes (déjà reporté), pour environ 50€ le segment. Ça ne me revient au final pas beaucoup plus cher que le train Milan - Lyon, seul mon bilan carbone et mon efficacité à rentrer rapidement seront impactés :)
Infos, routing, vous connaissez la chanson quoi
Un petit récapitulatif du routing qui touche à sa fin :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3AF7648 - Économique - Paris CDG → Lyon - Airbus A321
Sur le premier vol, j'avais critiqué l'interface web de Twin Jet. Si celle d'Air France est mieux conçue, l'algorithme déterminant le prix des surclassements de dernière minute sur les vols domestiques est encore plus pété :)
J'oublie donc la proposition à 199€ et part sur le siège 06F, premier de la cabine Y, avec un siège pour le moment neutralisé en 06E. Espérons que ça continue ainsi !

Je vais avoir cette fois bien du mal à vous vendre de l'inédit sur ce vol, puisque la relation CDG > LYS a été reportée 48 fois en Eco sur ce site, dont cinq fois par votre serviteur.
Rien de bien nouveau donc. Comme je sais qu'il y a des amateurs de statistiques foireuses par ici, je pourrais à la limite vous dire qu'il s'agit là du vol qui me fera dépasser les 140.000 miles parcourus en avion (soit un peu plus de 225.000km) !
Une autre information, avant ce vol, mon compteur d'XP Flying Blue est à 298 XP… Le statut Platinum me tend donc les bras !
Et PIF, au salon !
Nous nous étions quittés au terminal 2F de Roissy, devant le PIF n°1, où il n'y a pas foule, nous sommes dans une heure un peu creuse entre la vague des départ de 18h et celle de 20h30 (il est 19h).

Le passage du contrôle est rapide, avec du personnel sympathique et souriant. A la sortie, un panneau judicieusement placé indique la direction du salon.

Bon, je n'ai personnellement pas besoin de panneau pour le trouver !

Le salon est assez rempli, et continuera de se remplir jusqu'au début de la dernière vague de départs de la soirée. Comme le dit un des hôtes du salon à une hôtesse en formation "Jusqu'à 20h ça va continuer à arriver tu vas voir".

Direction l'étage donc, tout au bout, près de la baie vitrée pour admirer le ballets des codes-barres Air France, comme à mon habitude.

Allons faire un petit tour des buffets ! Tout d'abord, la traditionnelle offre d'alcools forts…

Côté viticole, du champagne et deux blancs différents, dont un Pouilly Fussé…

Du côté des rouges, du Minervois et du Médoc. Ma préférence va sur le Médoc, mais les deux sont très valables.

Les buffets de nourriture sont un peu vides quand j'arrive, notamment pour le salé (le sucré derrière étant correctement approvisionné).

L'offre reste toujours très classique ici.

Fort heureusement, alors que je prends mes photos, les hôtesses arrivent avec les cocottes pour l'offre du dîner ! On a donc la daube de bœuf (et sur le côté, des figues et des abricots secs qui vont très bien avec)…

Du boulgour et quelques légumes…

Une cocotte de crevettes et courgettes à la crème…

Et une cocotte végétarienne, courgette carottes pommes de terre à la crème (Air France cuisine comme moi, tout à la crème ^^ ). A noter sur la droite, des madeleines salées que j'ai oublié de photographier correctement.

Un point sympathique, les hôtesses qui mettent en place les plats les décrivent aux passagers qui le demandent, elles conseillent même quelles associations marchent bien (ici avec une poêlée végétarienne) !

Bref, voilà ma petite sélection, boulgour et bœuf, quelques figues, et en froid, poulet et fromage, le tout accompagné d'un verre de Minervois (suivi de Médoc peu après), et d'une mousse au chocolat en dessert.
Le tout est bon. Oui, c'est classique, l'offre évolue peu, mais je trouve que c'est de qualité, en général bien réapprovisionné, et il n'y a pas de mauvaises surprises. Je n'en attends pas plus d'un salon personnellement.

Les derniers vols de la journée partent petit à petit, l'écran se vide… Avec un petit bug, le 2e écran ne supporte visiblement pas de rester vide et affiche donc une 2e fois le dernier vol, celui pour Bologne.

Dehors, la nuit est tombée, les baies vitrées permettent d'espionner les loungers de l'étage inférieur !

Logiquement, le salon se vide bien, ça devient très paisible et calme…

Il est malheureusement l'heure de partir, je quitte ce salon que j'apprécie définitivement beaucoup, surtout quand il est calme.

Vers l'A321 et au-delà !
Dans les couloirs, les commerces sont fermés, et les passagers se font désormais rares.

La cathédrale du 2F-1…

Ici aussi, les commerces ont déjà fermé, il ne reste qu'une poignée de vols qui doivent embarquer d'ici peu.

En porte F28, il y a du monde qui attend l'embarquement, et personne ne fait encore la queue, c'est fou !

A 21h18, avec quelques minutes d'avance donc, un pré-embarquement est annoncé (avec respect des priorités). C'est finalement un vrai embarquement, nous n'aurons pas à patienter dans la passerelle.

A côté de nous, un A220 se prépare à partir pour Berlin.
Et derrière moi, deux personnes discutent aérien, dont un qui raconte que XL Airways ne dispose que d'A321 inconfortables pour ses vols long-courriers. J'ai été tenté de corriger ce brave homme, puis non, j'ai finalement préféré simplement me facepalm. Pour les non-connaisseurs, XL Airways :
1/ A fait faillite depuis 3 ans
2/ Possédait des A330 uniquement
De plus, je ne puis que fortement déconseiller de tenter de faire un Paris - Los Angeles non stop comme en proposait cette compagnie en A321, fusse-t-il Neo XLR, au risque de voir les Montagnes Rocheuses d'un peu trop près.

Bref, voici l'instant porte d'un A321 (Air France, pas XL Airways…).

L'appareil du jour, dénommé Rouen, et immatriculé F-GMZE. Pas un nouveau venu dans mon logbook, j'ai déjà volé à son bord en 2015, entre Nice et Orly, et plus récemment en mai 2022 entre Lyon et Paris. L'appareil est parmi les plus vieux de la flotte Air France, il a commencé sa carrière en 1995 chez Air Inter avant de passer chez Air France en 1997.
L'appareil semble bien apprécier la capitale des Gaules, puisque sa rotation précédente était déjà pour LYS !

L'accueil à bord est souriant, je prends la direction de mon 06F ! Les PNC à l'arrière de la cabine sont en place pour accueillir les passagers dans cette cabine domestique.
Le coffre à bagages au-dessus de la première issue n'est pas utilisable.

Devant, l'embarquement avance tranquillement. La cabine Business a bien été réduite depuis l'OLCI, avec seulement deux rangées. Les coffres y sont fermés, pour garder la place disponible pour les passagers de J.

Le tarmac est plutôt vide en cette heure tardive…

Du coup, retournons à l'intérieur, avec l'examen de la cabine, et de son bon pitch, grâce aux sièges slim qui réduisent cependant le confort de l'assise…

Des prises USB sont disponibles et fonctionnelles…

Le plafonnier est lui plutôt classique. Les lumières ont été changées, elles sont bien blanches et non jaunâtres comme sur les appareils non rénovés.

Et la ceinture est bien évidemment siglée !

Vue générale depuis le siège. Les tissus des sièges Recaro est définitivement un peu trop extensible, ces plis un peu partout sur les côtés du siège me perturbent toujours.

On termine ce tour d'horizon avec la traditionnelle notice de sécurité…

Notice que je trouve toujours aussi tristoune.

A 21h43, l'embarquement est terminé, la cabine n'est remplie qu'aux deux-tiers, et je n'ai pas récolté de voisin en 06E !
Le commandant prend la parole pour nous annoncer avec entrain que nous attendons la fin du chargement des bagages avant de partir, et que nous aurons un court temps de vol, de seulement 45 minutes, avec une arrivée face au sud.
En effet, dehors, les derniers containers sont encore en train de rentrer dans la soute…

En attendant, donc, petit instant crevette, au bout de l'aile !

La porte est finalement fermée, le chef de cabine réalise une annonce avec le sourire, nous devons encore patienter quelques minutes… La cabine est bien calme, pas un bruit, c'est plutôt agréable !

On repousse finalement à 22h, devant un terminal quasiment désert.

Il reste juste un A321 qui partira avec un certain retard pour Bordeaux…

Vol de nuit, champagne de J
Les lumières ne sont pas vraiment éteintes en cabine, juste légèrement diminuées, les photos de l'extérieur sont donc quasiment impossibles.
Croyez-moi donc sur parole lorsque je vous dis qu'après quelques minutes de roulage, notre A321 s'aligne sur la 08L, alors qu'un A220 en provenance de Rome est en finale sur la 08R (la lueur blanche sur le cliché) ! Nous décollons à 22h10.

Quelques minutes après avoir quitté le sol, on vire vers le sud, avec les lumières de la région parisienne au fond, et celle du petit village de Charny sur la gauche.

On passe ensuite à l'est de Paris, vers Montfermeil et Clichy-sous-Bois.

L'IFE extérieur étant quasiment inexistant, jetons un oeil au Wifi, qui est bien fonctionnel sur ce vol ! Comme d'habitude, le pass "Messages" est gratuit, et les deux plans payants sont à 3€ et 10€.

Le suivi du vol est fonctionnel et plutôt bien fichu…

La géolocalisation aussi, on repère bien les virages en "S" au départ pour rejoindre le couloir aérien direction Lyon.

Enfin, un dernier détail que je n'avais jamais remarqué : Lorsqu'une annonce est réalisée en cabine, comme sur les IFE des appareils long-courrier, une pop-up prend le dessus pour mettre en pause le divertissement.

Une vingtaine de minutes après le décollage, le service arrive à notre niveau.
Étant donné qu'il s'agit du dernier vol de la journée, le steward en charge de la J, qui réalise aussi le service de l'avant de la cabine Y, propose aux premiers rangs de la cabine Eco du champagne jusqu'à épuisement des stocks (en l'occurrence, les deux bouteilles chargées à bord).

Une agréable attention que voilà. Santé, donc !

Les déchets sont facilement rangés, mon voisin trouvera lui une bonne utilité pour sa canette de Heineken !

Le vol est rapide, et 35 minutes après le décollage, notre descente est déjà bien entamée lorsque nous survolons Villefranche-sur-Saône, que certains experts en géographie pourront repérer à son grand péage !

On passe ensuite au-dessus des Dombes, nettement moins éclairées que la métropole lyonnaise à l'arrière-plan. Cette fois, la cabine est entièrement éteinte pour l'atterrissage, la visibilité est donc nettement meilleure qu'au décollage !

On passe au-dessus du long alignement de villes le long de l'ancienne nationale 84, menant à Lyon depuis Genève.

Un peu plus loin, le Stade des Lumières porte bien son (ancien) nom, il resplendit fort au centre de l'image !

De retour chez Saint-Exupéry
On se pose sur la 17R à 22h53, après un vol de 43 minutes.

Pendant le roulage, on passe derrière un A320 Volotea qui est arrivé avec une bonne heure de retard de Faro, et doit encore repartir sur Venise pour finir sa journée.
Et surtout, derrière lui, F-GRYL, le Beechcraft 1900D qui m'a emmené le matin même à Milan !

Dernier virage à côté d'un appareil EasyJet, trop flou pour que j'arrive à le reconnaître…

On est au bloc avec tout juste deux minutes d'avance ! Le personnel de cabine réalise une annonce demandant aux passagers assis aux issues de rester assis le temps de permettre aux PNC de désarmer les toboggans. Première fois que j'entends cette annonce !

La passerelle est rapidement mise en place et, après une sympathique annonce d'au revoir du commandant, on peut quitter l'appareil !

Entre deux volets des baies vitrées, dernier coup d'œil à F-GMZE… A la prochaine mon vieux !

Passage par la salle de livraison des bagages, sans arrêt pour moi. Des bornes Rhonexpress sont disposées pour permettre d'acheter ses billets avant même de repasser landside (coucou ADP et tes files d'attente en gare RER de CDG !).

Le terminal 1 est vraiment beau, je trouve, surtout la nuit, tout éclairé… (les restrictions énergétiques ne sont pas encore en place visiblement !).

La gare TGV est tout aussi charmante, même si dans un style bien différent !

Au cas où on penserait être en gare de CDG 2 TGV, nous voilà rassurés !

Comme le matin, Antoine de Saint-Exupéry pointe son doigt vers le soleil levant… Mais désormais, c'est la Lune qu'il montre au lion qui l'accompagne…

Titine m'a attendu bien sagement, elle clignote de joie quand je la rejoins !

Avant de terminer ce récit, la trace radar du vol, avec cette altitude de croisière plutôt basse de 23.000 pieds…

… Et pour une fois, je terminerai sur autre chose : Ce que m'ont apporté les deux XP gagnés avec ce vol, le passage au statut FB Platinum ! A moi les sièges en issue gratuits et pas grand chose d'autre !

Merci à tous pour votre lecture !
Et on se retrouve bientôt pour un de mes quinze-vingt vols en retard de report :)
Bonjour Kethu et merci pour ce vol qui, même s'il est traditionnel, reste toujours agréable à lire. Pour ce routing, avez vous réservé directement vos billets chez les 3 compagnies ? Car vous étiez en correspondance autonome ! (j'aurais été stressé à l'idée que l'un des mes vols ait du retard ou soit annulé ce qui aurait eu pour conséquence que je ne puisse être présent pour le vol suivant...). La salon du T2F à CDG semble effectivement à la hauteur, mais pas forcément de 60€ si l'on y a pas accès par statut ou par classe de voyage... 199€ pour un surclassement... CDG-PPT : oui !!!!!!!!!!!!! CDG-LYS : comment ça ???? SCANDALE ! XD Les prix pratiqués en cette matière chez AF sont délirants. AlexNantais a bénéficié d'un upgrade à 69€ entre CDG-NTE, moi il était à 109€ ! Je trouve également l'architecture du 2F très réussie. Concernant XL Airways, en effet, ce sont des gens qui ne savent pas trop de quoi ils parlent !!! Ça fait un petit moment qu'elle a fait faillite et ça a fait du bruit. A NTE, on avait perdu nos liaisons hivernales vers FDF et PUJ. Et puis je pense que du long courrier en A321 est viable chez TS mais pour une compagnie low-cost, je pense que les économies d'échelle ne sont pas assez importantes pour exploiter ce type d'appareil. Les sièges sont traditionnels, ceux d'une cabine domestique. On retrouvera l'A321 sur 3 liaisons au départ de LYS cet hiver. Ils harmonisent leurs horaires et opérations avec 3 départs journaliers du lundi au jeudi, 2 le vendredi sauf PUF qui 'a qu'une rotation, aucune le samedi (pourqoi ?? snif!) et 2 le dimanche, vers toutes les villes Françaises. Seule Paris dispose de 5 à 7 rotations par jour mais plus en A321 cet hiver. Il sera plus question d'A320, A319, A220 et ERJ190. (A321 : BOD, NTE, NCE, ERJ190: CFR, MRS, TLS, ERJ170 : BES, BIQ, LIL, , PUF, RNS, SXB). A noter que les CRK prévus sur TLS-LYS cet hiver ont bien disparu. Le dernier vol du CRK sera le lundi 31 octobre sur la dernière rotation entre AMS et MRS... Belles photos malgré la pénombre... L'aéroport de Lyon est toujours aussi esthétique ! J'ai vu que vous étiez passé sur la page de l'Aéroport de Nantes sur Wikipedia (j'imagine car j'ai vu Kethu dans l'historique :)) dont je suis l'auteur d'un certain nombre de rubriques... J'espère qu'elle vous aura plu. EN attendant un nouveau report de votre ou bien de la mienne ! (qui sait ;)), je vous souhaite une bonne journée ! A bientôt !
Hello, merci pour le commentaire !
Oui, réservation en direct chez chaque compagnie ! Après, il y avait une certaine marge entre chaque vol et toujours des solutions de repli au cas où ! (TGV de Milan à Lyon, dormir chez ma belle-sœur à Paris...). Et avec la règlementation européenne, les frais que j'aurais pu engager en cas de retard conséquent auraient été compensés par les 250€ du Règlement européen n° 261/2004.
En effet, 60€ pour le salon, c'est franchement cher ! 20€, 30 si on a beaucoup d'heures à attendre, mais pas vraiment plus... Idem pour les tarifs des surclassements oui, c'est parfois délirant, et parfois correct...
Le long-courrier en A321 semble se développer de plus en plus, à voir ce que ça va donner au final... En tout cas, je trouve cela moins attirant, le widebody permet tout de même de bouger un peu plus.
Les horaires vont être harmonisés en effet, on va retrouver ce qu'on avait avant le Covid sur la plupart des lignes (hormis les lignes qui ont disparu). La cible est assez clairement la clientèle d'affaires, d'où les vols en moins le vendredi matin et l'absence de vol le samedi. Dommage, je pense qu'il y aurait de quoi faire le samedi matin... Mais bon. Déjà on retrouve un peu plus de vols.
J'ai vu ça pour le CRK oui, je ne pourrais même pas être de la partie pour le dernier vol, malheureusement... Et Air France n'a visiblement aucune envie de faire quelque chose de spécial pour dire adieu aux Bombardier, et à l'héritage de Brit Air de manière générale.
Héhé, en effet, j'ai du faire une petite modif sur la page de l'aéroport de Nantes ! J'aime beaucoup les pages Wikipedia des aéroports, pour trouver des idées de destinations, et aussi pour trouver les infos pratiques sur l'aéroport... C'est top !
A bientôt :)