Après deux journées et demi passées à Singapour (cf. bonus en fin de FR), il est temps de rentrer. C'est donc le dernier vol de cette série de FR, pour laquelle vous retrouverez les précédents vols ci-dessous.
Enchainement de vols
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C'est en métro que nous rejoignons l'aéroport de Changi, celui-ci est rapide, propre et efficace, et le forfait pour 3 jours est intéressant. Après une connexion à Tanah Merah, nous prenons la dernière section menant à l'aéroport.

Ce long escalator mène au terminal.

Nous arrivons dans le vaste hall du terminal 3. La décoration est très réussie


Même si parfois c'est un peu kitsch. Cela fait au moins le bonheur des enfants.

Les nombreux départs de la soirée affichés, notamment pour permettre aux passagers de savoir dans quel terminal se rendre.

Notre vol n'est pas encore affiché, il faut dire que nous avons pris un peu d'avance pour visiter le Jewel, dans lequel nous n'avons fait qu'un passage éclair à notre arrivée deux jours plus tôt.
Pour rejoindre le "Joyau", il faut emprunter cette longue passerelle.

C'est vrai que la structure est impressionnante.

Quant à l'intérieur, il faut admettre que l'effet waouh est bien là.

Fidèle à sa réputation de ville jardin, Singapour a fait du Jewel un écrin de verdure.

On imagine l'effet pour les passagers des trains qui traversent l'endroit.

Pour le reste, il s'agit ni plus ni moins d'un immense centre commercial, qui trouve peu d'intérêt à nos yeux. Après une petite balade, nous quittons le Jewel pour rejoindre le terminal 1, directement connecté à celui-ci. La perspective en arrivant au Jewel depuis le T1 est tout de même sympa.

Il nous faut juste traverser cette route.

Impossible de ne pas s'arrêter devant la Kinetic Rain, ce superbe ballet de gouttes cuivrées.

Pour les pax un peu désorientés, il est possible de se renseigner auprès d'agents, mais en visio conférence. Je comprends la recherche d'efficience, mais on perd tout de même le côté humain.

Il est toutefois encore trop tôt et les comptoirs pour notre vol ne sont pas encore ouverts. SIN propose néanmoins un early check-in. Pour cela il faut descendre au niveau des arrivées et retraverser la jonction menant au Jewel. Etrange emplacement, mais qui a le mérite d'exister.

Ayant du temps devant nous, nous décidons d'aller voir par curisioté.

Il est donc possible d'enregistrer un bagage en soute ou tout simplement d'éditer une carte d'embarquement, ce qui est notre cas. Un agent est là pour aider les passagers si nécessaire. J'en profite pour lui demander à quel salon nous sommes éligibles et il m'indique après avoir consulté sa tablette que c'est le lounge Qantas qui nous accueillera. Après l'excellente expérience à HKG l'an dernier, c'est une bonne nouvelle !

Nos BP en main, nous remontons à l'étage des départs.

La PAF est très simple à franchir, il suffit de scanner son passeport. Le seul inconvénient, c'est l'absence de tampon.

Nous voici donc airside un peu avant 20h, pour un vol prévu à 22h55. On va dire qu'on est large ;-)
Au fond, un temple du luxe français.

La France est à l'honneur avec cette mini Tour Eiffel dorée.

Nous foulons la célèbre moquette de SIN pour rejoindre le salon, qui se trouve à l'étage.

Outre QF, BA a son propre salon. Il existe aussi un salon multicompagnies.


Voici l'entrée du salon Qantas, qui présente très bien.


L'accueil est très cordial et notre éligibilité est validée sans difficulté.
Le salon est très grand et s'organise autour de plusieurs espaces. Au centre, le bar avec un espace dans les tons jaunes.


Puis une grande zone pour s'installer confortablement. Vous noterez la variété des fauteuils et de leurs couleurs. Disons qu'il y en a pour tous les goûts.



Le moins que l'on puisse dire, c'est que la place ne manque pas, je ne suis pas certain que les seuls pax QF parviennent à remplir ce salon.

Un peu sur le côté, on trouve une vaste zone de restauration.


L'offre de restauration est variée, avec du froid et du chaud.





Il y a surtout des cuistots qui peuvent préparer des plats minutes, ici de la soupe laksa.

Comme tout bon salon qui se respecte, il est possible de prendre une douche.

Pour l'heure, c'est le bar qui attire mon attention, avec une offre plutôt alléchante. Le choix est large, et je note la proposition de cocktails.


Ceux-ci sont réalisés à la demande par du personnel plutôt avenant.

Pour ce premier verre, j'essaie le Cherry Blossom, à base de vodka et de cherry brandy.

La carte ne propose pas de champagne, mais l'une des préposées m'indique un peu plus tard que celui-ci est disponible sur demande. Qu'à cela ne tienne !

Une bonne occasion de trinquer à ce beau voyage.

Nous savons qu'un repas est prévu en vol, mais nous ne résistons à l'envie de goûter quelques plats proposés au salon. Nous nous installons donc dans la zone de restauration. Celle-ci offre une vue dégagée sur la zone landside. On aperçoit les kinetic rain au fond à droite.

C'est bien évidemment la soupe laksa que je goûte en premier.


Celle-ci est inévitablement accompagnée, Qantas oblige, par un vin rouge australien.

Ce n'est pas raisonnable mais je goûte aussi le poulet au curry vert.

Avant de quitter le salon, un petit tour aux toilettes. Celles-ci sont impeccables.

Le FIDS nous indique que notre porte d'embarquement vient d'ouvrir.

C'est donc vers 22h que nous prenons la direction de notre porte. Changi est très animé à cette heure-ci.

Comme précisé sur le FIDS du salon, le PIF est déjà ouvert. C'est vraiment l'inconvénient majeur (si ce n'est le seul) de Changi. Il existe toutefois deux files, dont l'une est prioritaire et qui fera gagner pas mal de temps, la queue dans la file générale étant longue.

Nous voici donc en salle de pré-embarquement.

Notre oiseau du soir est F-GZNC, un vaillant 777-300ER livré en 2008 et donc âge de 17 ans au moment du vol. Cet appareil n'a pas été baptisé. C'est la première fois que je vais voler avec lui, mais le hasard voudra que je l'emprunterai à nouveau quelques mois plus tard, dans le sens CDG-DXB (FR déjà publié d'ailleurs lors de mon escapade en Première à Abidjan).

Notre appareil est prêt pour l'embarquement et les passagers la Première, accompagnés de leurs escortes, embarquent en premier.

Puis c'est à notre tour, dans le respect des priorités.
La première passerelle est dédiée aux passagers la Première. Entre la qualité du salon QF First, l'horaire de départ et la durée du vol, c'est une expérience que j'aimerais bien découvrir au départ de SIN.

Pour l'heure, nous ne voyageons "que" en business et nous empruntons la passerelle commune à tous les passagers. L'occasion de dire au revoir aux moquettes de Changi.

Instant porte et console.

Nous sommes accueillis en porte et orientés dans la grande cabine business.

Cet appareil n'a pas été rétrofitté et ne bénéfice donc pas des toutes nouvelles cabines J.

La petite cabine business située à l'avant a bien évidemment ma préfence, mais lors de la confirmation de l'upgrade, effectué à l'OLCI, il restait encore quelques places en J, mais uniquement au fond de la grande cabine. La question a surtout été de savoir si nous prenions deux sièges côte à côte ou bien de part et d'autre de l'allée. Etant au fond de la grande cabine, je ne voulais pas prendre le risque d'un service décalé entre nous et c'est donc la seconde option que j'ai retenue. Voici donc mon siège hublot, Madame voyageant sur le siège central.

Cabine bien connue, je n'en fais pas le tour en détail.

L'avantage du siège hublot, c'est de bénéficier d'un peu plus d'espace sur la tablette.

C'est l'armement classique que l'on retrouve, avec la couverture, le coussin et les chaussons, qui ont fait leur réapparition depuis quelques temps.

Armement classique, enfin pas tant que ça, car j'ai la bonne surprise de trouver un sur-matelas. Le fameux sur-materlas qui a fait couler tant d'encre et qui est ici en phase de test.

Il peut être installé bien sûr en position allongée, mais également en position assise.

C'est ce que je vais tester pendant ce vol, nous verrons bien si le confort en est significativement amélioré.

Je lance l'IFE, celui-ci fait la promotion du partenariat avec Kolet pour l'internet mobile à l'étranger. C'est d'ailleurs l'opérateur que j'ai retenu pour ce voyage en Asie, il était le plus compétitif.

L'embarquement se termine, la cabine sera full ce soir.

Les PNC sont regroupés au galley. Elle est longue cette cabine J !

Le verre d'accueil est servi, par contre pas de champagne, c'est étrange.

Par la force des choses, je reste sobre, en même temps j'ai pris un peu d'avance au salon.

Les trousses sont ensuite distribuées. Ce sont toujours les mêmes depuis des années.

Leur contenu n'a pas non plus changé, il est minimaliste mais on y trouve l'essentiel. La qualité du stylo n'est pas exceptionnelle.

Le protocole de début de vol se poursuit avec la distribution d'un oshibori chaud.

Puis la remise des menus. Nous y viendrons le moment venu.

Les consignes de sécurité sont lancées, nous partons avec quelques petites minutes de retard.

Au revoir Changi, à bientôt j'espère !

J'enclenche la géovision sur l'IFE, mais il semble y avoir un petit problème dans les données de vol (en particulier sur le temps de vol).

La cabine est plongée dans le noir pour le décollage.

C'est parti. C'est toujours un plaisir d'entendre les GE90 au décollage.

Nous avons été privés de champagne pour le verre de bienvenue, mais l'équipage se rattrape juste après le décollage en proposant l'apéritif.

On retrouve les indémodables gavottes (qu'il serait d'ailleurs peut-être temps de renouveler).

En attendant le début du service, je furète sur la carte et n'ai pas de mal à trouver Lombok, où nous avons passé une très belle semaine.

Le service du repas se met en route. Voyons voir ce qu'AF nous propose ce soir. C'est sympa, c'est un chef français de Singapour qui signe la carte. On parle ici de Julien Royer, chef du restaurant Odette (3 étoiles au Michelin, quand même).

Il y a même une petite vidéo dans l'IFE à ce sujet, intéressant.

Celui-ci nous propose quatre plats différents. Le terme de "souper" est délicieusement suranné.

L'offre de petit déjeuner ne propose pas de choix sucré ou salé, mais un plat chaud ou froid, salés tous les deux.

Du côté des vin, c'est le Thiénot qui assure les bulles, ça change des références classiques.

Deux choix de blancs, dont comme toujours une référence de l'inoxydable Gérard Bertrand, on suppose qu'il a un contrat en béton avec AF pour rester si longtemps à la carte.

Le Languedoc, à défaut d'être véritablement haut de gamme (il est tout de même noté 90/100 par Parker), apporte une touche d'originalité, mais c'est surtout le Saint-Julien 2018 qui me fait de l'oeil.

Les amateurs de bière (dont je ne fais pas partie) trouvent peut-être leur bonheur ici.

La chartreuse n'a pas fait son retour, mais d'autres digestifs viennent compléter l'offre.

Comme je le craignais, nous sommes servis plus d'une heure après le décollage. Sur ce service du soir, l'entrée est apportée en même temps que la salade, le fromage et le dessert.

J'arrange ma table. Voici donc en entrée la Pastèque, fromage, poulet fumé et tomate séchée. Le libellé est sobre, mais c'était frais et très bon.

Grâce à mon statut, la CC est venue prendre notre choix dans les premiers, nous avons dû donc pu choisir. Tous les plats étaient tentants, j'opte pour le Plat de côte de boeuf braisé, caviar de moutarde, sauce au vinaigre de Banyuls, mousseline de carottes et oignons grillés. La présentation est quelconque (même si le ramequin est apprécié), mais c'était très bon.

Oh justement il y a ce second vin de Léoville Poyferré, ça tombe bien ^^

Madame a choisi le plat végétarien, avec les ravioles de champignons "comme un ravioli", bouillon au vinaigre de Banyuls, maitakés grillés, courge kabocha confite. Elle a été un peu déçue, les champignons étaient spongieux et le plat n'avait pas beaucoup de goût.

On continue avec le fromage, l'affinage est correct pour de l'avion.

Et on finit avec le dessert, un classique mousse de fruits de la passion, qui fait le job.

Je décline le café mais ne dis pas non à un verre de cognac, comme d'habitude toujours généreusement servi.

Santé à tous les FRistes !

Le service a été globalement efficace, et le repas est bouclé en une heure. Il nous reste encore 12 heures de vol, largement de quoi se reposer.
L'équipage est plutôt sympa, même s'il ne cherche pas spécialement les interactions. Il faut dire qu'il est particulièrement occupé avec deux GP, surclassés à la dernière minute (no comment), qui leur prendront pas mal de temps. Un peu pénible, il faut bien le dire.


Après ces agapes, un passage aux lieux d'aisance est nécessaire. J'aime bien y retrouver l'Eau Dynamisante de Clarins.

J'ai un peu de mal à m'endormir. Dehors, on passe au-dessus de l'Inde et de grandes mégapoles qui éclairent même le ciel.



Je décide de me dégourdir les jambes et faire un petit tour. Le bureau de la CCP.

Le bar fait grise mine, il faut dire que toute la cabine est couchée.

J'arrive tout de même à me reposer, il faut dire que le sur-matelas est confortable. Lorsque je me réveille, nous sommes au-dessus de la Turquie et il nous reste encore 3h30 de vol.

Je regarde ensuite un film, le choix est large.
Le service du petit déjeuner démarre 1h30 avant notre arrivée.

Nous en avons parcouru, des miles (en évitant soigneusement l'espace aérien pakistanais).

Voici le plateau. J'ai choisi l'option froide, avec le boeuf bresaola, poire grillée, emmental, oeuf dur et garnitures assorties.

Juste avant l'atterrissage, je demande un petit expresso, qui m'est amené avec le sourire.

Avec un petit chocolat.

Nous voici en vue de la région parisienne.

L'approche n'a pas été directe et nos PNT ont dû faire une boucle pour s'aligner.

La cabine est préparée pour l'atterrissage. Les PNC avec lesquels nous avons échangé pendant le vol sont venus nous dire au revoir, ce sont des marques d'attention que je trouve agréables et qui humanisent un peu plus le service.

Nous atterrissons dans la noirceur de cette matinée parisienne de février.

Nous venons nous garer au hall L, juste à côté de ce collègue.

Nous débarquons par la porte 2L.

Direction la sortie, mais pas n'importe laquelle.

En effet, il est 6h30 du matin, et d'expérience c'est la pire heure pour passer la PAF, avec l'arrivée de tous les long-courrier. Or pour ceux qui s'en souviennent (cf. le premier FR de la série), le billet retour est un SIN-CDG-LYS. L'intérêt principal était avant tout de baisser substantiellement le prix du billet, mais il présente aussi l'avantage de pouvoir emprunter le circuit des correspondances. C'est donc ce que nous faisons. Bien évidemment, cela suppose de n'avoir aucun bagage enregistré, ce qui est souvent notre cas.

Comme nous sommes arrivés au T2 hall M, nous bénéficions de la jonction directe avec le terminal 2F. C'est parfait !

En chemin, depuis cette fameuse jonction bien pratique, nous apercevons notre avion, dont les soutes sont en plein déchargement.

Et voilà le résultat : absolument personne à la PAF du 2F. Le plan est imparable, j'ai déjà eu l'occasion de le mettre en pratique.

Comble de la performance, les parafe sont en fonctionnement.

Moins de 10 minutes après avoir débarqué, nous voilà dans le hall 2F, qui commence à s'activer avec les vols du matin. En prenant le circuit classique, entre le LISA et la PAF, c'est le double dans le meilleur des cas, et bien plus si les parafe sont fermés.

Il ne nous reste plus qu'à rejoindre le niveau des arrivées.

A cette heure matinale, aucun vol n'a encore atterri et la salle de livraison des bagages est totalement déserte.

Il ne nous reste plus qu'à rejoindre le RER pour rentrer sur Paris.

C'est la fin de cette série indonéso-singapourienne (?), merci de m'avoir lu et commenté !
Merci pour le report.
Un beau salon bien confortable et bien achalandé à SIN.
A bord la cabine BEST, certes il y a désormais mieux sur AF, mais cela reste tout à fait acceptable.
Repas tout en un sur les vols tardifs ; vu la durée du vol, un service différencié fromage + dessert peut être attendu.
Le boeuf m'aurait bien plu, c'est une valeur sure à bord en général.
Le surmatelas en test ce jour-là, mais il n'est pourtant toujours pas généralisé cet été, malgré les annonces dans ce sens... Un retard à l'allumage on va dire.
Ahh ces GP toujours autant chouchoutés...
Bien vu l'arrivée par le T2F pour gagner du temps et sauter le dernier segment.
A+
Merci pour le commentaire.
Je me méfie toujours du boeuf, il faut que la cuisson s'y prête car pour la viande saignante, même en First ce n'est pas toujours évident.
Je ne comprends pas pourquoi les surmatelas n'ont pas été généralisés plus tôt, ce n'est pas si compliqué quand même.
A bientôt !
Merci pour le FR
Le salon fait bien le job et compense cette BEST qui n'est pas le meilleur.
Raison d'une de mes premières escales à SIN
Là il y a de tout dans les rouges autraliens, du sublime jusqu'à celui qui m'a fait perdre l'usage d'un oeil pendant 48h (non .. je déconne)
Dont la brosse a dent en bois aux poils plastiques, du pure greenwashing.
Et même super à voir le coulant
Cool le coup du 2F
Bons vols
Merci JM pour le commentaire.
La Best n'est plus la meilleure, mais elle reste très confortable et offre un full access à tous les sièges, ce qui n'est pas le cas de toutes les compagnies, y compris des compagnies réputées.
Un peu comme en France et partout d'ailleurs. Après j'avoue ne rien y connaître en vin aussie.
Oui, mais il faut un billet en correspondance.
A bientôt !
Merci pour ce FR bien agréable à lire.
SIN est très joli et visiblement à la hauteur de sa réputation.
Une offre à bord très satisfaisante, même si j’ai du mal à déguster un dîner complet à minuit.
Merci bcp pour l’info du 2F, mais cela serait-il autorisé si la destination finale avait été CDG ?
A bientôt
Merci pour le commentaire.
A SIN, on peut critiquer la moquette, mais en terme d'efficacité et de service, c'est au top.
Que ne ferait-on pas pour remplir ses devoirs de FRistes !
Pour le 2F, en théorie il faut une carte d'embarquement pour la zone Schengen. En pratique elle est vérifiée manuellement par un agent, mais très vite, alors sur un malentendu...
A bientôt.
Merci pour ce report de qualité. Un long vol qui permet à la fois de profiter du dîner et du divertissement, et de se reposer.
Je trouve le regroupement de l’entrée et du fromage / dessert approprié vu l’heure tardive.
Le sur matelas est déployé sur tous les vols JFK/EWR depuis début juillet.
Le reste du réseau sera concerné progressivement, avec une phase de déploiement en septembre sur l’Asie et le reste du réseau en octobre. Seuls les vols ORY ne sont pas concernés.
Merci pour ce commentaire.
L'avantage de SIN, c'est qu'on peut vraiment profiter du vol, surtout en J.
Sur ce vol tardif, c'est le service regroupé qui est proposé. Logique vu l'heure, mais toutes les compagnies ne le font pas.
Merci pour l'info concernant les surmatelas. Etonnant que le déploiement soit si lent.
A bientôt.
Bonjour et merci pour cette contribution.
Changi est un enchantement, impossible de s'y ennuyer !
Le salon tient ses promesses, à une époque une pancarte à l'entrée indiquait qu'il était interdit de pénétrer dans le lounge, en short, débardeur et tongs, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
Finalement le PIF avant d'entrer en salle d'embarquement du bon, surtout pour les pax prioritaires 😉
La cabine est tout même sympa, même si elle n'a pas été retrofittée.
Toujours agréable d'avoir affaire à des PNC sympathiques
En Suisse Romande, les 3 repas principaux sont nommés : Déjeuner, ( le matin ), Dîner, ( à midi ), et Souper, ( le soir ).
Les deux prestations sont appétissantes, et tant pis pour la présentation...
Le surmatelas est un vrai plus.
Ce qui me botte chez AF en long courrier, c'est les multiples programmes de divertissement, avec un choix pléthorique de films en Français.
Les formalités sont rapides à CDG lorsqu'on est en connexion.
L'île état offre un panel de divertissements très large, j'aime beaucoup Singapour, dommage que les prix se sont envolés ces dernières années.
A bientôt !
Merci Hervé pour le commentaire.
Je ne sais pas, mais à SIN cela ne m'étonnerait pas. En même temps, cela ne me choque pas d'avoir une tenue correcte.
Là oui, mais sur mon vol SIN-CGK, pas de file prioritaire 😜
Donc bien confirmé l'heure quand on invite un Suisse à manger ^^
On trouve encore de bonnes adresses sur place, et j'avoue que côté restauration, les hawkers centers sont imbattables !
A bientôt.
Merci pour ce nouvel FR toujours très agréable à lire.
Pas touche aux Gavottes stp 😉
Merci pour le commentaire.
Il y a donc bien un lobby des gavottes chez AF 😂
Merci Stéphane pour ce dernier opus.
Le salon QF est top, si la partie First est u même niveau, un vol retour en Première prend de l'intérêt mais pas de dispo en payant en miles, surement pour cause de nouvelle cabine.
Je partage ton sentiment sur le PIF en porte, le T4 à un PIF central et on passe très vite.
Un vol de haute qualité, seul l'épisode GP fait raiment tache.
Intéressant le "raccourci par le 2F si on ne demande pas un BP et qu'on voyage léger c'est une bonne option.
A bientôt.
Merci Michel pour le commentaire.
Je crois que la partie First du salon QF a déjà été reportée, ou bien je l'ai vue sur Youtube, je ne sais plus.
Impossible à attraper des billets prime en ce moment, comme tu dis les nouvelles cabines se font désirer. De toute façon depuis le début de l'année les prix ont explosé.
Je comprends qu'il y a deux grands courants de pensée sur le sujet ^^
Théoriquement il faut un BP, mais ce matin là la vérification était disons légère par l'agente avant la PAF. Donc sur un malentendu...
Merci Stéphane pour cette suite et fin !
Très belle visite de SIN (et de Singapour en passant le bonus est top !), un très bel aéroport comme tu le dis avec son défaut principal, le PIF en porte (et pour moi un autre défaut ses moquettes qui peuvent être hideuses ^^)
Le salon est magnifique et l'offre fait envie !
A bord, j'ai souri avec le "caviar de moutarde". Comme la moutarde c'est des grains, l'appeler caviar c'est très pompeux ^^
Mais sinon c'est parfait !
A bientôt !
Merci Stephan.
Il y a toujours des choses à découvrir à Singapour quand on y prend le temps. Et encore je n'ai pas tout mis dans le bonus ;-)
L'esthétique de ces moquettes n'est plus un critère tant elles sont devenues iconiques.
Exact, c'est comme le tartare de tomates ^^
A bientôt.
Bonjour et merci pour ce FR,
SIN est un très bel aéroport malgré, comme vous le soulignez, un côté gadget derrière certaines de ses infrastructures qui ne sont en réalité que commerciales...
Le salon est tout bonnement magnifique, enfin d'ailleurs pas nécessairement d'un point de vue visuel, mais s'agissant de la qualité de son service... C'est vraiment très appréciable !
L'offre culinaire est ultra complète et semble vraiment qualitative, c'est top
A bord une cabine sans surprise, même si je n'aime pas trop que l'assise soit à ce point éloignée du hublot
Le premier service me semble bien même s'il est arrivé un peu tard après le décollage ; en revanche, je trouve vraiment dérangeant qu'il n'y ait pas deux choix chauds pour le pdj au vu de la durée conséquente de ce vol!
Au plaisir
Merci pour ce commentaire.
Très beau salon, qui change du salon précédent multi compagnies. Une bonne manière de se restaurer de manière qualitative avant un vol de nuit.
Au fond de la grande cabine J, le service arrive un peu tard, il faut dire qu'il y a du monde devant, j'étais au niveau de l'aile.
Effectivement, pour le pdj, on voit souvent une option sucrée et une option salée. Changement de service ?
A bientôt !
Merci pour le partage,
Il faut prendre le temps de le faire lorsque l'on est dans le terminal, cela occupe environ 10 minutes et le passage dans le Jewel est agréable.
Il y aussi un passage souterrain qui a l'avantage d'être climatisé.
A cet horaire non, mais de 17h à 19h il y a de plusieurs vols Qantas vers l'Australie et Londres (en 380), le salon doit être dimensionné pour cette vague de départs. Le salon est d'un bon niveau avec une offre qui ressemble à celui de Hong Kong. Pour les passagers AF, c'est bien plus confortable que l'ancien salon Marhaba (multi-compagnie).
Oui, mais les siège BEST sont toujours d'un bon niveau avec un accès direct au couloir et un lit plat. Le sur-matelas vient ajouter du confort supplémentaire.
Le plat végétarien est souvent l'un des points faibles d’Air France.
Le bonus est sympa, le durian est un fruit à gouter au moins une fois mais je crois qu'il faut un palais habitué pour profiter de son goût unique.
A bientôt,
Merci pour le commentaire, et pour les infos concernant le salon QF, on sent l'expérience qui parle ;-)
Je confirme qu'il est bien mieux que le Marhaba !
C'est dommage car on peut faire des plats végétariens excellents.
Pour le durian, je ne suis pas certain d'avoir envie d'y regoûter, mais au moins je pourrai dire que j'ai essayé !
A bientôt.