Bonjour à tous.
Toutes les bonnes choses ayant une fin, je ne puis différer davantage le retour à la dure réalité laborieuse.
Liens vers les 7 vols précédents :
Préambule :
Pour (re)découvrir l’épisode 1 : TNR – SMS : c’est par là !
Pour (re)découvrir le palpitant épisode 2 : SMS - TNR : c’est ici !
Le voyage vers la France.
TNR – NBO reporté ici
NBO-CDG Business Class : c’est ici
Le retour à Madagascar.
Les explications et le contexte du routing retour sont exposés dans le FR TLS-CDG dont le fait marquant est la rencontre de quelques spécimens photophobes.
La suite du préacheminement sans encombre CDG-AMS Business Class est là.
Par ici le long courrier AMS – NBO, Business Class avec le B-777-300 ER de Kenya Airways âgé de moins de 2 mois.
Cette ultime étape de l’itinéraire estival en France me conduit donc de NBO à TNR sans avoir pu obtenir quelque remboursement que ce soit pour la météo hivernale subie pendant plus de 40 jours…
Nous avions pris congé dans le nouveau terminal de NBO en route pour le salon de l’ancien. Nous y voilà.

Il est 7h lorsque je me présente à la cerbérine. L’accueil est courtois, un identifiant et un mot de passe sont générés pour le wifi.
Mais le lieu est totalement bondé et j’ai du mal à poser une fesse sur un bout de chaise.
L’APN attendra que le premier flux de départs ait lieu pour sortir de sa cachette.
Vue de la partie arrière du salon qui ne comporte pas de douches.

L’offre petit-déjeuner est en place.
Café.

L’offre sucrée est limitée.

L’offre salée fleure bon l’empire britannique sur lequel le soleil ne se couchait pas.
Saucisses.

Croquettes de pommes de terre –non, ce n’est pas réservé à Icare.

« Heinz baked beans »… suprême de la gastronomie grand-bretonne. (Les Ecossais vont-ils partir avec ?)

Le lait froid est à assortir avec des céréales Kellog’s proposées en sachet individuel. Les jus de fruit mériteraient un refill.

Passable lorsqu’il est peu fréquenté, ce salon est invivable aux heures de pointe.
Vivement la mise en service complète des nouveaux espaces annoncés comme tels sur le site KQ.

Tout compte fait, le salon est moins pire que la zone publique.

Mon vol pour TNR est bien annoncé à l’heure. Clin d’œil des programmes aériens, il part à la même heure que celui pour DZA qui fut ma navette favorite pendant 4 ans.

Une bâche ornée d’un gnou migrant masque le bâtiment ravagé par l’incendie.

Vue classique de ce terminal sombre et de ses nombreuses boutiques alors que je me dirige vers la porte 10.

Je suis sur le bon chemin. On peut noter qu’aucun trafic ne passe par cette porte entre 8h40 et 17h.

Je suis le dernier PAX à me présenter. A mon arrivée, l’agent au débardeur jaune reprendra sa place au PIF.

Le PIF passé, on me prie de me diriger vers la droite, sans préciser si je dois attendre avec d’autres passagers sagement assis où emprunter la porte ouverte sur le tarmac. L’heure et une certaine expérience des lieux me conduisent à poursuivre mon chemin.
Vue du sommet des escaliers qui conduisent au tarmac.

A mi-hauteur, je fais halte pour ce 777-200 en service pour LHR.

Reconnaissant un E-190 et apercevant une file d’attente, je me dis que ce doit être mon avion.

Je chemine au pied de cet E190 en livrée Skyteam.

Aucun de ces employés ne doit travailler pour Zizijet ;))

5Y-FFB est à l’avitaillement.

Non ! NBO n’est pas tout à fait un self-service aérien. Une agente KQ vérifie et scanne les BP au pied de l’avion. Je n’ai donc que peu de chances de finir à DZA ou à JNB… quoique mes bagages, qui sait…

Le nez de mon meilleur ami pour les 3h20 qui viennent.

Opération porte-ouverte.

La dérive de 5Y-FFG livré neuf à KQ le 20 février 2013.

Ce PAXbus rappelle en Français que KQ participe à des opérations de protection de la faune. Me mettre cette photo sous le nez à ce moment précis ne me donne pas envie de monter à bord…

Mais le devoir m’appelle. ;))
5Y-FFG sous son meilleur profil.

Mon siège, côté droit, réservé il y a fort longtemps pour des raisons hautement stratégiques…

Siège avec oreiller, espace vital et IFE.

Têtière ciglée.

J est en configuration 1-2.
Seules 4 places sont occupées : outre votre serviteur, une dame et ses deux jeunes enfants qui seront confiés négligemment de facto à la garde de la PNCette…

« Espace entre les jambes. »

IFE toujours pas équipé de géovision.
Par un étrange bug, je dois régler le son de mon programme musical sélectionné sur mon écran tactile via l’IFE du siège voisin…

Les enfants sont déjà bien occupés. Quant au chef de cabine, il attend quelques passagers retardataires en correspondance. Peut-être ceux-ci font le tour du tarmac à la recherche de l’avion ?

Sac vomitoire esthétiquement réussi et je l’espère parfaitement étanche.

Contenu de la pochette : duty free et magasine de bord.

Rappel de la flotte KQ.


Jus d’orange de bienvenue : Nicolas n’est pas encore réveillé ;))

Distribution du menu.

Je vous fais grâce des pages consacrées aux alcools que je ne consommerai pas en cette matinée –vous pouvez les retrouver sur le reportage AMS-NBO.
Menu du petit déjeuner.

L’oshibori est une serviette épaisse.

Nous nous mettons doucement en branle non sans prendre aimablement congé de ce 777-200.

5Y-KZY, mis en service le 1/5/2014 le presque jumeau du 777-300 qui me fit voyager depuis AMS.

Au revoir Nairobi !

Nous prenons doucement de l’altitude.

Winglet à la frontière de la mégapole kenyane et de la savane.

Nous jouons à cache-cache avec les nuages. Deci-delà nous apercevons l’habitat encore dense mais déjà rural de la périphérie de Nairobi.


Les toits colorés émergent plaisamment du marron encore un peu vert de la végétation rase.

Les habitations se font de plus en plus rares.

On se prend à rêver des joies et des drames de la savane en train de se jouer quelques milliers de mètres au-dessous de nous.


Winglet aux couleurs vives du drapeau kenyan et leur reflet sur l’aile.

Le service est sur le point de commencer alors que j’aperçois au loin le mont Meru.
Ce n’est pas le moment de se laisser divertir par les agapes matinales qui peuvent bien attendre quelques minutes…

Qui voudrait en effet manquer ce spectacle ?

D’autant que les conditions météo sont de la partie.
Tutoyons le bord du cratère.

Prenons de la distance.

Au cœur du géant de l’Afrique.

Au premier plan le Kili, au second plan le Meru.

Désormais chacun aura compris l’intérêt de préméditer son placement sur la ligne TNR ou DZA-NBO afin de ne rien rater du spectacle qui vaut à mon sens le voyage.

Kili coiffé d’un winglet.

C’est l’esprit libre et satisfait de mon mountain spotting que je puis désormais accepter le petit-déjeuner.

Céréales et yaourt à la fraise.

Assortiment de fruits frais.

Un duo très réussi.

Plus rien désormais ne dépasse des nuages.

Café noir.

C’est alors qu’apparaît la côte africaine que nous longeons un assez long moment.

Le pain est une viennoiserie de qualité médiocre sont ensuite servis.

Puis c’est au tour du plat chaud.
L’ensemble est correct à défaut d’être exceptionnel. Mais des petits-déjeuners à 10 000 mètres le sont-ils ?

L’IFE naturel peut à lui seul rendre l’expérience mémorable.

Est-ce Zanzibar que nous quittons ?

Une baie urbanisée sur le continent : Dar-es-Salam ?

Le paysage devenant plus monotone au-dessus du canal du Mozambique, je m’accorde une séance de marmottage.

Un sixième sens me réveille alors que nous abordons la côte nord-ouest de Madagascar.

La limite entre terre et mer est ténue.

Les fleuves déversent leur contenu couleur sang par les effets de l’érosion. Jadis île verte, Madagascar est bien désormais l’île rouge.


Cet ouest malgache est vide.

Totalement vide d’hommes.

L’état de la végétation témoigne de la saison sèche.
A mesure que l’on approche de la capitale, l’Homme réapparaît, progressivement.

Un village, une piste, de la forêt résiduelle.

Cette image est une bonne synthèse de Madagascar : pelé et vide.

Les suivantes illustrent l’absence d’infrastructures et la déforestation.

La piste serpente au plus près du relief.

Environ trois mois avant le début de la saison des pluies synonyme de départ d’un nouveau cycle agricole.

Empreinte de brûlis, l’un des fléaux de Madagascar. Mais quand il n’y a pas d’alternative…

Méandre.

Exemple de terroir villageois.

Monotones à première vue, ces paysages, sont toujours différents pour qui prend la peine de les observer.

Village que l’on pourrait croire fortifié.

La descente touche à sa fin lorsqu’apparaît l’espace urbain où vit moins d’un malgache sur 4.

Tananarive, dans la brume.


En bout de piste, le hangar d’une société d’évacuation sanitaire.

L’une des deux pommes de discorde.

TNR où, contrairement à NBO mais à l’instar de la Croix du Sud toulousaine, il est interdit de prendre des photos.

La seconde pomme de discorde.

Vestige.

TNR.

Pourquoi donc est-ce que je légende « pomme de discorde » les deux A340-300 MD anormalement présents de conserve un samedi à midi ?
Nous somme les 30 août et, quelques jours auparavant, les autorités européennes ont maintenu MD sur l’annexe B de la liste noire. Ce qui, en s’exprimant par un doux euphémisme, les Malgaches ont mal pris. Cela les oblige à continuer de biaiser via un prestataire islandais pour faire voler un de ces deux avions en Europe –l’autre est cantonné à la ligne TNR-BKK-CAN où il devrait être en ce samedi- ajoute un épisode supplémentaire à l’été horribilis de la compagnie et surtout froisse l’amour propre national. Comme souvent dans ce genre de cas, la France est accusée du pire. A titre de rétorsion, le personnel au sol MD a entamé une grève spontanée des activités de handling réalisées –contre une coquette somme- au profit d’Air France, obligeant le vol du mardi précédent à poursuivre sa route jusqu’à RUN… où les antiques 737 de MD sont allés prendre livraison de passagers ravis. Ce que voyant, SS décida d’annuler ses vols de la semaine : c’est la raison de l’absence de l’A330 de la compagnie ce jour-là. Au final, des annulations en rafale de séjours touristiques et des professionnels du secteur une fois de plus catastrophés. Le vol AF du dimanche 31 a pu atterrir mais avec 4 heures de retard ; 2 heures furent nécessaires pour livrer les bagages.
Allez ! Cela vaut bien une nouvelle pomme de discorde…

Une partie de la flotte en état de marche de MD.

Alors que nous nous dirigeons vers notre point de stationnement, je me demande quel gag va nous réserver la livraison des bagages. Mais KQ n’est pas une compagnie française, donc…

Nous voilà rendus, à l’heure qui plus est.

Le débarquement est rapide… mais nous voilà bloqués devant la salle des arrivées : les PAFmen et les services sanitaires ne sont pas en place.
Au bout de quelques minutes, la porte s’ouvre et chaque passager se voit prendre la température, crainte d’Ebola oblige. Le passage de la PAF est d’autant plus rapide que je suis le premier à me présenter.

L’attente des bagages commence.


Au bout de longues minutes, un chariot arrive à ne vitesse sentant la grève du zèle.

Ma première valise, étiquetée prioritaire, ne tarde pas.
En vain, j'attends la seconde.
Je me rends donc au service bagages : un agent MD émerge au fond d’une pièce remplie de valises et sacs en souffrance. Pendant que j’effectue ma déclaration, quelqu’un vient se servir sans demander quoi que ce soit à qui que ce soit. Le préposé remplit le formulaire idoine mais, faute de connexion informatique, ne peut ni trouver trace de mon bagage, ni éditer un numéro d’incident. Tout au plus m’informe-t-il que le bagage ne me sera pas livré car je ne réside pas dans une localité desservie par les airs. Vertement je réagis. Mithridatisé au mécontentement du client, le jeune homme m’indique de contacter KQ. Je franchis la douane avec ma valise rescapée et me rends chez KQ. La gente dame que je dérange me dit que ce n’est pas son problème à peine a-t-elle ouï le mot « bagage. » Il me faut chercher une madame A*** qui peut-être se trouve au fret. Je confie mes effets à mon chauffeur et pars en quête de cette dame. Je ferai le tour de la zone fret sans trouver personne, allant d’une zone interdite à une autre… Dommage que je n’ai pas été dans un état d’esprit photographique… Je reviens en pétard voir la gente dame de KQ, suscite quelques vibrations au niveau du bureau et exige le numéro de téléphone de madame A***. Je parviens à la rencontrer. Elle établit un dossier d’irrégularité mais est incapable de me dire où est le bagage. Les tensions reprennent à propos de la livraison de la valise. J’obtiens à ce qu’elle soit confiée à mon chauffeur en échange d’un nombre impressionnant de procurations et de documents.

En fin de journée le dimanche, j’apprends que ma valise, demeurée à NBO est arrivée.
Entre temps j’ai contacté AF qui m’a vendu le billet. La réponse a été brève et rapide : vous étiez sur un vol KQ, cela ne nous regarde pas… Qu’en des mots aimables….
J’ai donc alerté KQ, ai reçu un accusé de réception de mon message et depuis 12 jours, plus rien…
Mais revenons-en à notre bagage…
Le lundi, mon chauffeur se rend à l’aéroport pour la récupérer. Sans encombre. Mais c’est sans compter sur les douanes qui se mettent à faire du zèle et cherchent à le racketter de quelques 70 euros. Pour sortir de l’imbroglio, il faudra que je réexpédie divers documents et que je parvienne à produire une signature identique à celle de mon passeport… Pour finir, KQ oublie sa promesse de payer les frais du chauffeur. S’en suit une communication tendue avec le chef d’escale qui honore la parole de la collègue tout en me disant que c’est parce que je suis vahaza que le bagage m’est livré. Eussé-je été malgache, j’eus dû me rendre à mes frais à TNR…

Tout est bien qui finit bien….
Pour complaire à la tradition, terminons cette série par un nouveau bonus malgache. Ceux qui sont las de mes pérégrinations peuvent rouler jusqu’à la conclusion.
Je vous propose une promenade à Ambalavao, riante bourgade à une trentaine de kilomètres au sud de Fianarantsoa sise sur la stratégique RN7.

Ce n’est pas le marché ou le bureau des guides qui paraît fermé qui font la réputation des lieux.

Mais cet arbre, l’avoha. Pourtant, il pousse bien loin d’ici, dans la région de Tamatave.

A Ambalavao on le maltraite.

On le transforme en papier antemoro et on le décore.

Très méticuleusement.


Avant de confier au soleil le travail de séchage.
Ce sont les trop hauts taux d’hygrométrie sur la côte est qui sont la cause de la délocalisation de la production du papier sur les hauts plateaux.

Voici le résultat.


Tous les mercredis, Ambalavao accueille un très important marché aux zébus vers lequel nous nous dirigeons.

Hommes et bêtes s’y pressent dans l’espoir de bonnes affaires.

L’œil soupçonneux ou étonné de la présence du vahaza en ces lieux.

Un beau spécimen.

Eleveurs ou maquignons ?

Cow boy malgache.

Ma présence ne semble pas déranger.

Attention aux cornes fièrement portées.

Les garçons vachers sont nombreux : pour la plupart, ces troupeaux sont arrivés à pied et repartiront de la même façon vers leur pâturage ou vers l’abattoir parfois situé à plusieurs journées de marche.

Œil du connaisseur ou réflexion sur la dureté des temps ?

Sur ce paysage caractéristique des hauts plateaux, je prends congé.

Merci d’avoir été au bout de ce dernier reportage et de la série estivale.
Les vues en vol ont l'air magnifique !
Merci pour cette fin de série !
Merci de votre commentaire.
merci Franck pour ton fr de fin !:)
NBO n'est pas l'aéroport le plus sexy de la planète mais a l'air de fonctionner !
La business régionale de KQ est pas mal du tout dans cet Embraer, un peu trop bleu pour être honnête, mais le siège à l'air confortable et ferait notre bonheur en Europe.
Le catering est correct sans plus, je remarque que tu n'es pas Nicolas du matin (chagrin !:))
Superbes photos en vol, de ces majestueuses montagnes et de la savane. Madame étant une fan inconditionnelle du guépard, je finirais surement un jour par arpenter la savane. Super sec ce côté de Mada !
Arrivée sans soucis à TNR, mais l'épisode des valises, rocambolesque,montre qu'il faut être tenace comme la syphilis, si l'on veut avoir gain de cause !
Comme prévu, on a voulu te prendre de la tune ^^
Tu t'es débouché un ST Emilion du coup?
Bonus humain superbe comme d'habitude !
Merci Arnaud de ton commentaire.
NBO fonctionne comme il peut en ce moment mais le nouveau bâtiment succinctement présenté dans le FR AMS-NBO devrait améliorer les choses. Lors des embarquements diurnes, j'ai toujours plaisir à divaguer à peu près librement, l'APN à la main, sur le tarmac.
J'ai bien fait de ne pas succomber aux assauts de Nicolas ce matin-là, sinon je ne suis pas sûr que j'eus été suffisamment syphilitesque (et non tique) avec les sympathiques agents facilitateurs de la livraison des bagages.
Le St Emilion était avec d'autres victuailles dans la valise en retard. Il se remet pour l'instant de ses émotions.
A bientôt !
Merci pour ce FR très plaisant, tant par la narration que par les superbes photos, qui complète une série estivale que je dois découvrir au plus vite :-).
Prestation standard et NBO toujours fidèle à lui même.
J'aime beaucoup le pax bus équipé d'une double porte Sky Priority, la question est: est-elle vraiment utile?... :-D
Si le magazine de bord Msafiri est dorénavant publié mensuellement, il a besoin de quelques rectifications!
L'épisode des bagages est tout simplement hallucinant, mais seul le résultat compte au final!
Merci de votre élogieux commentaire.
Je sais que la série devrait vous intéresser. Au plaisir de découvrir vos commentaires.
NBO est actuellement à l'étroit et congestionné à l'image du salon. Comme les transit sont souvent longs cela ne participe pas à rendre le voyage agréable.
Le NBO-TNR de jour est toujours très agréable quand la météo est de la partie. Dommage que ce soit à l'heure du petit-déjeuner...
A bientôt !
Merci Franck pour cette suite (et fin) de ce périple en plusieurs bouts...
Vol agréable, comme toi j'aime les E190 sur du MC, avions récents et confortables.
Très beau bonus, même si tu relèves 'hommes et bêtes espèrent faire de bonnes affaires: je ne suis pas certain que ce soit l'avis du zébu...
Merci Xavier de ton commentaire.
Pourquoi les zébus ne rêveraient-ils pas de plus vertes pâtures? Parce qu'ils ne sont pas humains? ;))
A bientôt.
Le ravitaillement était dans la valise égarée, je comprend mieux la ténacité pour la récupérer :)
Placement judicieux , magnifiques vues en vol.
Un produit KQ qui se tient, la configuration de la J en 2-1 est un indéniable plus.
L’ami Nicolas solidaire des grévistes du service au sol ?
Façon de gérer les événements (Embarquement, bagages,...) toujours aussi déroutante pour un occidental.
Magnifique bonus.
Merci pour ce FR !
Merci Patrick pour ton commentaire.
Eh oui ! Il fallait sauver le ravitaillement que je détaillerai pas par souci de discrétion... douanière ;))
Si le self-service me ravit lors de l'embarquement, nul photophobe n'étant à l'horizon, il est à mon sens plus discutable dans le local bagage de MD...
A bientôt !
Merci pour ce vol final.
la cabine de cet E-190 me parait être agréable à la vue des sièges qui l'équipe et du fait qu'il y ait si peu de pax, en espérant tout de même que l'IFE a suffit au calme des 2 pax de devant !
sac vomitoire esthétiquement réussi et je l'espère parfaitement étanche je vous invite à nous faire part de ce test à l'occasion d'une surconsommation de l'ami Nicolas :) (bien que du bon champagne ne rend pas malade^^)
joli survol tout du long avec les descriptions qui l'accompagnent, je découvre que Mada est visiblement une terre plus aride et vide que je l'imaginais.
L'imbroglio concernant les bagages est à déplorer. Ce qui l'est encore plus, c'est le renvoi permanent des responsabilités entre service, une spécialité dans l'aérien par moment !
A bientôt.
Merci Aurélien du commentaire.
Je note la suggestion pour le test de l'étanchéité... mais je m'efforcerai de ne pas y complaire ;))
Madagascar a une superficie équivalente à celle de la France et de la Belgique pour une population évaluée à 20 millions d'âmes.L'Ouest et le Grand Sud sont essentiellement désertiques, le non-développement conduit à une utilisation extensive du pays. Sans oublier le pillage de ressources naturelles, mais c'est un autre débat...
L'affaire des bagages fut fort désagréable.
A bientôt.
Merci pour ce dernier volet qui n'est pas le moins perturbé.
NBO est plutôt bon finalement même si il n'est pas aux standards européens, mais il me semble qu'on peut trouver bien pire dans la région.
Bon vol, de qualité. Les images superbes, en particulier les deux monts, ça donne vraiment envie de faire un tel vol.
La gestion des bagages est pour le moins chaotique, est-ce une réelle surprise. A lire les réponses je comprends que la récupération était stratégique.
Et comme d'habitude très beau bonus. Juste une petite remarque, mais si c'est pour aller à l'abattoir, pas sûr que le bêtes cherchent aussi la bonne affaire ;-)
Merci de ton commentaire.
Je vois que le zébu fait le (zé)buzz ;))
Hormis le souci bagage -assez fréquent via NBO et amplifié par la non-gestion à TNR- KQ m'a proposé au final un produit tout à fait correct qui n'a pas à rougir face à la concurrence régionale (pour mémoire : AF, UU, SS, MK, MD.)
Il est vrai que le vol TNR-NBO (ou vice-versa) vaut à lui seul le voyage, si la météo est de la partie, tant le paysage est grandiose tout le long... pour celui qui sait choisir son siège.
A bientôt.
Merci pour ce FR qui démontre encore une belle prestation de KQ... en vol seulement, parce qu'au sol, ce n'est pas brillant, surtout à l'arrivée !
Belles photos air-to-mountain.
Merci du commentaire.
Le retour à Mada peut être éprouvant.
A bientôt.
Merci pour ce FR
Salon bondé et sans beaucoup d'intérêt même s'il ne l'était pas
Le petit déjeuner est (à mon goût) rarement intéressant et celui là ne dépareille pas
L'inspiration mexicaine perdure avec le(la?) tortilla
Superbes vues de ces deux sommets africains
De visu ce petit déjeuner n'est pas appétissant
Belles vues de l'approche
chaque passager se voit prendre la température
Par quelle méthode ?
Pas très glorieux l'épisode de la valise laissée à NBO : ni pour le handling, ni pour KQ, ni accessoirement pour AF
Assez honteux cette réponse Eussé-je été malgache, j’eus dû me rendre à mes frais à TNR…
Voilà qui confirme que, comme beaucoup de compagnies, KQ est acceptable tant que tout se passe bien
Très beau bonus (comme d'habitude) : beaucoup de désillusions dans tous ces regards
Ces zébus ont le poil bien brillant et ont l'air bien nourri : pas de quoi appeler la SPA, ni les FRistes à la rescousse ;)
A bientôt
J'oubliais la température : la prise est auriculaire. ;))
Désolé de priver quiconque de grivoiseries de circonstance ;))
Merci de votre commentaire.
Le petit-déjeuner aérien n'est jamais enthousiasmant. Mais n'ayant pas pris le 2° service sur AMS-NBO et m'étant abstenu au salon -sauf à manger sous cloche je ne vois pas où j'eus pu le faire- j'avais un petit creux.
Le sens du service à Madagascar est tout bonnement absent. Mon reportage illustre le secteur aérien, mais il en est de même dans celui du tourisme, des télécoms, de l'internet, de la restauration et j'en passe. Se poser la question : que puis-je faire/améliorer pour satisfaire le client n'est pas -encore?- dans la culture locale. A l'usage, on se rend compte que tout conduit à adopter par devers soi des postures caricaturales car attendues : le local nonchalant, le vahaza revendicatif...
J'avoue avoir très peu goûté la réponse de AF qui, bien qu'émetteur du billet, n'en a rien à f***
A bientôt !
Magnifique FR avec de sublimes photos aériennes qui donnent vraiment envie de faire ce vol.
Dommage pour la gestion catastrophique de la seconde valise. La perte de bagage an Afrique et ma hantise, à cause de la gestion.
Bonne prestation de KQ.
Merci pour le traditionnel bonus.
Merci du commentaire.
En effet, tant qu'aucun grain de sable ne vient gripper la machine, pas de soucis. Sinon, tout devient possible et si je me réfère à TNR, je ne pense pas que le changement c'est maintenant.
A bientôt.
Merci pour ce magnifique report. Le produit KQ est convainquant mais le traitement du litige bagage beaucoup moins.
Superbe bonus, merci mille fois.
Mille fois merci pour votre commentaire. A bientôt.
Merci pour ce FR Franck.
Je vois que TK dessert Nairobi. Voilà peut-être une alternative pour tes prochains voyages: KQ vers NBO puis transit à IST vers ta destination finale sur TK.
Le petit-déjeuner chaud ressemble étrangement au brunch que j'ai eu sur mon vol SIN-HKG en Suites (FR n°8000). C'est un comble, tout de même. Bon, c'est vrai, j'ai quand même eu le choix entre Dom 2004 et un Krug Grande Cuvée.
Bref, une autre compagnie Skyteam qui vaudrait le détour.
Merci Bernard de ton commentaire. Je n'avais pas pensé à l'alternative TK ex-NBO. A regarder en effet.
La nouveauté par ici est l'arrivée d'Air Seychelles à TNR deux fois par semaine à partir de décembre. Voir la compatibilité avec un vol sur CDG.
Sans la fausse note des bagages considérablement aggravée par la gestion de l'incident à TNR, cette expérience KQ avec des avions neufs eut été une totale réussite.
A bientôt !
NBO-IST est en monocouloir 737 : même si en principe ce sont des 737-900 avec IFE un changement d'appareil (sans IFE) est toujours possible et alors là le vol doit paraître très long
C'est ce que je viens de voir. Et les tarifs sont élevés.
Superbes photos du Kilimandjaro et toujours un spotting intéressant à l'aéroport de TNR! Dommage pour l'incident du bagage, sans votre insistance, pas sur que vous l'ayez récupéré!
Une question: TK n'a t'elle pas prévu de desservir dans un futur proche TNR (combiné à MRU je crois)?
Merci du commentaire.
TK a signé un accord avec Maurice en févier mais depuis plus rien. Il semble que cela ne soit pas la première fois que ça coince avec Mada selon une connaissance d'origine turque installée à Mada.
Pour l'instant c'est Air Seychelles --> Etihad qui arrive en décembre avec 2 vols par semaine.
A bientôt !
Tres bel FR! Ravi de constater que la plupart des compagnies ont la decence d'offrir un vrai produit J meme sur ERJ 190 ce qui n'est pas le cas de MS!
En tout cas le vol donne envie tout comme les destinations visitees!
Merci du commentaire.
On n'est pas sur du MC européen, même en J.
A bientôt !
FR parfait comme d'habitude,
Nairobi se remet petit à petit, (comme les gnomes), de l'incendie dévastateur.
L'ERJ 190 est une machine très réussie avec un bel espace intérieur. Catering de bon aloi
L'imbroglio bagages c'est finalement bien terminé, mais que de palabres... A l'Africaine
Superbes photos des volcans et de la vie Malgache, fascinant, merci encore pour ce précieux partage
Merci de ce très aimable commentaire.
La séance bagage permet une réimmersion rapide au contexte local. Cela doit être fort déstabilisant pour le non initié.
Vos projets de visite à Mada sont-ils sur le point d'aboutir?
A bientôt.
Je suis tributaire du planning de mes amis qui possèdent une maison à Tana, mais vivent à Paris. ça devrait ce faire en février ou mars, je vous tiens au courant.
Merci Franck pour ce FR ainsi que pour toute cette série qui nous aura tenus en haleine tout l'été. ;)
Très belles photos aériennes.
KQ ne brille plus trop sur cette liaison matinale, il n'y a que le siège qui trouve grâce à mes yeux.
Bel exemple d'efficacité - et de je m'en foutisme - avec la livraison des bagages !!!
Il y a vraiment de quoi dégoûter le potentiel visiteur FRiste. Enfin tout ça n'est pas pire que d'atterrir au mauvais endroit. ;)
A bientôt.
Merci pour ce FR !
De très jolies photos aériennes. C'est moins attrayant dans la cabine...KQ n'arrive toujours pas à m'emballer. Seul le siège est très correct pour cet appareil et cette liaison.
Encore merci, cette fois ci pour toute la saga de l'été :)
Merci de ton commentaire.
Je ne pense pas que KQ emballe -sans jeu de mots de mauvais goûts sur les bagages- mais c'est actuellement une excellente option au départ / arrivée de TNR, à mon sens globalement mieux que UU pour des prix plus modérés. De plus KQ et UU sont les seules compagnies à desservir quotidiennement TNR.
A bientôt !