Bonjour,
Je vous retrouve pour le retour de mon trajet entre Paris et Genève, publié récemment et effectué deux jours plus tôt. Nous sommes un vendredi soir mi-octobre, je m'apprête à repartir vers les États-Unis depuis la Suisse avec ma famille mais dois d'abord retourner un week-end à Paris pour travailler. Il s'agit du dernier vol de la journée, naturellement effectué en A220-300.
J'arrive à l'aéroport une quarantaine de minutes avant l'embarquement.

L'affluence est finalement assez modeste pour un vendredi de début de vacances scolaires.


Direction le secteur France où je n'ai aucune valise à enregistrer. Il y a une petite attente au contrôle de sûreté mais le coupe-file me permet d'éviter toute attente. Je monte donc au salon où l'accueil est comme toujours absolument adorable. L'agent à l'entrée me précise d'ailleurs que le vol EasyJet vers Paris ayant été annulé, il me fallait m'attendre à avoir une cabine plus que remplie…
Petit aperçu de l'offre, qui hélas n'a pas réussi à se maintenir en cette fin de journée.

Presque plus de mignardises. Salé froid décimé.


Heureusement, il reste encore pas mal de ces très bons muffins, ainsi que quelques croque-monsieur. Ces derniers, néanmoins, étaient là depuis longtemps, puisqu'ils étaient froids et moins croustillants que d'habitude.

Il manque également un plat chaud.

À l'entrée, un monsieur en Business demande s'il peut entrer avec sa collègue qui est en Eco. L'agent d'entrée refusera au motif qu'ils n'est ni Gold ni Platinum (tout comme sa collègue, évidemment). Sa collègue précisera qu'elle a été Platinum jusqu'à il y a deux ans et qu'elle n'avait pas l'impression qu'il y avait beaucoup de monde. L'agent d'entrée sera intraitable et proposera de faire payer l'entrée (une cinquantaine d'euros me semble-t-il). Ils choisiront de payer l'entrée. Je ne sais pas trop comment me positionner par rapport à l'intransigeance de l'agent, mais il est certain qu'environ une demi-heure avant l'embarquement, la chose n'en vaut pas le prix.
Et l'affluence est pour autant presque nulle.

Ma sélection chaude : raviolis aux épinards et sauce arrabbiata.

L'équipe du salon me proposera une coupe qui me sera servie à ma place. On me proposera même du refill.

Le sucré.
Pendant ce temps, j'entendrai qu'AF a laissé ouvert à la réservation notre vol pour récupérer des passagers EasyJet. Résultat : surbooking pour 8 passagers en Y ! Avec 1 place libre en J. Peut-être serai-je surclassé ?


Direction la porte pour un embarquement à l'heure.


Accueil sympathique en porte. L'équipage précisera que chaque siège de l'avion sera occupé et nous invite donc à la discipline niveau bagages. Hélas, je n'aurai pas bénéficié d'un surclassement opérationnel. Me voici au 31A avec son hublot aligné. L'avantage de cette rangée habituellement est qu'elle est neutralisée et que l'on y est donc seul. Naturellement, ce ne sera pas le cas ce soir.


Repoussage avec 5 minutes d'avance.

Décollage pile à l'heure.


Service classique.

Mais avec double ration de boisson. L'équipage aura été efficace : malgré la surcharge de la cabine, tout le monde aura été servi au cours de la croisière d'une vingtaine de minutes.


Je pense qu'on survole Paris.


Atterrissage avec 17 minutes d'avance.


Débarquement largement dans les temps. Bravo AF !

Merci de m'avoir lu.
Au plaisir