Après quelques jours à Bangkok, il est temps de reprendre le chemin de Suvarnabhumi (BKK) pour le troisième vol de ce routing asiatique.
Enchainement de vols
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- 5WY818 - First - Bangkok > Mascate - Boeing 787-9
- 6WY131 - Affaires - Mascate > Paris - Boeing 787-9
Nous avons donc décidé, après Bangkok, de partir à la découverte des célèbres temples d'Angkor. Oublions les rêves d'Indiana Jones et de temples perdus au milieu d'une jungle impénétrable : contrairement à ce que l'on pourrait croire, le site d'Angkor se trouve à proximité de la ville de Siem Reap, qui compte près de 150.000 habitants. Pas un bled paumé en somme. L'avantage, c'est qu'avec l'essor touristique de cette destination, s'est développé un aéroport international tout ce qu'il y a de plus moderne (comme nous allons le voir plus bas).
Pour nous rendre à REP, l'option la plus économique consiste à prendre Air Asia. Cela ne m'excite guère d'emprunter une low-cost, mais l'inconvénient majeur d'Air Asia est de partir de DMK, l'autre aéroport de Bangkok. Or au retour nous avons une correspondance à BKK donc ce n'est pas l'idéal.
L'autre option, la plus intéressante, est de prendre Bangkok Airways. La compagnie régionale thaïlandaise a bonne réputation et présente l'avantage de partir de BKK, avec de nombreuses rotations pour REP. Seul inconvénient : le tarif. Impossible de trouver un A/R à moins de 250 € / personne. J'essaie de jouer sur les dates, les horaires, rien n'y fait. J'attends un peu avant de booker en espérant que les tarifs baisseront, mais que nenni. C'est donc un peu écoeuré que je bloque les billets un mois avant le départ, ceux-ci n'auront pas baissé d'un euro.
En route pour BKK
Bref, au moment de partir pour BKK, l'acte d'achat est déjà loin derrière moi et je ne pense (presque) plus au prix des billets en montant dans l'Airport Rail Link. Il n'y a que 8 stations de Phaya Thaï jusqu'à l'aéroport.

Au passage, notez que vous avez un bureau de change SuperRich à la station Phaya Thaï. Lors de mon séjour sur place, il offrait un taux de change imbattable.

L'Airport Rail Link est propre, efficace, rapide et peu onéreux.


Il ne nous faudra qu'une demie-heure pour arriver à BKK.

Le FIDS de cette fin d'après-midi est bien chargé.

Notre vol est prévu à l'heure.

Dès la sortie du métro, nous trouvons un stand de street food. Nous sommes à Bangkok oui ou non ? ^^

Direction le 4e étage pour les départs.

Il y a du monde !

Nous arrivons dans le hall des départs. Celui-ci est grand et lumineux, mais ça fait un peu hangar géant je trouve.


Ca se bouscule aux comptoirs de la Thaï !

Heureusement pour nous, beaucoup moins du côté de PG.


Il n'y a que quelques personnes devant nous et cela va relativement vite.

Certains comptoirs sont dédiés aux clients ayant effectué leur enregistrement sur mobile. C'est notre cas, mais il n'y a qu'une seule file d'attente donc cela ne change pas grand-chose.

Nous sommes pris en charge par une souriante agente PG. Je lui remets nos passeports et celle-ci commente à taper frénétiquement sur son clavier. La procédure traîne et je lui demande s'il y a un problème. Elle me réponds : "yes". Glurp ! quand un Asiatique confirme qu'il y a un problème, ce n'est pas bon signe… Elle m'explique qu'ils ont un souci informatique pour l'enregistrement des vols internationaux. Je lui explique que je nous avais déjà enregistré en ligne, mais elle ne peut pas éditer nos BP. Notre aimable agente tente ensuite sa chance sur un autre comptoir, peine perdue.

Elle m'indique qu'elle va faire tout son possible, et m'invite à nous asseoir un peu plus loin. L'attente durera tout de même un quart d'heure avant qu'elle ne revienne nous voir. Nous pouvons alors enregistrer nos bagages (le tarif acquitté donnant droit, encore heureux !, à un bagage en soute et au choix du siège). Malgré son charmant sourire, elle n'en vérifie pas moins le poids de chaque bagage (la franchise étant de 20 kg seulement).
Bref, ces passionnantes péripéties accomplies je dispose enfin des BP.

C'est sous le regard impitoyable de ces divinités gardiennes de temple…

… que nous nous dirigeons vers les contrôles de sûreté.

D'en haut, vue sur le hall des départs.

Un premier contrôle manuel des BP est effectué par deux agents.

Puis passage fluide de la PAF.

Une fois le PIF passé, direction la PAF.

Ces formalités seront passées en 5 minutes et nous nous retrouvons donc airside.

Nous sommes accueillis par cette imposante représentation de la scène du "barattage de la mer de lait", le mythe hindouiste de création de l'univers. Quand on ne sait pas, ça fait tout de même très kitch…

J'avise un FIDS ; pas évident de s'y retrouver avec de longs affichages des noms en écriture thaï…

La liste des salons est indiquée, avec leur emplacement.

J'avais lu que PG offrait le salon à tous ses pax, mais lors de l'OLCI, en recevant une proposition d'achat d'accès au lounge, je me suis dit que ce n'était plus le cas. De toute façon le salon PG se trouve dans le concourse D alors que nous partons du C, et nous n'avons pas le courage de courir là-bas pour essayer.
Nous passons donc le temps à flâner dans les boutiques du concourse C.

Pas facile de voir le trafic sur les pistes, d'autant que les vitres ne sont pas très spotter friendly.

Nous voilà donc dans le hall d'embarquement.

C'est clair et lumineux. Nous n'aurons pas loin à aller, notre porte d'embarquement se situant immédiatement à gauche.

L'embarquement
En descendant d'un niveau, nous arrivons dans la salle d'attente pour l'embarquement. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas très glamour.

Il y a peu de monde et, sans surprise, ce sont uniquement des touristes. Personne en porte pour l'instant.

De la presse est mise à disposition, mais rien de bien folichon.

Notons la présence de toilettes, avec une préposée dédiée à l'entretien.

Le test pour les bagages cabine. La prise qui pendouille n'est pas du meilleur effet.

Vers 18h30, deux agents viennent s'installer et le boarding est lancé "à l'ancienne" (entendez : oralement en brandissant un panneau SIEM REAP).

On ne peut pas dire que ce soit la cohue. En même temps, si PG vend des billets à ce prix-là…

Tout sent ça le paxbus.

Bingo !

Un seul bus comme celui-ci sera largement suffisant pour charger tous les pax.

Je remarque à ce moment que l'agente PG a conservé les talons de nos BP et que nous avons gardé le billet principal.

Je tiens à calmer toutes les ardeurs : non, je ne voyage pas en P ! ^^

Le trajet ne prendra que quelques minutes avant d'arriver au pied de notre appareil.

Depuis la réservation, il y a eu un changement d'appareil, car nous devions initialement avoir un Airbus. Je suis content car cela fait longtemps que je n'ai pas volé en ATR.
C'est toujours agréable de pouvoir embarquer à pied, ça permet de mitrailler un peu, d'autant qu'aucun "no photo" ne vient m'en empêcher.


Embarquement par l'arrière de l'appareil, comme d'habitude sur les ATR.

Fuselage shot.

Le flight report
Découverte de la cabine. Les tons sont clairs.

Nous remontons la cabine pour rejoindre le 2e rang.

La cabine présente bien, mais je trouve l'éclairage un peu froid. Le pas est juste pour mes 1,80 m. J'ai une barre au milieu qui n'est pas très agréable.

Le PSU est moderne.

La littérature de bord se trouve dans un compartiment au-dessus de la tablette.

Littérature que voici.

Les consignes de sécurité.



Ambiance en cabine. Celle-ci est loin d'être pleine.

Les têtières (peu qualitatives au demeurant) ne manquent pas de rappeler les récompenses que PG a obtenues de Skytrax.

Le siège est légèrement inclinable grâce à ce bouton.

Le premier rang devant nous est inoccupé. Je demande donc à la PNCette s'il est possible de nous avancer. Celle-ci me répond que oui mais pas pour les phases de décollage et d'atterrissage. Certes je comprends les problèmes de centrage, mais je ne pense pas que passer du rang 2 au rang 1 change quoi que ce soit…
Les démonstrations de sécurité sont ensuite effectuées, avec un sourire tout thaïlandais.

Les tondeuses se mettent route et nous quittons notre point de stationnement.

Le moodlighting est activé.

Durant le taxiing, j'arrive à attraper cet A350 TG.

Take off !



BKK. Il y assurément plus de monde qu'à MCT !

Les lumières de Bangkok.

Dès l'extinction du signal lumineux, nous prenons place au 1er rang. Celui-ci bénéficie d'un legroom plus adapté à ma taille.

Détail amusant, les hublots du 1er rang ne se baissent pas mais se lèvent.

Vue sur les sièges côté droit.

Le siège étant situé en issue de secours, l'accoudoir côté hublot est escamoté.

Dès le début du vol, les fiches d'immigration nous sont distribuées.

Le recto ne manque pas de style !

Pour une fois, c'est Madame qui s'y colle, ce qui me permet de me plonger dans le magazine de la compagnie.

On y trouve des articles intéressants, comme ici des photos anciennes d'un défilé royal sur le Chao Phraya.

Ah ben zut alors, on avait bien accès à un salon. PG propose en fait deux salons à BKK : l'un ouvert à tous les pax et le second accessible aux pax J (celui que PG a essayé de me vendre à l'OLCI). Tant pis, next time !

Mes pages préférées, avec notamment la carte des destinations.

La lecture n'est pas facile, car il y a de nombreux partages de code sur des routes opérées par d'autres compagnies, et il n'est pas évident de s'y retrouver dans les différentes nuances de couleurs.

La flotte de PG, très homogène puisque constituée d'Airbus et d'ATR. Dommage, nous n'aurons pas eu de livrée spéciale.

On retrouve ici les destinations desservies en propre par PG. Pas mal pour une compagnie régionale. Notez qu'il y a pas moins de 5 vols par jour au départ de BKK pour REP. En effet, REP n'est pas desservi directement depuis l'Europe et il faut donc transiter par une autre plateforme asiatique (comme BKK ou HAN).

Le vol est court et les PNC ne tardent pas à sortir les trolleys.

Voici le plateau tel qu'il nous est donné.

Sandwich au thon et pain multigraines. J'ai oublié de prendre la photo, mais ce n'était ni appétissant ni bon. Alors que la Thaïlande recèlent de merveilles culinaires, le catering de PG fait appel à de malheureux thonidés pêchés bien loin de la Thaïlande et sans aucun intérêt gustatif. Dommage !

A noter la présence de couvert en métal, ce qui est peu utile me direz-vous pour manger un sandwich…

… mais plutôt pratique pour manger les coriaces fruits proposés en dessert.

Une bouteille d'eau est remise avec le plateau.

La PNC nous proposera du thé ou du café, mais nous demanderons une bière. Celle-ci ne sera pas fraîche :-(

Santé quand même !

Ma fille essaiera un jus de fruit. Chimique et pas bon non plus.

En fin de repas, Madame prendra un thé mais celui-ci ne sera pas bon. Décidément…
La déco du plateau vante la "boutique street food", mais on en est loin quand même…

Un oshibori est également remis avec le plateau.

J'ai bien aimé les conseils d'utilisation indiqués au verso, notamment la notion de "cool place" inférieure à 30°C ! Comme quoi la chaleur, c'est subjectif ;-)

Petit tour ensuite aux lieux d'aisance, situés à l'arrière de l'appareil. Les WC font plutôt vintage.


Vue de la cabine.

Après seulement 45 minutes de vol, nous débutons notre approche et la PNC nous invite à rejoindre nos places initiales. Madame se hâte de finir les fiches d'immigration.

L'approche me paraît très longue, et pour cause : je me rends compte que nous faisons des tours, ce que me confirmera FR24 un peu plus tard.

Nous atterrissons vers 20h25, et rejoignons notre parking après un très court roulage.

Une compagnie que je ne connaissais pas : Cambodia JC International Airlines, une compagnie cambodgienne dotée de 5 A320.

Instant Danette.

A notre sortie sur le tarmac, nous sommes accueillis par ce bel Airbus VN.

Un dernier au revoir à notre tondeuse de la soirée (avec un 737 MU derrière lui).

L'arrivée au terminal de REP est très photogénique, avec son architecture typique.

Bienvenue au Cambodge ! REP (comme les autres aéroports cambodgiens) est géré par Vinci Airport. C'est amusant de retrouver la même signalétique qu'à TLN ;-)

L'arrivée à REP
Passage obligé pour ce qui nous concerne au bureau des visas. Nous avons opté pour le visa on arrival, car moins cher que le visa en ligne. Au péril de ma vie, voici quelques photos du bureau des visas. Pas de queue donc nous espérons une procédure rapide.

Sauf que c'est ici que se déploie la redoutable efficacité bureaucratique cambodgienne, avec une myriade de fonctionnaires, chacun étant dévolu à une tâche bien précise : un premier qui prend les fiches d'immigration, un second qui prend les passeports, un troisième qui récupère les dollars. Nous avions lu qu'il fallait des photos d'identité mais on ne nous a rien demandé. Ceci fait il faut ensuite attendre que chaque passeport passent entre de nombreuses mains avant de vous être rendu. Tout ceci ne nous aura finalement pas pris bien longtemps, mais nous avons eu de la chance car il n'y avait alors que notre vol, et je n'ose imaginer arriver juste après les vols MU et VN.
Une fois le visa obtenu, le passage de la PAF est très rapide.

Direction le tapis à bagages. REP n'est pas bien grand, mais propre et très fonctionnel.

Je ne m'attendais pas à autant d'activité dans ce petit aéroport. La soirée est bien chargée !

Nos bagages ont déjà été livrés et nous gagnons donc la sortie. Un bureau de change est ouvert avant de sortir.

Allez, soyons sympa et mettons une bonne note.

REP by night. Je trouve cette architecture plutôt réussie.

Une particularité de Siem Reap : sur simple demande, de nombreux hôtels (et le nôtre en particulier) proposent un transfert gratuit de et vers l'aéroport. C'est donc avec plaisir que nous sommes attendus avec une pancarte à mon nom.

Pas de doute, nous sommes bien au Cambodge ! ^^

Merci de m'avoir lu ! Pour finir, voici notre route de la soirée. Je vous retrouve très bientôt pour les trois vols retour.

Bonus touristique
Je ne peux résister à l'envie de vous faire partager les merveilles que nous avons vues à Angkor.
Merci Stéphane pour le partage !
Une petite sueur froide avant d'enregistrer mais finalement tout va bien.
A bord c'est vrai que ce n'est pas vraiment ça niveau catering mais PG en sert encore gratuitement donc c'est plutôt pas mal.
Super bonus culinaire, mais tu ne donnes pas ton avis sur les insectes ? Alors lequel est le meilleur ? Et le pire ?
A bientôt !
PS / Concernant le lounge PG : l'accès est toujours gratuit mais tu peux "upgrader" sur un lounge premium :)
Mreci Stephan pour le commentaire.
Je n'étais pas trop inquiet pour obtenir les BP, mais ce n'est jamais très agréable. Heureusement les agents thaïlandais sont toujours souriants et calmes.
Concernant les insectes : les vers et autres fourmis n'ont pas vraiment de goût, par contre c'est assez riche ! Les scorpions et les araignées sont croustillants, pas mauvais, sauf l'abdomen qui a un goût assez particulier. Les filles n'ont pas trop aimé ! Mais c'est une expérience intéressante.
C'est ce que j'ai compris après, mais les infos de PG n'étaient pas très claires à la base.
A bientôt !
Merci Stephane pour ce FR.
Qui tu te doutes bien m'intéresse au plus haut point devant faire un vol REP-BKK dans un peu plus d'un mois avec cette compagnie.
Et la chose la plus amusante , c'est que j'ai réservé dans le Hanuman Alaya Villas, je viens donc d'apprendre que celui-ci est en travaux.....
Prestation qui a le mérite d'exister mais qui n'est extraordinaire.
A bientôt
Hello Valérie ! Ce sera donc plutôt le FR retour qui t'intéressera ;-) En tout cas un peu déçu par la prestation PG.
Je constate à nouveau que nous avons tous les deux bon goût ! ^^
L'hôtel où nous étions était très bien, et nous avons eu l'opportunité de rencontrer la propriétaire, une très gentille dame cambodgienne parlant un excellent français. Je t'enverrai par MP quelques infos.
Hello Stephane merci de ce récit vers une destination que j'adore. Une expérience en demi teinte avec Bangkok Airways; peut etre attendais tu trop en ayant lu les FR. Plaetau que je ne trouve pas si mal si tu compares à tes CDG TLN ! et bières fraiches ;-) Je pense que le tarif très elevé a un peu gaché l'expérience.
Merci Christophe pour le commentaire.
Peut-être mais on trouve des tarifs deux fois moins chers que celui-ci.... Plus sérieusement il y a des détails quali comme les couverts ou le plateau, mais ce n'était vraiment pas bon...
Ben justement non...
C'est possible en effet. Après ce n'était pas si mal, et cela m'a amusé de reprendre un ATR !
A bientôt !
Même si le billet ex-Suvarnabhumi est plus cher que de Don Muang, tu as eu l'assurance d'avoir une bien meilleure expérience au sol.
L'ancien aéroport est connu pour être mauvais pour la PIF et la PAF.
Je comprends que les ATR ne soient pas équipés de four mais ça ne devrait pas empêcher la compagnie de proposer de meilleurs sandwichs
Quant à ton arrivée à Siem Reap, je vois que les formalités pour le visa on arrival n'ont pas changé depuis mon voyage sur place il y a trois ans.
Faut bien garantir le plein emploi dans la région
Je préfère Bayon à Angkor Wat
A part le scorpion dont on voit clairement la queue, as-tu une appréhension à manger la tarentule? Ca a l'air appétissant en beignet
Merci Stéphane
Merci Bernard pour le commentaire !
A la lumière de ce que tu me dis, je regrette d'autant moins de ne pas avoir cédé aux sirènes d'Air Asia et de DMK...
J'aurais voulu prendre une vidéo de cette myriade de fonctionnaires s'acharner sur nos quelques passeports. Hors du temps ! ^^
Le Bayon sera en bonus dans le prochain FR. Pour ma part j'ai préféré le temple de Banteay Srey, plus au nord.
C'est plus impressionnant visuellement que gustativement troublant. Comme je le disais à Esteban, c'était globalement bon, sauf l'abdomen des grosses bêbêtes, qui avaient un goût un peu particulier. Il te faudra essayer la prochaine fois que tu iras au Cambodge !
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce FR.
Cela ne pèse pas bien lourd pour 250 EUR par personne. Surtout si on zappe la case salon (a priori pas grand chose de loupé).
Mais Angkor vaut bien cela, la première fois où j'y suis passé, j'avais pris le minibus depuis Bangkok... pas une bonne idée !