Avis du vol entre Paris et Bucharest en classe Economique avec Animawings

Bonjour à toutes et tous.

Maintenant que la série Bolivienne est terminée et que j’ai été discipliné dans la chronologie, je reprends une série plus avgeek avant de vous emmener dans le Nord de la planète.

En ce début du mois de juillet, je dois rejoindre Bucarest, et il y a un vol que j’attends depuis des semaines mais qui ne rentrait pas dans les plannings….
Je ne cherche donc pas à voir les meilleurs tarifs, c’est celui-ci et rien d’autre, et le prix à 2 jours du vol va piquer, mais à cela ne tienne, je ne regarde pas à la dépense (280€ en Y).

Animawings est une compagnie roumaine, et elle a en 2024 réceptionné deux Airbus A220.
Autant vous dire que cela m’a fait plaisir.
Cette jeune compagnie, propose des vols vers CDG depuis le 2 mars 2025 et NCE depuis le 17 avril 2025, la première est plus facile, il y a 5 vols par semaine et notamment le dimanche contrairement à Nice.

Elle propose une classe affaires qui se démarque des compagnies classiques avec un véritable siège J, et la classe économique semble tout à fait convenable.

La jour J c’est la SNCF qui me fait arriver à Paris dans la matinée, et après une balade près du Père Lachaise, il me faut prendre le chemin de CDG. Celui-ci ne sera pas aisée, en effet ce weekend là il y a une rupture de charge à gare du Nord et j’arrive justement au moment du changement.
Je vais donc attendre plus de 30 minutes une rame, heureusement que j’ai de la marge.
J’arrive à 12H15 à la gare RER de Roissy Pôle, ou je continue à pied vers le terminal 3, le chemin est agréable, la météo est parfaite. 

Ce sera ma première fois dans ce terminal.

Je consulte le FIDS, il y a quand même 3 vols pour le Canada, c’est la haute saison, un vol de Play que j’aurais pu faire si je n’avais pas des vacances programmées quelques jours plus tard.

On retrouve landside, un Relay et un Paul, des enseignes très classiques des aéroports.

A l’enregistrement il n’y a personne, je n’en ai pas besoin je n’ai qu’un sac à dos.

Et pour mon BP, je l’ai imprimé le matin même au bureau lors du dépôt de ma voiture.

Passage du PIF.
Un duty free à gauche et un prêt à manger à droite. 

C’est l’heure du déjeuner et j’ai faim, c’est donc à droite que je bifurque.

Cette longue file est pour l’embarquement du vol vers Madrid.

Ici c’est le royaume du bus.
 Le temps de manger ma salade, et l’embarquement commence.
Je n’ai aucune raison de me précipiter, autant être dans les derniers à embarquer dans le bus, cela permet d’en sortir en première.

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On passe devant Nouvelair que j’ai découvert quelque jour plus tôt.
L’intrus c’est l’avion blanc. 

Pour moi c’est celui-ci avec cette nouvelle livrée qui lui va très bien.

Jolie dérive 

Il n’y a pas à dire il est magnifique.
Quand je vous disais qu’il valait mieux sortir du bus en premier c’est pour prendre la photo sans passagers. 

Je suis vite rattrapée par la meute.

Un fuselage shot. 

La cabine est très jolie, et cette J est tellement plus qualitative qu’un siège neutralisé (et encore pas sur tous les appareils).

L’éco présente bien également.
Avec une première partie plus premium. 

Le fond de cale ou je serais.

Avec un hublot parfaitement aligné.

Le pas reste correct, même au rang 24.

La safety card, qui finira à Fontainebleau.

Le bout d’aile.

J’ai de la chance, le siège à côté de moi restera libre, cela atténue la douleur du prix payé.

Le magazine de vente qui est en très bon état.

On peut commander des repas qui semble de bonne facture, mais l’heure ne s’y prêtait pas pour moi, sinon j’aurais craqué. A 22€ pour un plateau similaire à la J et à une heure de déjeuner ou de diner cela me semble être un prix acceptable.

Pour le reste je passe mon tour.

Les destinations.

Il y a également un magazine de la compagnie.

Le réseau.

L’A220 est à l’honneur.

La flotte qui est de 4 appareils (2 A220 et 2 A320), avec 4 autres A220 à venir.

Il y a deux ports USB, avec les deux modèles.
Une petite tablette pour le téléphone et une grande pour se restaurer ou travailler. 

Le plafonnier.

Passage devant le plus bel avion, quelle chance pour ceux qui ont pu voler à bord.

Je n’avais jamais remarqué cette mention du #Paris vous aime.

Spotting en chemin avec Air Canada en B777-300

Du local

Air Mauritius en Airbus A350.

Le même chez AF

Décollage.

Le circuit Carole

Le Bourget

Le stade de France, la tour Eiffel et la Tour Montparnasse au loin

Un temps idéal pour survoler la capitale

CDG

Et sans transition, mon goûter.

Je passe en revue la suite du BOB, mais sans rien commander, j’ai prévu de diner en ville ce soir.

Le chariot à délice arrive, il y aura quelques ventes

J'aime beaucoup ce cœur

On survole l’Alsace à hauteur de Pfaffenheim

Passage du Rhin

Un air to Air à proximité du lac de Constance

LDeux toilettes au fond de l’avione rideau est tiré sur le galey arrière

La cabine vue de l’arrière ce qui permet de juger de l’inclinaison du siège.

Couleur taupe pour les commodités

Avec miroir

Les alpes autrichiennes mais sans neige

Dridu lake 

Votre teEt arrivée à Otopeni.xte…

Un avion militaire

Me voici à bon port, je me reconnecte avec le monde moderne et de la data.
Coucou LH

Le rideau de séparation.

Il fait une chaleur étouffante.

On sort directement en porte ce qui est pratique pour les correspondances.
Maison Pradier, une enseigne bien française.

Direction la sortie

Il faudra faire de la marche

Mais avec une vue sympathique sur l’extérieur.

Plus de contrôle de la PAF, c’est parfait

Hisky en A321 néo

Pas de valise pour moi.

Direction le bus, la ligne 100 m’emmène directement au centre-ville pour 1€ en une demi-heure , et pas besoin de ticket, on peut faire du tap and go, ce qui devrait pour moi être la norme dans tous les pays.

Merci pour la lecture et les commentaires, un mini bonus sur une soirée à Bucarest.