L’A380 de Qantas, quand le rêve devient réalité !
Il est des vols que tout avgeek rêverai de prendre… Soit car le type d’avion est ultra rare, soit car la compagnie est très confidentielle… Il peut aussi y avoir une histoire particulière, voir personnelle avec ce vol : 1er vol, « navette » pour aller voir de la famille, souvenirs d’un voyage de noces…
 Pour moi, il n’en ai rien de tout ça et voici l’histoire :
Commençant doucement à m’intéresser à l’aviation vers mes 10 ans, je tombe sur un reportage parlant d’une compagnie dont je n’avais jamais entendu parler : Qantas, et du fait qu’elle commençait à recevoir des A380 dans sa flotte long-courrier. On était alors en 2009/2010 et j’ai souvenir d’avoir été impressionné par ce monstre des airs et de le trouver superbe avec ce gigantesque kangourou ornant la dérive. Ce marsupial Australien était d’ailleurs déjà à l’époque mon animal favori, un truc bagarreur, têtu et ne tenant jamais en place… En résumé… Moi.
Bref, ce reportage fut à mes yeux le déclic et le moment qui m’a créer cette passion pour l’aviation civile avec un but pour moi : Voler un jour à bord de ce magnifique avion en empruntant la mythique « Route Kangourou ».
Si la case A380 a déjà été cochée à 4 reprises chez Lufthansa, Air France, Qatar et Etihad, le nom Qantas manquait encore à mon flight-log.  Voici donc après une quinzaine d’années d’attente le récit de mon but avgeek ultime enfin concrétisé.
Bonjour à tous et soyez les bienvenus dans LE flight-report que je rêvais donc d’écrire depuis mon arrivée sur le site il y a 8 ans.
Après plus de 2 semaines intenses entre Singapour, Bali et Sydney, il est temps de rentrer à la maison. Le retour s’effectuera en 2 parties : De Sydney à Singapour, une nuit dans la cité-état puis un vol de jour de Singapour à Paris.
Au moment de réserver ce segment Sydney - Singapour, les prix aller simple débutaient à environ 200€ avec Scoot, 250€ avec SQ (Plutôt 350€ si on voulait prendre l’A380, qui est un de mes prochains objectifs) et venaient ensuite QF et BA pour plus de 400€.
Sinon, 3 choix s’offraient à nous avec nos miles Flying Blue : Malaysia, Garuda et… Bingo ! Qantas.
Le choix était vite fait et ne pouvait se porter que sur le mythique QF001… Un vol direct, un prix de 21k miles + 105€, le baptême d’A380 de l’agent E. et la réalisation de mon rêve de voler enfin sur ce pu**** d’A380 QF qui me nargue depuis 15 ans et ainsi d’ajouter une 5ème compagnie à mon logbook d’A380.
Le routing final de ce long voyage au bout du monde :
Enchainement de vols
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-                 4
-                 5QF001 - Economique - Sydney —> Singapour - Airbus A380-800
-                 6AF181 - Economique - Singapour —> Paris - Boeing 787-9
-                 7TGV 5124 - 2nde - Paris —> Lyon Part Dieu - TGV Réseau
Aéroport international Kingford Smith de Sydney, NSW.
Après quatre jours de visite qui ont été intenses et plus que crevantes, c’est en Uber que nous quittons en tout début d’après-midi notre hôtel situé à deux pas d’Hyde Park. Le train aurait également été prenable mais à nous 2, le prix d’un VTC revenait au même que 2 billets de train, alors, pourquoi s’en priver ?

Notre chauffeur nous a déposé devant l’entrée où se situent les comptoirs de Qantas.

Notre vol est bien prévu à l’heure, juste 10 minutes derrière le vol BA, également en escale à Singapour avant de rentrer sur Heathrow.

Je trouve le hall d’enregistrement pas si grand que ça pour un aéroport international d’une ville comme Sydney.

La zone d’enregistrement QF où il n’y a que des BLS pour s’enregistrer. Les comptoirs sont réservés aux passagers J et F. J’y avais normalement accès, mon vol étant sous numéro de billet AF avec tout les avantages qui vont avec, mais vu l’attente qui y régnait, le passage par le self check-in sera bien plus confortable.
La borne est d’ailleurs disponible en Français.


La machine me délivrera l’étiquette bagage, ainsi que mon boarding pass.
Avec la franchise des 30kg offerte par QF et mon statut Flying Blue Gold, j’avais ainsi droit à 53kg de valises enregistrées… Autant dire qu’avec 19kg réellement expédiés, j’étais encore loin de payer un supplément !

J’assisterai mon compagnon ainsi qu’un sympathique Français un peu en galère avec son anglais limité et qui était  visiblement content de nous trouver.
Nous tenterons d’expédier nos valises sans succès, le tapis général tombant en panne au moment où nous envoyons nos bagages. Appel à un employé de la Qantas qui s’en ira régler le problème, problème qui durera 10 minutes tout de même.

Le problème résolu et nos valises expédiées vers Singapour, nous nous dirigeâmes vers le PIF.

Il y aura un peu de monde au PIF, mais cela avancera très vite, il nous faudra moins de 5 minutes pour le franchir.
La PAF se passe juste derrière, idem, en 10 secondes, celle-ci sera torchée.

Nous nous retrouvons lâchés dans le duty-free où nous résisterons avec courage et dignité aux clins d’œil que nous font les parfums trop puissants et les Toblerone format déménagement.

Nous nous mettons en quête du lounge Business Qantas dont on m’a dit qu’il se situait sur la mezzanine.

Bingo, c’est ici !
La préposée à l’accueil sera adorable, elle cherchera rapidement si je suis bien éligible à l’accès au salon. Réponse positive, et mon invité également, nous sommes autorisés à pénétrer les lieux.

Rapidement, mes espoirs d’un joli salon sont réduits à peau de chagrin… Le lounge est en travaux et est rempli de monde ce qui je m’en excuse, ne facilitera pas les photos.


Nous galèrerons un peu pour trouver de quoi s’asseoir.
J’irai rapidement faire un tour aux buffets qui ne s’avèreront vraiment pas terrible. 4 plats chaud, tous végétariens, de quoi se composer une salade et 2 types de gâteaux en dessert.



Assez déçu par l’offre du lounge et le bazar qui y règne, nous décidons d’en sortir 45 minutes avant l’embarquement, histoire de s’occuper différemment que dans un endroit très bruyant et sans vue extérieure.
L’occasion de tirer le portrait à ce joli A350-900 Vietnam Airlines, vêtu de sa jolie robe Skyteam et opérant le vol VN786 vers Hanoï.

Un A330-300 Hainan Airlines rentrant vers la Chine.

Enfin je peux en voir un de très près !
La Qantas a possédée jusqu’à 12 A380 dans sa flotte avant Covid. Aujourd’hui 9 ont repris du service, le VH-OQC est toujours stocké en attente de peut-être reprendre du service, quant-aux VH-OQE et OQF, ils ont tout deux déjà été ferraillé.
La compagnie opère ses super-jumbo sur 5 lignes : Sydney - Singapour - Londres / Sydney - Los Angeles / Sydney - Johannesburg / Melbourne - Los Angeles ainsi que sur Sydney - Dallas 4 fois par semaine. Un 787-9 le remplace sur les 3 autres jours.
Ici, il s’agit du VH-OQH qui s’apprête à partir pour Dallas, vol QF7.

Nous voici donc dans une salle débarquement ayant un plafond hyper bas sans boutiques ni même toilettes à proximité immédiate.

On arrive à peine à percevoir notre oiseau du jour.

Nous nous installerons une trentaine de minutes sur les rares sièges où l’on peut trouver des prises de courant. La salle se remplira gentiment mais sans être surchargée, sans doutes le signe d’un vol non rempli.
L’embarquement est lancé avec un peu de retard par l’appel des personnes nécessitant une assistance. Il y en aura énormément et pour cause, la finale des championnats du monde de triathlon et de para-triathlon a eu lieu ce week-end à Wollongong et les délégations para Française et Néerlandaises seront à bord de notre vol.
La délégation Française revenant avec deux médailles d’or, deux d’argent et une en bronze. Sur 6 catégories, ça valait le coup de faire le déplacement !
J’aurai notamment le champion d’Europe, du monde et même paralympiques en catégorie PTS4 à Paris assis quelques rangs derrière moi. Pas mal, non ? C’est Français !
Bref, revenons-en à notre embarquement, après 20 minutes d’attente, les PAX voyageant en Y sont autorisés à embarquer.


A bord de ce paquebot des airs
Et voici le nez de notre mérou du jour.

Il nous sera demandé d’attendre encore quelques instants de plus avant d’emprunter la passerelle.

Je touche enfin au but !

Instant 1/4 de porte

Et un fuselage-shot à la saveur « Spirit of Australia ».
J’embarque aujourd’hui à bord du VH-OQD, un A380 de déjà presque 17 ans, le 4ème reçu par la compagnie nationale Australienne. Il est configuré avec 14 places en first, 70 en business, 60 en premium et 341 en éco.
La compagnie a baptisé ses A380 du nom de grands hommes et femmes de l’aviation Australienne, des pionniers comme Nancy Bird Walton ou Sir Charles Kingford Smith, ou également le scientifique David Warren, l’inventeur de la boîte noire.
Aujourd’hui pour moi, ce sera « Fergus McMaster », l’un des 4 pères fondateurs de la Qantas. D’ailleurs, pour ceux qui l’ignore, le mot « Qantas » est un acronyme pour « Queensland And Northern Territory Aerial Services limited ». C’est aussi la 3ème plus vieille compagnie aérienne existante derrière KLM et Avianca.

L’accueil en porte est très souriant par le chef de cabine principal.
Je n’ai pas bien long à faire pour trouver mon siège, celui-ci est situé au 1er rang de la classe éco. J’avais pu le sélectionner gratuitement dès la réservation de ce vol (remontant à Février 2025), celui-ci n’était pas facturé, contrairement aux 2 autres sièges voisins du miens qui étaient vendus 115$ Australien, soit 65€. Je suppose qu’ils considèrent que le toboggan est handicapant mais en aucun cas il ne me gênera !
Sur le siège sont disposés un coussin bien épais, une couverture et le casque audio pour utiliser l’IFE.


Source : Aerolopa.com
Pour l’instant, l’espace pour le jambes est très confortable. Tout comme le siège d’ailleurs que je trouve confortable et même plus large que d’habitude, sans doutes que la taille de l’A380 aide grandement !

J’avais aussi choisi ce siège pour la vue sur nos 2 moteurs Rolls Royce à bâbord.

Dans l’accoudoir, on retrouve le bouton pour allonger le siège ainsi que la prise casque et une prise USB-A qui fonctionnera correctement.

Il y a également une télécommande totalement inutile à mes yeux.

Une prise de courant est également disponible entre les sièges mais la mienne ne fonctionnera pas.

Instant carte de sécurité dont un exemplaire subira les effets de la loi de Newton.

L’embarquement traîne un peu, le CCP engagera la conversation avec moi me disant qu’on attend encore quelques PAX en connexion. Je lui dirais que j’ai attendu 15 ans pour faire ce vol et que je ne suis plus à quelques minutes près…
Il sera surpris de mon intérêt pour cet avion et sa compagnie. Il utilisera ses quelques notions de Français pour me dire « C’est un plaisir de vous avoir à bord ». Gentille attention !
Finalement, on ferme les portes avec 10 minutes de retard mais on ne part pas tout de suite. Le CDB se présente et annonce 7h30 de vol pour rejoindre Singapour. Il nous dira également que les derniers bagages sont entrain d’être chargés et que nous partirons d’ici 15 minutes.
Je n’aurai qu’un voisin, très sympa mais avec un fort accent Australien (qui fait que je ne comprendrais qu’un mot sur 3 lorsqu’il me parlera), le siège du milieu restera libre, un regain de confort appréciable !
L’avion n’est pas plein, on doit être à 70% de remplissage en éco. De façon générale, j’ai l’impression qu’ils ont bien du mal à remplir leurs A380.

Finalement, 20 minutes après avoir fermé les portes, nous repoussons, laissant à côté de nous, le VH-OQK qui vient d’opérer le vol QF64 en provenance de Johannesburg, un vol de 11h30 au milieu de nulle part.


Le démarrage de nos 4 moteurs prendra un peu de temps, le roulage sera ensuite assez rapide pour rejoindre le seuil de piste de la 34L.


Le décollage se fera dans l’assourdissant silence de l’A380, je ne boude pas mon plaisir, je vole enfin à bord de ce kangourou volant !
Au revoir Sydney, à une prochaine fois, c’est sûr ! Nous voici partis pour un long périple de 21h d’avion qui va nous ramener en France !

Une fois le décollage effectué, je peux sortir mon écran. Celui-ci est d’une taille relativement petite et le tactile répond assez mal. Je ne l’utilisera de toutes façons quasiment que pour la géovision…


Ah oui ! Et puis pour la caméra aussi !

Nous quittons la côte pacifique pour rentrer dans les terres. Une fois les blue-mountains franchies, rien d’autre ne s’offre à nous que le désert de l’outback Australien !

Je me lancerai quand même un film sur l’IFE mais celui-ci ne me passionnera pas des masses donc je le laisserai tourner dans le vide. Le casque n’est pas d’une qualité terrible qui plus est.


Les PNC commenceront rapidement le service par la distribution d’une bouteille d’eau. La PNC en charge de ma rangée est une dame adorable qui ne doit pas être très loin de la retraite.

Puis c’est l’apéritif qui fait son entrée avec un sachet de biscuits et un verre de boisson au choix. Le sachet de biscuits est assez costaud et se laisse manger.

Trinquons à ce vol longtemps attendu et à ces vacances qui auront été formidables !

Puis c’est le repas qui est annoncé ! 3 choix sont disponibles, les voici :
- Biryani végétarien
- Poulet et nouilles
- Bœuf avec légumes et purée

Et voici le plateau tel qu’apporté, je choisirai le bœuf qui sera plutôt bon, les légumes… enfin surtout les oignons auront un goût de flotte néanmoins. Le plat est servi avec un morceau de pain à l’ail pas mauvais, ainsi que du fromage avec des crackers


Le plateau sera ensuite débarrassé promptement, laissant sa place au dessert qui sera ni plus ni moins qu’un esquimau au chocolat. Pas mon parfum favori mais je dois reconnaître qu’il était excellent !

À la fin du déjeuner, nous en sommes là, dehors, pas une once de vie humaine.

Le PNC feront un dernier passage pour distribuer des Tim Tam, ils demanderont aussi aux PAX de bien vouloir baisser leurs cache-hublots.

Je passerai alors m’enquérir du bien-être mon compagnon, nous décidons d’aller faire un tour dans ce paquebot des airs.

Nous irons jusqu’au fond où en situé l’escalier qui mène au pont supérieur.

De nombreuses choses sont mises à disposition tel que des bouteilles d’eau, des brosses à dents, des masques de nuit, des bouchons d’oreilles… Il y a également dans tout les galley des bars où il est possible de boire et manger diverses cochonneries tel que des biscuits apéritif ou des Tim Tam… On m’avait vendu Qantas comme étant une compagnie où l’on crevait de faim… Je dois dire que je suis agréablement surpris !
Dehors, le soleil se couche gentiment alors que nous avons quasiment fini de traverser l’Australie.


Retour à mon siège où je continuerai d’admirer ce beau coucher de soleil…
Dire que j’ai attendu 15 ans pour pouvoir faire ce vol…

Je me lancerai par la suite un film qui devrait me tenir jusqu’en Indonésie.

Après 4h30 au dessus de l’Australie, puis 1h30 d’océan Indien, nous retrouvons Bali que nous avons quitté il y a 4 jours.


Juste après avoir passé Bali, il ne reste plus d’1h30 de vol, l’équipage refait son apparition pour la distribution de la collation avant l’atterrissage.
Ce sera au choix :
 - Tourte au bœuf
 - Quiche chèvre - épinards
Je vous laisses deviner mon choix… ;-)
J’accompagnerai le tout d’un verre de jus d’orange.


La tourte sera bonne et suffisante.
Le CDB annoncera le début de descente une trentaine de minutes avant l’atterrissage.

Le CCP viendra me voir en m’appelant par mon nom, il me demandera si j’ai apprécié ce vol tant attendu, en espérant me revoir à bord rapidement… ET COMMENT ! 
Il m’offrira un porte-clés au couleurs de la Qantas, s’excusant de ne rien avoir d’autre à m’offrir. Qu’importe, je n’en demandais déjà pas tant !

Approche finale de nuit sur Changi.

Et atterrissage avec l’habituelle douceur de l’A380… « Atterrissage en douceur » et « A380 » dans la même phrase, c’est un oxymore si je ne me trompe…

Aéroport de Singapour Changi
Toutes les bonnes choses ont une fin, le roulage fût rapide, nous sommes au bloc 5 minutes après l’atterrissage.
Un 787 JAL qui s’apprête à repartir pour Tokyo est garé juste à côté de nous.

Débarquement rapide, salué par le CCP et la PNC en charge de ma rangée, ces 7h37 ne m’ont vraiment pas parues bien longue… Je retrouve la moquette de Changi, 12 jours après l’avoir foulée pour la dernière fois.

Pour nous, direction la sortie, peu de monde sur notre vol s’arrête à Singapour, nombreux sont ceux en connexion, notamment vers Paris. Le vol AF257 partira d’ailleurs de la porte juste en face !

Il n’y aura pas un chat à l’immigration ! Nous avions au préalable complété le formulaire d’entrée à Singapour sur l’application dédiée. Comme il s’agit de notre seconde visite, aucune prise d’empreintes n’aura lieux et en moins de 10 secondes, nous sommes réadmis sur le territoire Singapourien.
Nous rejoignons le tapis bagage où un message sera diffusé comme quoi suite à des problèmes de déchargement, la livraison va être légèrement retardée. Tout laisse à supposer qu’ils étaient en priorité pressés de décharger les bagages en correspondance.
Au bout de 15 minutes, les premiers bagages sortent, la mienne sera parmi le lot des prioritaires et celle de mon compagnon suivra de près. À tout casser nous devions être une trentaine de passagers devant le tapis.


Nous quittons ensuite le T1 par le Skytrain, direction le T3 où nous logerons au très cher Crown Plaza… Merci les points chez IHG !
L’hôtel est vraiment bien et nous évitera surtout de nous éloigner trop de l’aéroport. Il est 22h lorsque nous sortons de la salle de livraison des bagages et nous devons être à 8h30 le lendemain matin à l’aéroport.

Merci d’avoir lu jusqu’ici, c’est là que ce termine ce vol qui aura clôturé 15 ans d’attente ! N’hésitez pas à laisser un petit like avant de partir si ce FR vous a plu !
Je vous donnes rendez-vous très bientôt pour le dernier opus de ce voyage.
Et d’ici là, portez-vous bien et surtout, croyez en vos rêves !!!
Le vol selon FR24


 
                    
                 
  
                             
    
   
   
   
   
   
   
  
Ce combo A380 - Route Kangourou n’était pas donné non plus, avec le Covid qui a anticipé la retraite de nombreux A380.
QF1, un numéro de vol mythique lui aussi.
Si j’ai bien compris, tu as tous les avantages du statut Air France sur ce vol Qantas pour avoir réservé avec des miles AF? C’est généreux.
On ressent bien que tu as passé un excellent vol. Le petit cadeau de l’équipage en fin de vol est une belle attention.
Merci pour ce FR
Merci pour ton commentaire Moritz ! 😉
Ah ça… J’ai eu un sacré coup de flippe lorsque le Covid est arrivé… Qantas n’était d’ailleurs pas certaine de remettre ses A380 en service. Heureusement, il en a été tout autre… Comme quoi, il ne faut vraiment jamais procrastiner !
Affirmatif, même si cela n’est pas vraiment bien précisé !
Oh oui, je pense même qu’avec une presta bien pourrie point de vu confort, catering ou ponctualité, mon avis aurait été faussé… L’essentiel n’était pas là ! 😁
À bientôt !
Merci Béni pour ce FR.
Ce vol tu l'as longuement attendu, et c'est ce qui en fait aussi son charme. Maintenant ce ne sera plus pareil si tu le reprends.
Pour avoir fait ce vol en septembre, je connais la prestation et celle ci est tout a fait convenable.
Tu as eu de la chance de ne pas avoir de voisin, mais les circonstances ne sont pas les mêmes que pour moi.
Les PNC sont à l'image du pays : très sympathique.
A bientôt
Merci de ton commentaire Miss B ! 🥨
Oui, très clairement ! Je pense que ce sera la seule et unique fois, sauf si l’occasion se représente !
Totalement ! Elle m’a rappelé celle de Virgin, que ce soit vis-à-vis du catering ou de la mentalité de l’équipage.
Pour ça, il m’aurait fallu ton FR pour comparer ! 😝
À bientôt !
Merci pour ce récit Ben!
Le voilà ce fameux vol en 380 d'Air Kangourou que tu rêves de réaliser depuis tant d'années! Je suis vraiment content pour toi :)
QF m'attire aussi depuis mon enfance, mais c'était plutôt leurs 747 qui me faisaient rêver... je n'ai pas eu le temps de les prendre :(
Pas si mal que ça finalement le catering... je n'ai d'ailleurs jamais vu un paquet de biscuits aperos aussi grand à bord d'un avion.
Superbe attention que ce porte clé cadeau 😊
A bientôt !
Merci Béni pour ce FR !
QF1, c'est vrai que ça sonne bien :)
Pour le salon, ça donne moyennement envie effectivement avec tout ce monde.
A bord, le 380 semble vraiment au-dessus niveau confort.
Prestation classique, on attend pas forcément de la grande cuisine quand on prend QF ^^
Merci pour le partage !
Belle prise que l'A380 QF, l'une des livrées les plus iconiques portées par le mérou !
Dommage pour l'expérience au lounge, heureusement que tu as un statut qui t'a évité de délier bourse pour avoir un salon à moitié en travaux et avec une offre culinaire décevante.
Un vol agréable à bord de cet avion mythique qu'est l'A380, profitons-en un maximum 😉
À bientôt