Bonjour tout le monde ! Voici, la suite du report, sur la route entre Toulouse et Trondheim, avec la deuxième partie du voyage aller entre Francfort et Oslo avec la Lufthansa !
Je vous remets ici le routing, avec le premier vol entre Toulouse et Francfort qui est déjà disponible :
Enchainement de vols
- 1
- 2LH858 - Economique - Frankfurt → Oslo - Airbus A319
- 3
- 4DY753 - Economique - Trondheim → Oslo - Boeing 737-800
- 5LH861 - Economique - Oslo → Frankfurt - Airbus A320neo
- 6LH1058 - Economique - Frankfurt → Toulouse - Airbus A320
Bienvenue à Francfort-sur-le-Main ! Je viens d'arriver par vol très agréable de Toulouse, à bord de cet Airbus A320neo.



Un peu plus d'une heure de changement et c'est changement très simple : j'arrive directement dans le terminal A, à la porte ( Mais je n'ai pas encore battu mon record du changement le plus cours : Washington-Dulles) : j'arrive aux environs de la porte A25 directement dans le terminal et je dois me rendre à la porte A15 pour prendre mon vol pour Oslo. Autant dire que j'attends la porte en 10 minutes ! Mon vol est prévu à l'heure.

Une offre de presse très allemande est disponible, peu ou pas de journaux internationaux. C'est le moment de travailler mon allemand avec le Süddeutsche Zeitung !

Un 777-300ER de United Airlines tente de se faire une place au milieu de la famille Lutfthansa.



Il est temps de partir à la recherche de l'appareil qui va me faire voler jusqu'à Oslo cet après-midi, c'est un Airbus A319, aux nouvelles couleurs et visiblement équipé en Wi-Fi ! Mais impossible de le prendre en photo en entier ici : au moins, on embarque par passerelle !


L'embarquement se prépare : une annonce est faite pour demander des volontaires pour faire enregistrer leur bagage cabine en soute gratuitement. Cet option ne me dérange habituellement pas, sauf qu'ici je dois faire un changement indépendant à Oslo et donc n'ai pas envie de devoir passer par les arrivées à Oslo et re-rentrer dans le hall des départs ! Je me dis qu'au pire cela finira en mode sauvage comme sur Easyjet : les derniers bagages seront retenus et tant pis ! Respect des priorités mais pas de groupe, l'embarquement est un peu chaotique, on reste un long moment dans la passerelle.

Petite vue sur le fuselage avant de pénétrer en cabine :

Accueil quelconque, les PNC discutent travail et laissent l'embarquement se dérouler de manière autonome.
Voici le siège en classe business, je n'ai pas l'occasion de photographie mon siège, le 4F, comme sur le vol précédent, mais c'est évidemment le même que ceux-là.

Et là, ça devient compliqué : personne ne m'a forcé à mettre à bagage en soute, tant mieux ça m'évitera de courir à Oslo. Cependant, les coffres à bagage sont pleins, et chose frustrante, ils sont pleins de petits sacs, manteaux et duty free, et l'équipage ne se montre vraiment pas proactif pour enlever ces sacs, ou même juste faire une annonce pour demander aux passagers d'être coopératif. Résultat : ma voisine tout comme moi sommes obligés de placer notre bagage cabine à nos pieds. Avec ma sacoche et mon manteau, ça laisse un espace aux jambes très… limité.

Le vol va être long dans cette position. Embarquement terminé ! Et les coffres à bagage de la business class ne sont eux pas remplis. Ma voisine demande à un PNC si c'est possible de placer nos valises en business class. Et heureusement c'est possible ! Il nous demande juste d'attendre le décollage. Ouf !
Place au roulage.




Et décollage dans le ciel nuageux de la Hesse, 16h13, le vol devrait arriver à l'heure. Quand on arrive d'un A320neo, on sent la différence sonore : cet A319 est bien plus bruyant !




Le service s'apprête à commencer mais le PNC revient juste avant pour nous débarrasser de nos bagages, enfin de l'espace !
L'espace aux jambes est tout de suite beaucoup plus appréciable ! En mode business class à nouveau. Si le Wi-Fi (Payant, je n'y toucherais pas), une prise USB manque toujours à l'appel.

Le service commence, tout d'abord le sandwich, au choix Putensalami ou Käse : bien que n'étant pas un fan de salami, je tente ça pour changer du käse du premier vol. Mauvais choix de ma part, j'ai largement préféré le sandwich au fromage. Je le mange vraiment juste pour me caler, mais je n'en reprendrais vraiment pas si l'option se présente à nouveau. J'accompagne le solide par une bière, qui est pas mal du tout et fraîche !



Prost !

Laissez moi désormais vous présenter la documentation à bord : la fiche sécurité de notre A319-100, le magazine de la compagnie, le catalogue duty-free ainsi que la notice du Wi-Fi !




L'approche commence dans la nuit noire norvégienne. La qualité des photos n'est décidément pas présente sur ce vol.

Touché à Gardermoen à 17h50. Puis roulage tranquillement jusqu'à la porte.

Débarquement en ordre, je récupère ma valise qui avait été rangé sous un siège vacant de la business class. Dernier regard sur notre appareil.

Bienvenue à l'aéroport d'Oslo ! Je vous retrouve bientôt pour le vol entre Oslo et Trondheim avec Norwegian !

Merci de m'avoir lu !
Merci pour le partage !
Effectivement quand les racks sont pleins de petits trucs qui pourraient parfaitement passer sous les sièges et que les équipages ne font rien, ça a tendance à m'énerver aussi :)
A bientôt !
Merci pour le retour, la suite arrive bientôt !
Merci pour ce FR.
Bien désagréable expérience aujourd'hui...
À bientôt
Sur ces vols européens, les équipages peuvent vraiment la faire différence et là c'était vraiment décevant et je garde effectivement une mauvaise impression sur ce vol !
Merci pour le retour !
Merci pour ce FR.
ils sont pleins de petits sacs, manteaux et duty free => voilà qui m'agace et je trouve logique de les sortir et restitution à leurs propriétaires, mais bon ce n'est pas aux passagers de faire la loi mais aux PNC (enfin à mon avis).
Il faut aimer le putensalami, perso pas trop, mais la warsteiner est une valeur sure.
A bientôt
Merci pour le retour ! Je pense également que c'est aux PNC de s'occuper de vider les petits sacs des compartiments, d'autant que souvent on a nous même les mains pleines si on n'arrive pas à ranger la valise.
Je sais que les allemands aiment beaucoup le putensalami donc je n'étais pas étonné d'en voir, mais même en ayant les habitudes alimentaires et gustatives des allemands ce sandwich était peu qualitatif.