Bonjour à tous, très heureux de vous retrouver en ce mois de juillet.
Au départ, je n'étais pas sensé voler cet été. N'ayant pas d'échéances avant la mi-aout, je m'étais promis de partir avec ma famille quelque part en Europe, d'aller loin en mode voiture/camping comme toujours. Cela faisait 3 ans que je n'avais pu en profiter, c'était l'occasion. Quasiment deux jours avant de partir, on part sur une plaisanterie comme quoi on pourrait refaire une énième fois la Grèce (7e) mais bon… Niveau ferry, les prix doivent être bien haut perchés… Je regarde néanmoins les tarifs et découvre qu'Anek et Superfast (qui opèrent les routes adriatiques en codeshare) font des promos de dernière minute. On essaye d'établir un routing global : faire que des îles puisque lors de notre dernier voyage en Grèce il y a 5 ans, on s'était contenté du continent (on avait alors décidé à l'époque de partir en grèce le jour suivant une mésaventure italienne. Marre de ce pays, on avait pris le premier ferry partant de Bari pour Igoumenitsa). Là, en s'y prenant avec quelques jours d'avance, peut-être arrivera-t-on à trouver un ferry vers Patras partant si possible de Venise pour éviter trop de route à faire. Cependant, les horaires et les prix sont impossible et on se dirige vers un départ d'Ancone. Avec un départ à 13h30 (comme on descend au terminus, il faut embarquer la voiture dans les premiers et donc être là 3h avant), ça nous donne 2 jours pour faire la route via Chamonix.
Puis, la veille du départ, une académie d'été me demande de préparer un gros programme de musique de chambre début août. Hors de question de partir plus de 15 jours. Je cherche donc un moyen de rentrer par les airs vers le 22/23 juillet en conciliant rapidité certes mais plaisir avant tout.
Toute la nuit, j'ai cogité sur les îles qu'on était susceptible de faire dans le dodécanèse. AF propose des tarifs à plusieurs centaines d'euros donc non direct. Essayant dans la mesure du possible d'éviter les compagnies low cost non affiliées à des majors européennes, je regarde du côté de Transavia entre autres… Le moins cher est à 150€ au départ de Crète. Pour du low cost avec catering payant, non merci. Puis je tombe sur Aegean avec 2 vols à moins de 120€, le 22 au départ de RHO, le 23 au départ d'ATH. Perfect, maintenant il faut que je me trouve un vol inter-îles de préférence chez OA. J'aime énormément cette compagnie qui n'est que l'ombre de feu Olympic Airways, encore une grande disparue qui manque au paysage aéronautique européen. Concernant les aéroports, je me dirige vers les plus petits en espérant pouvoir prendre un Dash 8-100. Au passage, OA exploite des Dash 8-100 anciens (datant de l'ex Olympic Aviation) et des Q-400 récents. N'ayant qu'une admiration très limité pour ce dernier, je préfère de loin tester le -100 bien plus sympathique et rare. Il est également une évolution bimoteur du Dash 7, seul dash que j'avais pris jusqu'à présent et qui est pour moi l'un des plus beaux et plus performants turboprop jamais réalisé.
Donc, parmi toute la pléiade d'aéroports, 2 me sautent aux yeux : Astipalea et Leros. Astipalea est une île perdue entre les cyclades et le dodécanèse, avec une culture et un paysage endémique, calme et loin des touristes. En plus, si je choisis le vol RHO-CDG, partir d'Astipalea me ferait prendre un vol avec 3 escales à Leros, Kalymnos et Kos. C'est plutôt génial sauf qu'Astipalea est vraiment trop centrale pour pouvoir faire beaucoup d'îles avant. N'ayant que 15 jours, j'ai vraiment envie de bouger. Je me dirige donc vers Leros. Cependant, le RHO-CDG du 22 arrive à 22h à Paris. Ayant toute la région parisienne à traverser en transports du nord au sud, je préfère prendre le ATH-CDG du 23 et arriver 2h plus tôt.
Après cette introduction que je me suis efforcé de rendre aussi brève que possible et avant de passer au vol en question, je vous propose un petit bonus de mon modeste voyage vous narrant comment j'ai construit ce routing pour pouvoir arriver au jour près à Leros tout en faisant un maximum de choses entre Patras et Leros. Quand on voit le réseau maritime grec, on peut se dire qu'il doit être facile de prévoir à l'avance ses trajets, mais malgré de nombreuses améliorations, effectuer un routing maritime en grèce est bien plus difficile que d'établir un routing aérien, ne serait-ce que pour les prix. Les agences de voyages (excepté pour les trajets Italie-Grèce) sont à éviter et les agences en ligne à proscrire. Soit on arrive à trouver les prix sur les sites officiels des compagnies maritimes, soit on attend la (bonne ou mauvaise) surprise en arrivant aux tickets office des ports. De plus, voyager avec une voiture oblige un surcout de 35 à 90 € par ferry, ce qui n'est pas anodin pour les finances. Et plus la ligne est fréquentée, plus ça monte. Donc, improviser sans se retrouver coincé est un art que je commence à bien maîtriser, même si j'ai encore une fois faillit me faire avoir dans le merdier sans nom des horaires grecs.
Nous voici donc au coeur de l'Adriatique, entre Ancone et Patras. Malheureusement pour moi, ce trajet n'effectue qu'une seule nuit à bord. C'est peu pour profiter de la cabine et du plaisir d'être en mer. J'essaye d'en profiter un maximum.

Les couchers de soleils depuis le large sont toujours magiques et magnifiques. L'atmosphère est sufisamment claire pour distinguer une tache solaire (bouh, ça fait pas propre ^^)

Alors que je me laisse bercer par le ronronnement du ferry et le bruit des remous, mon regard rêveusement planté dans le sillage, je distingue soudainement deux dauphins prenant un malin plaisir à jouer dans les vagues. Je réussis même à en photographier un (faut néanmoins avoir de bon yeux !)

Arrivée à Patras, l'improvisation commence. Déjà, on tente de trouver les 2 stations GPL non loin du port, ce qui ne fut pas une partie de plaisir. Puis on décide de rejoindre Santorin. Mais plutôt que de rejoindre le pirée direct, je décide de passer par Delphes, non pas pour visiter le sanctuaire d'Apollon que je connais par cœur, mais juste pour profiter du sublime coucher de soleil sur la mer d'oliviers en contrebas de Delphes. Pour se rendre sur la rive nord du Golfe de Corinthe, il existait au début des années 2000 2 liaisons par bac. La principale entre Rio et Antirio, très courte, et une secondaire plus longue entre Egio et Agios Nikolaos, ma préférée. Un seul bac (baptisé Agios Nikolaos) effectuait cette liaison, un bac à l'ancienne comme on en voit de moins en moins. Puis est survenu le fameux pont Rio-Antirio à l'occasion des JO de 2004. Mais ce pont coûte cher : 13 € pour un A/S en voiture. Au lieu de remplacer les bacs au pied du pont, il n'a fait que pérenniser cette liaison au détriment de toutes les prévisions envisagées. Les propriétaires de chaque bac se sont associés et on définit un tarif unique incluant véhicule et passager. Un A/S en voiture coûte 6€, soit moitié moins cher que le pont. De ce fait, de nombreux particuliers, des poids lourds, des cars de transport continuent quotidiennement à emprunter le bac. Face à ce succès, le propriétaire de l'Agios Nikolaos a abandonné la route Egio-Ag. Nik. pour rejoindre les rangs du rio-antirio. Aujourd'hui, le service par bac fonctionne 24h/24 et ne s'est jamais aussi bien porté !



S'en suit Delphes et le crépuscule spectaculaire sur la mer d'oliviers (pas de photo, ma batterie était malheureusement arrivée en bout de course… snif !!)
Néanmoins, une petite photo d'avant le coucher.

Le lendemain, trajet direct vers le pirée. On arrive à 17h simplement pour se renseigner. Finalement, à 18h, on embarque pour Santorin.

Santorin, c'est tout ce qu'on déteste : des touristes qui croient être dans la grèce traditionnelle et des grecs qui en profitent pour vendre toujours plus cher leurs produits attrapes touristes. Les chinois y sont également de plus en plus nombreux. Néanmoins, 2 choses valent le coup d'être vu : le paysage spectaculaire avec le récent volcan central toujours actif (une alerte avait été émise en 2012 suite au remplissage rapide du réservoir magmatique) et le site d'Akrotiri, de nouveau ouvert après effondrement du plafond il y a quelques années. Le musée dédié au site est également à voir.

Cette figurine est le seul objet en or retrouvé sur l'ensemble de l'île.

Après Santorin, direction Astipalea. Les joies des ferries grecs : on change de groupe d'îles donc obligé de changer de ferry. Astipalea étant très mal desservie, les horaires importent peu. On arrivera à Astipalea à 3h du matin ! L'escale à Naxos est de trop courte durée pour avoir vraiment le temps de se reposer. Les gros ferries de Blue Star desservent le nord de l'île, complètement désert. De nuit, c'est magnifique !
Quelques photos entre Santorin et Astipalea





Voici le new port d'Astipalea, de jour cette fois avec le Diagoras assurant la liaison hebdomadaire Pirée-Rhodes.

Et voici le village principal haut perché. On y déguste de délicieux fromages de chèvre frit…


Après quelques jours sur place, le temps avance et le vol retour n'est plus dans bien longtemps. On décide de remonter sur Patmos mais problème, il n'y a aucun ferry pour le dodécanèse avant 6 jours. Aïe aïe aïe, que fait-on ? On va dans une agence sur le old port qui nous dit que don't worry, un petit ferry fait la liaison vers Kalymnos le lendemain. La compagnie est fantôme : si on n'est pas dans les îles desservies, il est impossible de trouver son existence sur internet ou dans une agence. Ouf ! Et le hasard fait bien les choses, ce vieux et pittoresque petit ferry effectue le jour suivant un Kalymnos-Patmos. Tout baigne !
L'arrivée à Kalymnos

Plus toute jeune la bestiole !

Kalymnos et ses fjords

Le départ matinal de Kalymnos avec la côte turque au fond

Quelques photos de Patmos




Puis vient le moment de rejoindre Leros par le seul ferry ayant de la place pour une voiture. Celui là par cette fois à 3h du matin… Au moins, ça économise une nuit !
Le lancer de touline, une spécialité grecque !

Petite vue de Leros

J'en profite pour déguster ma dernière Pita Gyros, débordant de tzatziki.

Et visiblement, je ne suis pas seul à l'apprécier.

Ainsi s'achève la partie maritime, il est plus que temps de passer au vol en question. J'espère que je n'ai pas été trop bavard ! Pour résumer :
Routing maritime
[*]Ancone (IT) -> Patras (GR) ; Superfast Ferries (Superfast XI)
dép 08/07/2014 13h30 / arr 09/07/2014 11h30
[*]Rio -> Antirio ; AG. Nikolaos (Agios Nikolaos)
09/07/2014 - dep 13h30 / arr 13h45
[*]Pirée -> Santorin ; Blue Star Ferries (Blue Star 1)
dép 10/07/2014 18h00 / arr 11/07/2014 00h30
[*]Santorin -> Naxos ; Blue Star Ferries (Blue Star Delos)
12/07/2014 - dep 15h30 / arr 18h00
[*]Naxos -> Astipalea ; Blue Star Ferries (Blue Star Paros)
dép 12/07/2014 22h45 / arr 13/07/2014 02h50
[*]Astipalea -> Kalymnos ; Anek Sea Lines (Nissos Kalymnos)
17/07/2014 - dep 10h45 / arr 14h15
[*]Kalymnos -> Patmos ; Anek Sea Lines (Nissos Kalymnos)
18/07/2014 - dep 05h00 / arr 09h05
[*]Patmos -> Leros ; Blue Star Ferries (Blue Star 2)
22/07/2014 - dep 03h35 / arr 04h45
Routing aérien
[*]Leros (LRS) -> Athènes (ATH) ; Dash 8-100 Olympic Air (SX-BIR)
23/07/2014 … VOUS Y ÊTES
[*]Athènes (ATH) -> Paris (CDG) ; Airbus A321 Aegean Airlines (SX-DVZ)
23/07/2014 … Prochainement
Passons maintenant aux choses sérieuses. Tout d'abord l'aéroport de Leros vu la veille du départ. Situé à flanc de montagne, il ne permet les atterrissages et décollages que par la mer.


Le matin du vol, je me réveille dans le camping de Leros situé au sein d'un champs d'oliviers vieux de plus de 400 ans et ma première vision, c'est ça :

Et la première chose que je dis fut : Mais qu'est-ce que c'est que ce temps de m… ????
Depuis plus de 15 ans que je viens en Grèce, je n'ai jamais eu de ciel bouché depuis les îles et il faut que ça tombe pile le jour ou je prends les airs !
L'aérogare, d'apparence très modeste

Le coin d'attente

Les comptoirs d'enregistrement. M'étant enregistré en ligne je n'en aurai pas usage.

A gauche, un minisnack

Et la salle des arrivées

Mon BP

Passage rapide de la PIF et me voici dans la salle d'embarquement, qui n'a de salle que de nom puisque elle communique directement avec le reste du bâtiment. Le charme des petits aéroports.

Impatient de découvrir un nouvel appareil, je vois enfin la bête arriver

Mais à ce moment là, alors que les 35 pax du vol ont tous passé la PIF, une agente d'OA arrive et m'appelle. Rhââââââ ! Juste au moment où le dash est en finale ! Elle me demande mon passeport et mon BP et m'invite à la suivre au check in en m'expliquant que c'était pour poser sur mon sac à dos un tag bagage cabin. Sitôt fait, je repasse la PIF avec tout sur moi en faisant tout sonner (moment de satisfaction rare), en essayant de ne pas trop en rater. Heureusement que l'aérogare est tout petit !




Entrons maintenant dans le ventre de la bête !

Je m'attendais à un pitch horrible mais il n'en est rien. Il est même légèrement supérieur aux ATR d'Hop!

Les signs vintage

L'unique PNC qui nous souhaite la bienvenue avec un grand sourire, très aimable.


Fermeture de la porte. Au passage, je suis toujours à ma place favorite juste au niveau des hélices, ce qui correspond au rang 2 sur cet appareil.

Et c'est partit ! Petit point fixe puis lâcher des freins : ça vibre de partout et le rugissement des moteurs est juste génial. Enfin un avion qui fait du bruit ! V1, Vr et le rêve d'Icare s'accomplit…
Passage de la couche et on retrouve rapidement le beau temps. Toutefois, l'humidité du meltémi est suffisante pour générer une mauvaise visibilité.

Le service commence aussitôt


???? ????? ??? !

Au loin, Donoussa

Naxos


Paros

Paros et Antiparos

Syros

Un concurrent ^^

Gyaros, avec au loin Kythnos et Ioulis

Gros plan sur Gyaros

Petalion


Au loin, on distingue déjà l'Attique et ATH. L'attrapage du LOC et du glide va être un peu à l'arrache mais avec un Dash, ça marche sans problèmes.

LOC en cours d'interception.

Le vieux Égée éclairé par le flamboyant Hélios…


Un ferry d'ANEK Lines que l'on devance sans mal

A ce moment là, sortie des flaps et remise du pas de l'hélice en position décollage, on passe de 80% à 100% de puissance. Sur un ATR, cette phase passe quasi inaperçue, pas sur un dash !
Gear down, la fin se rapproche snif !





Arrivée au bloc, mise en place du tendeur servant à bloquer l'hélice.

Un dernier regard vers India Romeo…

…avant de s'engouffrer dans la chaleur torride du PAXbus. Dire que même les vieux ferries quarantenaires sont climatisés jusqu'aux coursives alors que sur la principale porte d'entrée de la Grèce, on retrouve encore des bus modernes non climatisés ! Bon, à Paris je veux bien. Milan, passe encore. Mais à ATH où la tempé frôle parfois les 40°C hors aglomération, je demande à comprendre !
Passage devant deux TO, dont le petit dernier que l'on pourrait surnommer Éris, vu qu'il était au cœur du sujet de discorde entre les syndicats et AF il y a quelques mois.

Du reste, la livrée TO va parfaitement bien au 320. Peut-être même mieux que sur les 738 finalement.

Direction le terminal.

On se fait doubler par Air China.

Prochaine direction : E?????


Ici, l'accueil ne se fait pas aux sons de to'ere et de collier de fleurs mais par cette sympathique agente.



Arrivée avec 7 minutes de retard, pas de quoi s'inquiéter. Il me reste encore 5h à patienter.


Et enfin, le carrousel à bagages…

Ainsi se termine ce superbe vol domestique dans un avion à tout point de vue génial. Reste plus qu'à attendre le vol suivant…
A très vite pour la suite !
Sympa ce FR...et que dire des photos..juste magnifique.
Merci !
Merci pour ce beau FR
Leros Airport est croquignolet, le Dash idem, merci aussi pour Les Cyclades vues du ciel.
Oui, OA était une bonne compagnie qui offrait des tarifs très attractifs, (915 € A/R), sur l'Australie ou une importante communauté Grec est établie, des vols entre GVA et ATH en B737-200 et en B747-200 pour relier ATH à SYD ou MEL, avec une escale à BKK. Le service était généreux, une nuit à Athènes était offerte lors du transit, c'était en 1999... Toute une époque mon bon Monsieur!
Votre bonus touristique au début du reportage est très sympa
Je n'ai pas connu OA en LC, mais j'ai tout de même pu prendre leurs 343 et AB6. C'était une bel époque. Lors de la fin d'Olympic Airlines en 2009, la nouvelle Olympic Air a essayé de reprendre le MC sans vrai succès. Dommage car la livrée sur les A320 était splendide, bien mieux qu'Aegean. Mais le rachat par cette dernière lui a redonné le monopole du MC au départ d'ATH. De rien pour les cyclades, mais ça aurait tellement été mieux si ce fichu meltémi n'avait pas été aussi humide !
Merci !
Merci pour ce très beau FR avec de bien belles images dépaysantes,
L'avion est atypique et c'est vraiment chouette dans ce cadre grecque.
A bientôt
Merci !
Très beau FR dont ne finit par se demander si le bonus est en bateau ou en avion. En plus photos superbes.
Pour le reste un vol très correct visiblement dans un avion qu'on aime ou pas du tout ;-)
Tout à fait. J'en connais plus d'un qui n'aurait pas supporté un avion aussi bruyant. Moi, j'adore !
Merci !
Merci pour ce fr !:)
Tout d'abord bravo pour le bonus et tes superbes photos. Celle du chat m'a fait beaucoup rire !:))
Passer par Ancona c'est pas bête ça évite de descendre jusqu'à Brindisi ^^
Le Dash c'est sympa de temps en temps mais c'est bruyant tout de même,bien plus qu'un ATR je trouve (Dash deux en un, pour le bruit :)).
Ce saut de puce me rappelle mon voyage entre Izumo et Osaka, en Q400.Une expérience sympa !:)
Je n'ai pas encore été jusqu'à Brindisi, mais aller jusqu'à Bari est déjà bien long ! Mais les ferries étant moins chers, il faut faire un choix. Plus de route et moins cher, moins de route et plus cher. Venise, c'est le top mais il faut s'y prendre très à l'avance pour ne pas casquer...
Comparé à l'ATR, il n'y a pas photos. Pour ceux qui disent que l'ATR est bruyant, je les invites à faire un vol en Dash 8-100 ;)
ça permet de constater les progrès réalisés par les hélices à 6 pales par rapport aux quadripales !
Merci !
Merci pour ce FR composé de très belles photos aériennes mais aussi maritimes ;)
Un appareil qui n'est pas des plus jeunes mais qui ne semble pas désagréable pour autant à condition d'aimer le ressenti des vibrations et autres secousses en règle ! pitch visiblement correct, comme quoi tout est possible.
A bientôt.
Merci !
Eucaristo pour ce FR 100% héllénique. (pardon pour l'orthographe...)
J'ai beaucoup apprécié votre récit, qui s'inscrit dans un voyage touristique dont vous nous faites part avec passion et intérêt. Les photos sont d'excellente qualité. Les anecdotes sont intéressantes. BRAVO !
Merci pour l'exercice de lecture des noms des villes en grec... Pour peu qu'on sache juste lire la langue, on peut se débrouiller à ATH... C'est bon à savoir ! ;)
A part être au fin fond de la grèce, la majorité des indications sont bilingues grec/anglais. Mais quitte à être à Athènes, autant photographier la version grecque. Ça permet d'observer comment s'écrivent les capitales, et on a parfois quelques surprises !
Merci !
Toujours le don de nous étonner avec des FR dans des lieux et avec des machines
improbables tout en restant en Europe.
Je confirme le DASH8-100 est une machine disons vivante, également disponible entre Vancouver
et Terrace pour les amateur :)
J'aime bien l'aéroport de départ.
Merci pour ce FR !
C'est souvent le hasard qui me permet de découvrir ces vols un peu improbables, d'autant plus que mes études m'empêchent de faire du LC. Il faut bien que je trouve quelque chose de dépaysant tout en restant en Europe.
Au passage, félicitation pour tes derniers FR. Je n'ai pas eu le temps de les commenter mais ils sont vraiment excellents. Tes vols en Dash chez Hawkair m'ont d'ailleurs permit de préparer ce vol, notamment pour le choix du siège. Merci !
Comment ai-je pu rater ce FR quand il était en page d'accueil ? Le bonus touristique est aussi beau que passionnant à lire. Quel bel ouvrage, quand même, ce pont Rio-Antirio !
Je ne vais pas commenter chaque photo, mais un FR en Dash-8 de première génération ne peut être que bon, et celui-ci est excellent :)
Merci !
Merci :)