Avis du vol entre Bordeaux et Paris en classe Economique avec Air France

Pour ce 29ème FR publié, je vous présente une énième version de la Navette BOD - ORY, merci aux lecteurs qui embarquent à bord de ce FR banal.
La raison de sa publication est qu'après quelques années de disette je retrouve un statut prémium chez AF avec une belle carte Silver à la clé. Je sais, c'est pas transcendant, mais bon, ça me permettra toujours de gagner un peu de temps aux enregistrements / accès à bord. Par contre, les portes du patio de BOD sur moi restent refermées, et ça c'est pas glop.
le routing est donc simplissime:
BOD - ORY, vol AF6281 vous y êtes
ORY - BOD vol AF 6274 à venir.
Arrivée à BOD à l'heure idéale, c'est à dire pas trop tôt, mais suffisamment tard pour que les bouchons de la rocade bordelaise soient résorbés.
Un petit stand Brioche Dorée a ouvert au niveau des départs du HALL B: c'est plutôt sympa, le seul lieu de restauration / bar se trouvait au HALL A. Ce n'est pas que BOD soit si grand, mais bon, ce n'est pas juste à côté non plus.

D'un côté, l'enregistrement manuel et la dépose bagages, de l'autre les machines…pas grand monde de toute façon, je passe aux machines imprimer mon BP. Comme l'A/R se font le même jour, les deux vols sont regroupés sur un seul document.

Passage PIF très rapide également, le temps d'un petit café au bar et on se retrouve…
…Dans l'avion, qui est aujourd'hui un A321-100 immatriculé F-GMZE, qui a connu Air Inter (12/09/1997). Plus tout jeune l'oiseau du jour! Sans surprise il est équipé des nouveaux sièges dit planche à pain, ou siège de métro. Personnellement ils me conviennent très bien pour un vol si court, surtout parce qu'il ne sont pas inclinables, et je n'ai donc pas à supporter le dossier du PAX de devant dans mon espace vital.

En parlant d'espace vital, la deuxième bonne nouvelle est l'absence de voisin immédiat en B, je peux donc m'étaler un peu (et poser ma veste un peu n'importe comment…)

Le pitch

Le contenu de la pochette, ainsi que les journaux pris à l'embarquement (l'offre est toujours très complète à BOD) me promettent quelques bons moments de lecture durant ce vol.

L'embarquement se termine dernières vérifications avec le chef d'escale

L'avion est loin d'être plein…

On fini par décoller avec quelques 15 minutes de retard, sans explication.
Une fois en l'air, le service commence rapidement, et comme il y peu de PAX, l'affaire est rondement menée…

Classique de chez classique

Vade retro!

Et Hop! Maintenant les réseaux des compagnies sœurs sont présents.

Ma lecture du Magazine de bord m'apprend que je serai bientôt mieux assis!

Photo de la photo du nouveau siège, qui reprend les codes des sièges des nouvelles cabines des B777-300ER voir le FR suivant

Photo volée de l'extérieur, je ne rate pas grand chose à ne pas être au hublot.

La vue de Paris sur notre gauche me fait penser que nous allons atterrir face à l'Ouest, et nous sommes mis en attente…

Cette photo montre quatre choses: il est l'heure de s'épiler un peu, la date n'est pas la bonne (on est le 6), il me reste quelques années avant d'avoir réussi ou raté ma vie, et je ne serai pas Boulevard Haussmann dans 40 minutes, ce qui a ce moment précis de ma vie est l'élément le plus contrariant…

On fini par toucher le plancher des vaches (et de presque tous les autres mammifères) vers 11h55
Dernières photos à la sauvette de notre avion et de ce Air Malta qui repousse, j'ai beau être en retard, je fais mon devoir de FRiste jusqu'au bout…

Et c'est sur cette belle photo du OrlyVal que je vous laisse, le moyen le plus rapide pour rejoindre le centre de Paris à cette heure de la journée.