Avis du vol entre Ho Chi Minh City et Istanbul en classe Affaires avec Turkish Airlines

THY

TK - Turkish Airlines

Vol effectué le 29 novembre 2025
Tk0163
22:34 10h 09m 04:43
Appareil Boeing 777-300ER
Classe Affaires
Siege 2E
Boris
256 · 88 · 0 · 15

Enchainement de vols

  • 1
    SGN
  • 2
    IST
  • 3
    GVA

Introduction


Bonjour à toutes et à tous !

Après plusieurs années à lire avec attention différents flight-reports, j’ai enfin décidé de me lancer à mon tour. Ce report marque donc une petite étape personnelle : il s’agit de mon tout premier flight-report. Commençons donc sans plus attendre ce report.

Me voilà donc Après deux semaines de vacances au Vietnam, il est déjà temps pour moi de reprendre le chemin du retour vers Genève.

Ce séjour m’a permis de combiner détente et découvertes. J’ai pu découvrir deux facettes très différentes du pays: d’abord 5 jours à Phu Quoc, où j’ai pleinement profité des plages et du rythme tranquille de l’île. Je m’y suis rendu via un vol interne avec Vietnam Airlines en Airbus A321, où j’ai pu tester la Business Class à l’aller puis l’Économie au retour, avant de poursuivre avec 7 jours à Ho Chi Minh City, une ville animée et fascinante, où j’ai arpenté les rues, découvert son patrimoine et savouré la gastronomie local. 

Pour clôturer ce voyage, je retrouve Turkish Airlines pour le long-courrier SGN → IST, étape intermédiaire avant mon retour en Suisse. J’avais déjà voyagé avec la compagnie sur un Boeing 787 à l’aller, mais sans avoir eu l’occasion de prendre de photos. Ce vol sera donc l’occasion idéale de réaliser un flight-report complet, cette fois avec toutes les images et impressions nécessaires. Le trajet est opéré en Boeing 777-300ER, offrant une expérience Business différente de celle du Dreamliner de l’aller.





L’aéroport


Nous quittons enfin notre hôtel, où nous avons passé un séjour très agréable et où le personnel s’est montré aux petits soins du début à la fin. Pour rejoindre l’aéroport, nous commandons un Grab… et c’est là que l’aventure commence.

Le trajet se révèle rapidement mouvementé : notre chauffeur adopte une conduite particulièrement énergique, enchaînant freinages brusques et dépassements limite dangereux. Pour pimenter le tout, il tente même de nous réclamer un supplément imprévu à l’arrivée. Heureusement, nous sommes arrivés sains et saufs et surtout sans payer un dong de plus !





Nous sommes arrivés à l’aéroport en avance, ce qui nous a permis de flâner un peu dans les différentes boutiques et de parcourir le hall principal. L’ambiance était animée, avec beaucoup de voyageurs, mais la circulation restait fluide aux guichets d’enregistrement. Nous avons bien sûr remarqué une très longue file à l’immigration, ce qui n’a rien d’étonnant : l’aéroport est réputé pour ses temps d’attente.

Étant arrivés tôt, nous avons été parmi les premiers aux guichets Business. Une fois ceux-ci ouverts, tout s’est déroulé très rapidement pour l’enregistrement des bagages. Nous nous sommes ensuite dirigés vers l’immigration, où la file avait nettement diminué, et il ne nous a fallu qu’environ 30 minutes pour passer les douaniers et la sécurité.


Le Lounge


Après avoir passé rapidement l’immigration et la sécurité, nous nous sommes dirigés vers le Saigonnais Business Lounge, accessible aux passagers Business de Turkish Airlines, à de nombreuses compagnies du groupe Star Alliance ainsi qu’aux grandes compagnies du Moyen-Orient.

Le salon est de taille raisonnable, assez calme malgré un flux constant de passagers. La décoration est moderne, mêlant confort et petites touches locales. C’est également un petit paradis pour les spotters : de grandes baies vitrées offrent une vue directe sur le tarmac et les portes d’embarquement.

Nous nous sommes installés juste en face de notre avion. Voici d’ailleurs une petite photo prise pendant que les équipes chargeaient les soutes et le catering.





Côté restauration, le salon propose une large sélection de plats chauds et froids, avec un choix aussi bien asiatique que continental. Une belle variété de fruits frais est également disponible, et je dois avouer que j’ai craqué pour le fruit de la passion… impossible de résister !

Pour les boissons, la sélection est tout aussi complète : boissons soft en libre-service façon distributeur “fast-food”, vins chiliens et australiens, bières locales et quelques alcools forts.

Ayant déjà mangé en arrivant à l’aéroport, je n’ai pas vraiment profité du buffet. Mon compagnon de voyage, en revanche, s’est largement régalé, photos à l’appui, évidemment. De mon côté, je me suis contenté de quelques verres de vin blanc : pas mauvais, mais on trouve clairement mieux ailleurs. 





Le lounge est propre et bien entretenu, avec un personnel qui passe très régulièrement débarrasser les tables. Cela évite que les assiettes et les verres s’entassent un peu partout, ce qui n’est clairement pas le cas dans tous les salons ! Les sanitaires sont propres, sans être exceptionnels, et des douches sont également disponibles sur demande, un vrai plus pour les longs trajets ou les correspondances prolongées.


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Embarquement


Une attention particulièrement appréciable et que je n’avais encore jamais vue dans aucun autre lounge, est le passage d’une hôtesse directement dans le salon pour prévenir que l’embarquement venait de débuter. Un vrai plus, surtout lorsqu’on est confortablement installé et qu’on perd facilement la notion du temps.

Après un dernier passage aux toilettes, nous nous sommes dirigés vers notre porte d’embarquement, la porte 17. À notre arrivée, l’embarquement en Économie avait déjà commencé, tandis que la file dédiée à la Business était totalement vide.

Il nous a fallu moins de cinq minutes pour rejoindre nos sièges, un embarquement fluide et efficace comme on les aime.





L’avion


Avant de monter à bord, parlons un peu de l’appareil du jour : un Boeing 777-300ER de moins de 10 ans. La cabine Business est configurée en 2-3-2 pour 49 passagers, tandis que la cabine Économie propose une configuration 3-3-3, plutôt rare dans ce genre d’appareil, pouvant accueillir environ 300 passagers.


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Notre avion arbore la livrée Bio Fuel de Turkish Airlines, spécialement conçue pour mettre en avant l’utilisation du Sustainable Aviation Fuel (SAF). Un carburant dit comme durable, produit à partir de matières renouvelables, qui permet de réduire les émissions de CO₂ tout en restant compatible avec les avions existants. Une manière visible et symbolique pour turkish de montrer son engagement en faveur d’un transport aérien plus respectueux de l’environnement.


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Bienvenue à bord


À l’origine, ce vol devait être opéré en Boeing 787, mais l’appareil a finalement été remplacé par un Boeing 777-300ER.
J’ai surpris une conversation entre une hôtesse et un passager mécontent du changement : elle lui expliquait que la demande avait fortement augmenté, ce qui avait poussé Turkish Airlines à déployer un appareil plus capacitaire. En vérifiant sur FlightRadar, j’ai même constaté qu’un A350 supplémentaire avait été ajouté, décollant environ huit heures après notre vol.

Nous avions réservé deux sièges côte à côte au milieu. Avec le changement d’appareil, aucune possibilité de modifier nos places sans être séparés, la cabine étant déjà bien remplie. Nous avons donc conservé nos sièges au milieu, et j’ai pris le siège 2E. 


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Une fois à bord, nous découvrons la cabine Business du Boeing 777-300ER. L’ambiance est immédiatement familière : éclairage doux, tons sobres et configuration classique 2-3-2, très différente du 787 en 1-2-1 sur lequel j’avais voyagé à l’aller.

La première chose qui frappe, c’est l’espace : le 777 paraît plus large, mais la configuration est moins intime que sur le Dreamliner. Ici, le siège du milieu impose forcément un voisin… ou deux. Pour ma part, j’occupais le siège central, avec un voisin inconnu à ma droite.
Une petite séparation offre un minimum d’intimité, mais lorsqu’il faut enjamber quelqu’un pour aller aux toilettes… c’est tout de suite moins élégant ! Malgré cela, je me suis senti moins à l’étroit et plus libre que sur le 787.

Le design des sièges est un peu plus classique et moins moderne que sur le Dreamliner, mais reste confortable et bien entretenu.
L’espace pour les jambes est généreux et l’assise particulièrement large.

L’IFE du 777 est toutefois un peu plus daté que celui du Dreamliner : la définition est correcte, mais inférieure au système plus récent et lumineux du 787. Rien de dramatique pour regarder un film, mais la différence est notable.

Côté rangements, le siège est bien pensé, compartiment fermé au niveau des pieds idéal pour sécuriser ses objets et un rangement dans l’accoudoir, parfait pour y glisser un iPad ou le casque fourni. Petit point moins pratique : toutes les prises se trouvent à l’intérieur de ce compartiment. Résultat, lorsque la cabine est plongée dans le noir et que vous voulez brancher quelque chose… eh bien, il faut un certain talent de contorsionniste (ou une lampe torche).





Pour mon siège, les commandes du siège se trouvent sur l’accoudoir gauche. Elles sont intuitives et faciles à utiliser, même pour un premier vol sur ce type de siège. Le siège offre bien sûr la position full-flat, idéale pour dormir, ainsi qu’une liseuse et un bouton pour l’éclairage au plafond.

L’IFE dispose d’une télécommande intégrée sur la gauche du siège. Elle est rétractable, ce qui la rend pratique à manipuler, et permet de contrôler l’écran grâce à différents boutons et à un écran tactile secondaire. Ce qui est très pratique car l'écran principale est très éloigné du siège. On peut également régler l’éclairage directement depuis cette télécommande, ce qui est très pratique.





D’ailleurs, le casque fourni, un Denon , s’est révélé confortable, avec un son de bonne qualité et une réduction de bruit efficace.


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L’équipage, déjà très actif, accueille les passagers avec le sourire. Très rapidement, une hôtesse est venue se présenter à nous et nous proposer le welcome drink. Contrairement à certains vols où un plateau est présenté, ici les boissons sont servies à la demande, ce qui permet de choisir tranquillement ce que l’on souhaite. Nous avons opté pour du champagne, et avons reçu en même temps un oshibori chaud, parfait pour se rafraîchir et se détendre avant le décollage.
Peu après, les chefs sont passés pour nous remettre le menu du vol. 

Pour ce vol du soir, Turkish Airlines proposait plusieurs options des plats entre terre et mer, ainsi qu’un menu végétarien pour ceux qui le souhaitent.

Côté boissons, la sélection est très complète, une variété de vins, d’alcools forts et de boissons soft est disponible tout au long du vol. 





Sur ce vol, nous avions deux chefs à bord qui sont passés pour prendre nos commandes. Une fois que nous avions fait notre choix, nous avons reçu notre amenity kit.

Rien de fou, mais pratique : le kit contient un baume à lèvres, une crème pour les mains, des bouchons d’oreille, un cache-yeux, des chaussettes et un kit de brossage de dents. Nous avions également une paire de pantoufles. Bref, tout ce qu’il faut pour être à l’aise et se rafraîchir un peu.


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Je profite de la fin de l’embarquement pour aller faire un tour aux toilettes. Elles sont assez spacieuses et équipées d’un faux hublot, ce qui ajoute un petit côté aérien sympa.

Comme je dois être l’un des premiers à les utiliser après le nettoyage de l’avion, tout est propre et bien entretenu. On y trouve du savon, de la crème pour les mains et même un parfum, idéal pour un petit rafraîchissement avant le décollage. La poubelle est pratique, avec une pédale pour l’ouvrir sans se salir les mains, un petit détail qui fait la différence.

Un autre point très pratique : la cabine indique si les toilettes sont occupées, ainsi que l’état des toilettes de derrière, ce qui évite les déplacements inutiles et améliore le confort à bord.





Une petite vue par le hublot du voisin, et c’est parti pour le pushback. La safety video est lancée ; chez Turkish Airlines, elle est diffusée deux fois : une fois en anglais, puis en turc. Un peu long à mon goût. Il serait sans doute plus efficace de proposer une seule vidéo avec les deux langues, comme le font plusieurs autres compagnies.

Pour ceux qui ne sont pas côté hublot, des caméras extérieures sont disponibles, permettant de suivre le roulage et le décollage, ce qui est vraiment pratique. L’aéroport de Saigon n’étant pas très grand, le taxi ne dure que quelques minutes avant que nous puissions décoller.





Très rapidement après le décollage, l’équipage s’est affairé en cabine pour la rendre plus confortable pour la nuit. Ils ont installé les sur-sièges, distribué des couvertures plus épaisses et effectué la distribution de bouteilles d’eau.


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Peu après, les hôtesses sont venues prendre notre commande de boissons pour accompagner le repas. J’ai demandé à l’hôtesse quel vin serait idéal pour mon plat, et elle m’a proposé un vin rouge turc. Mon compagnon, lui, a choisi du champagne.

Elles ont ensuite préparé et installé nos tables, prêtes pour le service. Pas de chariot avec les chefs ce soir : le service se fait directement à la place, façon restaurant, ce qui rend l’expérience beaucoup plus personnalisée et agréable.

Les verres sont servis avec l’apéritif, accompagnés de noisettes et cacahuètes, un petit encas simple mais parfait pour débuter le repas. Cela permet de patienter tranquillement pendant que le service principal se prépare.


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Nous en avons profité pour lancer un film, qui nous accompagnera durant le repas. Le service a ensuite commencé et nous avons tous les deux choisi le même menu : mezze turc en entrée, ravioles à la ricotta et aux épinards en plat principal, et baklava accompagné d’une boule de glace au chocolat pour le dessert, la glace à la vanille n’étant pas disponible sur ce vol. 

La table était joliment dressée avec la fameuse bougie Turkish Airlines, ainsi qu’un plateau avec épices, huile d’olive, beurre, sel et poivre. Petit bémol : les contenants pour le sel et le poivre, bien que très esthétiques, sont peu pratiques avec l’ouverture sur le côté et j’en ai mis un peu partout ! Le pain maison servi était excellent.

L’entrée était légère et savoureuse, parfaite pour commencer le repas. Ce que j’ai trouvé particulièrement pratique dans le 777, c’est que même avec la table déployée, il est possible de sortir de son siège, ce qui n’est pas le cas sur le 787 ou d’autres configurations de cabine. Le plat principal était bon, sans être extraordinaire, suivi du dessert, que j’adore chez Turkish.

Une fois le repas terminé, je me suis pressé d’aller aux toilettes, avant de mettre mon siège en position full-flat et de commencer ma nuit de sommeil.





Quelques heures plus tard, je me réveille. Il nous reste un peu moins de 4h de vol, j'en profite pour aller aux toilettes et jeter un œil au snack corner. J’enjambe doucement mon compagnon, qui dort à poings fermés. Tout le reste de la cabine est plongé dans le sommeil, et l’équipage se trouve à l’avant de l’appareil.

Au niveau du snack corner, il se trouve entre les deux cabine business,  il y a pas mal de choix : sucré, salé, de quoi grignoter un petit quelque chose à toute heure. Ce qui m’a un peu surpris, c’est de voir de l’alcool en libre-service, alors que généralement les boissons alcoolisées sont contrôlées par l’équipage.





De retour dans mon siège, je retourne très rapidement dans les bras de Morphée. Je serai bien réveillé plus tard par mon compagnon pour le petit-déjeuner, mais je préfère finalement prolonger ma nuit. De toute façon, nous devions passer par le lounge Turkish à Istanbul, et je n’avais pas spécialement faim à ce moment-là.

Pendant que je finissais tranquillement ma nuit, mon compagnon, lui, s’est régalé avec le petit-déjeuner, et en a profité pour prendre une photo afin d’illustrer ce repas.


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Je fus finalement réveillé par les hôtesses, en plein préparatifs de la cabine pour l’atterrissage, environ 40 minutes avant l’arrivée. Elles sont passées récupérer les casques et les couvertures non utilisées, et nous ont bien évidemment demandé de remettre nos sièges en position assise. Des chocolats ont également été distribués, une petite attention sympathique pour terminer le vol.

J’en ai profité pour ranger toutes mes affaires et remettre mes chaussures, afin d’être prêt à sortir rapidement au débarquement. Grâce à la caméra avant, j’ai pu profiter d’une belle vue sur la piste pendant l’approche… et nous voilà au sol.

Tout le monde est prêt à débarquer. Le débarquement s’effectue par escalier, et un bus nous attend pour rejoindre le terminal.





Et nous voilà très rapidement aux contrôles de sûreté pour accéder aux vols internationaux. Il y a pas mal de monde, mais heureusement Turkish dispose d’un accès dédié pour les passagers Business, ce qui nous a permis de passer les contrôles très rapidement.


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Et nous voilà arrivés devant le lounge, où nous allons passer quelques heures avant notre vol pour Genève. C’est l’occasion de nous détendre un peu après ce long vol, de profiter du confort de l’espace et de nous préparer pour la dernière étape de notre voyage.


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Notes des produits

Compagnie aérienne

Turkish Airlines 8,6

  • Cabine7,5 / 10
  • Equipage8,0 / 10
  • Divertissements9,0 / 10
  • Restauration10,0 / 10
Salon

Le Saigonnais Business Lounge7,4

  • Confort8,5 / 10
  • Restauration8,0 / 10
  • Divertissements5,0 / 10
  • Services8,0 / 10
Aéroport de départ

Ho Chi Minh City - SGN7,3

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services5,0 / 10
  • Propreté8,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Istanbul - IST8,5

  • Fluidité9,0 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté9,0 / 10

Conclusion

Ce vol Ho Chi Minh City – Istanbul avec Turkish Airlines a été pour moi une très belle façon de conclure ces deux semaines passées au Vietnam. Malgré le changement d’appareil de dernière minute, le 777-300ER m’a agréablement surpris par son confort, notamment grâce à son assise large et à l’espace disponible, qui m’ont permis de voyager de manière détendue sur ce vol de nuit, malgré un manque d’intimité par rapport au 787.

Ce vol confirme une fois encore la qualité et la régularité de Turkish en Business, et restera un excellent souvenir pour clôturer ce magnifique voyage, riche en détente, découvertes et belles expériences aériennes.

Ce report marque également une étape personnelle importante, puisqu’il s’agit de mon tout premier flight-report, après des années de lecture passionnée. J’espère sincèrement que ce récit aura été à la hauteur, agréable à lire et utile à celles et ceux qui envisagent ce vol ou cette compagnie.

Merci à toutes et à tous pour votre lecture, et à très vite pour mon prochain flight-report, consacré à mon vol de retour vers Genève !

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