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AEROPORT
Arrivés à l'aéroport Charles de Gaulle par le RER B, nous atteignons le Terminal 2 vers 12h. Nous commençons par imprimer nos étiquettes bagages sur une borne automatique avant de traverser le terminal en direction du check-in n°10. Notre vol est prévu à 15h05, avec un embarquement programmé à 14h10.





Nous arrivons au check-in à 12h20, mais un contretemps nous fait perdre un peu de temps : un agent d’escale, pensant que nous n’avions pas encore nos étiquettes, nous place dans la mauvaise file. Après environ 40 minutes, nous pouvons finalement déposer nos bagages nous-mêmes sur un dépose bagages automatique.



Une fois cette étape terminée, nous descendons d’un niveau pour déjeuner tranquillement. À 13h40, nous passons le contrôle des passeports, puis prenons la navette LISA en direction de la porte L du Terminal 2E. Ce trajet offre une belle vue sur le tarmac et les mouvements des avions.





Arrivés au terminal, nous passons les contrôles de sécurité et nous installons dans la salle d’embarquement vers 14h. Nous profitons d’un passage rapide par les duty-free avant de rejoindre notre porte, la L53. Depuis cet emplacement, nous avons une superbe vue sur les avions aux autres portes ainsi que sur le taxiway G, où l’on peut observer les appareils se diriger vers la piste 27L.







EMBARQUEMENT
L’embarquement à la porte L53 commence à 15h19, avec un retard d’environ 1h09. La passerelle est longue et offre à nouveau une belle vue sur le tarmac, où l’on peut notamment apercevoir un A350-900 d’Air France en partance pour Atlanta. Nous patientons un peu dans la passerelle avant de monter à bord. Le temps est pluvieux, typique d’une journée parisienne en ce mois de juillet.








À 15h41, je prends place au siège 14L, offrant une vue exceptionnelle sur les moteurs GE90. Par chance, le ciel commence à se dégager. Le commandant de bord nous informe que le retard est dû à des difficultés d’approvisionnement du catering et à un point technique sur un siège.
Il nous indique que le vol durera 8h06, avec un retard estimé de 47 minutes à l’arrivée. Quelques turbulences sont prévues après le décollage, ainsi qu’une période d’1h30 de vol après 1h15 dans les airs. L’atterrissage se fera sous un ciel partiellement nuageux, avec une température prévue de 26 à 27 degrés.




DECOLLAGE
À 16h07, le push-back est effectué avec 1h02 de retard sur l’horaire initial. La durée de vol prévue est de 8h06 pour parcourir 6 876 km. Nous repoussons sur E4. Le démarrage des moteurs GE90 débute, avec ce son à la fois puissant et doux, toujours impressionnant à entendre. Pendant ce temps, la vidéo de sécurité Air France est diffusée en cabine.




Nous roulons ensuite en direction de la piste 27L, en passant par les taxiways GE2 et Q, jusqu’au point d’attente Q6. Le taxiway Q permet d’apercevoir un ciel bien sombre à l’horizon.









Arrivés au seuil de piste, la file d’attente est visible : un A320 Air France s’aligne, suivi d’un 777-200 d’American Airlines, puis d’un A350-900 Air France. Enfin, vient notre tour.
(Je n'ai que l'A350-900 AF en photos)







Poussée TOGA enclenchée, rotation et décollage !







Depuis mon hublot, j’aperçois Goussainville quelques instants après. Les flaps et slats se rentrent progressivement, et au-dessus de Cergy, nous traversons la couche nuageuse en pssant les 10 000 pieds.






Puis nous continuons notre montée vers notre altitude cible : 32 000 ft








CROISIERE
Environ 20 minutes après le décollage, nous atteignons notre altitude de croisière initiale fixée à 32 000 pieds, avec une vitesse de 435 nœuds (soit 802 km/h). Nous progressons vers la côte atlantique et survolons Granville, les îles Chausey,





Lannion puis l’île d’Ouessant, avant de mettre le cap sur la traversée de l’Atlantique.







Comme annoncé par le commandant de bord, quelques turbulences modérées se manifestent sous un ciel partiellement nuageux. L’avion grimpe ensuite à 33 000 pieds.








Peu après, le service du repas est proposé : un plateau composé de poulet sauce estragon accompagné d’une purée de pommes de terre, d’une entrée, d’un morceau de fromage, de pain, de beurre, d’un dessert, d’une bouteille d’eau ainsi que d’une boisson au choix.

Le ciel devient progressivement couvert, et à ce moment il reste environ 6 heures de vol. Nous poursuivons la montée jusqu’à 34 000 pieds, à une vitesse de 488 nœuds (904 km/h).




Lorsque l’estimation indique 4h30 de vol restant, le ciel commence à se dégager. Plus tard, l’appareil atteint 36 000 pieds avec une vitesse de 493 nœuds (913 km/h). Il ne reste qu’1h25 de vol.








Un goûter est ensuite servi (je n'ai pas de photos), comprenant un petit gâteau au citron, un pain au lait et un yaourt à boire, de quoi patienter jusqu’à l’approche finale.
Arrivée
Le top of descent débute à 17h46, avec un atterrissage prévu dans 27 minutes sur la piste 10, en approche face à l’est. L’arrivée se fait sous un ciel nuageux, avec un soleil déclinant à l’horizon. Les aérofreins sont déployés afin de réduire la vitesse.





Puis nous survolons et dépassons la Martinique,








avant d’entamer un long virage à droite pour se placer en finale. La pluie fait alors son apparition.








Le train d’atterrissage est sorti, et l’atterrissage est effectué à 18h15, avec 20 minutes de retard sur l’horaire initial. Les reverses, spoilers et l’autobrake sont déployés.







Nous quittons la piste par le taxiway A, puis poursuivons le roulage par le taxiway T. Sur le chemin, nous apercevons un A330neo de Corsair stationné en porte, puis un A330-300 de la même compagnie qui repousse pour son vol vers Paris-Orly. C’est justement à sa place, en porte 8, que nous venons nous stationner.





Alors que l’avion termine son roulage, l’équipage annonce le traditionnel « PNC, dernier virage ». Depuis mon hublot, je distingue également le décollage d’un ATR 72 d’Air Caraïbes à destination de Pointe-à-Pitre. L’avion se parque ensuite, et le débarquement débute.


Une belle vue sur notre 777-300(ER) Air France s’offre à moi depuis l’aérogare, avant d’assister au décollage de l’A330 Corsair aperçu plus tôt.





Enfin, je récupère mes bagages et quitte l’aéroport, prêt à profiter de la chaleur tropicale.


Fin du flight report, merci !
Enchainement de vols
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Merci pour ce FR
Petite erreur sur la distance, moi je trouve 6873 km entre CDG et FDF
A bientôt
Philippe
ah oui effectivement il y a une erreur 😄
merci