Bonjour,
Je vous retrouve pour une série de flight reports qui vont m'amener pour un grand week-end entre le Moyen-Orient et l'Afrique, dans plusieurs classes de voyage.
Avant d'entrer dans de plain pied dans ce FR, je vous propose quelques mots d'explication sur la construction du routing.
Celui-ci s'est structuré autour d'un objectif, celui de revoler en cabine la Première d'Air France. Les tarifs sont devenus très élevés (compter 15 k€ par personne pour un A/R vers Tokyo ou Singapour), mais il est possible de se faire plaisir de manière plus raisonnable (ou moins déraisonnable) avec les billets primes. On pouvait habilement partir d'une escale pour réduire significativement le montant réclamé. Hélas, les révisions appliquées sans préavis en début d'année par Flying Blue ont réduit les "bons coups" à peau de chagrin.
Un ami Ultimate me refile toutefois un tuyau : le DXB-CDG-ABJ est proposé à 170.000 miles. Certes, on est loin de l'intérêt du DXB-CDG-JNB à 180.000 miles que j'ai effectué deux ans plus tôt, certes les taxes sont élevées (350 € tout de même), certes les vols sont courts, certes Abidjan n'était pas forcément un premier choix, mais il faut faire avec l'inflation des billets primes et c'était ça ou rien. Et ça reste deux fois moins cher qu'un billet prime entre CDG et TYO ou SIN, pour une durée de vol totale à peu près équivalente.
Le bon point reste l'escale à Paris de 8 heures qui me permettra de bien profiter du salon la Première et du service au sol.
Pour boucler la boucle, il faut me pré-acheminer à DXB : ce serait fait en billet prime à 45.000 miles avec Air France. Le retour d'Abidjan était un peu plus compliqué en aller simple. Ce sera finalement TK qui offrira le meilleur rapport qualité / horaires / prix, à 300 € en Eco (le tronçon CDG-IST sera upgradé en J).
Au final, ça donne donc le routing suivant, avec 5 vols (dont 4 en 77W) en 5 jours :
Enchainement de vols
- 1AF662 - Business - Paris CDG > Dubaï DXB - B777-300ER
- 2
- 3AF702 - Première - Paris CDG > Abidjan ABJ - B777-300ER
- 4TK556 - Eco - Abidjan ABJ > Istanbul IST - A330-200
- 5TK1827 - Business - Istanbul IST > Paris CDG - 777-300ER
Et maintenant, place au FR !
Celui-ci débute donc à CDG. Comme à mon habitude, c'est le RER B que je privilégie, ce jour-là il sera efficace et me voici devant le Grand Charles un peu avant 10h.

Je prends la direction du hall E, c'est toujours un moment que j'apprécie d'arriver sous cette grande voûte.

C'est aussi l'occasion de prendre la température sur la fluidité des contrôles. Je garde un très mauvais souvenir d'un départ dans la matinée pour MEX, avec une attente dingue à la PAF, même en Sky Priority. J'ai surveillé les temps de passage à la PAF sur le site ADP et ceux-ci sont confirmés sur l'affichage. Départ des portes L, avec un parcours estimé à 52 minutes.

Direction les comptoirs Sky Priority.

Tiens, les Ultimates disposent désormais d'une entrée dédiée.

Mon camarade Opoman sera du voyage lui aussi, c'est toujours plus agréable de partager un vol, surtout en Première, à deux. Notre synchronisation étant parfaite, nous nous retrouvons juste devant le comptoir Sky Priority.
Nous sommes accueillis par une aimable agente, qui se chargera de nous éditer nos BP sur les bornes (et non au comptoir, n'ayant pas de bagage à enregistrer).

Nos BP en main, directement la PAF. Je n'avais pas encore remarqué cette sortie agréablement aménagée.

Excellente nouvelle, la PAF est déserte en Sky Priority et les Parafe fonctionnent. Grand luxe !

Un petit coup de LISA plus tard, nous voici au PIF. Là encore, c'est vide.

En tout, il m'aura fallu moins de 25 minutes entre la sortie du RER et l'arrivée au salon, franchement rien à dire.
Arrivée par la nouvelle entrée du salon. Deux agents sont là pour intervenir en cas de problème, mais c'est vrai que les portiques déshumanisent un peu l'arrivée.

Le salon des portes L est bien connu, je ne vais pas le présenter en détail. A cette heure-ci (10h15), il est encore peu fréquenté.


Miracle, nous arrivons à trouver une place dans l'une des alcôves, toujours prises d'assaut.

Côté catering, c'est très décevant. Nous sommes encore à l'offre de petit-déjeuner, mais ça sent la fin alors qu'il n'est pas encore 10h30.

Tous les bacs sont presque vides, le bacon grillé et les saucisses baignent dans la graisse.



Et plus aucune viennoiserie. Lorsque j'en fais la remarque à l'une des préposée, elle me répond sèchement qu'il est trop tard. En même temps, il n'est que 10h30, je n'y vois rien de choquant.
Nous trouvons toutefois notre bonheur avec ce qu'il reste.


J'allais oublier de vous présenter les documents de voyage. Les nouveaux BP avec le liseré bleu font tout de même moins quelconques.

A 11h00 pile, les agents sortent la bibine.

Comme toujours dans les salons AF, le choix est intéressant, surtout pour les rouges.


Cela dit, ce Viré-Clessé n'a pas l'air mal non plus.

Côté bulles, c'est plus classique.

Il est toutefois encore un peu tôt pour lancer les hostilités, qui s'annoncent plutôt chargées pour ce week-end, il va s'agir de ménager la monture.
Je pars donc me dégourdir un peu les jambes.

L'enclos à Ultimate est bien séparé du reste du salon. Pour avoir pu y être invité une fois, l'endroit est agréable mais manque de lumière naturelle.

Un autre espace un peu plus loin est réservé mais encore inoccupé.

A midi, le champagne a eu un franc succès et toutes les bouteilles ont été littéralement lessivées en moins d'une heure. Mathieu et moi avons tout de même pu nous prendre une petite coupette avant rupture des stocks.

Vers 12h30, des agents passent avec un chariot et proposent champagne et petits fours. L'attention est très sympa et les toasts sont excellents. Je reste raisonnable et me contente d'un Perrier pour soigner mon hydratation.

Mon camarade est entre-temps parti se faire papouiller au spa Clarins. Le salon s'est alors bien rempli dans la matinée et ma place ne restera pas libre bien longtemps.

Je quitte le salon vers 12h30 pour me rendre tranquillement en porte d'embarquement.

Ce couloir était celui qu'on empruntait avant à l'arrivée.

Me voici dans le hall L, avec de nombreux embarquements en cours ou en préparation.

La porte L48 est tout au fond, pratiquement la dernière. Les files sont déjà bien remplies.

Je me hâte d'aller saluer notre oiseau du jour. J'ai une affection particulière pour le B777, même si c'est loin d'être l'appareil le plus moderne dans les flottes actuelles.

L'embarquement démarre à l'heure, dans le respect des priorités.

Par contre, si c'est pour nous faire poireauter 20 mètres plus loin, ça n'a pas grand intérêt.

L'attente durera tout de même un bon quart d'heure. J'en profite pour tirer à nouveau le portrait de notre avion, cette fois-ci de profil. Voici donc F-GZNC, un vénérable 777-300ER de 17 ans, configuré en 4P 58J 28W 206Y.

Les fauves sont lâchés à 13h. Comme d'habitude à CDG, les pax P disposent de leur propre jetbridge, tous les autres passagers étant orientés vers le second.

A nos côtés, un autre 77W, à destination de Washington. FR24 m'indique qu'il partira avec une heure de retard et sera finalement dérouté sur JFK.

Revenons-en à notre F-GZNC. Les pleins sont en cours.

Les 4 hublots de la P sont bien visibles à l'avant, suivis par ceux de la première cabine business.

Arrivée en porte.


C'est la CCP qui assure l'accueil des passagers. A mon passage elle est occupée par un appel mais un PNC assure immédiatement la relève.

Il oriente les passagers, mais je connais mon chemin et je tourne tout de suite à gauche. A la réservation, quelques semaines plutôt, le plan de cabine était vide et je n'avais que l'embarras du choix. C'est donc tout naturellement que j'ai choisi un siège dans la première cabine business, de 4 rangées seulement et bien plus intimiste.

Me voici au 3A. Contrairement aux nouvelles cabines, le premier rang au bulkhead n'offre pas plus d'espace pour les jambes.

Le siège est bien connu ici et je vous en épargnerai la visite détaillée.

Le siège est globalement en bon état, en revanche le plancher sous l'ottoman mériterait un petit coup de colle.

La consigne de sécurité.

De mon siège j'ai une vue imprenable sur la cabine la Première. Ce sera pour le lendemain ;-)

Elle est encore vide, mais elle sera pleine aujourd'hui.

Petite vue volée sur le cockpit, dont la porte est ouverte.

La cabine se remplit tranquillement. Le vol sera finalement plein dans toutes les classes de voyage.

J'ai le plaisir de trouver à ma place un petit mot de la part de la CCP. Comme à chaque fois, ce n'est pas grand chose mais ça fait plaisir.


C'est ainsi confortablement installé que je profite de ce moment.

Tandis que l'embarquement se poursuit.

Manifestement, il y a quelques problèmes, deux techniciens officient en cabine. A priori c'est juste un problème de siège, notamment sur l'un des sièges P.

Le protocole débute avec le verre d'accueil. Ce sera champagne bien sûr !

L'occasion de trinquer avec mon camarade de voyage, assis juste derrière moi.

Puis remise de la trousse. Je ne sais même plus depuis quand celle-ci n'a pas été changée.

Enfin les menus, dont je vous montrerai le détail le moment venu.
J'enclenche l'IFE avec la géovision. 6h de vol pour DXB aujourd'hui.

Avant le départ, j'ai droit aux salutations platinesques de la CCP, Isabelle, celle-là même qui m'avait laissé un mot. Celle-ci est très sympa et je lui glisse avec un peu de malice que nous aurons le plaisir de faire le vol retour avec elle, mais un rang plus en avant. En effet, notre séjour à Dubaï correspond à une rotation équipage. Cela crée tout de suite un contact sympathique et un bon échange avec elle.
Excellent contact avec Gwendoline, notre CCJ, qui officiera dans notre allée et sera adorable pendant tout le vol.
Le CdB fait son annonce de bienvenue, et avec seulement 5 minutes de retard nous repoussons.

Le ciel est couvert, mais la lumière est magnifique sur les nuages bas.

Les consignes de sécurité sont diffusées.

Nous sommes rendus à notre liberté de mouvement lorsque le crabe se détache.

Durant le roulage, j'aperçois de loin un 787 SV aux nouvelles couleurs de la compagnie.

Nous filons vers le doublet sud pour un décollage vers l'ouest. Là encore la lumière est très belle.

C'est parti !

Nous passons au-dessus du Bourget. Une dizaine de jours plus tard, la plateforme sera en pleine ébullition avec le Paris Air Show.

Entre les nuages, on aperçoit le Stade de France.

Puis le nord de Paris tandis que nous tournons à gauche.

Petit passage aux lieux d'aisance dès que le signal lumineux le permet. En début de vol elles sont propres.
Je note que l'Eau dynamisante Clarins a changé de format.

Passage par le galley avec la porte 2L et le bureau de la CCP.

Ambiance tranquille dans la petite cabine J.

Le service débute avec un oshibori chaud.

Puis la prestation de l'apéritif. La CCP, avec qui nous avons parlé des nouveautés du produit la Première, me propose si je souhaite essayer les cocktails réalisés par l'Alchimiste. Je décide de prendre un peu d'avance sur mon vol de demain soir et accepte volontiers, en optant pour le "Belle Epoque", à base de gin et de vermouth rouge. Celui-ci est servi avec les indéboulonnables gavottes et un amuse-bouche. Celui-ci sera à mon goût : déclinaison d'artichaut et fromage de chèvre cendré.

Santé à tous les FRistes !

La cabine de 58J est grande et le service sera un peu long. Je note que mes voisins n'ont pas souhaité retirer la cloison de séparation (à moins que l'équipage ait omis de le leur proposer ?).

Point de belle vue sur les Alpes, à ma grande déception.

En même temps, pour cela il aurait mieux valu sans doute être du côté droit de l'appareil.

Il est temps de passer au menu. Comme d'habitude, pas de choix pour l'entrée.

En revanche, 4 plats chauds au choix, tous signés par Régis Marcon. J'avoue ne pas avoir pensé à pré-commander mon plat à l'avance. Il faut dire qu'étant toujours sollicité dans les premiers pour faire mon choix, celui-ci est toujours disponible, mais il faudrait que je m'y astreigne, ne serait-ce que pour réduire le gaspillage.
Pour le dessert, deux choix possibles, signés Nina Métayer.

En boisson, c'est du Pommery pour les bulles.

Deux choix de blancs, dont un Gérard Bertrand, qui aura réussi à survivre au changement de sommelier chez AF.

Deux vins rouges, aux étiquettes plutôt flatteuses.

Terminons par les alcools forts. La réorientation 100% France de notre compagnie nationale a poussé vers la sortie certains alcools, comme le Jack Daniels.


A mon grand regret, la Chartreuse n'a toujours pas fait son retour. Pourtant, c'est bien 100% français !

Voici le plateau qui est déposé à la place. Il est déjà 15h15, et cela fait plus d'une heure que nous avons décollé.

Comme à mon habitude, je réaménage le tout, sans plateau. Pour l'entrée, nous avons donc légumes verts et coulis d'herbacées, dos de truite saumonée et crème de raifort. Le tout était très bon, agréablement accompagné par le chablis.

A ce moment nous survolons la Hongrie et le lac Balaton.

La vallée du Danube.

Puis vient le plat. Je voulais goûter le Pessac Léognan 2019. L'idéal aurait été boeuf, mais je trouve que la cuisson en avion est rarement réussie. Va donc pour le poulet, sauce aux morilles, riz pilaf et asperges vertes. Très bon, même si j'ai trouvé la viande un peu sèche. Le petit ramequin en porcelaine rend tout de même bien mieux que la coupelle en aluminium.

On est quand même pas mal ici, non ?

Chez AF, c'est fromage ET dessert.

Le plaisir croquant noisette et caramel de Nina Métayer est bon, mais, comme me le dira Gwendoline, notre CCJ, on pouvait peut-être attendre un peu mieux de la meilleure pâtissière du monde. Un thé vert accompagnera parfaitement cette fin de repas.

A la fin du repas, nous atteignons les côtes de la Mer Noire au niveau de Varna, en Bulgarie.

Fin du repas clôturée par un cognac ABK6, une marque jeune mais déjà primée et reconnue. Vous noterez que, comme souvent, les PNC AF ont la main lourde sur les digestifs…

Je continue à profiter de l'IFE extérieur, avec ici les monts d'Anatolie.


Allez, il est temps de faire un petit tour digestif. Passage par le galley entre les deux cabines J. Celui-ci est bien achalandé.

La seconde cabine business.

La cabine Eco. Elle aussi est pratiquement pleine.

Le galley arrière offre aussi quelques boissons à disposition.

En remontant la cabine, je tombe au galley entre les deux cabines Y sur une PNC que j'avais déjà croisée en J. Elle me reconnaît et nous entamons la discussion. Elle a embarqué pratiquement en même temps que nous et j'en ai déduit qu'étant en réserve elle avait dû remplacer une collègue au pied levé, ce qu'elle me confirme. Manifestement le fait que je fasse la rotation équipage a fait le tour des PNC et nous en discutons, ça ne manque pas de les étonner. Elle m'apprend par ailleurs que le vol de demain soir est en surbooking.
Retour au galley de la J.

J'y trouve une ambiance sympathique avec un peu d'animation, plusieurs passagers ayant décidé d'y venir papoter et boire un verre. Notamment le pax au premier plan sur la photo, qui voyage en Première mais a la bougeotte. Nous aurons même l'occasion de discuter tant il avait le contact facile.

Les PNC finissent par chasser gentiment tout le monde, il est temps de lancer le service pour la seconde prestation. Isabelle, notre CCP, m'indiquera qu'il y a beaucoup de gâchis sur cette seconde prestation, que beaucoup de passagers refusent. Il faut dire que cela fait à peine 2h30 que le déjeuner est terminé.
Par devoir de FRiste, je me sacrifie pour la bonne cause, même si à la vérité je n'ai pas très faim. Cela dit, je n'ai pas prévu de dîner à Dubaï. Je teste donc le saumon fumé, sauce crème acidulée, riz vénéré et légumes, avec la coupe d'agrumes.

Lorsque la descente est amorcée, les PNC, de la CCP à la CCJ en passant par les PNC ayant officié pendant le vol, prennent le temps de nous saluer et nous souhaiter une bonne soirée.
Une heure plus tard, nous voici arrivés en vue de Dubaï. Comme à Paris, les nuages jouent avec la lumière, cette fois-ci de la ville.


Un demi-tour s'impose pour s'aligner face à la piste.

Notre route depuis Paris.

En finale sur DXB.

Avec un peu plus de recul.

On devine au loin la skyline de Dubaï, mais point de Burj Khalifa en vue avec la brume de chaleur.

Nous voici à DXB. Le ton est tout de suite donné avec l'impressionnante flotte des A380 de la compagnie locale, c'est toujours un spectacle un peu particulier.

Un peu d'exotisme aussi, avec SV (en ancienne livrée), Cebu Pacific et Air India (qui a malheureusement fait parler d'elle il y a peu).

C'est à côté de cet A321neo SV et sa livrée toute neuve que nous venons nous garer, avec 10 minutes d'avance sur l'horaire.

Nous aurons droit à deux passerelles.

Un dernier regard à ce siège bien confortable pour ces 6 heures de vol.

Nous débarquerons par la passerelle avant, juste après les passagers First, non sans nous dire à demain avec la CCJ en porte.

Bye bye F-GZNC !

Les 4 passagers P sont immédiatement pris en charge par des agents au sol, conformément au protocole d'Air France. Ceux-ci sont conduits sur un buggy, et leurs accompagnants se pressent à pied pour arriver en même temps qu'eux.

Buggy d'ailleurs plus statutaire qu'efficace car nous arrivons en même temps à la navette.

L'un d'eux (notre volubile voisin qui m'a tenu une bavette en vol) arbore fièrement son sac rouge.

Un coup de LISA dubaïote plus tard, nous voici à l'immigration. Pas de vol en provenance du sous-continent indien arrivé avant nous (comme à mon dernier passage), l'attente sera très courte.

C'est donc avec un nouveau tampon des UAE dans mon passeport que nous nous dirigeons vers la sortie. Notons que les PAFmen donnent à chaque pax une carte SIM locale gratuite, sympa et pratique !

Rien à déclarer pour nous.

Nous suivons le flot des passagers.

C'est en Uber que nous rejoignons notre hôtel.

Pour ce court séjour, nous avons opté pour le Pullman Dubaï Creek. Il n'est pas très central, mais il est proche de l'aéroport, ce qui nous va bien. Il faut dire aussi qu'à 75 € la nuit pour un 5* avec accès au lounge, le rapport qualité prix est excellent. Chambre confortable et spacieuse, c'est presque trop grand pour moi tout seul !

Petit lounge sympathique avec du personne dédié qui a pu gérer check-out et bagages.

Piscine agréable au 7e étage permettant de se rafraîchir. A Dubaï, on ne lésine pas sur les maîtres nageurs…

C'est la fin de ce report, je vous retrouve très vite pour le second vol entre DXB et CDG, cette fois-ci devant le rideau.
Merci Stephane pour ce FR
C'est un peu l'alpha et l'omega de tout bacon qui se respecte. Ensuite la graisse se dépose dans les artères puis la plaque d'adénome se détache, on fait une crise cardiaque, on meurt et on est reincarné en FRiste : "Un vol sans fin" (pour ceux qui ont la référence du film)
Elle aurait pu répondre aimablement, c'est un minimum.
J'avais goûté à une époque un Vérié-Clessé chez AF au salon, il n'avait pas mal du tout.
Il y a deux écoles. L'autre étant "il s'agit de charger la mule" mais ça c'est plus les pax low cost qui picolent comme des fous.
Et donc .. pas de recharge ? c'est dur de tarauder à sec.
Oui, les joies de l'organisation
Tu sais pourquoi ?
La Chartreuse est en rupture de stock mondial. Tout est expliqué ici : https://www.lefigaro.fr/societes/liqueurs-de-chartreuse-les-moines-decident-d-arreter-de-produire-plus-20230331
Comme sur les mises en bouche, je trouve qu'AF fait très fort sur les entrées en général, avec bcp de goût.
On voit bien les morilles, généreux le service !
D'un autre coté, tu ne pilotes pas.
mon avion de coeur et ma raison d'une certaine fidélité à EK.
Ouahou. Tout Dubaï !
Bel hotel et sacré rapport qualité prix. A Dubaï on ne lésine pas sur le personnel en général, mais bon, les salaires et les charges ne sont pas les mêmes qu'ici.
Bons vols,
Merci pour ce long commentaire.
Certes, encore faudrait-il qu'il y ait un peu plus de bacon que de graisse...
Les salons d'AF sont réputés pour le bon goût du maître de maison, en particulier pour la cave.
ça c'est quand tu fais un sprint. Là j'étais plutôt en mode marathon.
Si, mais pas très diligente, il faut bien le dire.
Pas du tout, l'info n'est pas précisée sur FR24.
A coeur vaillant, rien d'impossible : ma caviste m'en met toujours une de côté quand je lui demande. Je ne doute pas qu'AF ait ses entrées pour se procurer quelques flacons, quitte à les réserver à la Première.
En l'occurrence ce jour-là il ne valait mieux pas.
Tes FR réguliers vers une destination qui m'est chère me donneraient presque envie de faire une escale à mi-chemin.
A bientôt !
Ravi de constater que le simulateur EK existe toujours ! Pas donné, certes, mais voler sur A380 EK, cela n’a pas de prix pour un Avgeek ! 😉😍
Merci pour le commentaire. Il est vrai, j'avoue avoir été tenté par le simulateur.
A bientôt.
Un sympathique routing. ABJ est au final une destination peu reportée ici. Puis les 8h de transit à CDG permettront de bien profiter du service au sol de La Première, qui est le grand différenciateur avec les autres First.
Un bon vol qui fait office de mise en bouche avant celui du lendemain. J’imagine qu’avec le même équipage, ça a dû être le top.
Merci pour ce FR
Merci Moritz.
Effectivement, je me suis rendu compte en préparant ce voyage qu'il y avait bien peu d'infos sur ABJ, je vais essayer de contribuer à réparer cette lacune.
L'équipage était vraiment génial, et le fait de faire la rotation avec eux les a mis dans un mood particulier.
A bientôt.
Superbe routing hâte de lire la suite.
Je l'aurai un jour La Premiere, je l'aurai
Merci pour le commentaire, la suite est dans les tuyaux.
La Première se mérite, mais cela en vaut la peine.
Merci pour le partage,
C'est un très bon vol qui présage un parcours très agréable. La longue correspondance permettra de bien profiter du salon La Première.
Toujours aussi impressionnant, une invitation au voyage.
Une attention toujours bienvenue de la part de la CCP.
Bons vols !
Merci pour le commentaire.
A tel point qu'en repassant devant à l'arrivée, je songe à mon prochain voyage en voyant les destinations au départ !
J'ai, dans l'ensemble, été plutôt choyé pendant ce vol.
A bientôt.