Avis du vol entre Geneva et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour, 

Voici mon retour à Paris, à nouveau en solo, après un séjour aux États-Unis avec ma mère.

Je prends le dernier vol en ce vendredi soir, comme toujours en A220, devant travailler à Paris le lendemain… Dur retour au réel, dois-je dire.

À GVA, notre lugubre secteur France est vide malgré les vacances d'automne.

Je retrouve le salon et son équipe tellement adorable. À l'entrée, l'agent m'informe immédiatement que le vol précédent a accumulé énormément de retard : il est encore en porte pour environ 5 minutes et il peut m'y intégrer. C'est absolument adorable. Mais je décline, préférant profiter d'une dernière demi-heure au calme dans un salon pour correctement marquer la fin de mes vacances. Il m'offrira alors une coupe de champagne, servie à la place.

L'offre, néanmoins, a été passablement décimée en cette fin de journée.

Une première sélection, avec ces croque-monsieur tellement délicieux.

Le chaud.

Notre vol a également accumulé un peu de retard, l'embarquement débute 25 minutes après l'heure théorique. Il y a des jours comme ça… 

Respect des priorités.

Je suis parmi les premiers à monter à bord.

Et retrouve mon traditionnel 31A. L'équipage est adorable.

Vue depuis le hublot.

Repoussage 21h23. L'équipage ajoute à ses annonces traditionnelles qu'en raison d'un problème technique aucune boisson chaude ne pourrait être servie à bord.

La cabine est plongée dans la pénombre.

Décollage 21h32.

Service classique.

Le PNC de l'arrière, très attentionné et de toute évidence sensible aux statuts de ses passagers, me demande ce que j'aurais pris en l'absence du problème technique empêchant de faire des boissons chaudes… Je confirme son sous-entendu en disant que j'aurais alors opté pour un thé. Il se proposera immédiatement de déjouer les éléments pour tout de même m'en servir un ! J'aurai néanmoins dû l'attendre une trentaine de minutes. Explication donnée : sans le système habituel pour chauffer l'eau, mon thé a dû être chauffé… Au micro-ondes (dans une tasse en verre, puis versé dans un gobelet en carton, ne donnons tout de même pas trop au vulgaire passager Platinum assis en Y qu'il s'est soudainement retrouvé à l'avant) !

Atterrissage 22h25.

Arrivée en porte 16 minutes plus tard, à 22h41, donc avec près de trois quarts d’heure de retard !

Je récupère ma valise pleine d'achats américains… 

Merci de m'avoir lu ! Au plaisir