Bonjour à toute la communauté et bienvenu(e)s à la suite de cette appétence de chaleur tropicale.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3CX759 - Business - Hong Kong > Singapour irbus A350-900
On s’était quittés aux couloirs de HKG, en route pour les comptoirs de correspondance.
Ceux-ci sont déserts et on regagne l’aire de départs 9 heures et quelques minutes avant notre décollage.
Une marge d’attente en plein nuit, que je trouvai difficile à gérer. Car trop court pour profiter d’une chambre d’hôtel, et trop longue pour tirer parti d’un forage exhaustif du magnifique complexe de HKG.
Finalement ce sera repos au salon The Wing (partie business) jusqu’au dernier départ CX (2:45am) et repos sur une des chaises longues des portes d’embarquement, jusqu’à l’aube.
A 6 heures du matin on se réveille, en forme.

Et on se dirige vers le salon The Pier (partie business).


Celui-ci s’agit, certainement, du meilleur salon d’aéroport que j’ai eu l’occasion de visiter jusqu’au présent.
L’accueil est aimable et on enfile la longue tranche qui conforme cet agréable espace.
Un stand café et les comptoirs dédiés aux mets ‘occidentaux’ (pain, pizza, fromages, salade, etc.) saluent le visiteur.

Mais mon intérêt est de regagner les douches, qui se trouvent presque à l’opposé de cet espace.
L’attente est négligeable et une fois secouée la torpeur matinale, on est prêt à embrasser un petit déjeuner exubérant.
D’abord, le salon de thé, ma partie préférée.

Le choix de breuvages est vaste.


Et ils sont préparés à la demande.

Par la suite, on regagne une section exposée aux aléas du tarmac.


Ou la détente est garantie lorsque le salon est moins rempli.


(Vers le coup de 9 heures le remplissage est important).
Cette salle de séjour juxtapose le comptoir de mets asiatiques (cantonnais, surtout).

Qui procurera la continuation de notre petit déjeuner.

On est très bien là.

Dernière note sucrée.

Le salon possède également une section dédiée aux amateurs de spiritueux.

Dont on fera l’impasse en cette heure matinale.

Comme d’habitude, un vrai plaisir demeurer quelques heures dans ce chouette endroit.
Notre porte d’embarquement se trouve littéralement à côté du salon The Pier. Et elle est en dernier appel.

L’oiseau chargé de nous amener à bon port.


Et la passerelle nous aidant à l’aborder.

Ainsi que la porte qui nous y donne accès.

La cabine est un copier-coller de la cabine du vol précèdent, en dépit d’un type d’appareil dissemblable.

Elle est toujours agréable et confortable.

Tenant en compte la trajectoire du soleil, on choisit un siège tribord, sur la même rangée que depuis Incheon.

Les rangements sont multiples.
Dans une cabine assez vide, on est rapidement pris en charge.

Le faible niveau de remplissage nous permet d’illustrer la cabine en dépit d’un embarquement parmi les derniers passagers.

Plan et contre-plan de la cabine.


L’absence de portes n’empêche pas ces sièges d’être assez privatifs.


Nous entamons notre roulage -et notre spotting- avec 40 minutes de retard.

HKG est une grande base de fret aérien.

Et il accueille aussi maintes compagnies low-cost (les alentours du T1, midfield concourse).



La maison mère y est présente, évidement.

Affichant des installations techniques et d’entretien.

Ici, une grande et un petit, en convalescence.

Des voisins du continent, prêts à décoller.
Sinon, pour y arriver, il est aussi possible d’emprunter le pont jusqu’à Zhuhai.

Un petit airbus voilé nous devance au dernier virage.

Mais il ne nous empêchera pas de décoller (avec une heure de retard).
Décollage vers le nord-ouest, direction Kowloon.

La Victoria Harbour, entre Kowloon et Hong Kong Island et cœur de la révolue colonie britannique.

Notre commandant s’exécute à un virage de 120 dégrées, afin de mettre cap direct vers l’équateur.

Cela nous offre un beau panorama des iles de Lantau et Chek Lap Kok, où se situe le complexe de HKG.
En premier plan, le parc Disney de Hong Kong, voisinant la ferme solaire.

Zoom sur un HKG en pleine expansion.

Et sur l’ile de Cheung Chau, destination prisée pour les hongkongais(es) afin d’échapper de l'effervescence urbaine.


Le temps de l’apéritif arrive.
J’opte pour un Cathay Delight et pour de l’eau gazeuse.

Cathay Pacific n’a pas éliminé les lectures papier abord.

La tablette se cache sous la console latérale.

Et se déplie en deux phases.

Tout ça, du fait que le service a été déclenché, 20 minutes après le décollage.
Mon organisme s’occupe encore des agapes dégustées au salon.
L’envie est très légère, mais on est disposé à faire un effort pour la cause FRiste.
Le sucré est servi en premier.

Comme salé, je choisis l’option britannique.

Bon, sans plus.
A ce moment, on survole les côtes de la province de Đắk Lắk (Vietnam), apparemment pas encore exploitées par l’industrie touristique.

Les plaines de la province de Lam Dom, toujours au Vietnam.

On avance et on rejoint la province de Johor en Malaise continentale. Où des exploitations forestières ? laissent des traces curieuses sur le relief.


Et où des opérations foncières ont lieu en milieu de nulle part.

La sophistication des infrastructures augmente lors qu’on se rapproche de Changi.

Ces ilots et ces cours d’eau annoncent la traversée de la frontière envers la cité-Etat.



Le contact est imminent.

Ça-y-est ! Nul doute d’où nous trouvons.

Le roulage est court.

La passerelle se branche à notre machine et on dit aurevoir à notre convivial personnel de bord.
Merci ! Mgoi !


Les célèbres moquettes de Changi (ici, celles du T4) nous donnent la bienvenue.

Le parcours est long mais bien indiqué.

Et les contrôles migratoires se déroulent de manière limpide.
Nous n’avons pas besoin d’attendre ici.

C’est la chaleur étouffante et le kaléidoscope végétal qui nous salue.

Un court séjour en ville suivra cette agréable croisière de la Mer de la Chine Méridionale.
Merci pour la lecture et pour des éventuels commentaires.
Et à bientôt pour la suite de notre périple.
Merci pour ce FR
Très belle photo de l'ensemble ... et snif parce que j'ai connu l'époque britannique
Il manque les baked beans et le black pudding
J'adore quand je vois ce Changi. Bcp de souvenirs
Bons vols,
Merci pour ce report.
Départ matinal mais qui pourtant ne sera pas un modèle de régularité bien que bien géré à l’arrivée.
Bon vol dans l’ensemble, la cabine semble très agréable.
On apprécie ce sens aigu de l’abnégation ! J’aurais fait tout pareil, mais par gourmandise.
Bons vols