Avis du vol entre Lisbon et Athens en classe Affaires avec Aegean Airlines

Hello !

Ce report fait suite au premier que vous trouverez selon le routing ci-dessous. 

C'est parti pour la suite, avec une première pour nous et Aegean. La réservation s'est effectuée très facilement et les prix étaient plutôt bons pour un vol de prêt de 4 heures, avec des offres régulières.

C'est donc serein que nous nous rendons à Lisboa Airport avec pour la première fois une restitution du véhicule de location en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. A titre de comparaison, l'année dernière, la file d'attente "unique" remontait jusqu'au terminal, une histoire à se rappeler le film "Chute libre" avec Michael Douglas !

Nous nous dirigeons vers le check-in et le vol étant plein avec (à nouveau) animaux de compagnies en soute ou cabine, c'est assez lent, même en business. Mais bon, l'ambiance est détendue et calme, le salon est fermé, il n'y a pas lieu de se stresser pour passer de l'autre côté (de la force).

Le tableau des départs. Notre vol est à l'heure, pour le moment.

Le temps de passer aux commodités et d'acheter une bouteille d'eau, l'embarquement à déjà commencé bien en avance (plus de 40 minutes) !
L'employé du check-in se souvenant de nous, nous interpelle au loin pour nous faire passer tout devant, dans l'une de ses petites gates exiguës dont Lisboa Airport à le secret. Bon point.

C'est un Airbus 320, NEO, fraîchement sorti d'usine. Bon point.

C'est la rangée entière numéro_1 que Numéro_2 recommande dans son dernier report d'Aegean, que nous occuperons. Avec satisfaction.
Les préparatifs vont bon train. Tout le monde se démène, mais…

Mais voilà, le Captain K. ne tarde pas à annoncer qu'il manque sur la plateforme de gros bras pour monter les bagages en soutes ! Normal, 3 avions par jours, normal, un aéroport vide de ses clients, normal, 2020. Prends ça, 24 minutes dans les dents !

Oublions cela, nous sommes déjà chanceux d'être là ;-o)

 Voici une vue élargie de la cabine qui nous bercera.

Il est temps de rattraper le temps et ce n'est pas le décalage horaire avec la Grèce qui nous aidera.

Les jours passent et se ressemblent. Tout est à l'arrêt. 

Nous prenons clairement de l'altitude pour nous rendre à FL390.

D'un côté…

Puis d'un autre…

Nous prendrons une très belle route qui nous fera flirter avec les côtes du Sud de l'Europe et tantôt avec celles du Nord de l'Afrique.

Là, c'est certainement le moment où vous attendez d'en savoir un peu plus sur "l'expérience" Aegean. Alors bon, j'aimerais bien que vous restiez jusqu'à la fin, mais on ne pas pas se mentir, vous risquez de rester sur votre faim (comme nous).

Le tout tient sur une photo ! 

En partant du bas, vous avez le grand écran et son programme de divertissement à l'infini du vide intersidérale.
En fait, l'idée n'est pas mauvaise, d'avoir tout sur son natel ou sa tablette, mais le COVID-19 a dû passer par là. Nous n'avons point trouvé les films "vu" sur le report de Numéro_2. Heureusement, la géovision fonctionne bien et divertit avec la belle route empruntée, sans nuage, mais sur un vol de près de 4 heures, faut vraiment aimer regarder dehors ou bien dormir en avion !

Remontons un peu, vous avez l'apéro, le repas, la boisson et le dessert. Le tout bien ficelé dans un sac absurde blanc immaculé. C'est le moment où l'on arrive dans "le COVID-19 a bon dos". Les plateaux repas n'avaient pas attendus le célèbre virus actuel pour respecter les conditions d'hygiène strictes, donc un vrai service complet pourrait tout à fait se faire. Mais bon.
Ha oui, nous sommes en business… Heureusement que le siège du milieu est en quarantaine ;-o)

Continuons. Je ne crois pas me tromper en vous présentant El Ejido, tout de blanc vêtu. Espagne.

Cap Tarf. Tunisie.

Voici Pantelleria et son chapeau blanc temporaire. Italie.

Apprenons-en un peu plus sur cet Airbus NEO. Savez-vous où l'on enclenche le Wi-Fi ? A côté des gants. Chez Aegean, juste après l'extinction du signal lumineux au décollage et juste avant l'atterrissage.

#ON/OFF

Nous approchons à grandes envolées.

Encore un peu plus.

Là, ça va être bon ! Nous semblons poursuivi… Bravo à Madame pour la photo. Toujours être du bon côté, voilà le secret.

Débarquement avec les gens de la haute société pour prendre le bus qui nous est réservé.

Il semblerait que nous ayons été déposé au bon endroit.

Nous passons ensuite dans un couloir où il nous est demandé de présenté son QR code reçu suite au remplissage d'un formulaire d'entrée effectué une semaine auparavant dans notre cas. L'agent regarde le QR, ne le scan pas et nous indique le tapis à bagages. Nous longeons alors sans nous arrêter les box de soins préparés pour les tests nécessaires.

Les bagages arrivent en premier, bon point.

COVID-19 : Stand here.