Bonjour à toutes et tous,
Et oui, à peine rentré de Santorin me voici de retour en Grèce, mais cette fois-ci pour une escapade purement avgeek.
Pour rejoindre la Crète à moindre frais depuis Nice, je n'ai pas trouvé ce jour là de meilleures solutions que de transiter par Sofia.
AEROPORT DE SOFIA
Après un vol purement utilitaire depuis NCE avec Wizz Air, je dois maintenant rejoindre le terminal 2. Depuis le 1er janvier 2025 la Bulgarie fait partie de l'espace Schengen, exit donc le contrôle passeport ;)


Le trajet landside en navette dure environ 5min.

La zone publique est aérée et plutôt agréable.


La depose bagage FR ne connaît pas beaucoup de succès à cet instant précis. A noter que l'enregistrement en lui même en aéroport est facturé 55€… du vol pur et simple made in MOL.

J'ai bien pris soin d'obtenir ma carte d'embarquement en ligne afin d'éviter tout supplément excessif ^^
Le PIF est à l'étage, je l'ai franchi en moins de 10min.
Passage obligatoire (on en a l'habitude…) par le duty free.

Le terminal est tout en longueur, des baies vitrées permettent d'observer le tarmac.


Direction la porte B2 au rez de chaussée.


Il y a pas mal de places pour s'asseoir.



Des poufs et des sièges massants sont mis à disposition.

Avant ma venue à SOF je ne savais pas que Lufthansa Technik était présent ici!

La tour de contrôle arbore fièrement le drapeau de la Bulgarie.

Niveau wifi on est nikel.

Allez il est temps d'embarquer ;)

Grrrrrr l'objet symbole de crainte… gare aux bagages cabine "trop volumineux".

Paxbus sans grande surprise.

Nous arrivons au pied de l'avion, un banal Boeing 737-800 Ryanair, l'un des 250 que possède la compagnie irlandaise!



EI-DWE pour vous servir, livré neuf chez FR en 2007… pour une cie à bas coût c'est plutôt un vieil appareil.

A BORD
L'accueil est cordial, je rejoins la rangée 27.


La moquette est crade, beurk.

L'embarquement se termine dans les temps, mais le CDB prend la parole pour nous expliquer qu'on ne pourra pas partir tout de suite à cause d'un créneau imposé par le contrôle aérien…
Le reste de l'équipage s'affaire ensuite aux démonstrations de sécurité au nom de Buzz et non Ryanair. L'uniforme est également logoté Buzz.
Nous patientons tous sagement avant le départ.
La bonne nouvelle du jour, je n'aurai aucun voisin :)


Je vous présente le dossier de devant avec la safety card incrustée ^^

Notez le QR code en haut à gauche… vu qu'on est bloqué ici pendant un petit moment je me lance dans la découverte de l'application…
Une phrase m'intrigue "Faites-vous livrer votre nourriture".

Première étape, rentrer son numéro de siège.

2ème étape, choisir un article à la carte ou un menu.

J'ai donc choisi "l'offre repas", je dois maintenant sélectionner son contenu, on se croirait sur Uber Eat.

Ma commande est prise en compte, on verra plus tard si elle sera honorée ou pas ^^

Bon c'est bien sympa tout ça faudrait peut-être qu'on parte non?
Nous quittons finalement le parking avec 45min de retard.

Au loin des épaves, et notamment des ex Alitalia.

Le roulage est plutôt court, nous décollons sans plus attendre.


Virage à droite pour éviter Sofia.


Rapidement nous survolons la campagne bulgare…

… puis la Grèce au niveau de Kavala et l'île de Thasos.

C'est à ce moment là que l'un des stewards vient confirmer avec moi la commande passée au sol et procéde au paiement. Je lui précise que l'idée de faire ça via l'application est une bonne chose pour le passager, je lui demande ce qu'il en pense. Il me répond que sur des vols courts l'organisation n'est pas facile, il préfère le faire sur des vols plus longs.
Je comprends.
Dans un premier temps il me donne mes chips et ma canette de coca.

Canette de coca destinée aux marchés du Moyen Orient et/ou du Maghreb on dirait ^^

5min plus tard mon plat est servi.

C'est pas de la grande qualité mais honnêtement c'était très correct, un peu comme un plat Picard.
En résumé, sur ce vol là cette pré commande est un sans faute pour l'expérience passager.

Dehors la Mer Égée fascine par son bleu éclatant et ses multiples îles.

Andros.

Sifnos.

Milos où nous attamons la descente.

La Crète fait son apparition. Direction l'ouest et plus précisément Chania (La Canee)


Atterrissage, mais sans trompettes. Le retard n'a pas vraiment été rattrapé.


Stationnement à proximité directe du terminal, mais comme souvent en Grèce, sans passerelle.


Le débarquement est rapide, nous rejoignons à pied le hall des arrivées.

J'aime bien les couleurs du bâtiment :)

Ça sent bon les vacances non vous ne trouvez pas? ^^

"Welcome to Chania!"


La suite de mon trajet se fera en voiture, prochaine étape Heraklion.

Comptez 2h30 environ entre les deux plus grandes villes crétoises.
