Bonjour à tous et bienvenu sur ce premier vol de retour vers Mayotte.
Rappel de l'itinéraire :
Enchainement de vols
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- 6AF6115 - Economie - Toulouse –> Paris - Airbus A318
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3 jours après mon retour de Londres, me revoici sur le parking de TLS.

Aidé par l'ami venu me conduire à l'aéroport, nous nous hissons à l'étage des départs par l'escalier mécanique beaucoup moins aléatoire que les deux pauvres ascenseurs présents au Hall B.
Les formalités d'enregistrement sont très rapides.

Direction l'embarquement situé au fond de l'aérogare, après la zone D occupée par AF/KL.

Nous y voici.
Formalités rapidement expédiées avec néanmoins une petite embrouille avec un PIF man à propos de mon Vangovango en argent.

Et me voici airside sur le point de piétiner la croix occitane.

La zone commerciale.

Les parfums toulousains Berdouès sont mis à l'honneur.

Je me dirige sans plus tarder au salon.

Les lieux sont plutôt calmes en ce début d'après-midi.

L'offre est un peu résiduelle côté salé.

C'est un peu mieux côté sucré.

Le buffet chaud n'est plus en service.

Je me contente d'un café et d'un verre d'eau prélevé à la pompe toulousaine, les bouteilles ou cannettes d'eau gazeuse ayant disparu pour complaire les écolobobos.
Je quitte assez rapidement les lieux et m'essaye à un peu de spotting en jouant à cache cache avec les ombrières.
En attente de livraison.


2 Belugas en attente d'une mission.

Je poursuis mon chemin en direction de la porte 21.

L'A380 dont la remise en service pour effectuer des tests a soulevé une polémique de la part de certains riverains.

Sur la mezzanine, un coin détente a été aménagé.

J'approche du but.

Nius y sommes.

Lez nez de notre babybus.

La cabine n'est pas encore prête.

Après quelles minutes d'attente, les fauves pacifiques sont lâchés.
Fuselage.

Instant P.

La cabine monoclasse des vols vers ORY (au vu de la diminution des fréquences, je ne sais si on peut encore parler de navette).

L'espace extrêmement généreux en issue de secours.

Notre voisin littéralement pris d'assaut.

L'embarquement est terminé. Le remplissage est modeste.

Nous repoussons à l'heure et roulons vers la piste.

Nous nous élançons moteurs hurlants. Bye TLS, on se retrouve dans deux mois.

La banlieue nord toulousaine.

La couverture nuageuse ne me permettra pas de m'occuper à repérer Montauban, les méandres du Lot et de la Dordogne.

Occupons nous avec la lecture de la notice de sécurité.


Les prises sont disponibles quelques instants après le décollage.

Le service est rapidement effectué, modeste remplissage oblige.

Eau, café et galette.

Le plancher des vaches réapparaît en fin de descente.

Les champs laissent progressivement la place aux zones urbaines.

Atterrissage imminent.

Deux branches du groupe AF.

Nous rejoignons notre point de stationnement débarquons et me voici devant le FIDS.
AF 642 est annoncé à l'heure au terminal 3.

Les couloirs d'ORY sont toujours glaçants.

Ces longs couloirs débouchent en surplomb de la zone d'enregistrement d'ORY 3.


Contournent le PIF.

Avant de descendre pour rejoindre le duty free, la PAF et les portes.
Ceci sera traité dans l'épisode suivant.

Merci de votre lecture et à bientôt !
Hello mon ami
Un vol de pré acheminement vers ORY effectué sans encombre.
L'offre au salon est famélique, tant au niveau du solide que du liquide.
L'espace pour les jambes aux issues est génial.
Ce qui me plaît bien à TLS, c'est la vue sur le parking, réservé aux avions en attente de livraison, ainsi que les 2 Beluga...
Merci Franck pour cette nouvelle publication, à bientôt.
Hello Hervé et merci pour le commentaire.
Un vol pour s'échauffer avant le grand saut dans l'hémisphère sud.
L'offre de TLS ressemble beaucoup à celle du nouveau salon UU de RUN à horaire équivalent. Pas de quoi attirer le chaland payant ou de quoi le convaincre qu'il s'est fait avoir.
N'étant pas pressé, je préfère une issue de secours au rang 1. Et puis, il faut bien rentabiliser le statut.
A bientôt l'ami !