Bonjour à tous et toutes,
Ce Flight Report est une exclusivité sur le site.
il me restait 4 e-vouchers de surclassement à utiliser avant le 31/12/2025, la ligne SEN LX accepte ma demande d’en dépenser 2 sur le vol retour opéré par Swiss, ( direct Biarritz- Genève ). Pour rappel, il n’est pas possible de les écouler avec Edelweiss.
Les 3 jours au Pays Basque se termine, la météo a de la partie et la redécouverte de la région nous incites à revenir dans le coin. La route nous a mené en Espagne, au célèbre Col de Roncevaux, en passant par Espelette au retour, une visite approfondie de Biarritz, mais aussi Bayonne que nous avons adorés, Souston, Latché et Vieux Boucau, puis le joli village de Guéthary, et comme nous avions du temps, nous en profitons pour visiter Pau, préfecture des Pyrénées-Atlantiques. Retour direct à BIQ ou nous rendons la voiture de location.
Enchainement de vols
- 1LX2819 - Economique - Geneva - Zurich - Airbus A220-300
- 2WK8272 - Economique - Zurich - Biarritz - Airbus A220-300
- 3LX2333 - Affaires - Biarritz - Geneva - Airbus A220-300
BIQ côté parking
Nous arrivons dans la zone des loueurs vers 18h15, l’agence Europcar est bondée, mais l’un des employés nous demande simplement de lui remettre la clé de la Fiat 600, sans même en faire l’état des lieux !?
C’est avec une certaine avance et au soleil couchant, que nous rejoignons le Terminal.

Vue globale sur la structure du petit aéroport, le cheminement des parkings jusqu’au Terminal est abrité.

Les derniers mètres s’effectuent à l’air libre.

La porte d’accès au bâtiment est à l’image des lieux : Réduite.

BIQ Landside
Vue d’ensemble de la salle des départs.

Notre vol prévu être le dernier de la journée à décoller.

Le restaurant n’est pas très fréquenté, il faut dire que la majorité des vols sont partis…

Des armoires réfrigérées avec un large choix de boissons et d’encas.

Les comptoirs d’enregistrement concernant notre vol ne sont pas encore ouverts.


Aïe ! À présent notre avion affiche 35’ minutes de retard.

Ce qui n’empêche pas la possibilité de procéder au check-in à l’heure prévue. Deux files sont disponibles, l’une pour la classe Économique, l’autre réservée à la Classe Affaire et aux Gold Star Alliance. Les procédures dans notre colonne sont particulièrement longues, les deux pax devant l’homme à la casquette sont chargés comme des mules, mais il ne s’agit ni de la famille Jarvis, ni de la tribu Courgette…
Aussi, le surfer devant nous doit placer sa planche en soute, ce jeune est un employé LX qui voyagera assis en 2A.
N’ayant que des bagages cabines, nous obtenons nos BP en quelques secondes, l’employé est aimable et s’étonne que nous n’ayons rien à envoyer dans le ventre de l’avion.

BIQ airside
Le passage via le PIF est très rapide, nous visitons le mini duty free accolé à un bar-restaurant.

Trois salles d’attente correspondant à 3 portes d’embarquement, sont aménagées au rez de chaussée.

La porte concernant notre vol est située à l’étage.

Un grand hall aménagé de sièges rouges attends la venue des pax sur le départ. BIQ ne dispose d’aucun salon…

Belle vue sur le tarmac grâce à une large baie vitrée, mais pour l’heure aucun aéronef stationne au parking.

Pré embarquement
Malgré le retard de l’appareil, ( dû à un espace aérien français encombré ! ), une annonce invite les passagers à destination de Genève, à se présenter aux contrôles de la Police de l’Air et des Frontières. Une longue queue se forme, un seul PAFman est à l’œuvre, ce dernier est très sympathique.
Après la vérification de la pièce d’identité on passe à un second guichet, ou une jeune fille toute aussi plaisante que le policier, dispatche les voyageurs dans deux salles distinctes. Nous serons conviés dans l’espace situé près de la porte d’embarquement. Tous les sièges sont occupés.


L’embarquement
C’est avec 45’ de retard que l’embarquement est lancé, une annonce précise que les familles avec des enfants en bas âge, les passagers de la Business Class, et les membres « Gold » de l’alliance, sont invités à embarquer en priorité, en vérité aucun contrôle n’est prévu devant la porte d’accès à la passerelle, c’est dans un joyeux bazar que la meute s’engouffre dans le couloir…

Pas question pour nous de brandir la carte d’embarquement, en bousculant tout le monde et en criant, « Business Class, Business Class », ( les plus anciens du site savent à qui je fais référence ).

Cela étant le pax GP n’a pas la même retenue que nous, il dépasse allègrement la file et pose son sac de voyage sur un siège avant de refouler dans le finger ! Une attente de quelques minutes dans la passerelle me permet d’immortaliser le Petit Airbus A220. Maintenant la nuit est tombée sur la Côte Basque.

Le feu vert est donné enclenchant le branle bas combat.

Instant porte et tentative de fuselage shot, ce n’est pas le moment de traîner, derrière les gens sont prêts à me piétiner afin d’accéder à l’avion. Non, non, messieurs-dames, l’avion ne partira pas sans vous ! Pfff.


La vie à bord
L’accueil jovial en seuil de porte par le Maître de Cabine, annonce un vol agréable. 2 rangées de J ce soir, nous serons les 2 seuls pax payants à voyager devant, ainsi que le surfer qui visiblement connaît bien l’équipage. Le sièges du A et C du premier rang restent vides, idem concernant les fauteuils C, D et F de la deuxième rangée.

Le flot des passagers continue sa progression, le taux de remplissage en classe économique est très bon en ce lundi soir.

Le pas(lichon), n’est pas trop mal au premier rang.

Difficile de ne pas savoir à quelle compagnie appartient cet appareil !

Plafonnier typique des A220 LX, composé de ses mini IFE, aérateurs et liseuses…

Voici le contenu de l’aumônière, cette dernière fixée sur le bulkhead.

Le Swiss Magazine consultable uniquement via un QR code, dommage que la version papier ait disparu après la pandémie du Covid, snif.

Comme par hasard la revue de l’inflight Shopping est disponible physiquement…

La fiche sécurité.

Sac vomito.

Deuxième instant porte de l’intérieur cette fois-ci, à présent l’embarquement est terminé ! Le Capt’ain prend la parole en français et en anglais, il s’excuse pour le retard subit et annonce que le cockpit essayera de le combler durant la croisière… Le jeune Maître de Cabine vient se présenter, il est français. Il nous dit de ne pas hésiter à l’interpeller si nous avons besoin de quoi que ce soit…

… Puis il retourne dans le galley et procède à l’annonce général, une heure de vol prévue ce soir, les consignes de sécurité sont diffusées via les écrans, LX reste sobre dans la présentation du spot. Nous repousserons avec dix minutes de retard supplémentaire. Mon mari a la bonne idée de vouloir changer de place juste avant le départ, va bene…

Le tracteur s’est déconnecté du diabolo, le roulage est imminent.

Nous remontons le taxiway au galop.

Alignement et décollage dans la foulée.


Belle vue sur l’agglomération biarrote, nous survolons l’océan Atlantique quelques secondes pus tard.


Le rideau inter-classes est tiré 5 minutes après l’envol.

A table !
C’est avec plaisir que nous acceptons le plateau repas, le pax GP le décline mais jacasse un long moment avec une hôtesse qu’il connaît.

Le plat principal est constitué d’une salade de céleri, et d’un toast au saumon couvert d’oignon rouge, l’ensemble est bon et frais.

Fromages Suisses, je passe mon tour…

En dessert, une excellente Panna Cotta au coulis de fruits rouges, saupoudrer de cassonade.

Contrairement à KLM, LX propose des couverts en métal…

J’accompagne les agapes d’un vin rouge helvétique tout à fait consommable, ainsi qu’un pain rond et du beurre.

Je décline le café et le digestif, mais accepte le chocolat. Un passage aux toilettes suit le repas, l’espace est réduit mais fonctionnel, les petits coins sont propres.


Le vol poursuit son cap sans turbulence, j’en profite pour terminer ma revue, « Autoplus Classique ».

Approche et atterrissage
L’approche vers GVA s’effectue face à l’ouest, on aperçoit le lac Léman au niveau d’Evian les bains, ( à droite ). L’avion entame alors un virage à 180° , Lausanne est en ligne de mire, ( à gauche ).

La descente se poursuit avec la ville de Nyon en dessous.

Atterrissage très doux alors que la pluie vient de cesser, hélas le retard n’a pas été comblé.

Le roulage ne dure que quelques minutes, les pilotes stoppent l’avion au large de l’aérogare indiquant un débarquement via paxbus.

Débarquement personnalisé
Nous sommes invités à nous engouffrer dans le bus exclusivement réservé aux passagers de la Classe Affaires, le Gratuity Passenger est aussi du voyage. Le trajet jusqu’à l’aérogare prend environ 7 minutes.

Le schuttle nous dépose bien entendu dans la partie française de GVA, aucun contrôle pour nous accueillir, à cette heure tardive le duty-free est fermé.

Passage en trombe dans la salle de livraison des bagages, la photo est trompeuse, car plusieurs vols en provenance du Royaume Uni viennent d’atterrir…

Nous nous pointerons devant la grande sœur de Bombinette, vingt minutes après le débarquement ! 45´ plus tard la voiture est rangée dans le garage de notre domicile.
Merci de m’avoir lu, à bientôt pour un autre routing qui me conduira une fois de plus, en Asie du Sud-Est.