Bonjour à tous chers lecteurs,
Deuxième volet de cette virée outre-Atlantique avec une prise intéressante au travers de ce Boeing 767, que l'on observe de moins en moins dans le ciel européen. Initialement, le but de cette virée n'était pas d'attraper cet appareil, mais ce fut une agréable surprise lors de la réservation de l'aller de Paris à Boston.
Ci-dessous, le pourquoi du comment de cet enchainement de vols, par forcément logique, mais y a-t-il une forme de logique dans l'esprit d'un avgeek?
Bien qu’ayant déjà voyagé à bord de l’A340-600 sous les couleurs qataries en avril 2013 (de CDG à l’actuel DIA), je voulais faire un dernier voyage à leur bord avant leur sortie de piste, prévue normalement pour cet automne. Il n’y a quasiment plus que la Lufthansa qui exploite cette beauté, le choix est donc restreint. Il y avait donc urgence à agir mais trouver un créneau dans mon emploi du temps et dans mes obligations professionnelles et familiales n’est pas un exercice aisé.
À l’heure où j’écris ces lignes, il ne reste que vingt A340 aux couleurs de la Lufthansa dont seulement six en version -600, les autres étant naturellement des -300.
J’aurais pu faire l’aller-retour avec la compagnie allemande mais les tarifs étaient élevés. J’ai donc opté pour le chemin des écoliers à l’aller et deux compagnies islandaises étaient alors en compétition. Play proposait un tarif d’une centaine d’euros de moins que sa rivale Icelandair, mais la mauvaise réputation de Play - je parle ici de ses difficultés financières - m’ont conduit à opter pour la compagnie nationale avec laquelle j’avais déjà voyagé en 2005 de CDG à KEF et retour à bord de 757-200.
Bien m’en a pris quand, dans un premier temps, Play a jeté l’éponge sur les vols à destination des USA puis, dans un second temps, à définitivement jeté l’éponge quelques jours avant ce vol.
Bien m'en a pris également de choisir Icelandair puisque c'est un Boeing 767-300 qui est programmé sur le second segment. Je ne cherchais pas spécialement à l'accrocher à mon tableau de chasse, mais je dois avouer que c'est une très bonne surprise. Comme quoi, les avgeeks peuvent parfois avoir de la chance.
Il y avait également l'option JetBlue également à ma disposition pour rejoindre Boston, mais l'envie de redécouvrir Icelandair a été la plus forte.
Enfin, le cheminot que je suis souhaitait profiter de ce séjour pour découvrir le train Acela sur la ligne New York - Boston, j'ajouterais donc un vol entre ces deux villes de la côte est américaine. Voilà, vous savez à peu près tout.
Pour mémoire, voici le routing bien soutenu de cette virée.
Enchainement de vols
- 1
- 2FI631 - Economique - Reykjavik - Boston - Boeing 767-300
- 3
- 4
- 5
Bien qu'arrivé en retard de Paris, ma correspondance n'est pas compromise. Certes, un autre vol partait plus tard pour Boston (à 20 h 00), mais je n'aurais pas voulu être rebooké dessus, puisque c'était un autre 737 Max 8. Le 767-300 est bien plus rare et son avenir plus réduit.
Icelandair possède cinq 767-300 mais deux sont en version cargo, ce qu'il n'y en a que seulement trois destinés au transport des passagers.
Je rejoins donc la porte D32.

Une longue file s'est formée. M'est d'avis qu'on ne partira pas tout à fait à l'heure. Notre vénérable 767 doit préalablement engloutir toute cette chair humaine. L'avancement est assez lent, surement dû à des questions ou contrôles supplémentaires en place avec ce vol à destination des USA.

À bord du 767-300 d'Icelandair
Bizarrement, le formulaire ESTA n'est pas redemandé alors que c'est bien là qu'il serait le plus judicieux de prouver sa possession. On scanne sa carte d'embarquement, point barre.
Je peux tirer un peu le portrait de mon second destrier du jour, plus imposant que le premier.

La passerelle est vitrée mais il y a des reflets qui ne facilitent guère les prises de vue.

Voici le pédigrée de l'appareil en question qui a eu une longue carrière sous diverses (belles) couleurs dont Air New Zealand et Kenya Airways.
Notons que les 767-300 d’Icelandair devaient initialement être retirés de la flotte en 2029 pour être remplacés par des A321neo LR et XLR, mettant ainsi fin à la présence d’appareils à fuselage large dans la stratégie commerciale de la compagnie. Mais depuis, une annonce contraire a été faite. C'est dès 2026, soit dans quelques mois que le retrait sera effectif. Merci Okapi pour l'info. Quelques éléments ici : https://www.journal-aviation.com/actualites-transport-aerien/compagnies-aeriennes-regulieres/icelandair-reduit-sa-flotte-et-avance-le-retrait-des-boeing-767-20251023.html

La passerelle en question.

Le fuselage grillagé.

Et là, je ne sais pas si on peut parler d'instant porte à proprement parler. Disons, instant encadrement de porte. Eh oui, il s'agit là d'une particularité des Boeing 767 !

Je suis parmi les derniers à embarquer. Accueil sympathique à l'entrée et tout au long de l'appareil.
Le vol semble complet dans les deux classes.

Et voici donc le siège qui m'attend pour les prochaines heures. Un oreiller est mis à disposition de tous les passagers.

Voici donc le pas qui est correct sans être spectaculaire.

La tablette est d'un seul tenant.

Le contenu de la pochette.

La carte de sécurité où à aucun endroit n'est mentionné le nom de la compagnie. Elle n'est qu'en anglais, négligeant ainsi la langue locale.


Le sac vomitoire où il est fait, de manière humoristique, référence aux chutes de Goðafoss.


Le catalogue/menu du BoB (Buy on board).

Voici en détail les produits proposés et les tarifs appliqués.






Vue sur le PSU et un signe d'usure du revêtement qui n'apparaît qu'ici.

Il reste encore quelques retardataires.

Notre frère et voisin (TF-ISO) repousse pour aller vers New York (JFK), vol FI 615.

Ce 737 Max 8 (TF-ICJ) s'en va lui vers Washington (IAD), vol FI 645.

Direction le Massachusetts
Les consignes de sécurité sont diffusées sur les écrans de chaque passager, en anglais sous forme sonore et sous-titrées en islandais.

Un peu en retard (à 17 h 25), nous repoussons.

À 17 h 37, nous sommes autorisés à nous aligner sur la 19 après un court taxiing. Nous ne sommes pas les seuls à partir à cette heure-ci, alors il faut attendre son tour.

Sans nous arrêter sur le seuil de piste, les gaz sont mis, les deux moteurs CF6 de General Electric rugissent puis le bitume défile rapidement sous nos yeux.

Nous quittons la triste lande de la presqu'île de Reykjanes…

… pour traverser une belle couche nuageuse…

… puis enfin pour se retrouver sur celle-ci. Cette transition me rappelle à chaque fois la pochette de l'album The Endless River de Pink Floyd.

C'est bien sûr l'occasion de tirer le portrait de l'imposant winglet qui équipe désormais pas mal de 767.

Le premier service commence.

Ce service compris (et non gratuit, car il n'y a jamais rien de gratuit dans des relations commerciales) est constitué de verres d'eau, de café ou de thé.
Survol magique du sud du Groenland
Le ciel aurait rester désespérément couvert lors du survol du Groenland, j'aurais pu rester sur mes souvenirs bien lointain, depuis les hublots d'un 747-200 de la Lufthansa entre Francfort et San Francisco, en 1996. Je m'étais alors fais cette réflexion : on dit que Groenland veut dire "terre verte" mais j'avais trouvé cela bien gris.
Le ciel a bien voulu se dévêtir pour que je revois mon jugement sur le Groenland. Ce n'est ici qu'un survol de la pointe sud de l'immense île, une infime partie de ce grand territoire. Pour se faire une bien meilleure idée, je ne peux que vous conseiller la lecture des reports du contributeur Mendes ici : https://flight-report.com/fr/report/73711/icelandair-fi127-reykjavik-kef-ilulissat-jav/ ou là https://flight-report.com/fr/report/73711/icelandair-fi127-reykjavik-kef-ilulissat-jav/
Voici donc le littoral sud groenlandais (à ne pas confondre avec le Groland du bas).


Les tâches blanches sur l'océan sont des icebergs.


Les glaciers se finissent dans la mer dans des genres de fjords.

Pas vraiment vert le Groenland, en tout cas pour cette partie méridionale.

Ça ressemble à un cône volcanique mais je n'ai aucune certitude là-dessus.

Puis on arrive du côté de la mer du Labrador.

Une myriade d'îlots sonne la fin du survol du territoire groenlandais.


Intermède gastronomique islandais
Le repas que j'avais préalablement commandé sur le site de la compagnie (pour la modique somme de 22 euros) m’est servi en même temps que la distribution des boissons.

Les boîtes sont ridiculement petites et la barquette à peine plus grande. Je regrette vraiment de ne pas avoir placé sur la tablette une pièce de deux euros pour servir d'échelle. La canette n'est autre que de l'eau pétillante islandaise.

L'entrée était plutôt bonne à défaut d'être bourrative - la quantité est de facto limitée avec une telle boîte. Au moins les olives permettent de se faire une idée de la taille réduite du conditionnement.

Les lasagnes étaient mangeables mais je ne me suis pas étouffé avec. Les couverts sont naturellement en bois, sans mauvais jeu de mots.

Quant au dessert, il était tout à fait chimique.

Le bilan est donc mitigé, le rapport qualité/prix n'est pas vraiment à la hauteur. Disons qu'on retrouve bien la qualité culinaire islandaise et ses niveaux tarifaires. D'ailleurs, très peu de PAX ont réservé cette formule qui a dû en décevoir plus d'un auparavant.
Sinon, voici un petit focus sur l'IFE.
L'écran est plus réduit qu'à bord des 737. On voit bien que le 767 n'est pas l'avion fétiche d'Icelandair. Peu de chances que la cabine soit modernisée d'ici le retrait de la flotte.

En ce qui concerne le contenu, celui-ci semble identique à ce que j'ai pu observer lors de mon vol précédent.

Le choix de films est correct.

Le choix musical est essentiellement axé sur les artistes islandais. Je suis surpris par cette telle diversité pour un pays dont la population correspond au département de l'Aude.

Bien entendu, la promotion touristique n'est pas oubliée à bord. Les trois dernières vidéos font clairement référence au principe de stopover.

Fin de trajet
Le survol du Labrador débute, marquant l'arrivée sur le continent américain.

Puis nous traversons le golfe du Saint-Laurent aux impressionnantes dimensions.

Il fera nuit noire en arrivant à Boston.

L'arrivée à Boston
La descente débute, la cabine est préparée… et je n'ai toujours pas été débarrassé ! Ça fera bientôt trois heures que j'ai été servi mais je reste avec tout ceci sur ma tablette. Une hôtesse finira par constater cela alors que la descente est déjà bien amorcée. Elle ose même faire une réflexion alors que je ne pense pas qu'il s'agisse de mon rôle de débarrasser mes déchets. Pour les mettre où ? Fallait-il que je les jette dans l'allée ? Bref… N'ayant plus vraiment le temps d'aller chercher un sac pour tout ramasser, elle a pris tout cela contre elle.

Pour ne pas changer, la descente s'effectue dans la crasse.

À cette heure-ci, on virevoltera au-dessus de la capitale du Massachusetts, malheureusement, on n'y voit rien de rien.

Après une reprise de contact avec le sol pour le moins ferme, nous sinuons au gré des taxiways de l'aéroport de Boston-Logan sous un crachin fourni.

Puis nous venons stationner aux côtés de cet A380 de British Airways.

Après avoir pris congé de l'équipage, direction le dédale des couloirs.

Je ne pourrais définitivement pas tirer le portrait de mon 767.

Pas de doute quant à la destination.

C'est avec une certaine appréhension que je me dirige vers la police aux frontières. Quelle va-t-être l'attente si jamais plusieurs vols internationaux ont convergé vers BOS dans la même fourchette horaire ?
Eh bien ce sera un modèle d'extrême fluidité ! Je ne sais même pas si j'ai "patienté" une minute. Seul regret, l'officier n'aura pas voulu tamponner mon passeport malgré ma demande.
La livraison des bagages a déjà débuté ce qui est remarquable mais ce n'est pas là que je perdrais du temps, car je n'ai qu'un bagage à main. Direction la sortie.


Thank you so much!

J'attends peu de temps une navette pour aller attraper le métro (blue line).

Cette pelleteuse me fait un clin d'œil.

Le métro est symbolisé ici par le symbole "T". Ce bus va donc vers la ligne bleue.

Puis je prends le métro, direction le centre-ville.

Et c'est en très peu de temps que je me retrouve à mon lieu d'hébergement dans le quartier de Chinatown. Je suis épuisé mais je trouverai le courage pour aller manger dans le quartier et même d'aller boire une bière, histoire de me caler sur le fuseau est-américain.

Le vol selon FlightRadar24.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.
Hello Greg
Ton récit ne me donne pas du tout envie de voler avec Icelandair, même pour "attraper" un oiseau plus courant dans le ciel de notre belle planète bleue...
Le confort du siège ainsi que le legroom sont confortables, et le mini IFE offre un choix convenable de distractions.
Pour le reste le menu commandé est clairement frugal, et propser du BoB sur un vols vers les USA n'est guère réjouissant.
L'attitude la PNC lors du debarrassage tardif du plateau est inacceptable.
De très belles vue en longeant le Groenland.
On se console du service à bord, en n'attends pas des heures à lors du passage à l'immigration.
N'ayant quasiment plud de place sur mon passeport, l'abdence de coup de tampon m'aurait soulagé.😉
Merci pour le partage, à bientôt pour la suite.
Merci Hervé pour ton commentaire.
Ah merde, je ne serais donc pas un bon publicitaire ! La restauration est le point noir, c'est indéniable.
Voilà qui relève le niveau !
C'est sûr que mes 22 euros, je les ai un peu en travers. Et j'imagine que les vols les plus sont au même régime.
Quand elle a débarrassé, elle a un peu pesté, mais je n'ai pas compris clairement qui était visé. C'était peut-être sa collègue... ou alors c'était moi, bien que je n'y sois absolument pour rien.
C'était magique.
On va dire ça.
Bons vols
Quelle chance d'avoir pu attraper cette jolie antiquité dont l'exploitant vient d'annoncer le retrait de la flotte anticipé suite à d'importantes pertes financières. De quoi en savourer encore plus le passage à son bord. Pour ce qui est du service à bord, comme tu le dis si bien, il vaut mieux apporter son propre catering tant l'offre, en vente de surcroit, est médiocre mais tu n'étais pas dans cet avion pour festoyer. Bref, un vol collector qui en précède un autre, bien joué Greg!
Sympa cette arrivée à Boston aussi fluide, Mon dernier passage dans le coin fut bien différent et plus dispendieux mais ça, c'est une autre histoire.
A bientôt pour la suite.
Merci Guillaume pour le commentaire.
Eh bien tu vois, c'est grâce à ton commentaire que j'ai appris que la fin des 767 de FI est avancée de 2029 à 2026. Je ne suis pas peu fier d'avoir, un peu involontairement c'est vrai, ajouté cet appareil à mes tableaux !
Festoyer, certes non, mais il y a un minimum. La frontière entre legacy et low cost s'efface de plus de plus, on en a ici une illustration très claire.
Pas mécontent de cette virée express !
Bons vols
Merci pour le recit Greg!
Vraiment sympa d'avoir pu profiter du 767 Icelandair avant leur retrait anticipé. Et tu as eu du flair comme tu dis de ne pas avoir opté pour l'option Play ;)
A bord c'est moyen par contre, que ce soit la prestation que tu as payé et le comportement de certains PNCs...
Top ce passage express à l'immigration, on regrettera la disparition des tampon à l'arrivée.
A bientôt!
Merci Benjamin pour le commentaire.
Ça m'a effleuré l'esprit, mais pas trop longtemps quand même. Mais j'imagine que bien des voyageurs n'ayant pas nos connaissances peuvent se faire avoir. Enfin, ce n'est pas une situation courante. Fort heureusement, ce n'est pas tous les jours qu'une compagnie baisse les rideaux.
La prestation est clairement décevante, quant à l'attitude de la PNC, il y a un doute quand même.
Oui, c'est sûr. Et le tamponnage des passeports va devenir de plus en plus rare à l'avenir.
Bons vols
Merci pour ce FR très détaillé sur un avion que nous ne verrons plus d’ici quelques mois…l’avancement du retrait des B767 Icelandair m’attriste…
Quelle mauvaise idée de proposer un BoB payant sur un vol vers les USA…ça m’a rappelé un vol sur Play que j’avais effectué il y a 3 ans pour faire SWF-KEF-CDG qui a été un des pires vols que je n’ai jamais fait de toute ma vie, non seulement car l’avion était un A320neo avec un legroom ATROCE malgré les 1m50 que je mesurais à cette époque-là, mais aussi parce que la nourriture (pour avoir testé une pizza du menu du BoB que j’ai payé plus de 20 balles) était AFFREUSE !!!!
Sinon, j’espère que tu profites bien de cette belle ville qu’est Boston (pour l’avoir visité l’année dernière mais sans faire de FR) et au plaisir de te retrouver sur la suite du routing !
Merci pour ton commentaire.
Ça m'attriste aussi. Le 767 est un avion à bord duquel j'ai pas mal d'heures de vol, notamment avec American Airlines, Continental Airlines ou Air Europa. C'est une génération d'appareils qui tire sa révérence.
On est bien d'accord. Et ça va de soi qu'il faudrait ajouter aussi les vols vers le Canada, qui sont longs eux aussi. C'est bien que tu ais eu le temps de tester PLAY. Je n'aurais pas eu le temps.
J'ai adoré cette ville que je rêvais de visiter depuis de longues années. Vraiment un bon moment sur place.
Bons vols
Les 767 et 757 d’Icelandair s'en vont, la fin d’une époque. Je suis content d’avoir pu voler sur leur 757-200 et -300.
Le produit d’Icelandair est vraiment basique mais leurs vols sont relativement courts.
Superbe vue du Groenland, c’est toujours un moment magique.
Merci pour ce FR
Merci Moritz pour le commentaire.
Il me manquera la version -300 du 757, je me suis réveillé un peu trop tard. Mais bien content d'avoir le 767-300 presque inintentionnellement.
Euh... pas trop d'accord. Les vols vers Seattle, Portland, Vancouver ou Miami sont bien longs.
Cette éclaircie était inespérée. Tant mieux !
Bons vols
Merci Grégory pour le partage !
Très belle pioche que ce 767 FI, dont le retrait vient effectivement d'être avancé à fin 2026. Comme tu le dis, les AvGeeks peuvent aussi avoir de la chance (et heureusement !). Double coup de chance d'ailleurs, en ne réservant pas sur Play.
C'est surprenant et dommage !
Les chutes de Gullfoss existent bien en Islande, mais le vomibag fait plutôt référence aux chutes de Goðafoss, qui sont d'autres chutes plus au nord :)
Les tarifs du BoB sont "un peu" chers pour certains produits, et horriblement chers pour d'autres (les Cup Noodles à 8€..!)
Il n'y avait pas de softs offerts ? Le menu dit que c'est le cas sur les vols de/vers l'Amérique du Nord.
Dommage de n'avoir pas pu voir les paysages islandais lors du décollage, avec les nuages.
Tu n'es pas le premier à être surpris par ça, il s'agit en fait d'un joli coup marketing d'Erik le Rouge il y a plus de 1000 ans ;) Mais tu as eu de la chance de le voir sans nuages pour le coup !
C'est vrai que payer 22€ pour ce "plateau-repas", il y a de quoi s'étouffer malgré les portions réduites :) A mettre tout de même en regard du prix du billet, que je ne connais pas.
Je me souviens de ça effectivement, la scène musicale islandaise est étonnamment dynamique ! Le groupe "Of monsters and men" avait eu un certain succès international il y a quelques années.
Carton rouge pour le (non-) débarrassage du plateau quand même…
A bientôt pour la suite !
Merci Guillaume pour le commentaire.
En toute franchise, cette virée m'a redonnée du baume au cœur. Même si je compte moins de galères ou déconvenues que toi, il y a parfois des envies de jeter l'éponge. Et là, coup double ! Donc bien content de ma prise.
Très juste, je viens de faire la correction. Ce qui m'a induit en erreur, c'est que le sac que j'avais de CDG à KEF évoquait bien lui celles de Gullfoss (que j'ai visitées). Il y a donc plusieurs versions du sac.
Surtout que ça ne doit pas faire beaucoup de noodles au bout du compte.
Si, c'est bien le cas. C'est pour ça que j'ai une canette d'eau pétillante avec mon festin.
J'y ai passé pas loin de trois semaines en 2005, donc je connais un peu. Pas trop déçu.
Oui, j'ai lu ça sur Wikipedia. Et le nom est resté.
518 euros (avec réservation des sièges), ce qui n'est pas spécialement donné.
Va falloir que je réécoute ça.
Surtout que la lumière n'a jamais été éteinte, le plateau est bien visible.
Bons vols
Merci Gregory pour ce FR.
Très bonne pioche.
Tu as bien fait de ne pas miser sur eux, car trouver un plan B à quelque jours du départ aurait été stressant et onéreux.
J'ai fait Washigton-Philadelphie-New-York cet été en train et c'était intéressant de comparer avec la SNCF.
C'est très beau, tu as eu de la chance.
L'Islande a des prix élevés et cela se retrouve dans son BOB, actuellement chez KLM les plateaux repas payants en LC sont de l'ordre de 29€ pour un peu plus quand même dans les portions.
Alors là ce n'est pas normal et pas professionnel du tout.
A bientôt
Merci Valérie pour le commentaire.
Oh que oui !
Et vu que les deux vols étaient complets, pas sûr que j'aurais pu trouver une place.
C'était un peu le but de ce trajet, en plus de profiter du paysage.
Oh que oui !
C'est pour moi un très mauvais opéré par les décideurs des compagnies. 29 euros ? Et puis quoi encore ?
Il y a eu un loupé, ça peut arriver. C'est juste la réflexion qui n'est pas bien normale, quelque soit à qui elle est destinée.
Bons vols
Merci pour le partage Greg !
Correspondance courte mais réussie ! Ces derniers temps on ne me demande absolument plus l'ESTA, même pas de questions dessus, je présume que c'est vérifié lors du check in en ligne, si tu obtiens ta carte c'est que tout est ok.
A bord c'est un bon vieux 767 mais je n'irais pas faire de détours pour le choper non plus.
La presta à 22€ c'est cher, mais conforme aux tarifs actuels et j'oserai même dire, moins chère que le marché islandais ^^
L'arrivée à BOS peut être une partie de plaisir la plupart du temps, et sinon, y'a MPC. Mais c'est juste terminé les tampons à Boston, même à la demande, de toutes façons c'est simple : ils n'en n'ont plus ^^
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Ça devrait logiquement se passer comme ça tout le temps.
Ça ne sera pas un avion qui marquera durablement l'histoire de l'aviation civile.
C'est pas tant le prix, mais c'est la quantité qui est ridicule. Les Islandais n'ont pas de plus petits estomacs que nous.
J'avais hésité à passer par le MPC, mais ça exclu de facto de l'apposition d'un tampon.
L'officier en avait sur son bureau.
Bons vols