Introduction
Ce récit est celui du vol de retour d’un énième voyage au Japon, inoubliable pour deux raisons : le bonus du vol AMS-NRT que vous pouvez (re)lire ici, et le bonus du récit de ce vol. Le routing est total look KLM :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3KL862 - Economique - Tokyo → Amsterdam - Boeing 777-300ER
- 4
Après donc la journée décrite en partie dans le bonus, retour illuminé par un arc en ciel chez l’amie qui nous héberge.
Non, elle ne nous a pas casés dans un container de stockage Hello Kitty ! Elle habite juste à côté.

Une fois rentrés, il est temps d’effectuer notre OLCI. Sans surprise, KLM propose de payer des suppléments. Un siège Economy Confort à 60 EUR ? Voyons cela…

Ces sièges sont dispersés çà et là dans la cabine ; le seul siège au hublot est à contre-jour et les deux seuls sièges côte à côte sont en places centrales. Merci, mais non merci.

Encore plus de confort ? Il en coûterait 479 EUR chacun pour voyager en J, avec certes deux duos au hublot du bon côté : une affaire par rapport au tarif de la J à l’époque de l’achat des billets, mais nous préférons faire autre chose avec 958 EUR.

On en reste donc là, au fond de l’avion pour améliorer nos chances dans le pari du siège milieu neutralisé.

Pari du siège neutralisé aussi pour le vol de continuation AMS – CDG, même si cela n’a guère d’importance. Les plus attentifs auront remarqué que Mme est passée FB-Silver, ce qui nous autorise quatre bagages en soute, bien inutilement.

Ce statut tout neuf lui donne le droit de choisir entre payer 30 EUR pour entrer (brièvement) au Crown Lounge à AMS, ou d’être invitée gratuitement par son FB-Gold de mari. Devinez quel a été son choix ?

Trajet vers NRT
C’est à peu près l’équinoxe, mais il fait jour tôt au Japon qui est à l’heure solaire, et l’aube est déjà là en arrivant à Tsujidō 辻堂, l’une des gares de la ville Fujisawa 藤沢.

Il n’y a pas foule aux portillons

Et pour cause : nous prenons le premier train, celui de 5h50 qui va jusqu’à Utsunomiya 宇都宮, à 150 km de là à vol d’oiseau

Quasiment personne sur le quai parce que nous avons pris une marge confortable

Il y a un peu plus de monde à l’approche du train

Dans le train, c’est déjà assez plein de navetteurs – c’est l’inconvénient de partir un jour de semaine.

Cinq minutes de correspondance à la gare de Shinbashi 新橋 : cela devait être large, sauf que la signalétique de cette grande gare est - exceptionnellement - déficiente pour cause de travaux et que sa configuration sur plusieurs niveaux décalés ne tombe pas sous le sens. Bref, nous arrivons sur le quai deux minutes trop tard. Mais une brève consultation de Hyperdia (l’incontournable site des horaires ferroviaires japonais) me fournit un bon plan B : prendre le premier train venu vers la gare centrale de Tōkyō, et de là le Narita Express.

J’avais cherché à éviter le Narita Express à cause de son supplément (il n’y a pas de petite économie !), mais nécessité fait loi et il est toujours possible de régulariser à bord sans pénalité. C’est un cas rare de train entièrement à réservation, mais il est très peu rempli ; tout au plus, nous n’avons pas trouvé de sièges l’un à côté de l’autre.

Un FIDS bilingue à bord affiche les portes et statuts des prochains trains au départ.

Pas vu, pas pris : aucun contrôleur ne s’est présenté à bord, et nous arrivons à NRT à peu près à l’heure prévue initialement, en ayant déboursé la somme initialement prévue, débitée à la sortie de nos SUICA respectives (ce sont des cartes de transport préchargées).

Au terminal 1, les vols domestiques sont au niveau 1, ainsi que les arrivées internationales

Les départs internationaux sont au niveau 4, et pour AF, c’est côté nord

Un exemple plutôt rare d’escalier mécanique officiellement autorisé aux chariots à bagages – sa pente est plus faible que d’habitude.

NRT landside
Qui pourrait ignorer que NRT-1 Nord traite principalement (mais pas seulement) les vols Skyteam ?

Des hôtesses filtrent les accès aux comptoirs Skypriority, ici pour les vols DL

Et là pour AF

La queue est quasi-nulle pour les PAX Skypriority et très modérée pour les autres.

La valise bleue était « de cabine » à l’aller, car elle contenait tout le matériel destiné à l’ascension du Mt Fuji, qui ne devait en aucun cas être perdu ou excessivement retardé, plus quelques vêtements de première nécessité. Elle était « en soute » au retour, plus rien n’étant critique à destination

La valise rouge n’a pas pris de poids, mais la valise bleue oui.

La valise est dûment étiquetée Priority, mais ce qui compte vraiment, c’est le code-barres, avec la lettre R (« Rush ») pour la correspondance courte à AMS, et la lettre F (« First ») pour la livraison à CDG.

Les BP reçus sont valides pour ce vol NRT-AMS et celui de continuation AMS-CDG

Les bornes automatiques délivrant des BP sont suffisamment nombreuses pour qu’il y en ait toujours certaines inoccupées.


Dominant l’accès PIF/PAF, un très grand FIDS à palettes

L’affichage alterne entre version japonaise

… et anglaise

Par ici la sortie !

Cette formule stéréotypée en japonais signifie littéralement « Prenez soin de vous / Soyez prudent, à bientôt !».
(Moi aussi, j’espère vous revoir !)

Pas d’attente excessive : six minutes pour franchir le contrôle de sûreté et quatre pour l’immigration, cheminements compris.
Airside, c’est assez spotter friendly : la preuve en est apportée ici par une petite famille se fait un selfie devant les avions, mais faute de flash, je crains que les visages ne soient bien sombres ou les avions bien clairs.

Voici à quoi cela ressemble à l’intérieur

Et à l’extérieur (deux A330-300 Hong Kong Airlines)

747-400 Polar Air Cargo

787-8 Aeromexico stationné au large

767-300F UPS

Au niveau Départs également, la moquette est en cours de remplacement

Le Narita Premier Lounge
L’accès au salon utilisé par KLM

Il est utilisé par Etihad, Hong Kong Airlines, KLM, Air France, Air Calin et Royal Brunei.
La proximité des portes utilisées facilite la correspondance pour les itinéraires CDG-NRT-NOU.

AF/KL est manifestement le principal utilisateur de ce salon, au point d’avoir apposé son logo sur ce plan trilingue au comptoir d’accueil (on remarquera que le français est perfectible).

La « chambre japonaise » (sic), en bas à droite sur le plan, est purement décorative

Le mot de passe du wifi semble n’avoir pas changé depuis plus d’un an

Les espaces sont séparés visuellement par des claustras très ajourés, laissant largement passer la lumière naturelle


L’offre de presse est plutôt maigre, tout particulièrement en langue anglaise

Partant par le train de 5h50, nous avions recommandé d’emblée à notre amie de ne pas envisager de nous préparer un petit déjeuner, et nous avions quitté son appartement à jeun sans faire de bruit.
Si nous n’avions pas eu d’accès au salon, nous aurions bien sûr acheté un bentō 弁当 à la gare centrale de Tōkyō. Un bentō, c’est un panier repas très économique, dont il existe une infinie variété au Japon ; il y en a notamment toujours à vendre dans les gares grandes et moyennes. Le « bentō de gare » (ekiben 駅弁 ) est une spécialité locale à part entière, au point que ce point de vente de la gare centrale de Tōkyō en propose un assortiment (sur la lanterne : 全国の駅弁 : ekiben de tout le pays)

Les boites sont souvent rectangulaires, mais rien n’interdit de la créativité

… allant jusqu’à des boîtes rappelant les trains à grande vitesse

Les ekiben, ce sera pour une autre fois ; voyons ce que le buffet du salon nous propose

Il y a encore des articles de petit déjeuner, comme ces viennoiseries

… ainsi que du pain de mie destiné à ce grille-pain

Derrière le grille-pain, de très japonais edamame枝豆 (fèves immatures de soja), et des olives très européennes.

Céréales, fromage blanc, pommes et bananes, jus d’orange

Côté plats chauds :
Légumes et riz grillé

Pommes de terre et œufs brouillés

La nourriture halal, introuvable au Japon il y a vingt ans, devient de plus en plus courante, comme ici au salon avec cette soupe poireau - pommes de terre

Et ce curry au poulet

Comment imaginer un buffet en Extrême-Orient sans un autocuiseur de riz ?

De gauche à droite :
Gouda et probable emmental (ou gruyère ?)
Mango Cup Dessert, Caramel Mousse Cake, Green Tea Mousse Cup
Brie et fourme d’Ambert
Pastrami et jambon

Assortiment d’assiettes et coupelles, couverts et baguettes séparables

Machine à café

Du vin est présenté dans un curieux distributeur permettant de se faire verser automatiquement une dose de 30, 60 ou 90 ml dans un verre.

Voici la carte des vins

Les Japonais sont de grands amateurs de whisky, domestique ou importé

Le 777-300ER de KLM arrive, pendant que je suis au buffet, et c’est à Mme Marathon que vous devez d’avoir ces photos.

Dernier virage, guidé par le personnel de piste

Arrêt complet de l’appareil

Y-a-t-il un pilote dans l’avion ? Non, deux !

La passerelle est en place

A mon retour, un clin d’œil de Mme et moi-même à notre modératrice préférée

Voici ce pour quoi j’ai raté l’arrivée du 77X KL

Des plans de travail face aux baies vitrées avec vue sur le trafic, des prises électrique secteur (type A/B) et USB : que demander de plus ?

Derrière nous, les claustras séparant un espace légèrement surélevé, en vue panoramique

Photographié par Mme, le personnel du ménage descend d’un avion au contact

Spotting au salon
Je reprends les rênes du spotting avec ce 777-300ER Air France

747-400 Polar Air Cargo

A330-900 (A330neo) Air Calin

Je n’en ai pas vu plus de ce 777 Garuda Indonesia

Repoussage de l’un des A330-300 Hong-Kong Airlines vus précédemment.

Si l’orientation des pistes s’y prête, ce salon permet aussi d’observer des décollages
737-800 Air China

A321 Asiana Airlines

A320 Peach Airlines - j'en ai vu une demi-douzaine !

Le 767-300F UPS vu au sol

A330-200 Korean Air

777-300 (ER ou non ?) Cathay Pacific

Ah oui, Mme a aussi saisi en mon absence ce 737-800 Jin Air

Ainsi que l’envol de cet A330 China Airlines

Et de cet A321ceo Philippine Airlines

Vue l'heure indue du train, nous sommes partis furtivement de chez notre amie, après une courte nuit. C’est plutôt le soir qu’on fait sa toilette complète dans ce pays, mais c’est une bonne occasion d’aller prendre une douche ici. J’aurais dû m’en soucier dès mon arrivée au salon : quand je vais demander un accès après avoir pris mon petit déjeuner, et le temps qu’une douche soit libre, l’heure de notre embarquement approche et la dragonne à l’accueil me recommande de faire vite (je sais faire !).

Les lieux sont évidemment impeccables et il ne manque aucun accessoire.

Les WC sont évidemment à douchette intégrée. Les essayer, c’est les adopter ; les usagers sont d’ailleurs censés les avoir adoptés à la fin de leur séjour au Japon, car la télécommande au mur est en japonais (et pictogramme) uniquement

L’évier est sobre et esthétique, mais je trouve les rebords plutôt mal pratiques.

L’embarquement a déjà commencé quand je sors après une douche bien agréable.

Le temps d’arriver en porte, l’embarquement non-Skypriority a déjà été lancé.

Tout au fond d'un 77W KLM
Instant porte

Fuselage shot

Bref aperçu de la J

Le pari du siège milieu neutralisé est déjà perdu lorsque nous arrivons à notre rang : PAX 60K, un Japonais un peu âgé, commence à s'installer. Il demande si nous voyageons ensemble : Mme coupe court à toute proposition non souhaitée d'échange de place en répondant que non, alors qu'il est assez manifeste que c'est faux, mais un Japonais n'ira jamais plus loin.

Vue depuis mon siège

Dans un 777 en 3-4-3, il n’y a pas de miracle : le siège est plus étroit encore que dans un A320, et même un peu plus que dans un 737.

Quant au pitch : ouïe ! C’est quatre centimètres de moins qu’à l’aller : je plains les PAX de grande taille et/ou de forte corpulence.

Si le dossier est incliné devant (photo prise en vol), l’utilisation du PC pendant ce vol de jour est assez inconfortable.

Rien à dire au sujet de l’aumônière, de faible contenance

Prise secteur multistandard sous les sièges. Qui se souvient que cet équipement n’allait pas de soi en classe affaire il y a dix ans ?

La moquette est propre

Des écouteurs très bas de gamme sont distribués par une PNC

Je ne savais pas que Harry Potter a été un compositeur de musique classique et/ou d’opéra. On en apprend tous les jours ;)

Instant F-OITN : il n’y a plus de bouton d’appel ni d’interrupteur des éclairages individuels : tout est commandé à l’écran tactile de l’IFE, au prix d’une navigation qui n’est pas forcément évidente pour un débutant.

Pas de fiche de sécurité à notre triplet : j'utilise le bouton d'appel. Une PNC arrive immédiatement, présente ses excuses pour cette absence de fiche (tombée par mégarde dans le bagage à main d'un FRiste pendant le vol AMS-NRT ?) et m'en apporte une du stock dans le galley arrière.
Ce n'est que mon deuxième vol en 77W KL : il faut quand même que je l'étudie avec soin ! .


Repoussage à ETD-10'. Le CdB annonce qu'il y a 4-5 appareils devant nous, mais qu'étant partis en avance du bloc, on devrait arriver à l'heure. La vidéo de sécurité est lancée, sur le thème de la faïencerie de Delft

… avec des dessins légèrement animés. Cette vidéo diffusée au départ d’un vol ex-NRT bénéficie d’un sous-titrage japonais.


Encore un peu beaucoup de spotting
777-200ER Alitalia

A350-900 Finnair en livrée oneworld

A350-900 Vietnam Airlines

777-F Fedex

A321 Vietnam Airlines

787-8 Japan Airlines

777-200ER Japan Airlines

767-300ER ANA

747-400 Polar Air Cargo

A300-600 Air Hong-Kong pour DHL

747-8 Nippon Cargo

MD-11F Fedex

Dash 8-400 ANA

Nous sommes bien au départ de Narita…

…piste 34L. Derrière, des hangars des pompiers

A320neo ANA

787-9 Scoot

737-800 Spring Airlines Japan

A320 Vanilla Air

737-800 Jeju Air

Pour nous, ce sera après ce 737-800 ANA

La file d’attente derrière nous

Avec un A340-300 Swiss

Je ne sais pas si c’est le même qu’à mon arrivée à NRT, mais cette fois-ci, j’ai pu lire l’immatriculation du 747-400F aperçu : celui-ci appartient à Atlas Air.

A350 Malaysia Airlines

767-300ER ANA

A320 Jetstar Japan

787-9 LOT

Dernier avion spotté en étant au sol: ce 767-300ER ANA. Livré en 1989, il a été converti en avion-cargo en 2008.

Le 777 Air France quitte le terminal à l’extrême droite, alors que nous prenons l’air

A gauche, la zone de fret en face des portes Skyteam,

Vue générale de l’espace fret

AU second plan, la piste 16L/34R, décalée par rapport à la 16R/34L. Au premier plan, l’hôtel Marriott et les voies ferrées vers NRT

Un 747 China Airlines au départ piste 34L

Un peu de géographie japonaise
Vue générale de la piste 16L/34R

Quelques-uns des nombreux golfs à proximité des approches des pistes

Franchissement de la rivière Tone 利根

Non, l’avion ne part pas vers le sud-est

Il fait une boucle entière pour prendre de l’altitude au-dessus des nuages

Cette fois-ci, avec un virage pile au bon endroit au-dessus de la rivière Tone,

… impossible de rater la piste 7/25 du terrain d’Ōtone 大利根, dédié au vol à voile. Étonnez-vous qu’il soit soumis au contrôle aérien de NRT !

Au premier plan ci-dessous, le golf du Narita Hills Country Club

Au nord du lac Kasumigaura 霞ケ浦…

… les deux pistes de l’aéroport mixte civil et militaire d’Ibaraki (IBR)

L’avion continue de tourner, découvrant à nouveau le lac Kasumigaura

Utsunomiya 宇都宮, terminus du train pris ce matin et nœud ferroviaire bien connu des titulaires du JR Pass qui doivent changer ici pour aller à Nikkō 日光, au lieu de prendre la ligne privée Tōbu 東武 qui est privée, donc non couverte par le pass.

Illustration sur l’IFE de la boucle effectuée pendant la montée initiale

Le lac Yashio八汐, créé par le barrage Kawaji川治 sur la rivière Kinu鬼怒. Avec sa voûte de 140 mètres de haut, ce barrage est le deuxième plus haut du Japon. Au second plan, c’est le lac de du barrage Ikari 五十里 de 112 mètres de haut.

Arrivée à la Mer du Japon

La moitié nord de l’agglomération de Niigata 新潟

Six ponts, dont l’un ferroviaire, sur la rivière Agano 阿賀野

L’aéroport de Niigata (KIJ)

Qui a parlé de pollution marine ?

On s’éloigne de la côte, avec la petite île Awashima 粟島, peuplée de moins de 300 habitants. Ce n’est pas encore cette fois-ci que je verrai l’île Sado 佐渡 qui se trouve à gauche de l’appareil

La géovision me le confirme

Survol de la russie et repas à bord
Le repas tel que servi.
Il faut retenir en permanence le plateau qui est trop léger pour ne pas glisser sur la surface de la tablette qui est très lisse.

Après déballage, et après avoir reçu un coca-cola

Mme a choisi l’autre plat chaud (et a oublié d’ôter le plastique avant de prendre la photo : soyez indulgent envers elle !). Quel que soit le choix, ce n’est pas très exaltant.

La PNC japonaise va chercher quelque chose après avoir servi le coca cola de Mme, et oublie ensuite de servir les boissons de mon voisin et moi-même. Il finit par l'appeler avant qu'elle ne soit hors de portée. Elle s'excuse avec effusion, à la japonaise.
La décoration du couvercle des barquettes reprend les motifs sur les verres et gobelets jetables.

Le vin sud-africain choisi par notre voisin en siège milieu

Compactage des emballages vides de ce repas plutôt décevant.

L’avion entre en Sibérie au niveau de Svetlaya, qui n’apparait pas dans la géovision

… mais que voici

Svetlaya est relié au monde extérieur par son port fluvial et par son aérodrome (ETL), desservi uniquement par Aurora au départ de Terney (NEI), à 210 km plus au sud sur la côte.

Un curieux motif anthropomorphe dans des étendues peut-être marécageuses sur le cours du fleuve Amour.

Un tout petit plus loin à l’ouest…

… la piste de béton de 3220 mètres de Mengon, dont le rôle dans le dispositif militaire russe est inconnu. Elle faisait partie des pistes de secours pour la navette spatiale russe Bourane, qui n’a effectué qu’un vol orbital en automatique avant d’être abandonnée.

Au loin, la ville d’Amoursk et le fleuve Amour

Les nuages se referment

… et la neige apparaît dans le paysage

Mme va aux toilettes ; tout le monde à sa droite en profite pour faire de même. Voici les boissons en libre-service au fond du couloir de droite.

Le stock de nourriture solide est quasiment épuisé

Mais le temps d’aller aux toilettes et de prendre les photos qui suivent, une PNC a refait le plein.

La cabine arrière, vue du fond de l’appareil.

Dans les WC, c’est banal et propre (et banalement propre)

J’ai pris garde d’ouvrir doucement la porte en sortant

Instant porte, et siège de structure

L’accès aux couchettes de l’équipage est derrière cette porte, sécurisée par un digicode

Retour à mon siège : la trajectoire est désormais suffisamment au nord pour que le paysage soit enneigé mi-septembre

Des reliefs striés

Le deuxième repas, tel que servi

Les plat chaud est constitué de pennes avec une quantité presque homéopathique de légumes (dont une mince tranche d'un très petit champignon de Paris) et un peu de béchamel et de sauce tomate pour lier le tout. Je n’ai pas trouvé de preuve d’utilisation de protéines animales.

Comment rassembler tout cela ?

Il suffit de revisiter le traditionnel furoshiki 風呂敷 japonais en utilisant la nappe de textile non tissé (un peu petite et un peu fragile pour cet usage : il ne faut pas forcer !)

Géographie norvégienne
Le ciel se dégage dans le grand nord de la Norvège : voici Harstad, sur l’île Hinnøya, l’une des plus grandes du pays.

L’île Hinnøya, au second plan ci-dessous, est reliée au continent par le pont Tjelsund, sur le bord droit de cette photo. A l’extrémité gauche de la photo, la piste de l’aéroport de Narvik (EVE).

A droite, la côte sud de Hinnøya. Les PAX assis à gauche ont dû voir Narvik, à moins que l’avion ne soit passé ici à la verticale de la ville.

Cet embarcadère cruciforme dessert une carrière de chaux et une ferme aquatique

Le Tysfjord à gauche et l’Efjord au centre. Remarquez la spectaculaire montagne en étoile à trois branches, dans le quart inférieur gauche de la photo.

Vue générale de l’Efjord

La route E6 franchit l’Efjord dans la municipalité de Ballangen grâce à trois ponts (dont un suspendu, à droite), s’appuyant sur les deux petites îles Storøya et Halvardøya. (Le nom de la première n'est ni très créatif, ni très justifié, car "Stor øya" signifie simplement "Grande île" en norvégien,)

Il n’y a pas que des fjords en Norvège, mais aussi beaucoup de lacs, ici autour du même Efjord

Kjøpsvik, sur le bord du Tysfjorden , le plus profond fjord de Norvège du Nord. Il n’y a pas de pont qui le franchisse ni de route qui en fasse le tour : la seule option pour les automobilistes est de prendre l’une des deux lignes de ferry, traversant le fjord, dont Kjøpsvik - Drag

Le Tysfjorden, avec Drag à gauche, à la limite des nuages, et Kjøpsvik à droite

Les montagnes derrière le village de Presteid, 551 habitants selon Wikipedia

Les sommets du Parc national de Sjunkhatten,

… et au-delà de celui-ci,

… la ville de Bodø

La voici avec un traitement d’image musclé

Encore un coup de zoom pour faire apparaître son aéroport, BOO, suffisamment près du centre-ville pour qu’on puisse y aller à pied si la météo s’y prête, comme ce jour-ci. Les connaisseurs reconnaitront dans le coin inférieur droit le bâtiment allongé du Musée National de l’Aviation, semblant être en deux parties distinctes à cause de la tour centrale de couleur sombre.

Je n’ai pas cherché à localiser ce paysage de nuages accrochés aux îles

Le lac Langvatnet. Pas de chance : les nuages du coin inférieur gauche m’ont caché MQN, l’aéroport de Mo i Rana

A défaut de MQN et de Mo i Rana, voici à une quarantaine de km de là Bjerka, au fond du Sørfjorden

L’avion traverse ensuite l’intérieur des terres

C’est encore plus difficile de se repérer dans ce paysage


L’extrémité nord du Randsfjorden, qui malgré son nom est un lac d’eau douce, aussi long qu’étroit : 77 km de long et moins de 2 km de largeur moyenne.

Vikna, à l’extrémité sud du lac Sperillen, trois fois moins long avec 26 km, et comparativement moins étroit (mais quand même moins d’un kilomètre et demi de largeur moyenne).

L’avion quitte l’espace aérien norvégien à Arendal, facile à identifier par la forme en T de son fjord (c’est en fait une île à droite)

Vue générale d’Arendal, après traitement d’image

Pas de chance, son aéroport (ENGK), sans activité commerciale, est caché par un nuage dans le quart supérieur droit de cette photo.

La côte, à une petite dizaine de kilomètres au sud d’Arendal

Vue générale avec Arendal à droite

Un ultime aperçu norvégien avec Kristiansand, dont la piste de l’aéroport apparait à l’extrémité droite sous forme d’un trait blanc horizontal.

Je vous accorde bien volontiers que cela ne saute pas aux yeux, et encore, voici la photo brute :

A partir de là, est-ce que l’avion va raser le Danemark ?

Ou bien passer nettement au large des côtes ? Voici un bon exemple de l’imprécision de la géovision de KLM (et d’Air France qui a la même). Peu importe ici pour moi, en fait, car étant à droite, je ne pourrai voir que la Mer du Nord.

Un en-cas et descente sur AMS
C’est le moment où un minuscule en-cas est distribué

… avec une gaufre de 9 cm de diamètre. On a bien besoin de 86 ml d’eau pour faire passer ces 39 g de nourriture solide.

Les ingrédients ne font pas rêver : de la farine de blé, du sirop de glucose-fructose, du beurre (dont il est précisé qu’il est élaboré à partir de lait), du sucre, de la graisse de palme, du sirop de sucre, de la farine de soja, de l’huile de colza, du sel, de la dextrine, de la lécithine de soja, de la poudre à lever, de la cannelle, de la vanille Bourbon et de l’acide citrique.
N’étant pas utilisateur habituel de cet ingrédient, Wikipédia m’a appris que :
Les dextrines jaunes sont utilisées dans des colles à l'eau (enveloppes), dans des additifs pour le moulage en sable, des liants pour la gouache et dans l'impression des tissus. Les dextrines blanches sont utilisées dans les excipients des médicaments, les papiers couchés, les liants dans les feux d'artifice. Étant peu digestibles elles constituent des fibres alimentaires solubles.
Rien que du bon !

L’IFE affiche les portes des vols Skyteam en correspondance

Pendant ce temps-là, on est encore au-dessus des nuages

De malencontreux nuages me cachent ici le centre d’Amsterdam. A défaut, l’échangeur entre l’A1 et l’A6 en provenance de la ville nouvelle d’Almere (en bas à droite) et celui l’A9 au centre.

A droite, Ijburg, un quartier résidentiel créé dans un nouveau polder

L’autoroute A9 est couverte le long de Bijlmer

Ça se dégage un peu au-dessus d’Amsterdam. Les passionnés de ferroviaire noteront un timide rayon de soleil sur la gare de triage et les ateliers de maintenance des trains à grande vitesse de Watergraafsmeer, un peu en dessous du centre de la photo.

Une passerelle pour piétons et cyclistes franchit le canal Amsterdam – Rhin au niveau de Nigtevecht

Une partie des minces parcelles de polder rayonnant au sud d’AMS

Je n’ai pas grand-chose à dire d’intéressant au sujet de Zevenhoven, à ceci près que c’est à une douzaine de kilomètres plein sud de la piste 36R. L’orientation des pistes étant vers le nord, nous échappons de toute façon à la Polderbaan : la 36L n’est utilisée que pour les décollages.

La sinueuse rivière Amstel

Pont levis moderne sur l’Amstel à Vrouwenakker

Une partie des entrepôts d’Aalsmeer

L’Autohotel Rijsenhout, un parking longue durée privé, relié par navettes à AMS

Atterrissage

Airside à AMS
Nul ne sait quand ces trois appareils stockés au large vont redécoller : deux 737 MAX de TUI, interdits de vol sine die, et un 777-300 cloué au sol par la faillite de Jet Airways.

C’est bien la piste 36R que nous quittons

Un 747-400 KLM sur le départ

Arrivée au contact auprès d’un 787-9 KLM

Instant Danette

Passage d’une cabine Y à la suivante, avec un sourire d’une PNC au passage

Traversée de la cabine J


Le 777-300ER qui vient de nous ramener à AMS, vu après le débarquement.

737-800 KLM

De même qu’à l’aller, le couloir situé au pied du salon non-Schengen de KLM fournit des opportunités de spotting

A330-300 Turkish Airlines

Derrière le 333 TK, un A330-200 KLM, un 777 KLM et un appareil KLM Asia.

A330-200 Delta Air Lines

D’où part l’avion suivant ?

Le vol KL1243 (sharecode GA9222) est à 16h30 porte C7, ce qui nous laisse le temps de passer au Crown Lounge, le salon Schengen de KLM.

Descente au niveau inférieur

Le contrôle d’entrée en zone Schengen est au fond ; cela ira assez vite. Notez les décorations lumineuses vantant l’offre gastronomique locale (hum…)

Dans le sens inverse (sortie de la zone Schengen), vu d’en haut, le PIF est désert

Mais il suffit qu’arrive un vol pour que ça se remplisse un peu

C’est la fin de ce récit ; la suite est à paraître postée dans le FR du vol suivant.
En attendant, je vous propose un bonus sur l’autre but de ce voyage : un festival qui perpétue une tradition japonaise remontant à plus de huit siècles.
Merci pour ce récit complet et bien illustré !!
Un peu déçu du catering j'avoue mais le personnel rend le voyage plus agréable visiblement.
Dans ta conclusion tu as du raté un chiffre 747 au lieu du 773 opéré sur ton vol?
A bientôt pour HND par AF début novembre
Un hublot que je peux laisser ouvert de jour (et un siège au couloir pour Mme), un personnel agréable : ce sont mes critères principaux de qualité de vol en éco. Je comprends parfaitement que d'autres passagers aient des priorités différentes.
J'ai corrigé l'erreur dans ma conclusion - je devais avoir la tête ailleurs, comme trop souvent.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce vol retour !
Une prestation très solide et efficace de KLM. Rien d'incroyable, mais aucun mauvais point, c'est un produit cohérent dirons-nous.
Très belles photos des paysages survolés.
Bonne soirée !
"Un produit coherent - rien d'incroyable, mais aucun mauvais point" : c'est une synthèse que j'approuve.
J'ai eu plutôt de la chance avec la couverture nuageuse; il y a eu quand même du traitement d'image et un zoom parfois poussé à fond.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR, toujours aussi bien documenté et encore un bonus sympa
Vol à priori agréable, dommage pour le catering qui a vraiment l’air moyen.
Vol en effet agréable, d'autant que le catering est pour moi assez secondaire.
Le sujet du bonus s'imposait pour les deux vols long-courrier de ce voyage; la principale difficulté était de faire un choix parmi les nombreuses photos accumulées !
Merci pour le commentaire !
Bonjour François et merci pour ce FR,
NRT est une plate-forme performante et agréable, peut-être un peu moins avec les travaux en cours.
Le salon semble confortable et la vue sur le tarmac permet une jolie séance de spotting.
Le catering y est très correct je trouve.
KL en version densifiée, raté cette fois-ci pour le siège confort+ sans voisin. C'est quand même bien étroit pour 11h de vol.
PNC charmantes et attentionnées, on retrouve la touche KL qui avait disparue lors du vol depuis le Canada et ça change beaucoup l'impression du vol.
Catering à bord moyen, ça fait le job de nourrir les PAX sans plus.
Bonus très intéressant qui démontre l'importance de la perpétuation des traditions dans cette culture malgré son ouverture au monde à partir de 1868.
Cela nous encourage encore, s'il en était besoin, de continuer de découvrir ce pays.
Merci encore.
A bientôt !
A part l’esthétique, ce remplacement de la moquette n’a aucun impact, car il n’y a aucune installation de chantier, ni dans le circuit Départs, ni dans le circuit Arrivées. Je suppose que le travail est intégralement effectué pendant le couvre-feu de NRT.
J’ai été agréablement surpris par le salon, alors que Skyteam n’a aucune compagnie aérienne locale.
Le pari du siège milieu neutralisé sera toujours un pari qu’il faut accepter de perdre. La différence de tarif avec la classe Y+ est pour moi dissuasive.
Rien de tel qu’un équipage souriant et attentionné pour rendre agréable un vol, même si les PNC ont peu de temps à consacrer à chaque PAX, et même si la nourriture évoque plutôt une cantine bas de gamme.
Le Japon ne cesse de se moderniser, mais est très attaché à la préservation de son patrimoine matériel et immatériel, dont je doute de jamais en épuiser la diversité. (Il n’y a guère que l’usage du boulier dans les boutiques que j’ai vu disparaître complètement en une génération.)
Merci pour le commentaire !
Merci François pour le partage !
Dommage d'avoir perdu à la roulette du siège neutralisé.
Le cost cutting de KL se fait bien sentir avec l'absence d'apéro et cette salade bien tristoune en entrée. Le second service a démarré bien tôt, j'aurais servi le snack en premier et le second plateau après, vers la fin du vol.
Superbe bonus très intéressant !!
A bientôt !
J’avais bon espoir pour le siège neutralisé, car c’était un vol en semaine, mais on ne peut pas reprocher à une compagnie aérienne de remplir ses avions.
L’avantage de la deuxième prestation, c’est qu’elle peut être servie très rapidement, donc pas trop longtemps avant la descente : c’est un coupe-faim qui permet de tenir jusqu’à la sortie landside.
Le Japon est une source inépuisable de boni dépaysants !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci François pour ce FR.
être invitée gratuitement par son FB-Gold de mari
un clin d’œil de Mme et moi-même à notre modératrice préférée => merci beaucoup en plus depuis le Japon.
Siège central non neutralisé, et madame qui ne bougera pas.
Je ne savais pas que Harry Potter a été un compositeur de musique classique et/ou d’opéra : c’est une pièce de théâtre (avec un peu de chant mais pas non plus dans la comédie musicale totale) que j’ai vu à Londres, et il y a un fonds sonore classique durant les plus de 3 heures que dure la pièce.
Les ingrédients ne font pas rêver => maintenant je scann les snacks avec Yuka, cela refroidis de les manger.
Bonus comme d’habitude : génial
A bientôt
Merci François pour ce FR.
être invitée gratuitement par son FB-Gold de mari : c’est cela le régime de la communauté.
un clin d’œil de Mme et moi-même à notre modératrice préférée => merci beaucoup en plus depuis le Japon.
Siège central non neutralisé, et madame qui ne bougera pas.
Je ne savais pas que Harry Potter a été un compositeur de musique classique et/ou d’opéra : c’est une pièce de théâtre (avec un peu de chant mais pas non plus dans la comédie musicale totale) que j’ai vu à Londres, et il y a un fonds sonore classique durant les plus de 3 heures que dure la pièce.
Les ingrédients ne font pas rêver => maintenant je scann les snacks avec Yuka, cela refroidis de les manger.
Bonus comme d’habitude : génial
A bientôt
C’est un juste retour des choses, car nos statuts respectifs ont été inverses quand Mme venait me rejoindre régulièrement en Extrême Orient où j’étais expatrié.
L’idée du clin d’œil avec l’avion en arrière-plan m’est venu spontanément à l’esprit.
Mme préfère de beaucoup un siège au couloir à un siège auprès de moi, tout comme je préfère de beaucoup un siège au hublot à un siège auprès d’elle !
Merci pour les précisions au sujet de ce spectacle Harry Potter – je ne me suis pas donné la peine de rechercher.
J’espère ne pas avoir de mauvaise surprise le jour où je ferai le test sur nos achats habituels.
Le bonus doit tout à l’insistance de Mme pour assister à ce festival, mais je n’avais aucune raison de m’y opposer, bien au contraire !
Merci pour le commentaire ; à bientôt !
Merci beaucoup pour ce récit François !
Passionnant, comme toujours... KLM a le mérite de proposer un produit en général toujours acceptable, avec des équipages de qualité.
J'ai beaucoup apprécié le cours de géographie, notamment la partie norvégienne... De l'autre côté de la cabine, tu aurais pu admirer le Mjøsa, plus long lac de Norvège (aux abords duquel j'ai eu le plaisir d'aller nourrir des moutons il y a trois ans de ça...).
Le bonus ne peut que me convaincre de prévoir un voyage au Japon...
A bientôt !
A part l’expérience malheureuse de mon AMS-YYZ du mois précédent, KLM en éco est de mon expérience dans la moyenne des legacies pour le hard product, avec des PNC au-dessus de la moyenne.
Un hublot du côté gauche est aussi envisageable pour ce vol, car le soleil est plus ou moins dans l’axe de l’appareil au dessus du Japon et de l’Europe, et il n’y a pas ou guère d’infrastructures remarquables dans le grand nord sibérien. Alors, le Mjøsa la prochaine fois ?
Les festivals traditionnels sont innombrables au Japon (surtout, mais pas seulement en été) et ne sont jamais décevants.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Et bein. Quel report plus que complet avec une pinte d’humour. Un vrai plaisir à lire.
De magnifiques clichés d’avions avec la complicité de Madame.
Une prestation correcte avec un timing assez inhabituel pour le second service.
Perso je suis fan des stroopwafel j’en mange chaque jour à Amsterdam.
A bientôt pour un récit je suis sûr passionnant.
Prendre des photos d’avions en mon absence fait partie des petits cadeaux que Mme sait me faire à l’occasion :)
Des goûts et des couleurs,on ne discute pas ; je reconnais un indiscutable intérêt nutritif aux stroopwafels, estimés à 134 kcal par Wikipedia, probablement pour le diamètre standard d’environ 10 cm : il n’y a pas de petite économie pour KLM chez qui elles ne font que 9 cm !
Merci pour le commentaire ; à bientôt pour le dernier segment !
Merci pour ce fr.
Une cabine moderne mais dense comme sur tout triple 7 qui se respecte.
Le catering ne donne pas envie. La 2ème prestation donne un plus envie que la 1ère.
Beau bonus.
A bientôt.
Le principal compliment que je fais à KLM est de me permettre de choisir un siège au hublot, et aussi de ne pas m'imposer de le fermer, comme KE, et certains équipages d'AF en 787, d'après un FR récent. Reste évidemment que la couverture nuageuse est évidemment hors de son contrôle.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce retour.
Un Rail Report pour goûter aux différentes façons de rejoindre NRT par le train.
Salon correctement achalandé mais le manque d'anticipation de la douche a failli être fatal.
"C’est quatre centimètres de moins qu’à l’aller : je plains les PAX de grande taille et/ou de forte corpulence." ===> Qui n'hésitent pas à sacrifier 60 euros pour une dizaine de cm en plus en "Premium."
Belle vue des deux lacs en terrasse.
Le repas ne fait guère envie. Il semble que même sur les lignes asiatiques KL rogne sur le catering... Pourtant, qu'y a-t-il d'autre à faire sur un vol de jour? Entre deux lectures ou deux films muets vu les ear-plugs distribués?
Je note perdu le pari du siège central libre. :=((
"Mme va aux toilettes ; tout le monde à sa droite en profite pour faire de même. " ==> Madame en cheffe de meute !
Un vol sans encombre rythmé par la programmation de l'IFE naturel avec son ode à l'Amour.^^
Étonnant bonus, une nouvelle fois : merci.
A bientôt !
Les LCC ont pris une part du marché intérieur des transports à longue distance, mais le Japon reste un paradis ferroviaire avec de multiples plans B pour atteindre une destination aéroportuaire (sauf en cas de typhon).
Le tarif du surclassement en Economie Confort est quand même le double de celui d'AF pour les sièges duo en fond de 777 dont le pitch est un peu amélioré.
Les deux lacs ne sont pas en terrasse : les deux barrages sont situés juste avant le confluent des deux torrents de montagne, dans leurs vallées respectives.
Qu'y a-t-il d'autre à faire sur un vol de jour? Regarder le paysage et commencer le FR du vol, bien sûr ! ;)
Il est bon de rappeler aux lecteurs que le pari du siège milieu neutralisé est perdu au moins une fois sur deux. En cas de correspondance serrée, ce serait un choix discutable.
Les cheffes de meute utilisent toujours les mêmes moyens pour marquer leur territoire ;)
Les Russes ont une conception assez glaciale de l'Amour.
Le Japon ne finira jamais d'étonner, même ceux qui croient le connaître.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce FR.
Pas si mal ce salon pour un japonais.
Et Dieu sait que c’est courant chez les Bataves.
Je rêve ou la seconde prestation d’un vol de plus de 11h est un snack ?
Super bonus très bien documenté ! Grand merci à Madame !a
En effet, j'ai vu nettement moins attrayant et moins avitaillé au Japon
C'est notamment à ce détail que je ne me reconnais aucune ascendance batave ;)
Tu rêves (ce qui prouve que mon FR t'a endormi ^^). Il y a deux repas, et une gaufrette peu avant l'atterrissage.
Je transmets. Madame a une longue To do list japonaise, et me délègue les menus détails logistiques ;)
Merci pour le commentaire !
il faut bien connaître le train au japon!
Jolie cette chambre japonaise mais dommage qu'elle ne soit que décorative.
Je n'avais fait attention que la largeur des sieges sur 777 et surtout pendant 10h était moindre que sur a320!
La prestation catering a l'air honnête mais un peu plus serait tout de meme mieux, mieux vaut ne pas avoir trop faim!
Il faut surtout connaître l'existence de Hyperdia - LE site des horaires des trains japonais - et avoir une carte SIM data.
Elle serait trop fragile pour un usage réel.
Je n'ai pas fait le test pendant 10h dans un A320 ^^
En règle générale, il est prudent d'être rassasié avant de monter dans un avion LC.
Merci pour ce commentaire posté l'an dernier (hier ^^), et bonne année !