Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour un court routing, reliant la Suisse au Pays Basque français, le 1er segment ultra connu entre GVA et ZRH ne sera pas reporté.
Les reports sont des exclues.
Cela faisait une paille que mon mari et moi n'avons pas eu trois jours de congés ensemble, alors nous n'allons pas restés dans notre montagne à regarder les vaches et chevaux s'ébattre dans le champs au dessus de chez nous…
Je demande à ma douce moitié quelle(s) destination(s) l'intéresse. Plusieurs choix fusent : Budapest, La Côte Amalfitaine, Berlin, Dublin. où comme souvent, un voyage en voiture. La destination aurait été Reims et Epernay, avec la visite de certaines caves champenoises, pas forcément célèbres.
Alors que nous dinons sur notre balcon, Jim me montre sa trouvaille : Un aller GVA - BIQ via ZRH, avec LX et WK à l'aller, et un retour direct BIQ - GVA avec LX. Le prix du billet A/R par personne défie toute concurrence : 106 € !!! Le dessert avalé et la table débarrassée, je saute sur ma tablette et réserve les billets.
J'ai deux e-voucher de surclassement SEN à dépenser avant le 31 décembre prochain. J'appelle la ligne SEN LX qui me confirme qu'il n'est pas possible de les écouler avec Edelweiss, par contre aucun problème pour les placer sur le vol retour avec Swiss, un coupon par personne suffit, voilà c'est vendu, nous pouvons même choisir le siège !
Cette destination me plait beaucoup et mon mari n'y a jamais mis les pieds, top !
Sur place, il est prévu de louer une voiture afin de rayonner dans le secteur : Biarritz, Souston, Saint Jean de Luz, le col de Roncevaux, sans oublier Espelette, mais aussi Pau.
Notre base reste Biarritz, nous descendrons au Mercure Président, situé en plein centre ville et à quelques mètres de la plage.
Place au premier opus.
Enchainement de vols
- 1LX2819 - Economique - Geneva - Zurich - Airbus A220-300
- 2WK8272 - Economique - Zurich - Biarritz - Airbus A320
- 3LX2333 - Affaires - Biarritz - Geneva - Airbus A220-300
ZRH Landside
Nous quittons l’hôtel avec la navette de 5h40.

Nous atteignons l’aérogare 7 minutes plus tard. Le hall des départs paraît calme, ce n’est qu’une apparence.

Le FIDS nous indique que notre vol partira à l’heure.

Les comptoirs d’enregistrement sont pris d’assaut.

Ayant notre boarding pass depuis la veille, nous nous dirigeons directement vers la zone adéquate. par bonheur nous trouvons immédiatement le fast track.

ZRH airside
Le passage par le PIF n’a pris que quelques minutes, nous traversons le temple de la consommation sans nous arrêter.

J’apprécie particulièrement le terminal central de ZRH, je le trouve très chaleureux.


Le Salon Senator
Il est prévu de consommer un petit déjeuner au salon, allons y !

L’accueil par un employé est cordial, nous montons à l’étage et nous installons dans la salle de restauration, décorée façon bistrot. Le coin n’est pas encore bondé.

L’espace en mezzanine est vide.

Pas grand monde non plus autour de la rotonde.

C’est le moment d’aller s’approvisionner au buffet ! L’îlot central où il est possible de faire son choix concernant la cuissons des œufs, on y trouve aussi des champignons et des saucisses.


Les percolateurs sont prêts à affronter le rush du matin, un grand choix de boissons est disponible, y compris les alcools, hips.


Étal de charcuteries et fromages, ainsi que des viennoiseries et quelques légumes…


Laitage, muesli et salade de fruits.

Pommes zé oranges.

Pour les amateurs de céréales…

Ma sélection…

… Et celle de ma douce moitié.

De la lecture papier, dont le magazine Edelweiss.

Sur le chemin de la porte B33
Après un bon moment passé au salon, c’est le moment de rejoindre la porte située dans la jetée B.

L’un de ces oiseaux va nous emmener sur la Côte Basque.

Une tripotée de vols est programmé à quelques minutes de différence.

Le nez de notre coucou Suisse.

L’embarquement n’étant pas encore lancé, nous trouvons de quoi nous asseoir sans problème.

L’embarquement
La porte du jour.

L’attente ne dure qu’une dizaine de minutes, les priorités sont respectées.

Instant porte et fuselage shoot.


La vie à bord
Nous recevons un excellent accueil de la part de la Cheffe de Cabine, la cabine est connue, avec ses sièges en cuir bleu. Nous nous installons derrière le rideau.


Le pas(rasol), n’est pas mauvais.

5 rangées de J aujourd’hui. Nous avons pour voisine une jeune femme accompagnée de son nourrisson, le bébé dormira pendant tout le voyage, ouf !

Deux filets pour déposer des bouteilles d’eau par exemple.

La littérature de bord vautrée dans son espace.

Le contenu du rangement précité.

La carte de sécurité.

Tout pour se ruiner rapidement !

Mon bouquin préféré à bord d’un avion, malheureusement de plus en plus rare…

WK vante le fleuron de sa flotte.

Nous nous contenterons d’un très classique Airbus A320.

La liste des destinations en Europe est très fournie.

Mais aussi dans le monde.

Edelweiss opère ses destinations, avec des machines 100% Airbus.

Notre vénérable A320 n’est pas un dernier né, la preuve avec ce plafonnier accusant de nombreuses heures de vol.

Un biberli est distribué à chaque passager.

Les consignes de sécurité sont diffusées via l’écran commun.

Mon mari n’est pas très motivé pour photographier ce qui se passe à l’extérieur… Le commandant annonce 1h30 de vol, avec une arrivée prévue avec quelques minutes de retard.

Le status serait t’il passer par ici ? Casper est des nôtres aujourd’hui.

La géovision sera active durant toute la durée du voyage.

Nous repoussons avec une quinzaine de minutes de retard.

Le taxi n’est pas très long, nous décollons face au nord.

C’est parti sous les nuages.


Le rideau inter-classes est tiré une fois les lumières allumées.

A table !
Le service commence alors que nous survolons Lyon !

Les trois stewards sont charmants et très professionnels. Je choisi une limonade. Un sachet est proposé avec la boisson…

Le contenu de l’emballage est une brioche aux pépites de chocolat. Pas mauvaise mais un brin bourratif.

Le fond du gobelet est siglé de la fleur nationale Suisse, l’édelweiss.l

Après l’en cas, un passage aux toilettes s’impose, elles sont étriquées mais fonctionnelles et propres.


La cabine économique est remplie à plus de 95%.

Le vol se poursuit tranquillement.

Approche et arrivée à Biarritz
La descente est amorcée 25 minutes avant l’atterrissage, le ciel se dégage. Mon compagnon m’a laissé le hublot une dizaine de minutes plus tôt.


Nous longeons l’Adour.

Les faubourgs biarrots.


Nous rejoignons le plancher des vaches sans avoir comblé le retard.


Le taxi n’est pas long pour relier la piste à l’aérogare.

Débarquement par passerelle
A ma grande surprise, le débarquement s’effectue via un finger !

En route vers la sortie, après un débarquement ponctué par les salutations de la CDC et du CDB.

Deuxième surprise, il faut passer la Police de l’air et des frontières, les passagers d’un vol en provenance du Royaume Uni nous précède.

Passage par la petite salle de livraison des bagages sans s’arrêter.

Puis nous filons vers le parking des loueurs.


Le parcours permet la seule photo potable de l’aéronef du jour.

Merci de m’avoir lu, à bientôt pour le vol retour…
Merci Hervé pour ce récit
Surprenante cette liaison WK vers BIQ, je ne savais même pas qu'elle existait!
Un bon vol avec WK, compagnie qui me fait de l'œil depuis belle lurette!
Catering qui se démarque de la consœur du groupe LH.
Aéroport de ZRH agréable tout comme le salon, comme les Suisses savent faire.
À bientôt