Avis du vol entre Cuenca et Quito en classe Economique avec LATAM

Bonjour à tous,

Après deux jours à Cuenca, capitale de la fabrication du célèbre chapeau "Panama", perchée à 2580 m d'altitude, je reprends le chemin de l'aéroport pour un retour à Quito. Il n'était pas possible d'aller directement à ma prochaine étape depuis CUE… Lors de cette paire de jours passés ici, j'ai eu une météo changeante, soleil le premier jour pluie le second… Difficile de trouver le bon équilibre vestimentaire !

Ce récit est suivi d'un bonus consacré à la visite de la ville. 

Place au Flight Report. 

CUE landside

Je ne me petafine pas la ganache pour rejoindre l'aéroport depuis mon hôtel, 15 minutes de trajet suffit pour arriver à bon port, le tarif affiché au compteur indique 1,70 $ ! Bon prince je donne 2 $ au chauffeur… On remarque qu'une paroi est dressé entre l'avant et l'arrière de l'habitacle, et que le driver et moi même portons un masque. C'est dire si les contraintes sanitaires sont respectées dans ce pays.

L'aérogare porte encore le nom d'un Maréchal…

Un agent attend patiemment que je photographie l'entrée du bâtiment, avant de me prendre la température, on ne me demande aucun autre document.

Difficile de se perdre, la salle des départs n'est pas grande.

Des sièges confortables sont disponibles, un sur deux est condamné.

Les banques d'enregistrement sont à gauche, au fond les guichets d'une banque.

Ici personne ne me saute dessus pour pour retirer le BP via les bornes.

Je vais donc directement au comptoir, ou une charmante hôtesse enregistre mon bagage, elle m'informe que le vol est full en éco.

CUe airside

A gauche une agence LATAM, en face l'accès aux salles d'embarquement.

La sûreté est franchie rapidement, il faut dire qu'on ne se bouscule pas au portillon. Juste après le PIF en entrant dans le duty free, l'accès à un salon VIP, je me m'y aventure pas.

La boutique est élégante, évidement les Panama sont mis en valeur, les prix sont identiques à ce que l'on trouve en Europe, à gauche pancho Villa fait ses emplettes…

Les trois salles d'embarquement sont lumineuses, il est possible de se retaurer ou de boire un verre ici même.

Une boutique vendant des Donuts et une autre proposant des souvenirs et du chocolat local sont ouvertes, la très commerçante employée du shop "souvenirs & chocolat" me propose de goûter quelques morceaux de chocolat, c'est bon, mais le prix des tablettes est plus cher qu'en Suisse ! Je verrai cela à Quito la veille de mon départ vers l'Europe.

Passage aux toilettes, elles sont bien entretenues.

Après ce tour d'horizon, Je me pose sur un confortable siège. L'écran n'est pas très chargé, deux vols au menu de cet après midi.

Dehors c'est très calme avec uniquement un monomoteur au parking.

Profitons en pour montrer la carte d'embarquement, pas de panique ! je suis dans le groupe 5.

Le spectacle commence avec l'arrivée de notre oiseau.

L'escabeau est mis en place… Et les pax débarquent en rang d'oignons.

embarquement dans un ordre très précis

Après moins de 20 minutes de patience Il est l'heure d'embarquer, ( cette photo a été prise avant que l'avion arrive au parking )

Mais avant cela, un agent au sol explique à la cantonade les modalités d'embarquement, il se place à trois endroits différents et répète son laïus chaque fois.

Je dois dire qu'il n'a pas preché dans le désert puisque chacun respecte les consignes, une préposée donne le signal à chaque groupe, si ça ce n'est pas de l'organisation ! je rappelle que nous sommes au fin fond de l'Equateur…

Le groupe 5 est appelé, le moment est venu pour le Savoyard d'avancer vers l'avion.

Un deuxième escalier est placé près de la porte arrière afin d'optimiser l'accès à bord.

Fuselage shoot et instant porte.

la vie à bord

Le Chef de Cabine souhaite à tous la bienvenue, il est très typé andin. Les sièges sont toujours aussi confortables et rembourrés

La cabine avant qu'elle ne se remplisse.

Le pas(radis) est bon, mes genoux ne frottent pas l'aumonière.

L'unique document se trouvant dans la pochette, pas même un sac vomito. La fiche sécurité a bien vécue !

Tout comme à l'aller l'accoudoir est équipé d'un sélectionneur de bande son.

La musqiue est gratuite à bord, il suffit de flasher le QR code.

PSU dépouillée mais fonctionnelle.

ça faisait longtemps que je ne m'étais pas assis sur un siège B ! A droite une voisine aux chaussures roses…

A gauche un voisin au pantalon gris.

Juste avant la fermeture des portes… La cabine est complète.

Difficile de prendre des photo de l'extérieur d'ou je suis… Nous repoussons à l'heure, le CDB annonce en espagnol et en anglais 35 minutes de  vol, avec une arrivée sous la pluie à Quito, et une température de 20°, ( à 2800 m ! ), les consignes sont jouées à l'ancienne, après un court roulage nous décollons et prenons rapidement de l'altitude, le rideau est tiré dans la foulée.

Tout le vol se fera dans les nuages, le hublot est rayé dommage.

Le service bat son plein, les PNC font le maximum pour servir… Le verre d'eau, beaucoup ne prennet rien. Le gobelet est siglé LATAM.

Coucou c'est Chevelan, notez que je porte une doudoune parcequ'il ne faisait pas chaud à Cuenca, itou à bord…

Le vol passe vite, nous atterrissons en léger cross wind, la météo est humide.

débarquement dans le même ordre que l'embarquement

Nous sommes vite arrivé au parking, une annonce est faite par le Chef de Cabine indiquant le mode opératoire à suivre pour débarquer, en évitant l'instant Danette. Une hôtesse barre la route en attendant que les passagers des rangs 3 à 7 sortent, c'est très efficace, je compte environ 1 minute 30 par groupe pour quitter l'aéronef.

Sortie avec l'au revoir du CDC, le finger est aveugle.

Un B737 local est collé à la passerelle.

Dernière vue de notre valeureux destrier.

Nous avons débarqué à la dernière porte au contact, au confin du terminal, il faut se taper toute l'aérogare pour trouver la sortie.

Ici le parking des paxbus.

Là un SUV se fait de la pub.

Au choix, les escaliers ou la rampe.

La salle de livraison des bagages, j'ai le temps de passer aux petits coins avant que ma valise n'arrive.

J'ai prévu de prendre le Schuttle pour tester, le guichet de vente des billets est situé au fond de la salle, juste avant de passer la porte de sortie de l'aérogare.

Je rigole bien en voyant le prix affiché : 7,99 $, comme si la préposée allait me rendre 1 cent !

Le minibus attends derrière la cloison, départ dans 15 minutes, à côté 3 lignes de bus urbains rejoignent divers quartier de Quito en 1 heure pour la modique somme de 1,25 $.

La navette est presque pleine, après 40 minutes de route elle débarque les pax devant l'entrée de l'ancien aéroport, devenu centre culturel depuis, de là je prends un taxi qui m'emmène à l'hôtel Ibis, coût : 4,60 $, total 13 $ avec la propina, ( pourboire ).

Merci de m'avoir lu, place au bonus pour les intéressés, à bientôt pour la suite du programme…