Avis du vol entre Lyon et Paris en classe Economique avec Air France Hop

Introduction

Bonjour à tous,

Bien que passant à côté de Saint-Ex chaque année sur la route des vacances, ce n’est pas souvent que j’y viens pour des questions d’avions. D’ailleurs, mon dernier (et unique) passage ici remonte à Septembre 2020, soit il y a 5 ans, à l’époque où le masque était un accessoire tendance, à l’occasion d’un vol entre Ajaccio et Lyon en ATR d’Air Corsica.

Je vous passes les détails du pourquoi je suis aujourd’hui à Lyon, vous le découvrirez dans mon prochain FR, mais sachez que c’est uniquement dans un but d’économies.
En compagnie de mon fidèle compagnon de route l’agent E., nous partons aujourd’hui pour un longgggggg voyage et le départ depuis Lyon nous aura fait économiser 360€/pers par rapport à un départ depuis Paris.

Place au routing :

Direction Lyon !

C’est dans la plus belle gare de France et de Navarre que débute notre long voyage de plus de 24h. Nous nous retrouvons l’agent E. et moi à Paris Gare de Lyon, chargés comme des mules, il faut bien pour plus de 2 semaines de voyage.
Nous prenons place a bord du TGV 6911 de 10h13 direction Grenoble.

Départ parfaitement à l’heure et un trajet sans accrocs. J’en profite pour rattraper mon retard de publication sur notre site favori.

Nous arrivons à l’aéroport St Exupery à l’heure prévue, soit 12h10. Notre vaillante 2N2 3UFC continuera sa route jusqu’à Grenoble où elle arrivera une heure plus tard.

Aéroport de Lyon St Exupery

Nous rejoignons ensuite le terminal par le cheminement piéton entre la gare et l’aérogare.

Un rapide coup d’œil au premier FIDS que nous croisons et qui nous signale que notre vol est - pour l’instant - bien prévu à l’heure !

Nous remontons d’un étage…

Avant de devoir redescendre vers la zone d’enregistrement AF.

Il n’y a vraiment pas grand monde à cette heure, le prochain vol part pour Amsterdam dans 2h, le notre, dans 3h et les suivants, pas avant 4h30.

Nous nous engouffrons dans la file SkyPriority.

Nous serons reçu par une préposée adorable qui expédiera nos 2 lourdes valises jusqu’à notre destination finale.

Nos BP nous serons remis avec le sourire et un « Passez de bonnes vacances ».

Nous revenons sur nos pas, direction le PIF où il n’y aura aucune attente.

Les nouveaux scanners sont présents, tout reste dans le sac. Un gain de temps considérable !

En moins de 2 minutes, nous sommes airside, nous devons maintenant traverser l’inévitable duty free qui n’obtiendra rien de nous, et surtout pas notre argent !

Bon, c’est pas tout ça, mais c’est que nous avons un salon à visiter !

Mais avant le salon, le devoir avgeek m’appelle, avec ce bel A321 Neo qui vient de se faire un TATL depuis Montréal.
Pour avoir pris Air Transat il y a quelques années entre Montréal et Toronto, il faut avoir envie de se les coltiner les 7h30 là dedans !

Voici l’entrée du salon Confluence qui tient son nom du quartier de la confluence en centre-ville de Lyon, là où se rejoignent le Rhône et la Saône.

L’accueil est hyper souriant par les 2 préposés, l’un des deux nous demandant notre destination finale qui visiblement lui faisait vraiment envie !
Le salon est plutôt sympa avec pas mal de places assise.

Les buffets sont plutôt pas mal pour un salon indépendant.
En plats chaud ce midi, on retrouve des pommes de terre, du poulet pané, de la quiche (Lorraine et épinards) ou encore des lasagnes bolognaise.

Côté sucré, des crêpes, des macarons, du marbré…

Il y a également des assortiments de charcuteries, de fromages et de salades.

Je trouverai largement mon bonheur !

Un robot fait le tour du salon pour débarrasser la vaisselle.

Le Flight-Report

Après 2 bonnes heures à profiter du lounge, nous décidons de nous rendre en porte, non sans avoir vérifié que notre oiseau du jour était bien arrivé. Celui-ci a d’ailleurs 40 minutes de retard.
Impossible de mieux le voir pour l’instant…

Notre embarquement est désormais prévu 10 minutes après l’heure de départ théorique.

Nos bagages ont bien pris la direction de la soute en tous cas.

L’embarquement débute dans le respect des priorités. Un couple prévu en zone 4 se fera refouler devant nous. Néanmoins, aucun problème pour faire passer mon ami avec moi en zone 2.

Bon, il s’avèrera que l’embarquement était en réalité un pré-embarquement. Nous devrons attendre 5 minutes de plus que l’avion soit prêt.

Les fauves sont finalement lâchés.

À côté, ce 737-800 TO partira peu après nous vers Heraklion. Celui de derrière, vers une destination chère à ma Tata E.B., Djeddah, en Arabie Saoudite.

Instant nez.

Puis les instants de rigueur.

La crevette veille sur nous.

L’accueil est hyper souriant en porte par la cheffe de cabine, direction mon siège en 4F, au premier rang de la classe éco.

Le pitch est plutôt très bon.

La carte de sécurité qui restera à bord.

La vue est top et dégagée.

Je peux même suivre les opérations de chargement des bagages, nos valises prennent le chemin de la soute sous mes yeux.

Rapidement, l’embarquement se termine, nous sommes prêts au repoussage avec 30 minutes de retard. L’avion est presque complet, ne reste plus que 2 sièges en J et 3 ou 4 en Y. La très grande majorité des PAX sont en connexion.
Les consignes de sécurité sont présentées par nos deux sympathiques PNC.

Un ATR Fed-Ex qui opère toutes les nuits des vols cargo entre Lyon et Paris ou Nice.

Le plus gros oiseau qui vient en quotidien ici, c’est ce bel A350-900 EK qui rentre vers sa base de DXB.

Passage derrière le Tristar Air Transat qui est planté là depuis juillet 2001 et qui devrait bientôt être démantelé.

On pénètre sur la 35L pour un rolling take-off.

Après une course au décollage en mode fusée, on s’élève rapidement vers le ciel.

Durant la montée, les Alpes se dévoilent, ce qui permet un joli spectacle pour les yeux.

Bourg en Bresse ici même !

Le service arrive rapidement à ma hauteur avec une proposition sucrée ou salée.

Le temps se couvre ensuite, la descente débute après à peine 10 minutes de croisière à 7.900m

Puis c’est une approche très nuageuse avec un plafond très bas sur CDG.

Un 787-9 Saudia en partance pour Jeddah.

Aéroport de Paris CDG

Atterrissage tout en douceur sur le tarmac Parisien

Nous regagnons le T2G en suivant ce 777-200er AA sur le départ pour New York JFK avec 4h de retard.
La CC profitera de ce moment pour annoncer toutes les connexions… St Denis de la Réunion, Boston, Toronto, Singapour, New York, Zagreb, Madrid… L’une d’elles est la notre, à vous de jouer !

Un A220 AF pur Édimbourg.

Après 5 minutes d’un roulage rapide, nous arrivons au T2G.

Débarquement rapide salué par le CDB et la CCP qui aura été adorable. Nous sortons de l’avion avec 25/30 minutes de retard, sans conséquences sur la suite du routing, nous avions 5h d’escale à Roissy.

Direction ensuite le circuit des connexions.
La PAF se passant au 2G et n’ayant que notre vol à traiter, tout ira hyper vite.

On prendra ensuite un bus qui nous conduira au T2E, hall L.

Un dernier au revoir à notre chambre à air, une relève d’équipage a lieu, ils partiront d’ici peu pour Nantes avant d’aller passer la nuit à Billund.

C’est ici que je m’arrête, on se retrouve d’ici peu pour la suite du routing qui sera un peu plus alléchante.

Le vol selon FR24