Avis du vol entre Madrid et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour, 

L'été est là et je retourne passer quelques jours dans la famille au fin fond du Finistère. Ayant mes dates bien en avance, j'ai pu réservé un Madrid - Paris - Brest / Paris - Madrid au prix correct (pour Brest) de 300€. 
Brest n'est malheureusement pas facile d'accès, encore moins quand on vient de l'étranger.
Je passe 9 jours sur place avant d'aller à Paris. Pour aller de Brest à Paris, le train est de loin la meilleure option. En plus je dégote un billet en première pour 47€, réservé 1 mois à l'avance.

Entre temps, je réserve une petite surprise Bretonne. Le retour à Madrid devrait me permettre de faire mon baptême sur l'A220. Enfin!

Couché après minuit, je dois déjà me réveiller à 3h45 pour finir ma valise et partir pour l'aéroport. 
J'arrive au Terminal 2 à 4h15. 

Je tombe de suite sur les comptoirs d'Air France et KLM. Il y a un peu de monde, le 737 de KLM pour Amsterdam et l'A320 d'Air France pour Paris partent en même temps, à 6h. 

Pour ceux qui seraient tentés de se lever trop tôt, ou de même pas se coucher, les comptoirs n'ouvrent qu'à partir de 4h. 

C'est calme du côté d'Air Europa.

Le Fast Track n'ouvre qu'à partir de 5h.

Le tableau des départs avec ITA pour Rome à 5h55 et le quatuor de 6h: Air France, KLM, Lufthansa et Transavia. 

Pas mal de monde aux contrôles que je passe en une quinzaine de minutes. Je me suis fait doublé par une dame sans-gêne qui devait être très pressée.

Les contrôles donnent sur les portes D et mon vol part des portes E.

Le Duty Free est encore fermé.

Me voilà aux portes E et à l'étage se trouve l'un des deux salons du terminal.

Je me rends au salon Puerta del Sol qui se trouve juste en face de ma porte d'embarquement. 

Le buffet est encore en train d'être approvisionné mais commence à avoir son offre de petit déjeuner. Je retrouve d'ailleurs la passagère qui m'avait grossièrement doublé aux contrôles. Elle devait vraiment avoir envie de manger son fromage et jambon industriel car elle n'a même pas pris le temps de remettre ses chaussures. 

Le salon est encore très calme et il y a beaucoup de place.

Je m'installe sur ces fauteuils, face à la baie vitrée. 

Il fait encore nuit et les reflets ne permettent pas de bien voir dehors mais en collant le téléphone contre la vitre j'arrive à sortir cette photo.

Le buffet a une offre satisfaisante pour un petit déjeuner rapide. 

Le temps de faire un tour et quelques photos que de nouvelles viennoiseries sont sorties. 

Je me contente d'un petit croissant, un yaourt et de l'eau.

Je quitte le salon à 5h25, soit 5 minutes avant l'heure prévue de l'embarquement. La porte étant juste en face du salon, je me dis que j'ai le temps. 
J'arrive en bas de l'escalier et voit que l'embarquement est en cours et déjà bien avancé, ils en sont aux groupes 4 et 5. 

L'embarquement se fait par bus. 

Je monte parmi les derniers dans le deuxième des 3 bus, ce qui me permet d’être le premier à en descendre.

L'avion du jour est le F-GKXP, un A320 de 17 ans nommé Rodez. Il a passé une courte nuit à Madrid puisqu'il est arrivé à 1h20 (au lieu de 23h20). 

Il y a déjà du monde à bord et seulement une rangée de Business. Je prends une photo rapide des sièges. De toutes manières, on sait très bien à quoi ils ressemblent ici.

A côté l'A321neo de ITA pour Rome. Du full-flat en Business pour ce vol matinal, je ne dis pas non. 

Repoussage à l'heure et heureusement le roulage est assez court aujourd'hui. 

Devant nous s'envole un B777 d'Omni International avec comme destination une base aérienne de Dallas.

Décollage à 6h20 pour un vol d’1h35. 

Le service consiste en une boisson et une madeleine. Je décline la boisson.

Je continue ensuite ma courte de nuit jusqu'à l'annonce de la descente.  

L'approche promet d'être jolie avec un survol du nord de Paris pour atterrir par l'ouest. Je comptais là-dessus en prenant un siège en F. 

Le Parc des Princes, stade du PSG, et Jean-Bouin, stade du Stade Français et du Paris FC (pour cette saison 2025-2026).

Paris est un peu couverte par les nuages et il n'est pas facile d'apercevoir les monuments emblématiques de la capitale. 

Ça ne rend pas l'approche moins belle. Je devine facilement le parc des Tuileries. 

L'est de la capitale est un peu plus dégagée. On voit bien le canal Saint-Martin et la place de la République.

Puis l'Est de l'île de France, bien urbanisé. 

Et enfin, la campagne avec l'aérodrome de Coulommiers en fond. 

Demi-tour et approche finale avec un Easyjet qui arrive Londres. 

Juilly et son collège. 

Arrivée à l'heure. 

Une petite rareté, ce B787 de Qantas prépare un vol de plus de 18h pour Perth. 

Derrière nous arrive un A220 d'Air France.

Un B787 arrivée tôt du Caire. 

On arrive au Terminal 2E car l'avion repart pour Tunis. 

Ce qui signifie un débarquement par bus. J'imagine la frustration si j'avais eu une connection pour Tunis, de devoir prendre un bus pour le 2F, pour revenir au 2E et monter dans le même avion… 

De mon côté, j'ai 4h35 de transit, donc je suis très tranquille. 

Merci d'avoir lu et à bientôt.