Après une dizaine de jours passés en Ouzbékistan, il est temps de dire au revoir à ce magnifique pays et de prendre le chemin de la maison.
Pas de surprise, le retour se fera comme l'aller, avec Aeroflot jusqu'à Moscou puis Air France jusqu'à Paris.
Et comme pour les précédents opus de la série, vous retrouverez en fin de FR le dessin du frangin et un bonus touristique, cette fois-ci Samarcande.
Enchainement de vols
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- 2
- 3
- 4
- 5SU1871 - Affaires - Tashkent TAS > Moscou SVO - Airbus 330-300
- 6AF1145 - Affiares - Moscou SVO > Paris CDG - Airbus 319
L'arrivée à TAS
Après un dernier dîner à Tashkent, notre chauffeur nous dépose à l'aéroport vers 22h. Notre vol est à un horaire affreux (4h45 !) mais nous n'avions pas le choix. J'avais hésité à prendre une chambre d'hôtel pour cette courte nuit, mais j'ai finalement misé sur un repos de quelques heures au salon.

Ce ne sera pas ce VIP Lounge, accessible directement depuis l'extérieur de l'aérogare.

Nous voici donc à l'intérieur. C'est un peu glauque, malgré les efforts de verdissement.

Le lounge d'Uzbekistan se trouve juste à l'entrée.


Celui-ci dispose d'un enregistrement dédié et d'un PAF/PIF dédié apparemment. C'est tout de même un avantage significatif qui incite à prendre Uzbekistan.

Car ce n'est pas le cas du lounge CIP, qui se trouve airside. Mauvaise nouvelle pour nous, car l'enregistrement ne démarre que 3 heures avant le départ du vol. Nous avons donc 3 heures à poireauter landside.

Voici le FIDS de la soirée, notre vol n'est même pas encore affiché.

Vers la zone airside. Je dispose bien des BP électroniques, mais il nous faut enregistrer les bagages…

Nous passerons donc cette longue attente sur ces sièges inconfortables.

Mauvais point pour TAS : il y a du wifi mais pour y accéder il faut disposer d'un numéro de téléphone ouzbèke ! Grrrr…

Passage aux toilettes. C'est basique…

Pour me dégourdir les jambes, je décide de prendre un peu de hauteur en faisant un petit tour à l'étage.


Une maquette d'appareil HY est suspendue dans les airs.

Pas grand chose à faire ici, les bureaux des compagnies affichent porte close.

On trouve également un bar, déserté tant par les clients que par le taulier.

Quelques plantes en pot tentent d'égayer cet endroit.

De retour en bas je note un peu d'animation avec l'enregistrement du vol pour DXB. Il est 1h20 et nous n'avons plus longtemps à attendre.

Vers 1h30, les agents de TAS s'installent aux guichets. Ce n'est pas encore affiché, mais ça sent le check-in pour SVO.

Bingo !

Par contre il n'y a pas de file prioritaire et tous les passagers se ruent sur les 3 guichets disponibles.

Une file est pourtant prévue à cet effet mais il doit y avoir un souci car un agent s'active sur son clavier.

Finalement, après 20 bonnes minutes, une robuste matronne russe viendra mettre un peu d'ordre dans tout ça. Sans sourire mais avec nonchalance, elle installe tranquillement la file SkyPriority à un autre comptoir. Elle nous demande assez sèchement de nous pousser pour lui permettre d'étaler son tapis.

Comme mon frère doit ensuite, de Paris, prendre un vol pour Bordeaux, je demande s'il est possible de faire suivre son bagage. L'agente SU m'indique que comme ce n'est pas le même PNR, ce n'est pas possible. Plus surprenant, elle nous indique qu'elle ne peut pas éditer nos BP pour CDG et que nous devrons le faire au desk de correspondance à SVO.
Bref, nous enregistrons nos bagages et retirons nos BP. PAF et PIF seront passés rapidement et nous voici airside un peu après 2h.

Voici la salle d'embarquement.

Le salon se trouve au fond à droite.

Le CIP Lounge
L'accueil par la cerbérine est somnolent. Manifestement, on la dérange pendant sa nuit.
Le lounge est plutôt spacieux, avec une décoration classique de boiseries et de canapés en cuir.


Nous nous installons dans l'un d'eux.

L'offre est basique.



L'offre de presse, assez famélique.

Les documents de voyage, avec nos BP arborant déjà 3 tampons.

La vue depuis notre emplacement.

L'endroit dispose d'un bar, avec barman dédié. Lorsque nous commençons à regarder le mur de bouteilles derrière lui, il nous dit qu'il ne peut pas nous servir à boire. Il faut aller en chercher à l'extérieur du salon. Celui-ci parlant un anglais approximatif, la discussion est laborieuse et il finit par lâcher qu'il ne peut servir que du café ou du thé. Mais à quoi il sert alors ?!

Bref, après avoir essayé de comprendre (il a juste à tendre le bras derrière lui), de guerre lasse nous abandonnons et allons acheter des bières au bar de la salle d'embarquement. Moment épique là encore, où nous dérangerons deux préposées en train de casser la croûte et auprès desquelles il aura fallu insister pour pouvoir acheter 2 bières et quelques nuts… On ne peut pas dire que les agents de TAS aient le sens du service !

Autre moment épique de ce salon ubuesque, la cerbérine qui s'est effondrée à son bureau pour piquer un roupillon. Le pax à gauche de la photo a eu du mal à la réveiller…

Côté sanitaires, ça va à peu près…

… encore qu'il ne faille pas être trop regardant. La serviette roulée en boule ne présage pas d'un ménage très fréquent.

Pour couronner le tout, comme landside, il est nécessaire d'avoir un numéro de téléphone ouzbèke pour se connecter au wifi.
Vers l'heure prévue de l'embarquement, nous quittons cette antre de luxure pour rejoindre la salle d'embarquement.

Elle est tellement blindée que de nombreux pax dorment à même le sol.

Un peu avant 4h, sans même une annonce, un agent ouvre les portes et c'est alors la ruée dans un bordel indescriptible.


Tous les pax s'accumulent à droite, nous nous mettons sur la gauche en pensant que c'était la file dédiée aux passagers business, mais non, il s'agit d'un panneau Asiana qui n'a rien à faire là.

Nous sommes un peu gênés, mais cela n'a pourtant pas choqué les autres pax (le resquillage de file semble être un sport national ici) et lorsque l'agent vient libérer les fauves, nous nous insérons donc parmi les premiers.

Voici notre appareil, un A330-300 comme à l'aller.

Celui-ci est en livrée spéciale Skyteam.

Accueil cordial mais pas très souriant en porte 2L.

Le flight report
Pour nous ce sera donc à gauche après le galley.

Nos sièges, identiques à ceux de l'aller.

La cabine, avec son charme désuet, mais au confort incomparable pour un vol de 4h.

Les PNCettes, toujours aussi élégantes avec leurs uniformes "mandarine" (et non orange comme me l'a fait remarquer SkyteamCHC), leur béret et leurs gants blancs.

Dès notre arrivée, nous nous voyons proposer un verre d'accueil.

Ce sera champagne ! Trinquons à la fin de ce voyage et à ce beau pays !

Quelques minutes plus tard, nous recevons la trousse de confort (identique à celle de l'aller et toujours aussi peu qualitative) et les écouteurs.

Oh je sens que le frangin va dormir !

Je vous ai présenté ce siège lors du vol aller, je n'y reviens donc pas. Une offre de wifi (payante) est proposée.

En attendant la fin de l'embarquement, je feuillète le magazine de la compagnie, avec ses nombreuses destinations.

SU consacre une pleine double page à ses sièges business.


Ainsi qu'à la gastronomie russe. Tout ceci semble intéressant, sauf que pratiquement tout le magazine est exclusivement en russe !

J'entends nos voisins de derrière demander du champagne. Du coup nous faisons de même et Mariya, notre très souriante et élégante PNC, nous ramène deux belles flûtes.

Je sirote donc quelques bulles en consultant le menu du soir (ou du matin, à cette heure-ci on ne sait plus trop).

Je pars du principe que nous serons sur un menu de petit-déjeuner. Mariya insiste en nous demandant de noter chaque plat.

Sauf qu'en fait c'est le menu du dîner qui est proposé. Etrange vu l'horaire !

La carte des vins.






Mariya nous propose ensuite de la presse (russe) au chariot.

Il est temps de pushbacker, les consignes de sécurité sont lancées sur l'IFE.


Je me mets à l'aise, le pas est très bon.

Pendant le roulage, j'aperçois un B787 de HY avec du monde qui s'affaire autour.

La cabine est plongée dans le noir, nous pouvons suivre les manoeuvres grâce à la caméra embarquée.

Nous décollons aux premières lueurs du jour.

Mariya vient prendre notre commande pour le plat, mais nous lui disons que nous préférons dormir et manger avant l'atterrissage. Notre requête est acceptée et nous dormirons 3 heures. Nous étions tellement épuisés après cette quasi nuit blanche que je n'ai pas pensé à prendre en photo le lie-flat.
A peu près 1h avant l'atterrissage, commence le service du petit-déjeuner. Commençons par un oshibori.

Nous en sommes là.

Nous avions passé commandé juste avant de dormir. Je demande pour démarrer un jus d'orange et un café, histoire de me réveiller. Mariya applique pourtant le protocole de service, et m'amène en même temps les noix chaudes !

Voici ensuite l'entrée qui m'est amenée. Cured goose meat, served with mostarda. Le pain est chaud. C'était très bon.

Nous ne faisons pas de mélange et restons au champagne.

Sympa ces chocolats !

Pour la suite j'ai essayé le Bulgur with vegetables. Le goût était à l'image de la présentation, pas terrible.

En dessert, un cake rhum-raisin.

En fin de vol, la chef de cabine passe nous distribuer du thé et nous remercie d'avoir volé avec SU, mais sans un sourire. Les PNC passent également récupérer les menus.

Sympa d'avoir 3 hublots !

L'approche sur SVO est belle avec ses forêts et ses plans d'eau.


Nous suivons l'atterrissage grâce à la caméra avant.

Et sur le côté en vrai.

Nous voilà arrivés à SVO.

Nous venons nous garer à côté d'un A321 à la livrée spéciale "Manchester United".

L'instant Danette est limitée par le faible nombre de passagers J sur ce vol (10 pax pour 34 sièges).

Je garderai plutôt un bon souvenir de ces sièges, même si ce vol est trop court pour un vol de nuit.

Mariya scrute l'arrivée de la passerelle en porte 1L.

Mais finalement elle arrivera en porte 2L. Diantre ! débarquement par bus ?

Les pax Y sont retenus pour laisser passer les pax J.


Un bus est dédié aux passagers business.


Après moins de 5 minutes sur le tarmac, nous arrivons au terminal.

Merci de m'avoir lu, je vous retrouve bientôt pour le dernier tronçon de ce routing !
Le dessin du frangin
Pour ce FR, un dessin qui rappelle le kafkaïen salon de Tashkent…

Bonus touristique
Pour ce dernier bonus, je vous propose de découvrir Samarcande, sans doute la plus connue des illustres cités ouzbèkes.
Bonjour,
Quelle organisation cet aéroport... pas facile avec l’heure du vol!
Heureusement que le confort du vol réduit un peu ces galères!
A bientôt!
Merci pour ce commentaire !
En général j'essaie d'éviter ces horaires, mais nous n'avions pas vraiment le choix.
A bientôt.
Merci pour ce FR et les précédents !
Si l4ouzbékistan est un pays à visiter absolument, ce n'est pas le cas de l'aéroport de sa capitale ^^
Gros bordel à l'enregistrement, avec une agente nonchalante et peu motivée...
Le salon CIP est dans le top 10 des lounges les plus nuls de la planète, la fille dormant sur son bureau est tout simplement scandaleux !
Lebarman a un job en or, qu'il le garde... Une belle plante verte !
A bord, le décor change et c'est tout de suite plus agréable.
C'est du presque parfait, il ne manque plus qu'un fauteuil Full-Flat pour mériter l'excellence.
Assurément un bon vol, espérons qu'en 2020 SU ne touche rien à son protocole de service.
Merci pour le partage.
Merci Hervé pour ce commentaire.
Je pense que l'expérience est bien meilleure en voyageant avec la compagnie nationale ouzbèke (check-in dédié, salon, PAF...).
Je n'avais jamais vu ça avant, mais j'ai remarqué qu'en Ouzbékistan c'est une pratique assez courante...
SU a déroulé une belle prestation, dommage que l'horaire du vol ne permette pas d'en profiter pleinement !
On croise les doigts, mais avec le covid, rien n'est moins sûr...
Aeroflot (et d'autres compagnies d'ex-URSS en général) semble être spécialiste des horaires à la noix.. L'aéroport de Tachkent a l'air vraiment affreux. Mention spéciale au salon, et à ses canapés qui me font penser à des crottes de mammouth. Le repas a l'air très moyen, surtout pour la classe affaires. Heureusement que les PNC et la cabine sont très confortables pour seulement 4 heures de vol !
Merci pour ce commentaire.
Je pense que sur ces courtes liaisons, SU essaie d'optimiser la rotation des appareils, d'où ces horaires un peu red-eyes (un peu comme les vols ex-CAI).
Je ne les verrai plus de la même manière ! ^^
Merci Stéphane pour ce FR qui ne va pas faire remonter TAS dans mon estime !
Un très bon vol avec une Pnc charmante et très pro,une cabine très confortable.
Superbe bonus qui me rappelle un de mes plus beau voyage juste un peu avant toi.
Merci Philippe pour ce commentaire.
Bien sûr j'avais lu tes FR, notamment avec HY ;-) Je n'avais d'ailleurs pas une très bonne image des PNC HY, ce qui a été en partie confirmé.
A bientôt.
Merci pour ce FR
"Mauvaise nouvelle pour nous, car l'enregistrement ne démarre que 3 heures avant le départ du vol"
Quelle galère ! :(
"comme ce n'est pas le même PNR, ce n'est pas possible. Plus surprenant, elle nous indique qu'elle ne peut pas éditer nos BP pour CDG et que nous devrons le faire au desk de correspondance à SVO"
Skyteam gâte ses pax ^^
"Nous nous installons dans l'un d'eux."
Il a bien vécu
"L'offre est basique."
La qualification est plus que bienveillante ;)
Un salon hors norme ^^
Embarquement en mode Skypriority à l'interprétation locale
"Sauf qu'en fait c'est le menu du dîner qui est proposé. Etrange vu l'horaire !"
C'est préférable je trouve et après tout votre vol part à 4h45 et l'offre petit déjeuner débute à 5h00
"Notre requête est acceptée et nous dormirons 3 heures"
Excellent service
"Le goût était à l'image de la présentation, pas terrible."
ça semble effectivement être un plat végétarien punitif
Dessin qui reprend très bien la quintessence du salon
Superbe bonus comme d'habitude
Un vol SU plutôt réussi mais, quels que soient confort et catering, vu l'horaire et la durée du vol
il est impossible de le trouver agréable
A bientôt
Merci pour le commentaire.
C'est un doux euphémisme ! le pompon revient surtout aux 2 employés...
Mauvais choix sur ce coup...
D'accord avec vous, l'horaire n'est pas idéal, mais SU (et Skyteam) n'offrait aucune autre alternative.
A bientôt.
Merci Stéphane pour le partage !
L'horaire fait mal aux yeux, effectivement, on se pose toujours la question avec ces vols là s'il vaut mieux reserver une dernière nuit à l'hôtel et au vu des péripéties il aurait valu ... mais ça tu ne pouvais pas le savoir.
Le nombre de plantes vertes dans l'aéroport est quand même impressionnant.
Un salon où l'on ne sert que du café ou du thé, c'est du jamais vu. Le barman qui ne sert à rien et l'agent d'accueil qui s'endort sur le comptoir, la totale :) Les notes sont bien méritées !
A bord je me serais aussi attendu à un petit déjeuner mais SU suit son protocole à la lettre :)
A bientôt pour la suite.
Merci Stephan pour le commentaire.
A vouloir économiser une nuit d'hôtel, voilà le résultat... Sauf dans les grands aéroports internationaux, je ne pense finalement pas que ce soit une bonne idée.
Tu parles des employés du salon ?! ^^
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce FR.
Notre vol est à un horaire affreux (4h45 !) => perso j’aurais pris la nuit d’hôtel sans hésiter.
Nous avons donc 3 heures à poireauter landside. => connaissant l’aéroport cela a du être long.
il y a du wifi mais pour y accéder il faut disposer d'un numéro de téléphone ouzbèke => oui c’est bien dommage.
un agent s'active sur son clavier. => j’ai l’impression d’être 2 mois plus tôt
canapés en cuir =>et dans quel état.
De la Leffe en Ouzbekistan !
J’aurais préféré une offre de petit déjeuner à cette heure ci.
il s'agit du site d'Hazrati Dawod => je ne connaissais pas, je note pour une prochaine fois.
la nécropole de Chah-e Zinde => comme toi mon site préféré de Samarcande.
A bientôt
Merci Valérie pour ce commentaire.
L'expérience est une lanterne, etc...
Je te confirme que c'était pénible
AK les a qualifiés de crottes de mammouth !
Merci pour ce FR !
Prestation honorable d'Aeroflot, à part l'horaire de vol horrible... :(
Super bonus :)
A bientôt !
Merci Nico pour le commentaire.
Merci pour ce FR et superbe bonus.
L'aéroport et son personnel donne envie...
Pour le personnel qui dort... Si le chef voyait ça...
Bonne fin de semaine.
Merci pour le commentaire.
Pas sûr qu'il passe à cette heure-ci ^^
Merci pour ce FR!
L'expérience à TAS est juste incroyable; c'est tellement chaotique que ça en devient intéressant.
Le salon est lui aussi une sacrée découverte, entre l'offre quasi inexistante et le personnel qui dort ce n'est pas le nirvana...
À bord, on retrouve une cabine confortable pour ce temps de vol; ça doit être un peu moins agréable sur les LC de 8 à 10 heures vers l'Asie et les USA sur lesquels SU déploie l'A330. Avec l'arrivée de l'A350 (peut-être retardée par la crise), j'imagine que ces A330 vont être relégués à des lignes plus courtes comme celles-ci.
Le catering est un peu moins convaincant qu'à l'aller, notamment le plat principal qui n'est effectivement guère appétissant. C'est vrai que l'offre pdj aurait été plus adaptée à l'horaire (j'avais fait l'expérience des crêpes a la dinde et j'en avais gardé un bon souvenir^^).
Superbe bonus de ce pays qui me donne décidément de plus en plus envie!
A bientôt.
Merci pour ce commentaire.
Je pense que l'expérience à TAS est bien meilleure avec la compagnie nationale HY, qui propose des infrastructures dédiées (check-in, salon, formalités...). A essayer !
Ces cabines sont parfaites pour un vol de jour, même plus long. Avec la crise, je pense qu'elles vont rester encore un moment en service...
Je n'ai pas fait le bon choix pour le plat principal, mon frère a apprécié ce qu'il a choisi.
L'ouzbékistan est un pays superbe, hélas le contexte actuel reporte sine die tout projet de voyage.
A bientôt !
Merci pour ce FR Stéphane!
L’aéroport n’est pas très engageant.
L’horaire n’est certes pas idéal mais la cabine plutôt confortable a permis de passer un agréable court vol de nuit.
A bientôt
Merci Noellie pour ce commentaire.
Tu peux même dire qu'il était affreux, surtout avec les infrastructures de TAS. Je pense que c'est plus agréable à DXB ;-)
A bientôt.
Merci Stéphane pour cette suite.
Horaire le pire qu'il puisse exister, arrivée trop tôt au terminal, un salon ubuesque et le bazar généralisée.
On en arrive à être heureux de se retrouver dans cette cabine que je trouve personnellement assez laide et peu appaisante.
Tout comme les tenues de l'équipage, une vraie agression visuelle.
Après toutes ces avanies, personne ne vous reprochera d'avoir suivi les premiers paxs au champagne. Churchill disait qu'on merite le champagne dans la victoire mais qu'on en a besoin dans la défaite, on pourrait aussi ajouter quand on décolle de TAS;
Superbe bonus !