Avis du vol entre Jakarta et Yogyakarta en classe Economique avec Garuda Indonesia

GIA

GA - Garuda Indonesia

Vol effectué le 14 juillet 2025
GA212
14:45 01h 20m 16:05
Appareil Boeing 737-800
Classe Economique
Siege 22A
opoman
62 · 116 · 0 · 1

Bonjour à tous, et bienvenue pour la suite de cette série de reporting.
Après une toute petite nuit passée à Jakarta, plus pour des raisons d'organisation que pour visiter la capitale Indonésienne, nous repartons directement, direction le centre de l'ile de Java et la ville de Yogyakarta, où nous passerons 3 nuits, et qui nous servira de point de départ vers les temples de Prambanan et Borobudur (Bonus en fin de FR si je ne l'oublie pas :) )
L'intégralité du voyage en avion se présente comme suit:


Enchainement de vols


Au sol à Jakarta CGK


C'est en Grab, service de VTC populaire en Asie du Sud-Est depuis sa reprise auprès de Uber en 2018, que nous rejoignons rapidement le terminal 3 de l'aéroport Soekarno Hatta.
Garuda opère en effet tous ses vols de Jakarta depuis ce terminal, aussi bien pour le domestique que pour l'international.


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Les passagers Garuda et ceux à statuts ou haute contribution (Business et First) ont tout intérêt à aller vers le fond du bâtiment, proche des portes 5, ils seront ainsi plus proches des commodités mises à leur disposition par la compagnie Indonésienne.


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Le bâtiment est immense, moderne, et immaculé.
Le niveau inférieur est celui des arrivées.


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Dans ce bâtiment, Garuda dispose d'une zone entièrement dédiée aux passagers SkyPriority.
L'endroit est gardé par du personnel GA et le lieux dispose de petits espaces pour s'asseoir au besoin.


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Malgré tout, nous devrons faire preuve d'un peu de patience, un cas difficile occupera les agents d'assez longues minutes.
Landside, quelques boutiques et restaurants permettent de passer le temps agréablement.


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Deux zones bien distinctes cohabitent dans ce terminal, avec à droite la partie dédiée aux vols internationaux, et à gauche, la partie domestique qui nous intéresse aujourd'hui.


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Difficile de la rater.


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Les distances à couvrir sont importantes dans cette imposante construction, et il nous faudra près de 45 minutes entre notre arrivée et notre passager airside.
Nous avons cependant apprécié et été bien aidé par le fast-track du PIF.

Immédiatement après le PIF, un écran géant aide les visiteurs à s'orienter et à trouver leur porte. Il fourni également de précieuses informations sur les temps et les distances.


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13h15 donc quand débarquons dans la zone commerciale du concourse.


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Nous ne nous y attardons que peu, notre arrivée en avance ayant pour objet de profiter du salon pour y déjeuner.
Celui-ci est situé en hauteur, et domine le reste du terminal.


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Garuda Indonesia Domestic Lounge


L'entrée au salon se situe donc en mezzanine, et on la trouve après avoir emprunté un escalier (mécanique) bien aidé par une signalétique claire.


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Un comptoir d'accueil se charge des formalités d'entrée et on peut voir un panonceau pointant sur la droite, indiquant "Platinum lounge". Cela signifie qu'une autre partie du salon, située à gauche est censée accueillir uniquement les passagers de Business Class et les statuts Elite (non Elite plus)


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Le salon s'étale le long du terminal, et on retrouve immédiatement à droite de l'accueil une zone semi ouverte sur l'extérieur. Celle-ci est généralement utilisée par les équipages Garuda de passage (visible sur le fond du cliché).


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En continuant plus en avant, on accède à une partie très calme du salon, fermée par des portes vitrées.
C'est ici, sur ces agréables canapés que nous nous installerons. Les assises sont équipées en prises de courant, et le wifi fonctionne parfaitement.


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Des espaces plus intimistes sont également disséminés vers le fond du salon.
J'aime bien l'idée, mais pas sur qu'à l'usage cela s'avère très pratique.


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En poussant encore un peu plus loin, on tombe sur ces espaces plutôt destinés au travail.
Certains d'entre eux (à droite en bleu) sont plus isolés et propices aux visios et aux échanges téléphoniques.


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Dans le salon, un FIDS permet de suivre l'évolution des vols et des portes.


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Les lieux sont très agréables, notamment grâce à la lumière provenant de l'extérieur et qui baigne l'endroit.
De petites stations déportées permettent de retrouver une partie de l'offre, ici du liquide,
A noter que le salon domestique est sans alcool.


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Et la du solide (oui, y a aussi une soupe, donc du liquide :) )


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Le gros de l'offre est joliment présenté sur un ilot central.


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Le catering fait bien sur la part belle à la gastronomie indonésienne.
Les personnels, nombreux, s'assurent du réassortiment permanent et de la propreté des lieux.


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En plus du riz, aliment de base de la cuisine Indonésienne, on retrouve des légumes ainsi qu'une espèce de curry de poulet.


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Cette vitrine (froide) est vide pour l'heure. On note cependant de nombreux condiments pour assaisonner un bouillon au bœuf (hors cadre)


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Enfin, quelques douceurs sont offertes aux becs sucrés.


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Voila pour le tour du propriétaire de cette partie droite du lounge, censément réservée aux passagers Elite Plus.
Il faut dire qu'effectivement, nous n'avons pas été très nombreux dans cet espace et nous n'avons pas vu beaucoup de passage lors de notre séjour.

Je vous propose maintenant de faire un tour rapide de la partie gauche du salon. Qui si j'ai bien compris accueille pour sa part les passagers business et Elite de Skyteam.
On note d'entrée qu'il y a un peu plus d'agitation, et que les lieux ont l'air moins cosy, on est plus à touche-touche.


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Un spa/espace de massage existe, et même si les tarifs sont plus élevés qu'en ville, il n'en reste pas moins qu'à 20€ pour une heure, l'activité reste meilleure marché qu'en Europe.


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Des vitrines mettent en valeur divers produits. Et si certains comportent une étiquette, j'en déduis qu'ils sont donc disponibles à la vente.
Pas sur que cela fasse recette cependant.


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Toute en longueur, cette partie du lounge offre les mêmes prestations que son jumeau Platinum!


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Des espaces plus isolés côtoient des assises clairement ouvertes sur le salon, qui plus est relativement dans le passage.


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Si l'offre culinaire est similaire, sa mise en avant est un poil différente, et je la trouve très agréable.
Ce tableau donne un petit côté warung à l'endroit.


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Idem pour le sucré, dont la présentation semble plus soignée ici aussi.


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Direction les portes d'embarquement


Environ 45 minutes avant l'heure d'embarquement, nous quittons cet agréable salon (à noter qu'il est dry par ailleurs - pas d'alcool en domestique).
Enfin 45 minutes… un peu moins pour moi car je souhaite tester un service que j'ai vu avant notre montée sur la mezzanine.


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En effet, Garuda offre à tous ses passagers haute contribution dont les portes sont un peu éloignées, un service de buggy.


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Excellente surprise, même si cela peut semble un peu gadget.
Je ne me prive pas du plaisir de faire un tour de roue dans les longs couloirs du terminal. Surtout quand on sait que même en First, certaines compagnies n'offrent pas ce genre de service.


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8 minutes de buggy plus tard (quand même) nous voila rendus en porte 26, où l'embarquement pour notre vol vers New Yogyakarta n'a pas encore débuté.
New Yogyakarta (IATA code YIA), ouvert courant 2019, doit en effet se substituer et remplacer l'aéroport Adisutjipto (IATA JOG) devenu saturé et obsolète (avec une piste relativement courte et réputée dangereuse)


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On note encore une fois la propreté immaculée des lieux, et la bonne mise en place de la signalétique SkyPriority.
Les zones sont ici classées par lettres et non par chiffres comme c'est le cas à CDG par exemple, et je suis surprise de voir que les passagers Gold sont censés être dans la zone B, alors qu'ils ont, à ma connaissance, accès aux parcours prioritaire…


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Peu m'importe, je profite de mon statut pour pénétrer le premier dans la passerelle, dont vous remarquerez qu'elle est moquettée.


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Elle est également vitrée, ce qui permet de jeter un œil sur quelques appareils.
Enorme majorité de 737 Garuda sur la première partie de la jetée, suivi de gros porteurs, notamment SQ, BR, WY.
Difficile de ne pas mentionner le 320 Pelita Air au premier plan, filiale du groupe pétrolier Pertamina, dont les stations pullulent littéralement dans tout l'archipel. Leur slogan ne saurait être plus pertinent: Always there. Elle propose des vols domestiques réguliers depuis sa base de CGK.


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Le vol Garuda Indonesia GA212


L'accueil en porte se fait par un équipage absolument charmant.
Directement à l'entrée, des casques sont mis à disposition, ce qui indique que l'appareil est équipé d'une système de divertissement.
Et également à droite, une panière remplie de petits bonbons durs.


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Et découverte de l'aménagement cabine de cet 737-800, équipé d'une vraie business class, avec ici 12 sièges Aerospace Millennium dans une classique configuration en 2-2 et qui offre un excellent pitch.
Couvertures et oreillers sont disposés sur les assises avant l'embarquement.


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Le reste de la cabine est dédié à la classe économie.
Les tons des sièges font un peu vieillot, mais les têtières turquoises égayent l'ensemble.


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Le premier rang au bulk offrant un espace supplémentaire pour les jambes.
On note également que les IFE pour ses sièges sont situés sur le bulk, ce qui évite de les avoir dans un accoudoir et les rend donc utilisables même pendant les phases sensibles.


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Pour ma part, l'espace pour les jambes est largement suffisant pour mètre 65, malgré tout, le boitier IFE peut s'avérer gênant.


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Mais vraiment, je n'ai pas de quoi me plaindre.


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Détail pour un vol si court, mais, le système est personnalisable


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et propose une offre, certes restreinte, mais qui a le mérite d'exister.


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En complément, on retrouve un magazine de bord qui présente le réseau national de GA, ainsi que l'offre internationale.
L'Europe reste le parent pauvre de la compagnie, avec la seule desserte d'AMS. Je regrette le temps où GA desservait LHR également avec une First... 


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L'embarquement prend un peu de temps, et il est finalement 14h55 quand les portes sont fermées et les consignes de sécurité lancées sur les IFE.


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Pour preuve, nous avons entamé le roulage, toujours sous un ciel maussade et/ou pollué…


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C'est gris, y a pas à dire, mais on arrive quand même à noter, au second plan, la caserne des services incendie.
Selamat jalan Jakarta!


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Le roulage est long, et prendra une grosse dizaine de minutes, il y a du monde à CGK.


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Le vol est court, 1h20 sur le papier, c'est donc très rapidement que le service (limité) s'effectuera.
Ne vous embêtez pas à scanner le QR code, il renvoi vers des informations générales sur le site de GA.
Il est par ailleurs possible de scanner ce QR code en vol, grâce au Wi-Fi dont l'appareil est équipé.


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La prestation proposée est la suivante: quelques biscuits secs type apéro et une espèce de sandwich à la bolognaise (pas bon).
Une bouteille d'eau vient faire glisser le tout. Appréciable d'avoir une pleine bouteille réutilisable sur un vol de cette durée. Bon après la gestion du plastique en Indonésie c'est pas ça…


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Bien que les IFE soient présents et opérationnels, leur utilisation est rendu quasi impossible à cause des multiples et incessantes publicités qui y sont diffusés.


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De toutes façons, le vol passe vite, et les vues extérieures sont plus intéressantes.



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Ca moutonne très légérement dans le ciel, la mer quant à elle, à l'air d'huile.


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Pas d'autres choses à noter avant notre atterrissage qui intervient à 16h10, nous sommes donc parfaitement dans les temps.


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Il ne faudra pas longtemps pour que les installations de débarquement soient installées. Nous nous retrouvons donc rapidement dans les couloirs d'arrivée de Yogyakarta.
La prise de congés de l'équipage aura été sympathique et tout le personnel, y compris au sol, est adorable.


Arrivée à New Yogyakarta


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Les couloirs de l'aérogare sont l'occasion de mettre en avant un hommage au lieu qui à donné naissance à l'aéroport de YIA.
Cette œuvre racontant l'histoire d'un couple pionner du village de Jangkaran.


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Ici aussi, et une fois encore, l'endroit étincelle, c'est impressionnant et très agréable.


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Des institutions financières Indonésiennes souhaitent la bienvenue aux marathoniens qui se sont dépassés quelques semaines auparavant dans le cadre majestueux du temple de Prambanan.


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Encore un peu de mise en avant de la culture et de l'artisanat local qui dépeint la vie des habitants du village de Sindutan.


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Décidemment on peut dire que les lieux sont bien décorés et ces immenses fresques colorées contrastent agréablement avec le blanc du sol impeccable.


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Les informations quant à la récupération des bagages sont claires.


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Et sur le tapis bagages il est possible de surveiller le quai de déchargement via ces écrans.


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Et là, petite frayeur, nous ne voyons pas passer nos bagages, ni sur l'écran, ni sur le tapis.
Pourtant, l'AirTag judicieusement glissé dans ma valise la localise bien à proximité immédiate.
C'est alors que je me rends compte qu'un peu à l'écart du tapis, proche du bureau lost & found, trônent un ensemble de bagages.
En fait, tous les contenants étiquettes "prioritaires" ont été déchargés du tapis (ou amenés directement…) avant même notre arrivée et qu'ils nous attendent depuis une demi-heure :)
On aura perdu un peu de temps, mais au moins nos biens sont présents et récupérés!

Il ne nous reste plus qu'à nous diriger vers la sortie, où se situent bon nombre de comptoirs de taxis / VTC et autres transporteurs.
On note, comme à CGK, la présence de personnels Grab, Cojek et autres qui aident les passagers à finaliser leurs courses et à retrouver leur chauffeur.


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Et comme vous le voyez, les lieux de prise en charge sont clairement identifiés, les courses sont à prix fixes, et les chauffeurs nombreux (pour peu qu'on reste dans les zones denses)


photo 83

Le récit de vol à proprement parlé s'arrête ici, mais comme promis, je vous propose un premier bonus rapide avec la visite des temples de Prambanan et Borobudur.
Merci pour votre lecture, vos éventuels retours et commentaires et à très vite pour la suite du voyage.


Bonus - Les temples de Borobudur et de Pranbanam


Ce n'est pas la première fois que je me rends en Indonésie, ni la première fois que je visite ces lieux.
Mais mon dernier passage remonte à plus de 10 ans (13 années se sont écoulées pour être exact) et les choses ont pas mal évoluées depuis une décennie.
Le prix des droits d'entrée par exemple; qui s'élèvent désormais (pour les étrangers) à plus de 20€ pour chaque site…
C'est un budget non négligeable et il est bon de réserver ses billets à l'avance en haute saison.

A Borobudur (temple Bouddhiste construit entre le 8éme et le 9éme siècle de notre ère), la visite est particulièrement encadrée depuis peu, et elle se fait accompagnée d'un guide obligatoirement.
Il n'est par ailleurs plus possible d'assister au lever ou au coucher du soleil depuis la structure, la faute à trop d'abus (et d'abrutis).
Prendre le dernier créneau de visite l'après midi peut être tentant pour essayer de profiter de la lumière du coucher de soleil, mais il s'avère que le site fermant à 17h, votre visite se fera au pas de course, et vous n'aurez que peu de temps en haut de la structure.
Ceci étant posé, voici ce que vous verrez à Borobudur:

L'architecture du temple:
Impressionnante par sa structure monumentale : neuf étages superposés, six carrés et trois circulaires, formant une gigantesque pyramide de pierre.
Chaque niveau représente une étape du chemin vers l’éveil, selon la cosmologie bouddhiste.



Des bas-reliefs détaillés
Chacune des fresques finement ciselées sont de véritables bandes dessinées en pierre.
Chaque panneau raconte les grandes étapes de la vie du Bouddha Sakyamuni, ses enseignements et les légendes bouddhistes.
L'ensemble regorge de détails, témoins précieux de la culture, des croyances et de l’art de l’Indonésie ancienne.



Des stupas et statues de Bouddha
Sur les trois plateformes supérieures, se dressent 72 stupas ajourées de motifs et abritant des statues de bodhisattvas méditant.
Le plus grand, au centre, symbolise l’illumination ultime.



Depuis ce point culminant, la vue s’ouvre sur un paysage grandiose : la plaine de Kedu, les rizières et les montagnes lointaines.


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Contrairement à Borobudur, à Prambanan, la visite est moins cadrée ici.
Si vous venez par vous même, on vous fournira une carte du site pour vous repérer et découvrir les différents ensembles à parcourir.
Aucun panneau informatif sur place, donc sans guide, c’est compliqué de comprendre le site, vous pourrez cependant vous appuyer sur les informations de votre guide de voyage.
Vous pourrez également vous balader tranquillement sur tout le site durant les heures d’ouvertures, car il n’y a pas un édifice mais des centaines.
On dénombre sur l’ensemble du site qui est gigantesque environ 500 structures (temples, templions, sanctuaires…) dédiés aux divinités hindouistes. Cet ensemble remonte au IXe siècle et est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.


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Quelques structures se démarquent cependant, notamment un ensemble de 16 temples que l’on appelle Candi Prambanan, où 6 temples trônent fièrement au centre d'une cour sacrée.


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Des galeries extérieures et ouvertes permettent de faire le tour des temples. On y admire de nombreux détails décoratifs que ce soient des bas reliefs ou des gargouilles. Ils font référence à l’histoire de Ramayana.



Certains ont été très endommagés par le temps ainsi qu’un séisme. Même si des montagnes de pierres sont à terre, des projets de restauration sont en cours, les archéologues s’emploient à résoudre ce puzzle titanesque.


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De plus loin, on comprends mieux l’organisation de l’ensemble des structures. On distingue bien la cour sacrée et ses temples monumentaux ainsi qu’une cour secondaire avec une multitudes de templions.


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Bonus touristique

travel illustration

opoman te propose de poursuivre la lecture de ce Flight-Report à travers un récit touristique bonus de son voyage :

Notes des produits

Compagnie aérienne

Garuda Indonesia 8,1

  • Cabine8,5 / 10
  • Equipage8,5 / 10
  • Divertissements8,5 / 10
  • Restauration7,0 / 10
Salon

Garuda Domestic Lounge8,4

  • Confort8,5 / 10
  • Restauration8,0 / 10
  • Divertissements8,5 / 10
  • Services8,5 / 10
Aéroport de départ

Jakarta - CGK8,8

  • Fluidité7,5 / 10
  • Accès8,5 / 10
  • Services9,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Yogyakarta - YIA8,3

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès6,5 / 10
  • Services8,5 / 10
  • Propreté10,0 / 10

Conclusion

Garuda offre une prestation solide sur ses vols intérieurs et la compagnie mérite sa bonne réputation.
Au départ de CGK; une zone entièrement dédiée aux passagers prioritaire est une excellente chose, et nous n'avons pas trop souffert du trafic routier de Jakarta pour rejoindre l'aéroport.
La propreté incroyable et à souligner et le service de buggy amène une plus amusant.
Le salon GA, surtout dans sa partie Platinum offre un calme bienvenu.
Tout est fonctionnel, du wifi aux prises de courant, propre, et parfaitement entretenu et maintenu.
Le catering fait la part belle aux produits locaux et c'est bon. Dommage pour moi de ne pas pouvoir arroser tout ça d'une petite bière locale ou d'un verre de vin.
Sur le vol GA212, ici aussi c'est du tout bon. La cabine est agréable pour un vol de cette durée (et même pour un plus long vol, j'en suis sur).
L'IFE, le Wifi et le magazine de bord viennent occuper agréablement le temps, et la prestation culinaire est adaptée à la durée du trajet, même si cela relève plus de la collation que d'un vrai repas.
Enfin, à l'arrivée dans ce nouvel aéroport de Yogya, on ne peut être qu'agréablement surpris par la décoration du lieu, ainsi que par sa propreté.
L'attention portée aux bagages des encartés est à noter, même si une information spécifique sur ce service serait bienvenue et permettrait de profiter du temps gagné et de ne pas se stresser.
L'aéroport est en revanche pas mal éloigné du centre ville, mais les services de chauffeurs sont nombreux et relativement bon marché.

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