Bienvenue sur ce premier FR d'une série de 5, qui sentent « bon » la rentrée et la fin des vacances d'été… qui auront pour moi été l'occasion de bien voyager cette année.
Je vous avais laissé dans mon précédent FR le 20 août au terminal 1 de Roissy-CDG de retour de Norvège, avec une dernière vue « teaser » sur le panneau des compagnies… me voici le 25 août de retour face au même panneau, cette fois-ci pour prendre… Malaysia Airlines !
Introduction - Partie 1 : réservation
Nous avions prévu depuis quelques mois de faire avec deux amis un petit voyage en Asie, juste avant le départ d'un de ces deux amis cités vers la Chine où il partira quelques mois en substitution. Après quelques réflexions, le choix s'était fixé sur la visite de l'Indonésie (avec Java et Bali) et quelques jours dans une grosse ville, où nous hésitions entre Kuala Lumpur et Singapour.
Étant pour ma part en Norvège jusqu'au 20 août, eux partiraient plus tôt que moi, je raterai donc une première partie du voyage. Pour un premier voyage en Asie, continent que je ne connais qu'à grands coups de préjugés plus ou moins grotesques (et n'ayant pas nécessairement l'envie de faire 36 vaccins + traitement anti-palu préventif + etc.) et sachant que j'allais devoir les rejoindre en cours de route, nous optons finalement pour l'ordre Java > Bali > grosse ville, la grosse ville se décidant finalement à être Singapour : je raterai donc Java et me contenterai pour cette première découverte du continent asiatique de grosses stations touristiques et rassurantes. :-) (Il va sans dire que ce qu'on m'a raconté de Java donne envie d'être plus téméraire pour de prochains voyages !)
Bref, tout ceci pour dire que nous sommes dans une situation délicate pour trouver nos billets. Nous voyageons en effet à trois avec :
- une personne qui n'aura qu'un aller-simple, le voyage Indonésie-Singapour se prolongeant vers la Chine ;
- moi, qui aura un A/R à acheter ;
- une dernière personne qui effectuera un A/R, mais qui pour des raisons évidentes voyagera à l'aller avec la première personne, et au retour en ma compagnie.
Pour l'aller, mes deux comparses ont profité de tarifs avantageux en aller-simple avec la Garuda. En ce qui me concerne, j'ai exploré :
- la solution « confort » en essayant de profiter de vols en Business : Qatar Airways proposait un billet Paris-Doha-Denpasar / Singapour-Doha-Paris pour en gros 2300€ en Business, mais les horaires n'étaient pas forcément très agréables (longue escale à Doha, arrivée à Denpasar vers 19h…). Emirates proposait l'avantage de pouvoir réserver un aller en éco et un retour en Business (je me disais que ça serait plus important de pouvoir bien dormir sur le vol retour), pour 1500€ mais avec un A/R Paris-Singapour : autrement dit, il me fallait prévoir une nuit à Singapour à l'aller pour ne prendre aucun risque avec une correspondance sur une autre compagnie… et vu les prix singapouriens ce n'est pas rien !
- la solution de facilité : billet Paris-Amsterdam-Denpasar / Singapour-Paris avec KLM à l'aller et AF au retour, le tout pour moins de 750€… mais en 773 bétaillère.
Finalement, la personne qui voyagera avec un billet « retour-simple » depuis Singapour trouvant les meilleurs tarifs avec Malaysia Airlines, j'abandonne finalement toutes les options sus-mentionnées pour me retrouver avec un billet Paris-Kuala Lumpur-Denpasar / Singapour-Kuala Lumpur-Paris sur la Malaysia Airlines, le tout pour un prix affiché d'un peu plus de 800€, auquel il faut rajouter une quarantaine d'euros pour la réservation des sièges à l'avance (de mémoire ça devait être 15€ les sièges normaux sur les longs tronçons, et quelque chose comme 3 ou 5€ sur les liaisons courtes).
Ça me reviendra donc finalement plus cher pour moi… mais me fera sans aucun doute gagner en confort puisque le gros du trajet sera effectué en A380 et non plus en 777-300 !
Introduction - Partie 2 : non, je n'ai pas peur
Billets réservés donc début juillet, au diable les mauvaises langues sur Malaysia Airlines, de toute façon avec l'affaire du MH370, statistiquement je ne risque plus rien… bon sauf que comme vous le savez tous, une grosse semaine après la réservation des billets, on apprend le crash du MH17.
Du coup, je ne sais plus trop quoi penser : faut-il plutôt pencher du côté du « jamais deux sans trois » ou du côté « si après un crash, le deuxième est statistiquement très improbable, qu'est-ce que doit devenir le troisième après deux crashs » ?
Je vous avoue que jusqu'à la date de départ du vol, ce qui m'inquiétait le plus est que la Malaysia Airlines ne se relève pas, mette la clé sous la porte et que je doive en catastrophe me retrouver d'autres billets… mais finalement non, même si on parle désormais d'une très lourde restructuration, fin août arrive et la Malaysia vole toujours, même ses 777 !
Récapitulatif du routing
Après cette introduction fleuve, le routing est donc finalement le suivant :
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- Vol MH21 CDG-KUL - Économique / 54H - 25/08/2014 - A380-800 (vous êtes ici)
- Vol MH715 KUL-DPS - Économique / 16K - 26/08/2014 - B777-200 (le vol de tous les dangers)
- Vol QZ504 DPS-SIN - Économique / 20B - 31/08/2014 - A320-200
- Vol MH616 SIN-KUL - Économique / 17A - 03/09/2014 - B737-800
- Vol MH20 KUL-CDG - Économique / 57H - 03/09/2014 - A380-800
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C'est parti : direction Kuala Lumpur !
Le jour J approche, Malaysia Airlines propose l'enregistrement en ligne 48h avant le départ. Mes sièges étant déjà choisis à la réservation (note : le choix est tout de même gratuit dans les 48h avant le vol), je tente l'enregistrement même si je ne vois pas trop l'intérêt étant donné que de toute façon je devrais faire la queue pour déposer mes bagages…
Aucun problème pour le vol CDG-KUL, en revanche pour le KUL-DPS…

Bon, pas grave, on verra bien à l'aéroport…
Direction celui-ci, pendant le trajet je vérifie sur l'application mobile que mes vols sont toujours bien prévus à l'heure, et surprise pour le vol KUL-DPS (qui, je le rappelle, est effectué en 777-200).

Bon, je ne suis pas superstitieux, mais ça va finir par me donner les chocottes tout ça ! ;-) À noter que le même problème sera détecté pour le vol retour : ils pourraient quand même faire un peu attention à déboguer leur application vu leur histoire.
Arrivé à Roissy, direction le terminale 1 où on me dépose à la dépose-minute. Première vue sur les FIDS, vol prévu à l'heure.

L'enregistrement de Malaysia Airlines s'effectue au hall 5, donc au sous-sol : il faut descendre les escalators pour y arriver. Vue « furtive » des comptoirs d'enregistrement :

Je découvre par ailleurs l'existence d'une file et d'un comptoir réservés aux passagers s'étant enregistrés en ligne : avis aux amateurs, ça peut donc servir à quelque chose ! En ce qui me concerne, étant tête en l'air j'ai remarqué cette file trop tard, mais de toute façon comme vous pouvez le voir je n'ai pas eu à faire trop la queue.
L'agent me donnera mes cartes d'embarquement jusqu'à DPS et m'informera que je n'aurai pas à me soucier de mes bagages lors de ma correspondance à Kuala Lumpur.
Une fois enregistré, je remonte direction les fameux tubes du terminal 1…

… et ses tapis roulants interminables, qui nous emmènent jusqu'aux différents satellites du terminal.

Cette fois-ci, j'ai pris en photo les images dont je parlais dans un précédent FR, censées je suppose montrer aux touristes la vie parisienne.

Direction la porte 26 pour moi !

J'ai encore souri à la vue de ces escaliers : après un ((très) long) tunnel avec choix tapis roulant / sol en plan incliné, les passagers ayant opté pour la solution sportive se retrouvent devant un grand escalier, et un téléphone placé en bas avec un panneau « si vous avez besoin d'assistance … ». Accessibilité tellement bien pensée…
Quoi qu'il arrive, je ne devrai pas avoir à trop faire la queue pour le PIF.

Mon sac à dos a la chance d'être « sélectionné » pour une fouille plus approfondie : l'agent en question discutera avec son collègue pendant la fouille très sommaire, et m'adressera à peine la parole. C'est moi qui devra lui décrocher un « bonne journée » !
Je me retrouve enfin en salle d'embarquement. À côté de nous, un vol de la Yéménia se prépare à partir. Première surprise : malgré la présence de notre A380 qui s'apprête à embarquer, le terminal ne fait pas « surbondé ». Heureusement tout de même que le Singapore est ailleurs…

J'en profite pour immortaliser l'oiseau du jour, le 9M-MNE, même s'il est un peu timide derrière ses passerelles.

L'embarquement est appelé, bon je ne vous cache pas que là il y a un peu plus de monde… mais ça reste toujours vivable.

Les priorités seront bien respectées, tout comme les appels des rangées, si bien que l'embarquement se passe calmement, tranquillement mais sûrement.
Passage d'un cousin canadien pendant l'attente :

En regardant à droite à gauche, je tombe sur ce panneau de la TAM qui révèle sa lucidité sur le terminal 1 de CDG.

Et c'est parti pour s'engouffrer dans les belles passerelles transparentes !

Dernière vue sur l'extérieur de notre avion avant notre long vol de plus de 12h…

Accueil sympathique par de belles hôtesses. Je me rends vers ma rangée 54 (configurant 3-4-3) où se trouvent déjà deux étudiants français côté hublot… et le dernier du groupe derrière moi qui est normalement en 53H. Du coup, j'échangerai mon 54H pour son 53H : ça va, je ne devrai pas être trop déboussolé !
Les sièges semblent confortables, avec appui-tête réglable en hauteur et aux côtés mobiles. Une couverture violette et un oreiller blanc (ce dernier ne portant aucun logo MH) sont déjà disposés sur le siège.

Même si vu comme ça, c'est difficile de juger, l'écran est très grand. Et de très bonne qualité.

Vue de mon siège pendant l'embarquement.

Détail de la télécommande et de la « fente à carte bleue » dont je n'ai toujours pas trouvé l'utilité.

Les deux prochaines photos pour tenter de vous montrer que le siège est tout même assez large, un grand plus de l'A380. Pour le pitch, c'est un peu plus serré (assis comme ça, aucun soucis mais dès qu'on veut mettre quelque chose dans la pochette du siège, on a les genoux dedans).


(Oui, voyage en pantalon. Même si à Bali m'attendent quelques 30°, pour l'instant à Paris on est à 17° et il pleut !)
Vient l'heure du roulage. Dès le début de celui-ci, la caméra sur la dérive sera mise en route et affichée sur tous les écrans (la caméra n'est visible qu'au roulage, décollage et atterrissage, pas pendant le vol contrairement à d'autres compagnies).

Départ avec une bonne demie-heure de retard, juste derrière le camarade de la Singapore. C'est le moment de s'aligner et de partir.

Le contraste entre ce qui se passe par le hublot et la caméra est très marrant : même à plus de 200 km/h, on a toujours l'impression de se « traîner » en regardant l'écran !
Peu de temps après le décollage, distribution des casques audio puis de l'apéritif. Premier passage avec les cacahuètes. Notez comment le paquet est délicatement déposé sur la tablette et non pas jeté en pleine figure.

Qui sera rapidement complété par une boisson. Pepsi pour moi.

Puis quelques temps après, distribution du plateau repas.

À noter que les PNC sont passés plusieurs fois proposer des boissons pendant le repas. J'ai opté pour accompagner ma moussaka de bœuf pour un petit vin rouge, sans surprise très quelconque (la bouteille était avec un bouchon « à vis » !).
Détail du plat une fois l'opercule ouvert.

L'entrée était correct, le dessert également. Concernant ce plat principal, c'était bien bon. Pour un plat de classe éco, j'ai apprécié le fait que ce soit tout de même original (plus que l'autre choix qui était un poulet/riz je crois).
Pour preuve que c'était bon, j'ai tout fini ! :o)

(Pour le café et l'eau, ce n'est qu'une question de temps.)
Après ce bon repas, petit tour aux WC où l'attente m'offrira l'occasion de prendre en photo la cabine.

« Pipi roumain… bah pipi qui fait quand même du bien ! »

Détail des toilettes qui sont encore propres. Plus tard dans le vol, ça sera plus mouillé par terre…

Vue du lavabo. Étonnamment, il y avait bien du PQ, du papier « recouvre-lunette de WC » et des mouchoirs, mais pas vraiment de serviettes spécifiques pour s'essuyer les mains ! Du coup, on se rabat sur les mouchoirs mais ça n'est pas très pratique, parce que c'est fin et donc ça part très vite en petits bouts collants une fois mouillé.

Retour à mon siège où il est temps de découvrir le programme vidéo. Assez important, une dizaine de films récents et beaucoup d'autres films plus anciens, dans des registres variés. Point négatif, je n'ai pas l'impression qu'il y avait énormément de films en français… pour tout vous dire je n'en ai pas vu un seul (même les dessins animés n'avaient pas l'air d'être en plusieurs langues).
Du coup, je me lance sur un classique Matrix, en anglais sous-titré chinois (je ne vous cache pas que les sous-titres ne m'auront pas été d'une très grande utilité, mais soit je suis une quiche soit on ne peut effectivement pas les supprimer).

Vue sur l'Airshow… ça fait déjà quelques heures que nous sommes en l'air, et ce n'est qu'un début !

Nous sommes actuellement au-dessus de la Turquie. À noter qu'avant le décollage le commandant de bord avait bien détaillé le plan de vol, en prenant soin de citer tous les pays survolés, avec une pause entre chaque qui semblait vouloir dire « et donc vous voyez on ne survole pas l'Ukraine »).

Le temps passe et la concentration baisse. On se limite à des séries, 30 minutes c'est très bien ! :-)

Le vol partant à midi, la nuit met quelques heures avant d'arriver. Il fait encore jours mais quelques uns commencent déjà à fermer leur hublot et entamer leur sommeil. La cabine pas entièrement pleine permet à quelques chanceux de pouvoir s'allonger (je précise tout de même que même si le vol n'était pas plein, on était loin d'un remplissage « catastrophique »).

En parlant de nuit, elle approche finalement…


La cabine est plongée dans le noir, par contre les PNC ne passeront pas pour demander aux gens de fermer leur hublot. Mes voisins laisseront ainsi leur hublot ouvert durant tout le vol. Même si je reconnais que j'aurais aimé pouvoir fermer les yeux dans le noir un peu plus tôt, le vol est tout de même suffisamment long pour avoir toujours du temps pour se reposer un peu.

À ce moment, distribution d'un « SkySnack » pour survivre la nuit.

Celui-ci est composé de quelques sachets de friandises (dans mes souvenirs, un de cacahuètes, un avec des biscuits asiatiques, un avec un cookie et il devait y en avoir encore un quatrième).

Il est à noter que jusqu'à ce que tout le monde dorme vraiment, il ne se passait pas une demie-heure sans que les PNC ne passent proposer des boissons. Et le service n'est pas au trolley mais au plateau : les PNC passent dans les allées avec un plateau sur lesquels reposent des verres d'eau, de jus d'orange et de jus de pomme. Et évidemment, dès que l'un des choix n'est plus disponible, le PNC repart remplir son plateau…
Nous avons dépassé la moitié du vol !

Je profite d'être éveillé pour me dégourdir un peu les jambes vers l'arrière de l'avion, l'histoire d'apprécier l'escalier de l'A380. Et évidemment passage tactique aux toilettes.

Un peu plus tard, nous arrivons au niveau du golfe du Bengale.

Et devinez quoi ? Bah oui, évidemment, seatbelt sign ON. « We're going to turbulence », dixit l'annonce.

Retour en mode sommeil, puis réveil à un peu moins de 2h30 de l'arrivée.

L'occasion de prendre en photo le tracé de notre vol, ou plutôt devrais-je dire notre slalom permanent entre l'Ukraine, la Syrie, l'Irak, l'Afghanistan…

Et c'est le début du service du petit-déjeuner. Et malheureusement là quelques cafouillages ! Premier petit cafouillage léger, l'hôtesse qui remonte notre allée se retrouve sans plateau deux rangées devant de moi. Du coup, obligé d'attendre sa collègue qui descend l'allée pendant de longues minutes (quand on a faim, tout est plus long).
Choix proposé entre un petit-déjeuner malaysien et un petit-déjeuner américain avec saucisses et œufs. J'opte pour le second choix.

Je vous laisse juger de la pertinence du « petit-déjeuner américain avec saucisses et œufs ».


Bon, dans l'ensemble ce n'était pas mauvais (quoi que je ne suis jamais très fan des sauces de ce genre avec les boulettes), mais enfin j'attend toujours ma saucisse. Deuxième cafouillage.
Troisième cafouillage : l'hôtesse demande à la rangée nos choix pour les boissons chaudes. Je demande un café, comme le reste de la rangée sauf une personne qui prendra un thé. L'hôtesse pose donc les tasses sur son plateau, sert les boissons, sauf que celle qui avait demandé un thé prendra finalement un café. Résultat : je me retrouve avec seulement un thé devant moi, léger malaise perceptible et finalement l'hôtesse me posera le thé sur mon plateau comme si de rien n'était (oui, j'ai dû mal à râler en direct, excusez-moi).
Quatrième cafouillage : avec l'histoire des plateaux qui fait que notre groupe de rangées a été servi un peu en décalé, nous ne nous verrons même pas proposer de jus de fruits.
Quel gâchis quand on voit la qualité du service jusque là durant le vol !
Enfin, tout ceci n'empêche pas le vol de se poursuivre. Début de descente et diffusion sur tous les écrans pendant l'approche d'un film expliquant comment se repérer dans l'aéroport de Kuala Lumpur, puis d'un film du ministère du tourisme vantant la Malaysie (le clip est disponible sur Youtube si vous aimez les petites musiques avec karaoké !).

Puis retour de la caméra même s'il fait nuit noire (cela permettra juste d'avoir sur tous les écrans de la cabine un point rouge clignotant toutes les secondes), et atterrissage tout en douceur avec un peu de retard.

Débarquement assez rapide et passage par les suites First !

Et bienvenue à l'aéroport de Kuala Lumpur où il me reste encore un peu de temps à tuer avant ma correspondance !

Merci pour ce FR.
Meme si c'était un peu plus cher qu'AF-KL, MH vaut le coup en terme de confort gagné.
Service vraiment bien en plus, malgré le souci au petit-déjeuner, les plats ont l'air bons et copieux!
Oui, voyage en pantalon, couleur fan de KLM :)
Blague à part très bon choix ce vol avec MH.
Confort de l'A380 allié à un bon service.
Merci pour ce FR !
Tiens, l'avion n'est abreuvé que de deux passerelles. Je me demande quelle nourricière empruntent les passagers Eco au pont supérieur.
Je suis ravi de constater que les passagers n'aient pas déserté la compagnie après les deux catastrophes, contrairement à ce que MH rencontre sur d'autres lignes.
Merci pour ce FR
De souvenir, je crois que la passerelle de devant était destinée aux passagers First/Business/statuts OW et aux passagers éco du pont supérieur (avec deux files d'attente différentes lors du contrôle des BP avant d'entrer dans la passerelle). Il est clair que ça pourrait être amélioré, mais bon, c'est le T1 !
Au vol retour depuis Kuala Lumpur (FR à venir un jour), l'embarquement du pont supérieur ressemblait un peu plus à ce qu'on peut voir sur AF au 2E, avec une zone de pré-embarquement séparée sur deux étages.
Merci de ce partage .
Cela fait plasir de voir que malgré tout le remplissage était correct. Beaucoup de reservations ont du avoir lieu avant les deux accidents et peu de passagers ont du renoncer car les billets n'étaient pas remboursables. heureusement psychologiquement ce n'est pas le même type d'appareil
l'appareil semble agréable dans sa version MH. Le catering aussi mais les erreurs ou oubli de service sont regretables. Sans raler j'aurais demandé du café même si PN me presentait du thé ! d'autant plus que les PNC semblent avoir été très attentionnés.
Je crois avoir lu quelque part sur leur site quelques jours avant le départ (je ne le retrouve plus mais Google permet de retrouver des articles qui en font mention) que Malaysia Airlines avait proposé après le crash du MH17 de rembourser sans frais (hormis les frais d'appel, car ça a l'air impossible de modifier une réservation sur leur site) quiconque souhaitait annuler sa réservation pour un vol prévu en 2014.
Sinon, je confirme effectivement votre impression sur l'A380 MH et sur l'équipage. :)
Bonjour et merci pour ce FR.
Je suis jaloux, car je me suis fait devancer. J'ai fait le vol MH21 Kuala Lumpur Paris et déjà, vous avez fait un Flight Report de MH en premier MAIS EN PLUS les photos sont meilleurs que les miennes. Pffff malheur. :(
Bonne journée.
Parti de ce principe, j'aurais dû moi-même m'abstenir de faire ce FR, des vols MH21 ayant déjà été reportés. :)
D'autant plus qu'à mon avis tout FR sur la Malaysia « post-catastrophe » est le bienvenu !
Merci pour ce FR qui m'avait échappé (le rappel dans le suivant aura servi ^^) alors que je fais parti des friands d'introductions à rallonge :)
Nous partageons un avis statistique sur le risque des compagnies. C'est horrible ce qui est arrivé à MH, mais que pouvaient-ils faire pour le MH17 ? Et puis le risque était limité par un rebooking justement sur QR (ou même CX) !
Mis à part la configuration en 3-4-3 (et les petits cafouillages), j'aime bien ce que je vois. Le catering a l'air correct (c'est pas grave un bouchon à vis pour un vin qui n'est pas de garde) et les IFE agréables (important, c'est un vol long).
Encore merci pour le partage !