Bonjour à tous, bienvenue pour la suite de ce petit week-end à Turin.
LE ROUTING
Enchainement de vols
- 1
- 2AF1702 MPL TRN
- 3AF1703 TRN CDG
- 4AF7468 CDG MPL
LE REPORT
Je vous avais laissé à la sortie de mon pré acheminement. Il me faut maintenant passer du 2F au 2G.

Je suis le cheminement pour rejoindre le terminal 2G dont la salle d’attente se trouve non loin.

Il y a pas mal de monde, et la navette met du temps à arriver.
Il faut dire qu'il y a de plus en plus de vol qui partent du 2G.

Il est alors 10h52. Le jeune homme présent ne peut pas répondre aux questionnements des pax qui s’impatientent. La navette n’a pas d’horaire : elle fait une boucle et passe toutes les 5 à 10 minutes. Pour ma part, il faudra attendre 8 minutes avant qu’elle n’arrive. Elle attendra encore quelques personnes avant de finalement fermer ses portes à 11h.

Il fait très chaud dans ce bus, il n’y a aucune clim, et vu que le bus est complet, on suffoquerait presque.

Environ 10 minutes après, nous sommes déposés devant le terminal, au niveau des correspondances, après le PIF. Il suffit de monter l’escalator pour rejoindre le hall.

Ça grouille de monde, et quand je vois le nombre de personnes de mon bus qui se dirigent vers le lounge, ça n'augure rien de bon

La déco est toujours aussi jolie dans ce terminal :


Devant le salon, y a la queue pour entrer.

Je constate qu’ils acceptent toujours les invités alors que les lieux semblent plein. Mauvais point.

Je remarque vite qu’en effet, il n’y a pratiquement plus de places assises. Quel enfer.


Le buffet expose les restes du petit-déjeuner.





Je trouve finalement une place sur l’espace de travail, entre deux télétravailleurs. Les pax défilent et certains attendent même debout, espérant qu’une place se libère rapidement. C’est vraiment une honte.


Petit souvenir par la fenêtre, un A380 de EY vient se stationner non loin :

Sur les coups de midi, le buffet pour le déjeuner est mis en place. Peu de choix comparé au 2F, bien évidemment.






Un verre de champagne est distribué à l’aide d’un petit chariot, il est accompagné d’une madeleine salée que je décline.

J’ai encore 4h avant l’embarquement, un temps qui va définitivement passer doucement dans ce salon que je n’affectionne pas (tout le monde avait compris, je crois, non ?)
Je débute mon FR et prépare mes articles de blog sur ce voyage pour passer le temps.
La une du jour :

Sur les coups de 16h, je m’apprête à quitter les lieux. Le salon s’est bien vidé depuis le début de l’après-midi. Ce n’est qu’en levant les yeux que je le remarque.


De jolis articles AirFrance exposés en vitrine :

Je décide de quitter le salon à 16h20 en espérant que ma porte s’affiche bientôt. Sur mon appli, il était indiqué depuis ce matin que je partirai en porte G23. On verra si c’est toujours le cas ou non. Je comprends cela dit pourquoi elle est affichée au dernier moment dans ce ce terminal, il n’y a strictement aucun espace où patienter en bas.
Le dutyfree :

Wall-e est de sorti !

Je patiente un peu sur une des jolies banquettes :


C’est à 16h25 que notre porte s’affiche, comme prévu, 30 minutes avant le départ du vol. Nous partons bien de la G23.

Je passe devant cette jolie fontaine :

Je m'en vais rejoindre les portes, en prenant le couloir de droite.

Le couloir est tout vitré et sans clim, on ne peut que suffoquer.

En chemin, on ne peut que contempler les Embraer de Hop :

Le vol pour Olbia, qui était retardé, est en train de procéder à son embarquement en G21, donc juste à côté de nous. C’est un bazar sans nom dans ce petit espace.

À 16h40, on nous indique que la cabine est en train d’être préparée, nous devrions pouvoir embarquer d’ici 10 minutes.
Les PMR sont priés de prendre place 5 minutes plus tard, et à 16h50 l’embarquement ouvre sans aucune annonce ni priorité (c’était mentionné sur l’écran seulement).
Les embarquements sur le tarmac sont toujours le moment idéal pour photographier mon Embraer du jour.

Point d’escalier à monter avec les bagages à la main, un petit cheminement permettant d’atteindre l’avion a été mis en place. C’est fort apprécié.

Il est l'heure de monter à bord :


Point info :

Instant porte :

Un joli fuselage shot :

L’accueil se fait avec un rapide sourire et je m’en vais prendre place en 7A.

J’avais cherché des informations sur la meilleure place pour photographier le Mont Blanc, mais le temps couvert à destination risque de me mettre des bâtons dans les roues.
Les pleins de carburant sont en cours, les consignes défilent en français et en italien, demandant de ne pas s’attacher.
Petit tour de la cabine :


Je suis située pile entre deux hublots, il me faut donc soit regarder celui devant moi, soit celui derrière moi, mais au moins j’ai l’embarras du choix pour le point de vue.

A côté de nous, d'autres Embraer :

L’embarquement sera rapidement terminé. Il n’est même pas 17h et nos portes sont fermées.
Notre commandant de bord nous souhaite la bienvenue quelques minutes plus tard et nous indique que notre vol va durer 1h05 jusqu’à Turin. Nous rencontrerons des turbulences au niveau des Alpes et, à notre arrivée, 24°C au compteur.
Notre pushback a lieu aussitôt après avec une jolie lumière en cabine.

Les consignes sont ensuite déroulées par des bandes audio, en italien, français puis anglais. Il est demandé, pour l’intimité de chacun, de ne pas filmer ou photographier les passagers ou l’équipage sans autorisation.
Évitons d’exposer les hommes qui trompent leur femme, hein !
À 17h06, nous partons au roulage, qui sera plutôt court aujourd’hui.
A côté, ça se prépare pour l'atterrissage :

Il est 17h12 lorsque nous quittons le tarmac parisien.


La Tour Eiffel s'invite, dans les nuages :


Survol du Bourget :

De jolies vues sur la capitale, avec une gare (je ne sais pas laquelle), ainsi que la Défense :






Notre montée est rapide, le voyant de la ceinture s’éteint à 17h18.
J’en profite pour ressortir mon ordinateur, et on peut dire qu’avec la taille de cette tablette, c’est très agréable. Point négatif : pas de Wi-Fi à bord, comme toujours en Embraer.

Alors que le service arrive à mon niveau sur les coups de 17h35, nous traversons une petite zone de turbulences nous forçant à rester attachés, mais au final, ce n’était pas grand-chose.
Il est 17h30, mais c’est pourtant la prestation salée qui a été retenue pour ce vol : on nous distribue donc une tartinade à la crème de légumes. Je ne prends pas de boisson et garde le sandwich pour plus tard.

Les déchets sont vite débarrassés, il faut dire que le vol est court.
À 17h50, le commandant nous indique que nous survolons actuellement Genève, sur la gauche. En effet, le beau lac Léman se laisse facilement deviner de mon côté.

Nous débutons notre descente, notre arrivée est prévue pour 18h20 au parking. Nous serons donc parfaitement à l’heure.
Malheureusement, à partir de ce moment, la vue se bouche complètement. Adieu ma vue sur les Alpes et le Mont Blanc !

À 17h57, un message nous annonce notre arrivée imminente. Nous descendons dans les nuages jusqu’à enfin apercevoir les premières vues sur le Piémont, avec ses grandes montagnes en fond. Malgré le ciel chargé, la lumière perce sur les champs, c’est magnifique.





Il est 18h20 lorsque nous venons nous poser à TRN.

L'aéroport ne semble pas très grand :

Le roulage ne durera que 3 minutes, et nous venons rapidement nous stationner au contact.

A côté de nous, Ryanair :

Salutations envers les PNC, puis je regagne la passerelle.

Nous débarquons au beau milieu du terminal mêlant passagers au départ et passagers à la recherche du carrousel à bagages.

Après deux escalators, je regagne le niveau des arrivées et ne traîne pas au carrousel, car je n’ai rien qui m’y attend.

À la sortie, il est très facile de trouver l’arrêt de bus.


Deux compagnies de bus permettent de regagner le centre-ville : Flibco et Arriva. J’avais pris soin tout à l’heure de réserver mon billet en ligne pour Arriva, mais sachez qu’un automate est aussi disponible dans le hall.

Le bus passe toutes les 15 minutes et le prochain est à 18h45. On peut dire que je n’ai pas traîné depuis ma descente.
A l ‘heure prévue, le bus arrive et embarque le maximum de passagers. Pour les autres, il faudra attendre le bus suivant. Le chauffeur hurle de déposer les valises dans la soute, mais heureusement, la mienne rentre dans le compartiment au-dessus de ma tête.

Nous prenons la route en direction du centre-ville de Turin. La conduite est absolument horrible, les freinages sont secs, j’ai l’impression qu’on va tous passer par le pare-brise.

Je descends à Porta Susa, à quelques mètres de mon hôtel où je vais passer mes 3 nuits.
A bientôt pour le retour et merci pour votre lecture !
Merci beaucoup pour ce FR sur une destination, TRN, très peu utilisée en dehors des Italiens. Petite aérogare en effet.
Très bon vol AF en E170, Prestation minimaliste (oserais je dire minable ?) mais "qui a le mérite d'exister" selon la formule consacrée.
Le salon au 2G a besoin d'être agrandi !
Merci beaucoup pour le superbe bonus qui donne envie de visiter Turin. Et merci beaucoup également pour les superbes photos en vol, dommage pour la crasse nuageuse en fin de vol...
Bons vols!
C'est vrai qu'il y avait plus d'Italiens que de Français à bord de ce vol.
Dans quelques temps on regrettera cette prestation à bord, alors il vaut mieux en profiter.
Déception de ne pas avoir pu survoler les Alpes avec un ciel dégagé... vais-je me rattraper au retour ? La réponse bientôt...
A bientôt !
Merci pour ce FR MC AF.
La route est longue MPL - TRN par CDG, l'attente en escale aussi.
Le salon au 2G a du mal à absorber les flux lors des pics de départs. Et vu les correspondances à rallonge sur les routes opérées ici, les pax n'y restent pas seulement 30'. On pourrait s'attendre à la même offre qu'au T2F, mais c'est la version allégée seulement.
A bord, on attend le retrofit des embraer sur hop. Pitch un peu plus serré, beau siège mais moins confortable, wifi opérationnel ; on ne peut pas tout avoir :)
La collation est toujours salée lorsque l'offre du PDJ est terminée (10h59 ?), choix de sandwich avant l'arrivée éventuelle du BoB ?
Pas de train en période estivale, finalement le RER B à Paris n'est pas si mauvais ^^
Une belle météo à TRN, tu as pu bien profiter de ton séjour.
A+
C'est vrai que l'aller était un peu long avec cette longue escale mais j'ai fait plus rapide au retour (et même un peu trop rapide pour moi).
Le lounge du 2G a clairement du mal à suivre, et je pense que ça ne va pas s'arranger.
Étant donné la durée du vol, je préfère le pitch et le siège actuel, même s'il n'y a pas de WiFi ;)
Sur les heures un peu bizarres, parfois AF laisse le choix entre sucré ou salé, mais là c'était salé pour tout le monde.
Quelle tristesse de parler de BoB dans la même phrase que AF...
A bientôt !
Merci pour ce report Laura.
La gare numéro 22, celle d’Asnières.
Dommage pour les vues sur Mont-Blanc.
Chouette balade à Turin.
Bons vols
Merci pour l'info sur la gare, je savais que l'un d'entre vous allait pouvoir répondre à mon interrogation 😄
A bientôt !