Hello à tous !
Troisième tronçon de mon périple en Asie centrale. Ce FR relatera un segment qui n'a encore jamais été reporté, entre FRU et TAS. Alors que ces 2 aéroports sont peu représentés sur ce site, cela n'en sera donc que bon pour la BDD.
***
Voilà une série que j'attends de publier depuis un bon moment. Et qui pourtant n'était pas aux oubliettes/mise de côté par désintérêt ; j'attendais simplement le bon moment, histoire de marquer le coup ! Voilà près de 14 ans que je suis inscrit sur ce site (l'un des premiers). Avec des moments d'absence, certes, mais toujours présent finalement !
Approche alors le moment du 200ème FR (le 5ème FR de la série en cours). Plus d'un ici y est déjà passé, et aura surement fait plus original ou plus complet que ce que je pourrai vous proposer. Mais j'ai essayé de mettre ma pierre à l'édifice, une nouvelle fois, avec un routing tout de même assez exotique de mon point de vue. Alors, c'est parti, avec des exclus : Nouveaux aéroports, Nouvelle compagnie, Nouvelles lignes par le fait même, et même nouveau pays ;)
(sauf si quelqu'un arrive à publier quelque chose avant moi, je vais me dépêcher :p)
Voici donc une brève introduction du pourquoi du comment je pars à … :
(Si cela ne vous intéresse pas, sautez cette longue intro)
Depuis toujours, je veux me rendre en Asie centrale : les fameux "-Stan" que tout bon voyageur cite régulièrement sans pour autant y avoir mis un pied ou même un orteil. Il y en a des choses à faire par là-bas, quand on y regarde de plus près : la route de la soie avec ces magnifiques villes anciennes au croisement des civilisations perses, turques, russes, mongoles et chinoises ; de magnifiques treks à cheval (ou à pied) ; de l'alpinisme pour les plus aguerris d'entre nous ; de belles balades en 4x4 ; les rencontres avec les populations locales, et j'en passe.
Habituellement, je segmente mes voyages en régions (et non plus en pays). Ainsi, par exemple, l'Ouzbékistan comporte Tachkent et la région Nord, Samarcande et ses villes annexes qui s'étendent jusqu'à Boukhara, et le centre plus désertique (Zeravchan) allant jusqu'à Noukous avec possibilité de remonter vers le nord jusqu'à la mer d'Aral sur une excursion de plusieurs jours.
Quand je voyage, j'essaie de faire une zone à fond, n'étant pas un adepte du "je reste sur place sans trop bouger" ou du "je choisis certaines choses et j'en passe d'autres", ou encore du "j'aviserai une fois sur place". Je vous rassure, j'ai néanmoins appris avec l'âge à savoir me reposer, mais ce n'était clairement pas le but ici.
J'ai donc segmenté toute la zone. Il a ensuite fallu trouver mon/mes accompagnant(s). Je parle rapidement du projet à un ami de longue date avec qui je suis déjà parti pas mal de fois en voyage (le Caucase en stop, le Sud de l'Inde en TukTuk, …) : il est emballé et n'a aucun désidérata particulier (ça, c'est facile pour une fois). Mais je suis alors seul dans l'embarras car il me revient de choisir ou nous irons…
Ceux qui me connaissent un peu ici (même si je suis assez peu bavard sur moi-même je dois avouer) savent que j'aime particulièrement me balader en voiture sur des routes un peu rocambolesques. Et aux plus compliquées et inaccessibles elles sont, au plus je suis content. Cfr. mes voyages au Lesotho ou en Ouganda par exemple. Peut-être avez-vous déjà deviné ? Il y a une route bien connue de la région, qui fait partie des plus emblématiques et des plus belles du monde : la Pamir Highway (ou M41) ! Ralliant dans les grandes lignes la ville de Osh (Kirghizstan) à celle de Douchanbé (Tadjikistan), elle s'arrête (ou commence) plutôt à Khorog, à la frontière Afghane. C'est donc là sa particularité : elle longe l'Afghanistan sur des kilomètres et des kilomètres (bien qu'il existe une option plus centrale), passant ainsi à Ishkashim, point d'entrée en Afghanistan, et sinuant au sein du corridor du Wakhan dans la sous-région (ou province) du Badakhchan, accessible avec diverses autorisations. Le point culminant est à 4655mètres, rejoignant ainsi Osh, ville importante nichée entre la vallée de Fergana et les montagnes Alay. On y trouve par exemple le plus grand marché d'Asie centrale.
Bon, tout ça est bien beau^^ Mais comment on fait en pratique ? Car il y a pas mal de défis techniques :
- Nous n'avons que 10 jours devant nous, sachant que ces villes ne sont pas les plus accessibles de la planète (ni les moins chères dépendamment des dates). Le trajet en voiture prendrait déjà 7 jours minimum (pour bien faire, à l'aise).
- La frontière Kirghizstan/Tadjikistan (dans ce sens là, qui est le plus commun) est fermée depuis quelques mois. Il y a moyen de le faire dans l'autre sens mais les véhicules Tadjiks ne sont pas admis au Kirghizstan, et cela peut prendre plusieurs jours de passer la frontière.
- Trouver un véhicule au Tadjikistan est mission difficile, surtout si on souhaite ne pas le ramener à l'endroit de départ (one way). Ca l'est encore plus si on ne veut pas de chauffeur livré avec le véhicule !
- Etc.
Ce n'est pas vraiment ce genre de problèmes qui m'arrête en général, j'aviserai cela un peu plus tard (plus proche du départ surtout car tout change d'une semaine à l'autre dans la région). Le principal étant de réserver les billets d'avions afin de ne plus changer de plans 106 fois.
Dans tous les cas, nous devrons commencer à Douchanbé, et finir à Osh. Comment arriver là-bas ? Et je peux déjà vous dire que ce n'est pas la BDD de FR qui m'aidera ahah. Il n'y a pas 36 solutions pour arriver à DYU : Il y a la compagnie locale (Somon Air) dont il est assez compliqué de réserver un vol (le système de réservation sur leur site a planté pendant des mois, nous renvoyant systématiquement vers des sites russes). De plus, bien qu'elle semble voler en Europe (à Munich uniquement), ces vols ne sont pas réservables sauf en agence à ce moment là. Quelques compagnies russes arrivent là-bas (Utair, Ural Airlines, …) mais je me vois mal passer par la Russie pour un transit vers l'Asie centrale dans l'état actuelle de la politique internationale : cela ne ferait que nous faire perdre du temps. Il y a bien entendu les compagnies d'Asie centrale telles que HY et KC, et quelques autres compagnies comme Azerbaïdjan Airlines, Varesh Airlines, Fly Dubaï ou TK. En réalité, il y a quand même de quoi faire ; bien plus que ce que j'aurais pu imaginer. Mais il y a une constante : les vols ne sont pas toujours vendus au départ de l'Europe avec DYU en destination finale, imposant de faire une escale quelque part en joignant 2 réservations (ou de passer en agence ou via la compagnie en direct : je vous souhaite bon courage avec Varesh Airlines), et ils sont très très très chers ! Après quelques simulations, j'arrive très facilement et quelque soit l'option, à 1200-1500 euros en éco ! Il est en fait tout à fait possible d'aller à DYU pour moins cher que cela mais à certaines dates (je ne sais toujours pas comment l'expliquer), l'ensemble des billets sont excessivement chers, TK vendant l'A/R parfois à près de 1600 euros (LOL). Nous n'avons pas de chances, nous sommes dans cette configuration, à nos dates de voyage.
Rapidement, je me décide à arriver autre part en Asie centrale, quitte à voir ensuite comment faire en local pour regagner les bonnes villes au bon moment. Je bypass donc une grosse partie de la galère car la seule compagnie qui nous permettre d'aller de par là bas, pas trop cher, depuis BRU, c'est TK. Après quelques essais, c'est l'aller-retour vers Bichkek qui remportera la bataille, avec des horaires parfaits depuis et vers BRU par rapport à nos horaires de travail, et un tarif ras des pâquerettes à 406 euros, créditant des miles à hauteur de 80% chez A3. C'est donc réservé.
A 2 mois du départ, je commence à voir comment rallier DYU depuis FRU. Désenchantement total : les choix sont peu nombreux, très chers et avec des horaires catastrophiques (nous faisant perdre dans tous les cas entre 36 et 48h entre notre arrivée à FRU et l'arrivée potentielle à DYU). Cela devient serré en terme de timing sur la M41. Parmi les options, il y avait Somon air (je n'ai jamais réussi à réserver et j'ai laissé tomber, le prix était de près de 180 euros par personne en AS), KC (presque 400 euros avec une escale de nuit à Almaty et une autre à Astana ; logique), TK via IST ou Fly Dubai via Dubai (LOL). Ne reste alors plus que Uzbekistan Airways dans ce que je cite comme étant les vols "raisonnables", à 110 euros l'AS, nous obligeant à passer toute une journée à FRU et une nuit à TAS, mais nous faisant tout du moins arriver à DYU en début de journée. C'est donc là aussi réservé.
Le temps passe, et des choses se passent. A un gros mois du départ, il y a des affrontements à la frontière afghane. Les conditions de passage vers le Kirghizstan sont durcies et plus personne ne peut passer. Les visas et autorisations pour la vallée du Wakhan sont suspendues temporairement (pour quelques jours en tout cas). La mission qui était compliquée devient tout doucement à la limite du raisonnable. J'aime l'aventure, mais quand ce n'est pas le moment, ce n'est pas le moment. D'un commun accord, et après de longues discussions, nous décidons donc à regrets de changer complètement le plan initial. Le choix de la Pamir Higway se transforme alors peu à peu en un plan B intra-Tadjik (eh bien oui, les billets sont déjà réservés) en pleine montagnes Fann. Les cols y sont majestueux et tout de même techniques (bien que raisonnables en terme d'altitude, un peu plus de 4500m tout de même), avec des lacs aux couleurs assez sensationnelles. Nous partirons 7 jours en autonomie complète pour un trajet de près de 100km à pied. La Pamir Highway, cela ne sera que partie remise.
Ceci m'amène alors à vous expliquer le choix du retour à FRU depuis DYU. Encore une fois, les possibilités sont peu nombreuses sans perdre littéralement son temps. Je vous passes les solutions qui 'en sont pas (pas de vols les jours voulu, escale de 40h00 dans un patelin pommé, ou prix délirant) :
- Uzbekistan Airways : Idem qu'à l'aller mais dans l'autre sens, un poil plus cher (130 euros environ).
- Air Astana : Le seul vol dont l'horaire de départ semble parfait, mais imposant une nuit à Bichkek au retour. Plus cher : 150 euros environ.
- Turkish Airlines : Très tentant avec les miles puisqu'en vol de zone à zone ! 21000 miles pour les vols en J (via IST). Cela impliquerait un retour trop tardif au boulot mais je peux m'en accommoder.
Voulant faire original et varié, le choix se portera sur Air Astana.
Avec tout cela, il manque un vol au routing pour qu'il soit complet. Un imprévu total qui ravira mes lecteurs. Le plan B a du se transformer en un plan C. Je zappe certains détails, mais durant les vols aller, je suis tombé malade. Si ca allait bien au début, cela s'est transformé en un véritable calvaire lors de notre première nuit sous tente : 40°C de température et un double combo validé plus tard : la belle grippe + le Covid 19 qui fait son retour. Vous pouvez imaginer mon état… Parti sans médicaments, et le Tadjikistan n'étant pas le pays ou il faut tomber malade, nos plans seront tout simplement annulés. Un peu moins de 48h00 de repos dans une sorte de cabane en pierre au milieu d'une montagne me permettront de regagner les forces nécessaires à continuer le voyage (tant bien que mal au début) en stop. Au final, tout se passa bien, et le voyage fut tout de même une vraie réussite. Mais voyageant vers le Nord, il devenait short de rentrer à Douchanbé en voiture. Tout juste arrivé à Khodjent (surnommée Alexandrie la lointaine), ancienne ville très importante de la route de la soie, l'avion redevenait une possibilité. Le site de Somon Air ne fonctionnant toujours pas, j'arrive finalement a acheté 2 billets la veille sur un site russe dont je reste encore pantois du procédé d'achat, à 45 euros par personne environ. Cela fera un parfait 200ème FR ;)
Voilà le routing complet, sans surprises supplémentaires.
Un bonus se cachera parmi l'un des FRs.
Bonne lecture ;)
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3FRU - TAS / Economie
- 4TAS - DYU / Economie
- 5LBD - DYU / Economie
- 6DYU - ALA / Economie
- 7ALA - FRU / Economie
- 8FRU - IST / Economie
- 9IST - BRU / Economie
Après une journée bien fatigante au centre-ville, nous nous mettons à chercher un taxi pour retourner à l'aéroport de Manas International. Nous nous y prenons bien à temps, ne connaissant pas le trafic (heures de pointes etc.). Le trajet dure quand même bien 40 minutes quand ca roule bien. Une longue ligne droite sans grands décors d'intérêt sur la route.
Attention, il faut prévoir de réserver le taxi via les applications locales (impossible d'en happer un directement dans la rue). Merci encore à l'agent de police qui nous a sorti de la mouise. Il faut compter environ 1000 soms pour le trajet (10euros aujourd'hui).

Petite vue de l'aéroport depuis l'extérieur. Les départs se font à l'étage. Le bâtiment est assez vétuste. Et pourtant, l’aéroport de Manas a été modernisé après l’indépendance du Kirghizistan grâce à un prêt de 22 millions de dollars de l’Iran en 1998. Peu commun pour une coopération entre ces deux pays.

Le trajet aura bien duré 40 minutes, sans surprises. L'entrée dans l'aérogare se fait sans contrôle :


L'aérogare est vide de monde, et peu esthétique. Regard vers les tableaux des check-in :




Le check-in se déroulera sans complexité ; et il n'y a là aussi pas grand monde :




Une fois le BP récupéré, il faut aller tout au bout du terminal et monter à l'étage. On tombe alors sur des guichets de l'immigration (ou je me ferai enguirlander par un agent car j'ai pris une photo). Il voudra alors que je la supprime devant lui… Juste derrière les guichets, 2 espèces de postes de sécurités assez précaires et sans un chat :





Pose photos via les grandes baies vitrées :



On chemine alors dans un couloir à l'étage avec quelques duty free :




On peut (et doit) alors descendre d'un étage pour arriver dans la partir principale Airside. Il y a des duty free, des fauteuils de massage, et quelques autres échoppes. On peut remonter un autre escalier pour accéder au salon (le seul et l'unique). Encore une fois, vous voyez qu'il n'y a pas full.



Je ne pourrai pas passer à côté de cette échoppe de chocolats (confection locale à base de chocolat belge^^). Il était bon et j'en ai achèterai un ballotin au retour !



Rien que pour vous, passage au salon, auquel je n'ai pas accès normalement, mais l'agente 'invitera à prendre toutes les photos que je veux. Je fais vite. Le salon à l'air confortable, avec une jolie vue tarmac.







Je me consolerai de l'absence d'accès au lounge en mangeant un petit gâteau fromage blanc/cacahuète (je n'en raffole pas mais il n'y avait pas beaucoup de choix). Prix raisonnable de 3 euros environ.

Encore un peu de spotting alors qu'il est bientôt temps d'aller en porte. D'ailleurs, mon avion arrive !
Bien entendu, le trafic est intéressant pour nous qui n'avons pas l'habitude de ces compagnies :







Voilà la bête, avec sa splendide livrée !



L'embarquement commence à l'heure.
Fait intéressant : Après l'effondrement de l'URSS, les relations diplomatiques entre le Kirghizistan et l'Ouzbékistan ont parfois été tendues. Résultat : le vol direct entre Bichkek et Tachkent a été suspendu pendant près de 15 ans, entre 2005 et 2017. Ce n’est qu’en 2017 que Uzbekistan Airways a relancé la liaison, marquant un réchauffement des relations bilatérales.




Un vrai siège Business. Je voulais upgrader mes vols mais il m'a été strictement impossible de contacter la compagnie en amont du vol. Rie non plus sur ma réservation, et aucun mail de surclassement réceptionné. Pourtant, j'avais bien vu la mention qu'un upgrade était possible via une proposition par mail qui arrive normalement une semaine avant le vol. Que nenni.


Une fois assis, c'est le graal en ce qui concerne le pitch, qui est excellent.
Pas de photos du siège bizarrement (j'ai du oublier).

Voilà le contenu de la pochette, sans la mention "néo" sur la fiche de sécurité :


Vue de la cabine lors de la fin de l'embarquement.
Le vol sera full, sur ce qui ressemble étrangement à nos navettes de préacheminements (type CDG-AMS). 470km seulement. Il faut dire qu'ici, le faire en voiture serait un tantinet trop long.
Pas de PTV à chaque siège ; dommage si l'avion est utilisé pour de "longues" distances.

Roulage à l'heure et d'une durée de 3 minutes, nous aurons droit au coucher de soleil et à encore quelques avions intéressants :







Au décollage, on sent que la piste n'est pas toute lisse. Cela secoue un peu. C'est vraiment le plat pays aux alentours de FRU :






En vol, la nuit tombe vite. Pour m'occuper, je feuilletterai le magazine de bord de la compagnie dans lequel il y avait quelques pages intéressantes :





Pendant le vol, on reçoit un gobelet d'eau (ou d'eau pétillante, ce qui sera mon cas) et une lingette. Le service sera poli sans plus :


L'atterrissage se fera avec de l'avance, juste avant un gros porteur de la compagnie nationale.
Le roulage sera long ! Plus de 20 minutes. Il faut dire que TAS est plus grand que ce que je pensais, assez engorgé et avec une petite particularité jamais vue nulle part ailleurs en ce qui me concerne : le push back vers l'arrière ! Nous sommes parqués au large et poussés vers l'arrière afin que l'avion puisse repartir ensuite seul vers l'avant sans pushback.










Débarquement :


Ce sera donc le bus :






Une jolie photo d'un avion au large (récemment reporté d'ailleurs sur FR par un de nos membres) :

Durant le roulage du bus, nous passerons devant un hélicoptère de la compagnie (ils en ont 2 il me semble) :

A TAS, plus de 15 guichets ouverts et une file jusque dehors. Il faudra plus de 40 minutes pour passer l'immigration. Point positif : les bagages nous attendrons déjà sur les tapis !



Les fameux tapis.
Il y a des stands à taxis dans la zone de récupération des bagages : il suffit de donner l'adresse à laquelle on veut se rendre et de payer. On reçoit alors un ticket papier que l'on donne à un chauffeur à l'extérieur. Ce n'est pas trop cher et les tarifs sont légiférés :




Ceci clôt ce troisième vol. Arrivé à TAS, nous filerons vers l'hôtel pour une (trop) courte nuit. J'avais pris un bon et bel hôtel, assez confortable. 90 euros la nuit pour 2 (ce qui reste cher pour le pays) mais vu notre état de fatigue, j'avais bien fait. Photo de l'hôtel en bonus.
***
Notation du vol (Economy) :
Cabine :
• Visuel de la cabine : 2/4
• Esthétique du siège : 2/4
• Aménagement de la cabine : 2.5/4
• Installation à bord : 2/2.5
• Confort du siège : - Inclinaison : 2/2.5
- Pitch : 3/3
- Rangements : 1.5/1.5
- Autres : 2/3
• Ponctualité : - Respect de l’horaire : 7.5/7.5
- Annonces/informations : 2/2.5
• Amenities (si applicable) : */1.5
• Autres (personnel) : 3/4
TOTAL : 15.3/20
Equipage:
• Respect des priorités : 2/2
• Professionnalisme : 4/5
• Proactivité : 3.5/5
• Equipage au sol : 3/4
• Linguistique : 1.5/1.5
• Autres (personnel) : 1.5/2.5
TOTAL : 15.5/20
Divertissement :
• Presse : 1/2
• Magazines : 2.5/3
• IFE : 0/5
• Autres (personnel) : 10/10
TOTAL : 13.5/20
Restauration :
• Présentation : 1/3
• Gout : 0/6
• Boissons : 1/3
• Service : 2/3
• Autres (personnel) : 1/5
TOTAL : 5/20
Merci pour cette suite en Asie centrale.
L'aeroport de Bischkek était vraiment vide, je ne suis pqs très fan.
La cabine avant et jolie, ainsie que la classe economy.
Le mitch est excellent.
Vol court avec un service d'eau gratuit, ça change de SN, qui n'offre rien du tout 😉
Très long roulage à Tashkent avec u n passage à l'immigration plutôt long, au moins on attends pas les bagages sur le carrousel !
J'apprécie de pouvoir prépayer les taxis au comptoir, le risque d'arnaque est limité...
A bientôt !
Merci pour ce fr et pour la précision pour les taxis.
Je profiterai de cette astuce lors de mon arrivée à TAS l'année prochaine 😉
Merci pour ce fr et pour la précision pour les taxis.
Je profiterai de cette astuce lors de mon arrivée à TAS l'année prochaine 😉
Merci pour ton report intéressant -comme toujours- sur cette compagnie peu reportée.
A bord, cabine confortable avec une belle J en tête de cabine, un seul verre d'eau, la durée du vol est courte, ça va.
Longue attente pour l'immigration, qui pourtant a ouvert de nombreux guichets...
Longue journée, puis ce vol en soirée ; l'hôtel à l'arrivée a du être bien savourer.
A+
Merci pour ce FR
Cool de nous en informer, et sympa le policier de vous avoir aider.
On remarque le connaisseur.
La flotte est interessante.
Compagnie interessante et que j'aimerais bien prendre si jamais je retourne dans le secteur.
La ce n'est pas amusant, avec en plus la fatigue du voyage.
La façade de l'hôtel à Tashkent me plait beaucoup.
A bientôt
Merci pour cette suite.
L'aéroport de FRU ne fait pas rêver, loin de là...
J'avais emprunté Uzbekistan avant le covid, la gestion informatique était chaotique, pour une fois j'avais laissé l'agence de voyage faire directement la réservation. La business était très abordable et à peine plus chère que l'éco. En revanche le service était vraiment moyen et l'équipage très froid.
Je ne garde pas un bon souvenir de TAS et ce n'est pas ce FR qui me fera pas changer d'avis.
Je serais curieux de connaitre le nom de l'hôtel à Taschkent, car à l'époque l'offre hôtelière était très limitée.
A bientôt.