Bonjour à toutes et tous. Petit rappel du routing au moment d'effectuer le même trajet en sens inverse après une détente bien méritée à Hurghada.
Lors de la réservation il était indiqué que ce vol retour devait s'effectuer en ATR72 ce qui m'allait très bien mais je découvre la veille du départ que c'est un Embraer 190 qui nous conduira au Caire. Du moment que c'est un appareil différent qu'à aller cela me va tout autant.
Enchainement de vols
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Aetoport d'Hurghada terminal domestique.
Notre Uber nous dépose devant le terminal domestique. Les parties en forme de tentes sont sympas et font penser, à une autre échelle, à l'aéroport de Denver. Des statues d'Ibis gardent les portes d'entrée.



Selon la méthode égyptienne il faut passer un premier contrôle avant de pourvoir accéder aux comptoirs d'enregistrement. Il n'y a qu'un seul poste de contrôle , deux vols qui se suivent et avec le sens de l'organisation des autorités égyptiennes que l'ont connait c'est vite le souk. Un agent demande aux passagers du vol Egyptair de passer avant ceux d'Air Cairo. Nous patientons donc un comment avant de passer ce contrôle. La clientèle est composée d'égyptiens et de touristes.

3 compagnies partent de ce terminal Egyptair, Air Cairo et Petroleum Air Services. Toutes vont au Caire.

Une fois cette étape franchie nous allons enregistrer nos valises. L'agente est très sympa et nous remet des cartes cartonnées comme à l'aller.

Il faut passer un deuxième et dernier contrôle pour accèder à la salle d'attente.

Un café vient agrémenter le lieu et permet d'attendre tout en chargeant son portable.



Les passagers du vol Egyptair font la queue depuis un moment mais c'est finalement notre vol qui partira avant, entrainent un peu dr confusion lors de l'embarquement. Le transfert vers notre avion se fait en bus.


Un Boeing 757 de Skyline Express, compagnie ukrainienne qui opère de Pologne et des Pays Baltes s'apprête à partir.

Une partie de la flotte d'Air Cairo stationne au large.

Bienvenue à bord
Voila l'avion du jour, un Embraer 190 de deux ans qui effectue des vols domestiques et régionaux

Il porte la mention des 20 ans de la compagnie.


l'accueil est souriant.

La cabine en 2X2 est équipées de sièges larges et confortables.

Nous sommes installés en issue de secours et l'hôtesse vient nous demander si nous sommes prêts et aptes à ouvrir la porte si nécessairesi nécessaire.
Du café a coulé le long de la tablette lors d'un vol précédent et le ménage n'a pas été fait.

Nous bénéficions d'un bon espace.

Les consignes de sécurité.

L'embarquement prend du temps et se fait en plusieurs vagues au grès de l'arrivée des bus.

Je peux surveiller que nos bagages sont bien chargés à bord.

Tout le monde est à bord et le vol est complet. L'équipage de cabine (2 hôtesses, un steward) effectue les démonstrations de sécurité et nous roulons vers la piste.

Un Airbus de la compagnie roumaine Animawings est venu rejoindre les 320 d'Air Cairo.

Les passagers du vol Egyptair vers le Caire montent à bord de ce 330 sans livrée.

Un 737 de SKyUp se pose

Un 737 de Rossiya nous suit.

C'est à notre tour de nous envoler. A gauche le terminal domestique, à droite le terminal international plus récent.

Le décollage nous offre de très belles vues sur la mer rouge.


Pas d'IFE mais mon portable fait l'affaire.


Les PNC distribuent les boites aussi vite que possible. Le temps de vol ne permettra pas qu'elles les ramassent.


On retrouve la bouteille d'eau et le kit kat de l'aller mais le jus de fruit est remplacé par des biscuits apéritifs et noix.

Notre avion a débuté sa descente vers le Caire et subit quelques turbulences.


Nous survolons la nouvelle ville du Caire avant de nous poser. C'est un projet immense et pharaonique !

Et vola nos roues touchent terre.

Nous croisons des avions qui ont connu des meilleurs jours dont des A340 de Leisure Air qui a fait faillite en 2018 , un A330 de Bangladesh, un appareil de Libyan et pas mal d'appareils divers d'egyptair. Le sable du désert les recouvre d'une fine pellicule jaunâtre.



La tour de controle.

PNC dernier virage !

Nous descendons par la porte avant.



Merci de votre lecture.
Bravo pour le panachage A320/E190 sur cet A/R. Du très bon boulot, quand on sait tant il est difficile d'avoir une programmation fiable de la part des compagnies égyptiennes sur leurs vols domestiques ! Merci pour le partage.
Merci Luc. Pour les 2 appareils c'est un coup de chance car au départ les deux vols étaient programmés en ATR72 ! ces changements ont été bienvenus comme tu t'en doutes . à bientôt
Merci Christophe pour ce FR.
Une très belle prise avgeek, dommage pour l'ATR, mais c'est bien d'avoir eu un avion différent du 320 de l'aller.
Je ressens quand même que l'équipage à l'air d'être dépassé par le temps, s'ils n'ont pas eu le temps de ramasser les boîtes. A moins que c'est ce qu'il y a dedans qui est trop conséquent pour la durée du vol 😂.
Dommage de voir tous ses beaux appareils cloués au sol, surtout le p'tit 220 😞.
A bientôt.
Merci Théo. Oui le vol est court et la distribution des boites a commencée un peu plus tard car il y avait des turbulences.
J'avoue que tous ces avions cloués au sol , dont certains risquent de ne pas voler de nouveau, c'est assez triste. J'ai vu que Breeze a récupéré des A220 d'Egyptair pour des pièces détachées, dont les moteurs, en raison de problèmes de la supply chain.
Pas trop mal ce changement d’avion. L’Ejet est plus confortable que l’ATR. Je découvre au passage qu’Air Cairo a d’autres avions que de A320.
Pas sûr que PAS soit aussi simple à prendre que les deux autres.
La livrée est jolie, dommage que la dérive de cet Ejet soit si blanche.
Un A330 sur le vol domestique d’Egyptair, je ne m’y attendais pas non plus.
On notera parmi ces avions abandonnés un pauvre A220 d’Egyptair.
Merci pour ce FR