Avis du vol entre Bastia et Paris en classe Economique avec Air Corsica

Toutes les bonnes choses ont une fin, et au bout d'une belle semaine il est déjà l'heure de revenir à la maison. Pour rappel, le routing :

Comme à l'accoutumée, nous arrivons à l'aéroport après avoir déposé la voiture de location juste en face, nous n'avons que quelques pas à faire :

Après une dernière discussion avec un très bon ami corse, nous rejoignons le PIF, qui en cette période est fort peu fréquenté. Comme à l'aller, mon sac à dos passe sur le second tapris, à la différence près que cette fois-ci on m'appelle pendant l'inspection de son contenu ! Pourquoi ? Pour un couteau suisse qui était resté dans mon sac à dos ! "C'est interdit, monsieur". Ah ben oui je pense bien, je me demandais justement où était passé couteau suisse, j'ai maintenant ma réponse ^^

Mais ce qui me fait encore plus tilt que cette confiscation, c'est qu'il a passé le PIF à Orly malgré une fouille approfondie ! Voilà qui laisse à réfléchir…

Après ces palabres, je m'en vais jeter un coup d’œil à notre néo qui nous attend, il suffira de traverser le passage piéton comme des écoliers pour le rejoindre :

J'adore toujours le fait de pouvoir observer le cheminement des valises depuis la salle d'embarquement, et je ne suis pas le seul visiblement :

L'embarquement est lancé à l'heure :

Un peu d'attente une fois le comptoir passé (pour une raison inconnue), j'en profite pour immortaliser ce gabarit Air Corsica :

Les fauves sont ensuite lâchés, ce qui me permet de belles prises de vues :

Le néo est toujours aussi joli et sa livrée lui va à ravir :

Mais n'oublions pas son voisin A320, qui n'est d'autre que notre destrier de l'aller :

Je ramènerai bien cette dérive chez moi ^^

L'instant porte (sans léopard, cette fois-ci !) :

Je tombe donc enfin sur F-HXKJ, après 3 tours sur F-HXKB :

Fuselage shot arrière…

…puis avant :

Arrivée à l'intérieur avec la panier habituel de lingettes covid :

On voit bien les coffres à bagages du néo qui sont plus grands :

Arrivée à ma place, ce n'est pas le rang 1 mais le pas fera l'affaire pour la durée du vol :

Le siège est équipé d'un porte-revue (mais la littérature a disparue depuis le covid) :

Coup d’œil sur l'issue de secours, qui était non réservable cette fois-ci lors de l'enregistrement :

Nous repoussons avec une dizaine de minutes de retard, le CDB est assez bavard sur les conditions de vol, ce que j'apprécie :

Cela permet d'observer cet ATR qui s'était caché de l'autre côté :

La piste est proche, nous ne mettrons qu'un court instant à nous aligner :

Décollage :

Passage au dessus l'étang de Biguglia, lueurs de Bastia puis virage au dessus du Cap Corse qui aura les honneurs du bonus :

La vidéo :

Ma séquence 0001 ne m'aura permis qu'un rang 17 :

Rien à voir jusqu'à l'arrivée au dessus du continent, à hauteur de Nice :

Enfin si, la prestation frugale qui suivra une dizaine de minutes plus tard, avec cette fois-ci du salé, que je vais déguster, car comme Esteban l'a souligné sur mon FR aller, ceci devient une rareté :

Le verre fort réussi, que j'ai ramené dans ma besace :

Et de nouveau plus grand chose à voir, en dehors des premières lueurs de la région parisienne au niveau de Melun, puis Evry :

Nous entamerons notre dernier virage à hauteur de Tournan-en-Brie, l'arrivée est proche :

La piste n'est plus bien loin :

Et nous voici sur le plancher des vaches, pile à 20h :

En vidéo :

Mon spotting sera hélas gâché par de la buée au hublot, on passe donc sans transition à l'instant méga-Danette, heureusement une annonce de l'équipage pour débarquement rang par rang mettra un peu d'ordre dans cette cohue :

Après des salutations chaleureuses de l'équipage, sortie comme à l'habitude via jetbridge sponsorisé, au moins nous avons évité le PAXBus cette fois-ci :

Un coup d’œil sur le tarmac nous permet de voir notre frère jumeau, qui lui est arrivé avec un peu d'avance d'Ajaccio :

Pas mal de monde aux comptoirs d'enregistrement Vueling :

Et c'est après un cheminement vraiment tarabiscoté que nous arrivons aux guérites de la PAF, heureusement inutilisées de part notre provenance :

Nos bagages sont prévues dans quelques minutes :

Et, pour la première fois dans ma carrière de FRiste, elles arriverons côte à côte :

Notre route se termine ici, où nous mettrons un temps fou à nous retrouver avec notre conducteur du soir, les portes de sortie étant très mal indiquées, et la plupart étant fermées. Rejoindre le parking se fera dans la même galère :

Le tracé du vol :

Merci de votre lecture, et pour compenser la rareté des photos due au vol de nuit, je vous propose maintenant un bonus de cette belle semaine :)