Depuis quelques temps, vous avez pu constater le dévouement que je porte à la gent A340 ^^ Un A/R express aux Seychelles, une expédition en Afrique, un détour par Los Angeles…
Connaissant bien la petite version 340-200 mais beaucoup moins la version 340-300, j'ai pu largement rattraper mon retard en 2019 en vadrouillant sur 3 continents à son bord. Il me manquait toutefois 1 petite chose pour faire le tour complet de cette belle machine sur le point de tirer sa révérence : se poser sur des terrains emblématiques où son utilisation est soumis à de nombreuses contraintes : les aéroports en altitude et… Saint-Martin !
Pour les terrains en altitude, le must aurait été Bogotá, mais je m'y prends trop tard. Il restait alors Quito, une ligne fraîchement ouverte par Air France et exploitée exclusivement en A340 jusqu'au printemps 2020. Je ne pouvais que sauter sur l'occasion !
Je réserve donc un A/R Paris-Quito pour octobre 2019, ainsi qu'un A/R Paris-SXM pour mars 2020 afin de souhaiter un adieu en beauté aux derniers A340 français. Le covid en a décidé autrement et cette rotation sur Quito sera le point final de cette épopée. Une lourde tâche m'attend, celle de rendre dignement hommage à cet avion qui a accompagné le renouveau d'Air France au milieu des années 1990. J'espère en être à la hauteur !
Pour le reste, je découvrirai (enfin) l’Amérique du Sud, et plus particulièrement la cordillère des Andes qui me fait rêver depuis fort longtemps. Alors, en piste pour ce court, mais intense, voyage !
A340, la dernière…
Enchainement de vols
- 119/10/19 – AF 646 |CDG → UIP| Air France (ex-Joon) | A340-300
- 2
péripéties bien parisiennes
L'aventure commence à pied sur ce grand boulevard parisien.

Comme cela risque d'être loin, je change de moyen de transports pour aller plus vite ! Cela tombe bien, la gare belle époque de Port Royal est juste là.

Enfin théoriquement, je suis sensé aller plus vite… Avec une interconnexion interrompue à Gare du Nord, cela risque d'être quelque peu plus compliqué que prévu…

Une grève surprise est déclenchée ce jour sur la partie nord du RER. En pareil circonstance, il faut rejoindre les voies de surface. Mais là, beaucoup de monde, et peu de trains…

J'attendrai… Les agents sont très sollicités mais ne peuvent répondre ce qu'ils ignorent : quand aura lieu le prochain départ pour CDG ?
Au bout de 30min, et ne voyant rien bouger, j'abandonne !

Direction ce bon vieux Hubert, 51€ déboursés (plus les 13€ du RER que je ne pourrai me faire rembourser, vu que j'ai validé le ticket à Port-Royal).
Je suis parti depuis à peine une heure que je me retrouve déjà coincé et que j'explose mon budget. J'espère que les prochains milliers de kilomètres me réserveront moins de mauvaises surprises !

Gros avantage de la voiture, c'est que j'arriverai directement au contact du terminal. J'ai récupéré l'intégralité de mon retard. De toute façon, j'avais pris une marge assez généreuse.

CDG à l'heure de pointe
Un week-end de départ en vacances, il y a forcément du monde. Sur le coup, ce n'est pas agréable, mais en ces temps ci, j'arrive presque à regretter cette ambiance grouillante où tout le monde va se disperser vers les 4 coins du globe…

Embarquant en porte L, je me suis bien entendu rendu au T2F et non au T2E, afin d'éviter trop d'attente à la PAF.
Je récupère mon BP auprès du bandit manchot (pas de bagages, donc ce sera rapide).

Le PIF est plutôt bondé.

enfin du bon côté !
20min plus tard, me voici enfin airside ! Un peu de spotting pour fêter cela avec cet A321 en livrée Skyteam.

Un A321 ex-Joon.

Que de monde !

Allons vite vers le hall L, ce sera plus calme. Et il y a nettement moins de monde à la PAF qu'en partant directement du 2E.

Long couloir pour rejoindre le hall L, avec une vue presque panoramique, impression créée grâce au miroir judicieusement placé sur la droite. J'aime beaucoup passer par ici.

777-200 vêtu de la livrée actuelle et…

…encore un 777-200 revêtu de l'ancienne livrée ! En 2019, il restait ainsi 1 A330-200 et 1 777-200 qui n'avaient pas changé de livrée, 10 ans après le lancement de l'actuelle ! Ce côté délicieusement rétro n'est pas pour me déplaire.


Enfin, un bel A330-200 Air France.

La progression se poursuit au sein d'un terminal en travaux. Ce n'est pas très agréable, voire limite oppressant compte tenu du plafond bas et des câbles divers qui pendouillent ci et là.


Par ici, c'est déjà mieux !

Les départs du jour depuis le hall K (nostalgie…)

Un petit peu de spotting au passage, avec ce bel A330-200 libanais.

777-300 China Eastern

Et voici la merveilleuse machine volante qui va bientôt m'emmener au centre de la Terre (mais pas à la façon Jules Verne).

Houk est ravi !

Quelques détails…


Le plein de catering est en cours.

Vue de face…


embarquement
L'embarquement va bientôt débuter. Quelques informations sur notre vol sont affichés en porte.

L'embarquement sera lancé avec une dizaine de minutes de retard, le tout par zone bien évidemment.

Je profite d'être dans les premiers pour profiter de la passerelle déserte :)

ZN, comme Air Bourbon, ou encore plus étonnamment (et brièvement) pour Air Corsica… Mais il s'agit juste de notre immat : F-GLZN pour vous servir !

Les pleins de carburant viennent tout juste de s'achever.

À bord


allez départ !
Quelques bagages retardataires nous retarderons d'une vingtaine de minutes.
Une fois ces derniers embarqués, nous repoussons enfin ! Être dans un A340, partir pour une longue envolée transatlantique vers un continent où je n'ai jamais mis les pieds, et avec l'immense surprise d'être surclassé… Je ne suis on ne peut plus heureux !

Démonstrations de sécurité en vidéo.

Le tout avec un peu de musique façon CFM56-C4 ;)
On passe devant un autre copain. Vous me manquez… (les A340, pas Joon !)

On repasse devant le 777 rétro.

Puis nous roulerons en direction du doublet nord.

En 27 droite, feu Sa Majesté se pose… Un de mes plus grands regrets puisque je n'ai toujours pas pris d'A380 à ce jour. C'est désormais ma priorité ultime. Dès que ce sera possible, je sauterai dans le premier vol pour Dubaï !

A l'instant où j'écris ces lignes, je ne peut ressentir qu'un goût bien amer face à cette merveilleuse et incroyable machine qui n'a pas eu la carrière qu'il méritait. L'avenir est si imprévisible…

Un A320 bien plus banal va s'élancer en 27 gauche.

Suivit par cet A330-200 Air China qui aura la gentillesse de nous laisser passer.

On s'aligne lentement tout au bout de la 27 gauche, et… Taïauuuult !!!!!
Quel bonheur les amis… Quel joie que ce décollage en ré bécarre ! [apparté : et quel bonheur de revivre ce moment si génial un an après, chez soi en plein confinement.]
Le roulage sera assez long. Il faut dire qu'on part pour un vol de 11h20 ; nous sommes bien pleins en pax comme en pétrole.

Atmosphère "entre deux" que j'apprécie particulièrement.

La grise région parisienne se cache sous les non-moins gris nuages.

Peu importe, car le bonheur est dans le ciel…

Lente montée au-dessus de la Normandie.

Méandres de la Seine en contrebas…


Direction la pointe bretonne en coupant par le sud-est du Cotentin.

apéritif au-dessus des pays normands
Nous sommes encore en pleine montée que notre PNC vient déjà nous offrir l'apéritif. En un tel lieu, la solution champenoise s'impose !

Allégorie apéritive :)

Chears !

aux portes de l'océan
La côte normande est en vue.

Le Havre de la Vanlée

Au loin, la baie du Mont-St-Michel.

Les pointes acérées bretonnes jouent à cache-cache.

Rochers émergeant au sud de Jersey.

Diantre ! Nous avons perdu deux moteurs !!

Nous laissons maintenant la Bretagne, et ses cunimbs naissants, derrière nous…

…avant de gagner le large pour traverser la Grande Atlantique :)



première prestation
Bon, c'est pas le tout, mais voler, ça creuse ! Voyons un petit peu le menu…


Cette première prestation me fait vraiment envie, mais… Ayant été surclassé la veille du départ, j'avais réservé un menu tradition, je le signale tout de suite au PNC afin qu'il ne me compte pas dans le service de la Premium.
L'avantage, c'est que je serai servi très rapidement.

L'inconvénient, c'est que le service des boissons ne sera proposé que bien après la distribution de l'ensemble des plateaux repas. Heureusement, en Premium, ce sera relativement rapide mais en classe éco, l'attente est souvent bien trop longue.

Madame de Sainte-Hélène au menu, accompagné d'un Perrier.

Découvrons maintenant le contenu du coffret !

Cette nouvelle version du menu Tradition m'avait à nouveau convaincu en proposant le poulet aux crozets (j'adore ça), un fromage à pâte dure jurassien (miam !) et également le retour indirect du foie gras (absent de la précédente carte).

On déballe la (bien connue) argenterie signée Christofle.

Terrine de canard au foie gras, figue moelleuse et mendiant caramélisé
Excellent !

Poulet au vin jaune, crozets aux chanterelles et girolles.
Cela ne paie pas de mine, mais c'était une tuerie ! (oui, quand on aime les crozets, ET les champignons, ET le poulet cuit au vin…)

Fruité du Jura, très classique, mais au moins, c'est un "pâte dure"

Financier à la mirabelle industriel, plutôt bon.

On n'oublie pas le fameux chocolat !

Je conclue le tout par un thé.

accessoires de voyage et ife
Profitons de ce moment postprandial pour jeter un coup d'oeil à la trousse de voyage.

Celle-ci contient un masque pour les yeux, des chaussettes…

…une brosse à dents, un dentifrice et des bouchons d'oreille.

Voici le casque à double prise, ainsi qu'un second masque pour les yeux fort joli !

Enfin, des bouteilles d'eau étaient disposées entre les deux sièges dès l'embarquement.

Concernant l'IFE, l'offre de divertissement est plutôt généreuse.

Un très grand nombre de films sont ainsi disponibles.

On trouve également de nombreuses séries et documentaires.

L'offre musicale est tout aussi fournie.

Mais n'oublions pas le plus important : la géovision !!

Focus sur la télécommande bien pratique.

des açores aux caraïbes
La croisière se poursuit bien paisiblement. Nous sommes bercés par le doux bruit de l'air, tandis que sous nos ailes défilent les nuages, ces seuls points de repères fixe sur une immensité de bleu.

Bon d'accord… Il n'y a pas que des nuages !
Nous sommes plein travers l'archipel des Açores et le stratovolcan du Pico vous salue !

Pendant que nous continuons la seconde partie de notre traversée océanique, petit tour à l'arrière de notre vaillant 340. J'aime beaucoup les teintes bleues.

Un bar est à notre disposition dans le galley.

Katia, on ne t'oublie pas :)


Ben voyons, je vois qu'on prend ses aises quand je ne suis pas là !

Les heures s'écoulent…
…trop vite tant on est bien là-haut…
…si vite que nous aborderons bientôt les Caraïbes.
Ci et là, quelques cellules orageuses trahissent les îles cachées en-dessous.

En parlant de cellule, celle-là nous a dérouté temporairement de notre droit chemin, avec quelques sympathiques secousses en prime.

Mais au détour de quelques nuages…

…nous survolons Anguilla, territoire britanique d'outre-mer. Au large, sous l'amas de nuages à droite, se cache Saint-Martin.

Focus sur Anguilla et ses belles eaux turquoises.


En quittant les caraïbes, petite pause goûter avec un mini-sandwich récupéré au bar, et un coca servit lors d'un des nombreux passages de nos PNC.

Une glace nous sera proposée (et que j'accompagnerai à nouveau au champagne).

Nous nous approchons maintenant de l'Amérique du Sud…

…mais le ciel de plus en plus agité ne laisse guère qu'entrevoir la côte vénézuélienne.

On ne voit pas grand-chose, mais les fortes turbulences que nous subissons ne laissent aucun doute : il y a de la cordillère là-dessous ! ;)

Cela se calme au-dessus de la Colombie qui nous laisse admirer ses magnifiques montagnes ravinées et vallées bien vertes.


Au-delà de ce grand plateau, l'immensité de l'Amazone…

deuxième prestation
Il ne reste plus qu'une petite heure de vol mais, le calme revenu, la deuxième prestation va enfin pouvoir commencer.

Cette fois-ci, il s'agit bien du plateau servit en Premium.

Salade de Lentilles
Très bonne !

Risotto aux Épinards
C'était bon, mais la présentation n'est pas très flatteuse.

Yaourt basique (il n'y avait plus de financier)…

…et caramel au beurre salé (miam !)

Le tout accompagné au vin blanc, et conclut par un thé.


une approche mythique
Lorsque la descente débute, c'est le branle-bas de combat pour l'équipage qui doit préparer la cabine encore plus rapidement qu'à l'accoutumée. Le terrain est en altitude et l'approche entre les hautes cimes des Andes est toujours très mouvementée.
Le gros avantage de se poser à Quito est que l'aéroport se situe à 2400m, soit quasiment l'altitude à laquelle notre cabine est pressurisée. Ainsi, pas de risques de se boucher les oreilles ^^

La blanche couette nuageuse est trompeuse, le relief y affleure en de nombreux endroits.

Si l'ancien aéroport de Quito (fermé en 2013) était réputé comme un des plus dangereux au monde (avec sa piste située à 2800m), le nouvel aéroport est plus sécurisant, avec un axe de piste assez dégagé du relief, et possède des pistes plus longues et à plus basse altitude (2400m). Pas de quoi s'affoler. Par contre, l'arrivée dans le circuit d'approche est plutôt impressionnante (même si on ne verra rien à cause des nuages).
Cela commence par un passage à la verticale de Quito, en longeant les crêtes du célèbre volcan Guagua Pinchincha (4776m).
A ce moment là, on se fait secouer comme un petit pois dans un sifflet.

On contourne ensuite quelques reliefs sur notre gauche avant de se retrouver…

…avant de se présenter en courte finale sous le déluge.

Juste avant le seuil de piste, on survole une étroite mais profonde vallée de près de 300m de dénivelé. On sent bien à ce moment là les courants ascendants et rabattants.
Et voilà ! Posés ! Mouillés mais posés !

De l'autre côté des arbres, on retrouve la vallée tombant quasiment à pic. On a beau être loin de la dangerosité du vieil aéroport, ce nouveau terrain est loin d'avoir un environnement anodin.

Le roulage sera très court (pardon pour la piètre qualité photographique, mais je devais jongler entre les nombreuses gouttes d'eau).

Un bon vieux 737-500… Dommage que je ne reste pas plus longtemps pour le tester. Un autre bon vieux Dash 8-100 se cache juste derrière.

KLM Cargo en 747.

Tiens ! Ce moustique me rappelle mon taxi volant des Orcades. Un charmant petit Britten-Norman Islander.

Dernier virage…

Et nous y sommes, aux côté de cet A319 LAN.

bienvenido a quito !
Je débarquerai dans les derniers, non sans avoir vivement remercié les PNC en porte pour ce magnifique vol ! Avant de m'engouffrer dans le terminal, un dernier regard vers ce bel oiseau… On se revoit dans 48h !

Partons à la découverte de la république du cacao !

Il y a pas mal de monde à l'immigration (forcément, je suis sorti en dernier), mais l'attente ne durera pas plus de 15min.

Pour rejoindre Quito, plusieurs lignes de bus urbains sont disponibles. Une ligne express relie le nouvel aéroport à l'ancien, en plein centre ville.

Mais le logement où je me rends est situé dans les hauteurs de Quito, à l'opposé des lignes de transport en commun. Compte tenu de l'heure tardive et du décalage horaire, je n'hésite pas un seul instant : ce sera un taxi.

Le prix du trajet sera très abordable (moins de 15€ si mes souvenirs sont bons) malgré les 45min de route à faire.
Il pleut toujours autant et la voie rapide transite par cette fameuse vallée profonde qui longe l'aéroport. Les gens roulent à fond les ballons (dont mon taxi) sur une route ultra-glissante et qui tournicote dans tous les sens… ça ne va pas le faire… Quelques instants plus tard, ça ne loupe pas. Une voiture dérape une centaine de mètres devant nous, percute les voitures de droite, puis de gauche avant de finir dans le terre-plein centrale. Bref, mes premiers pas équatoriens se feront dans un interminable bouchon. Heureusement, que de la casse, pas de blessés, et tout rentrera dans l'ordr sous les yeux de la maréchaussée. Décidément, les transports terrestres ne me réussissent pas ce jour là !

La route se poursuit enfin, entre vallées et pentes abruptes. Avec les nuages qui remontent des vallées en filochant… C'est plutôt magique (mais peu photogénique).

1h15 après mon départ de l'aéroport, me voici enfin arrivé à destination ! Je suis dans un des plus hauts quartier de Quito, à 3012m précises. C'est la première fois que je dépasse la barre des 3000m au sein d'un climat humide et quasi-tropical. C'est fort dépaysant !

Depuis mon petit studio loué par le voisin du-dessous, je ne peux qu'admirer cette mystérieuse cité ennuagée qui s'endort dans la nuit…

Suite au prochain opus !
Merci beaucoup pour votre patiente lecture :)
A très bientôt !
Tout ce monde dans l’aéroport! Ça fait longtemps qu’on n’a plus vu ça.
“il restait ainsi 1 A330-200 et 1 777-200 qui n'avaient pas changé de livrée, 10 ans après le lancement de l'actuelle “ —> A ce niveau là, autant les laisser ainsi et dire que c’est des livrée rétros.
J’aimais beaucoup les 340, plus les -600 que les autres mais les -300 et leurs réacteurs sèches-cheveux avaient quelques chose de spécial.
Il a belle mine ce plateau tradition!
Merci pour ce Fr!
Merci pour ce FR. :)
Un bon vol à bord d'un avion qui a marqué son époque à une période pré-covid et où les prestations ont depuis été revues à la baisse. Je pense au service apéritif et à la deuxième prestation. Une bonne idée que d'opter un menu à la carte pour les vols vers l'Amérique où on retrouve l'indémodable chicken or pasta.
C'est drôle, sur mon dernier vol avec AF, j'ai expérimenté la même chose avec un menu à la carte et j'ai reçu ma boisson en même temps. Ceci dit, il est vrai que les menus dits "spéciaux" et "à la carte" sont servis avant tout le monde...
Jolies photos de Quito by night.
A bientôt. ;)
Merci Cyrille pour ce FR.
un continent où je n'ai jamais mis les pieds, et avec l'immense surprise d'être surclassé… => que des points positifs pour ce départ.
je n'ai toujours pas pris d'A380 à ce jour => il va falloir se dépêcher.
mais c'était une tuerie ! (oui, quand on aime les crozets, ET les champignons, ET le poulet cuit au vin…) vade retro les champignons ! ^^
Un atterrissage plus impressionnant que chez nous , ça vaut le coup du déplacement.
L’Equateur est une destination intéressante, en tout cas dans ma to do.
A bientôt
Bonjour et merci pour ce beau partage qui permet de se remémorer le bon vieux temps.
C'est un très bel hommage que vous avez rendu à ce bel oiseau.
Les vues aériennes pendant la montée sont belles avec la forme des nuages.
Quant à la cabine, elle a l'air très confortable pour un vieil oiseau comme le 340, contrairement à celles des 380 AF qui malgré leur courte durée de vie, étaient vraiment dépassées.
Le repas a l'air très appétissant ;-)
À bientôt !
Merci pour ce fr.
Un récit intéressant à lire comme toujours !
Les photos sont belles, comme toujours aussi !
On sent la passion, ce que j'aime, comme toujours !
Un bel hommage pour ce magnifique avion que j'ai eu la chance de prendre 6 fois avec Air France et toujours sur l'Afrique.
Cet avion va beaucoup manquer.
Une belle prestation.
Un atterrissage sportif entre les montagnes, comme j'aime.
A bientôt.
MERCI BEAUCOUP POUR CE FR !
qu'est ce que c'est agréable de voyager dans de telles conditions, surclassement, bon repas, PNC à la hauteur... ça aide à faire passer 12 heures de vol.
Superbes vidéos...
beaucoup de souvenirs personnels de l'A340, très bel avion que j'ai souvent utilisé avec Swiss au départ de Zurich
une question d'ordre pratique : malgré un décollage du 2E, on vous a laissé passer au PIF du 2F ? vous n'aviez pas de bagages à enregistrer ?
"Décollage en ré bécarre" : toujours la note inimitable de l'auteur ! :)
Merci pour ce souvenir des derniers mois de l'ère pré-Covid !
Merci Cyrille pour le partage !
L'A340 reste définitivement une bien belle machine, comme Moritz je trouve la version -600 encore plus élégante mais toutes les versions sont jolies.
A bord le retrofit est fort réussi tout comme le catering.
Euh si si, à droite sur le plateau, à moins que ce soit Houk qui l'aie mangé ^^
A bientôt !
Merci Cyrille pour cet excellent fR !
Bel hommage au magnifique 340, victime de la pandémie... Je pense que le retrofit des cabines n'a pas été amorti... Dommage car pour ce qui est de la classe Eco, on se croirait dans un avion tout récent.
48h sur place c'est très speed mais l'occasion de se donner envie de revenir plus longtemps ?
A bientôt
Merci Cyrille pour ce FR.
10/10 pour la cabine Y+ de AF, même en A340 (nostalgie partagée) n'est plus de l'évaluation mais une déclaration d'amour !^^ Le surclassement n'y est certainement pas totalement étranger.
Pas de voisin?
Un bel avion et ce long roulage avant le décollage à pleine charge, d'autant plus que l'altitude est élevée. Souvenirs de TNR vers 2h du matin...
C'est dommage d'avoir pris le menu tradition vu le surclassement.
"Madame de Sainte-Hélène" ==> une impériale rencontre d'exilé?
Des plateaux plus grands, comme jadis, seraient plus conformes à la tradition et mettraient en valeur la prestation. Idem pour le 2ème service.
De mémoire, le casque était intégré au siège en Y+.
Le plus exotique dans ce reportage n'est-ce pas l'affluence dans les aéroports !
A bientôt !
Merci pour ce FR accompagné de belles photos de l'Amérique du sud
Un FR collector sur un appareil aux couleurs de la défunte JOON en W, un régal à lire :)
Merci Cyrille pour ce FR qui me rappelle des souvenirs de mon voyage en Equateur.
J'attends le retour de Baltra par Thomas
Et aussi merci pour l'hommage à Katia, ça m'a fait quelque chose.
A suivre
Merci pour ce FR.
Cela rappel le bon vieux temps....
Beau 340.
A bientôt pour la suite.
Merci pour ce FR!
Il reste même 2 772, mais l'unique A330 qui portait encore l'ancienne livrée a été repeint. Je pense que les deux 772 vont bientôt pouvoir se targuer d'être de superbes exemples de graphisme des années 80 (qui a beaucoup de charme je trouve).
Un très bel hommage à l'A340, c'est vraiment un magnifique avion dans lequel j'ai beaucoup aimé voyager les rares fois où je l'ai emprunté. C'est d'ailleurs sur F-GLZN que j'avais "fêté" mes 18 ans en vol pour Le Caire, cela reste un très bon souvenir.
Cette cabine Premium semble vraiment confortable, et le menu Tradition est fort alléchant. C'était aussi l'époque bénie où la seconde prestation en W sur les LC de plus de 10h était encore un plateau et pas un petit sachet comme ça a été le cas à la toute fin 2019.
À bientôt!