Ce FR est le deuxième trajet d'un trajet nocturne en éco sur TK vers Doha :
CGN- IST (A320) : c'est là-bas
IST – HIA (A321) : c'est ici
HIA – CDG (A346) : c'est là-bas
(le nouvel aéroport de Doha s'est appelé HIA pendant la période de transition, mais a récupéré le code DOH une fois le transfert achevé. FR conserve ce code pour le moment pour distinguer les récits)
et le récit commence après le passage du PIF pour les passagers en transfert, rapide parce que l'attente est nulle. Alors que le niveau Arrivées semblait quasiment désert, l'escalier mécanique dans une ruche où se croisent des PAX de toutes les origines – les vêtements illustrent à quel point Istanbul est un carrefour entre Occident et Orient, qu'il soit proche ou lointain.



J'avais bien compris dans l'avion : mon vol est à la porte 310. Peu de numéros de porte commençant pas le chiffre 3 : ce n'est pas de très bon augure.

Les cheminements peuvent paraître un peu longs, …

…. mais contrairement à certains grands aéroports, l'arrivée airside est assez centrale et il n'y a pas de couloirs entre des terminaux successifs, l'ensemble restant assez compact.

Pour ce qui est du spotting, à minuit, c'est presque uniquement du TK, les appareils étrangers étant rares à passer la nuit sur place, comme ce A319 Olympic et Air France.


J'vais vu juste : la porte 310 était au niveau inférieur, donc embarquement par PAXbus. Et comme souvent dans ce cas, c'est un espace plutôt encombré, un peu bas de plafond et globalement moins attrayant que le reste du terminal.

Comme je n'avais que cela à faire, j'ai suivi les instructions et je suis allé à la porte d'embarquement de mon vol.

Histoire de vous rappeler la livrée des appareils de TK, en voici un.

Contrairement à CGN, il y avait des prises électriques utilisables par les PAX, dont certaines sous tension, mais mal placées

… car le cordon d'alimentation était immanquablement au travers d'un cheminement (j'ai bien trouvé un bloc de prises proches de sièges, mais elles étaient HS).

Pendant ce temps, le vol CA5234 pour PVG finissait d'embarquer, …

… en laissant quelques détritus sur les sièges.

Je ne sais pas combien il y aura eu de derniers appels pour le vol CA5234 vers Shanghai, car cette PAX n'a pas été la dernière, loin de là : les attardés arrivaient les uns après les autres, en courant de plus en plus vite.

Je n'ai pas attendu la fermeture du vol CA5234, car le mien commençait à embarquer, en respectant les priorités. Abaya et niqab pour elle, dishdasha pour lui : ce couple qui voyage en J rappelle que nous allons vers un pays du Golfe.

Puisque c'est un embarquement par PAXbus, inutile de se précipiter; je ne me suis présent que quand la queue était résorbée, après le départ du premier PAXbus. 37°C, c'était la température à Doha, et non celle de mon corps.

Passage devant différents appareils TK au contact

… avant d'arriver au pied de cet A321.


J'ai appris l'existence de cette petite ville d'Anatolie,

… et de ce sharklet dans la flotte de TK.

L'A320 stationné à côté était plus ancien, étant équipé de wingtip fences.

Montée dans l'avion

Un dernier coup d'œil extérieur au réacteur.

J'avais demandé un hublot à l'enregistrement à CGN, et j'ai eu un hublot. En revanche, je n'avais pas explicitement demandé une bonne place, et donc je n'ai pas eu une bonne place, car la place 6A a beau être deux rangs devant la première issue de secours, il n'y a pas de place 7A (mais 7B et 7C oui), et le siège 6A ne s'incline pas – vous voyez les rangs 5 et 6 ci-dessous au débarquement.

Pour rendre la chose plus claire, voici un plan emprunté à seatguru.com

Remarquez, pour ce que les sièges s'inclinent, la différence de confort est faible.

Mon voisin, un Italien cordial et francophone, a commencé par choisir cette position pour dormir…

… avant d'avoir la bonne idée d'aller se déplacer après le service du repas aux places 7B et 7C qui étaient inoccupées. J'en ai profité pour aller aux WC au fond de l'avion, puis après avoir mis du temps à contourner les chariots (les PNC faisant ce qu'ils pouvaient pour me laisser passer), j'ai annexé la place 7B devenue libre et manifestement pas réclamée par le PAX en 7C. En relevant l'accoudoir, cela me donnait 98 cm pour m'allonger. Contrairement aux apparences, je mesure un peu plus que cela (un peu seulement), ce qui m'a permis de dormir confortablement (un peu confortablement seulement; c'est la première fois que je me rends compte à quel point je suis trop grand).

Ceux qui ont dû dormir nettement mieux, c'étaient les PAX du fond, allongés sur trois sièges, l'avion étant loin d'être plein. J'aurais peut-être pu avoir l'une de ces banquettes improvisées si je m'étais enregistré sur internet, mais j'avais déjà veillé jusqu'à une heure indue pour préparer la réunion de préparation de ma réunion.
Tout ceci nous éloigne un peu du confort du siège, qui contrairement à la version CC du vol précédent, a un IFE de taille et de qualité correctes.

… sur lequel est diffusée la démonstration de sécurité, avec ici la fiche de sécurité.

Comme j'ai oublié de la photographier dans le vol précédent, la voici en vrai. Au schéma des issues de secours près, elle ressemble comme deux gouttes d'eau à celle de l'A320.


Repoussage en retard, et longue attente pour décoller, car cela semble être une heure de pointe à IST.

Encore une taxiway a traverser, et ce sera à nous.

Décollage enfin, à 01h18, avec les excuses du CDB (le contrôle aérien…), mais cela ne fait pas mon affaire, car c'est mon heure de sommeil à l'arrivée à l'hôtel avant d'attaquer la journée qui est en train de disparaître.

Les lumières des navires, certes moins nombreux qu'au décollage de SIN

Le strobe (après n essais ratés)

Le confort du siège ? C'est de l'éco standard, avec un pitch de compagnie aérienne legacy.

Il n'y a pas de décalage horaire entre IST et HIA, et c'est à 02:14 qu'a été servi ce petit déjeuner, soit une heure après le décollage. Un horaire plutôt étrange pour le menu proposé, mais mieux valait servir à manger rapidement et laisser les PAX dormir jusqu'à la descente, plutôt que de les réveiller trop tôt pour avoir le temps de servir tout le monde avant la descente.

A part le pain bien chaud (TK s'inspire manifestement auprès des meilleurs, comme AF dont le PDG fait de ce détail la quintessence de l'excellence), il n'y avait rien d'extraordinaire, mais c'était bon et servi efficacement.
Passage aux toilettes, en profitant du déplacement mentionné plus haut de mon voisin.

Toujours ces tables à langer à usage féminin.

Et un témoin oublié d'avis de turbulences, qui ne souciait pas les PNC qui m'ont vu attendre mon tour aux WC.

Aperçu du galley que range un PNC.

Là-dessus donc, sommeil en position fœtale, et réveil à peu près ici.

L'avion a suivi une route qui n'était pas orthodromique, contournant l'espace aérien saoudien et le centre de l’Irak.

Sharklet au petit matin

Et atterrissage à 5:06 heures, soit 26 minutes de retard

… sous les yeux d'un spotteur, ou plutôt d'un badaud.

La bonne nouvelle, c'est que le nouvel aéroport de Doha vient tout juste d'être mis en service, reléguant à l'histoire la réputation de DOH comme un aéroport tout PAXbus.

La mauvaise nouvelle, c'est que guider un avion à une position de contact demande plus de précision que lorsqu'il est au large.

L'avion avance à nouveau de quelques mètres; cela ne doit pas être suffisant, car il recommence deux fois, pour s'immobiliser enfin définitivement. J'ai cru un moment qu'ils allaient renoncer et passer au plan B avec ce camion dont l'échelle commençait à se déployer à l'arrière plan.

Le Qatar est une jeune nation, avec un aéroport tout neuf : il ne faut pas les accabler, c'est le métier qui rentre. HIA finira bien par se faire une petite place au soleil dans le monde de l'aérien, d'autant que le soleil, ce n'est pas ce qui manque au Qatar.

Avec tout cela, cela ne faisait rien pour réduire le retard de l'avion.

Les couloirs sont évidemment impeccablement neufs

Les sanitaires ont cette particularité de permettre explicitement à deux parents de s'occuper en même temps de leurs jumeaux. Je ne m'attendais pas à voir HIA dans le club assez fermé des aéroports soutenant les nouveaux pères dans leur longue lutte pour l'égalité des sexes pour les tâches domestiques, mais j'en prends acte.

L'avantage d'un aéroport qui est plus un hub international qu'une destination finale, c'est que la queue à l'immigration est faible. Le visa à l'arrivée – pour qui y a droit – est délivré instantanément, contrairement à la double queue de règle au Cambodge, au Vietnam et en Indonésie : on présente son passeport et sa carte de crédit à l'immigration, et il suffit de taper son code PIN comme dans n'importe quelle supérette. Pour 100 QAR, on n'a pas un sourire (alors qu'à Taiwan, c'est gratuit et souriant), mais on arrive rapidement en salle de livraison des bagages.
Et après un contrôle douanier qui consiste a faire passer systématiquement le gros des effets personnels dans une machine à rayons X, on arrive landside, où m'attendait un chauffeur de l'hôtel.

Et une voiture atteinte par un court cheminement vers le parking de proximité.

J'ai eu plus de chance qu'un collègue arrivé quelques heures auparavant : le chauffeur envoyé par l'entreprise avait beau avoir le numéro de vol, il l'attendait à l'ancien terminal, et le collègue a fini par prendre un taxi.
Que voulez-vous, quand on ne fait jamais le travail soi-même, il y a des ratés (il y 90% d'étrangers dans la population adulte au Qatar : des expats de haut vol qui voyagent en J et de la main d'œuvre à bas coût qui voyage en Y – suivez mon regard).
Probablement pour le petit personnel ayant quand même les moyens d'avoir une voiture, il y a d'immenses parkings à la périphérie de l'aéroport. Le détail qui tue, ce sont les parasols pour limiter un peu l'effet de serre dans les véhicules.

Le personnel du bas de l'échelle, lui, circule vitres entrouvertes dans des bus équipés de ventilateurs.

Je suis déjà en train de glisser vers le bonus touristique qui risque de ne pas rendre justice aux resources touristiques locales, faute de temps à leur consacrer. Ma connaissance du Qatar étant à ce jour limitée à un séjour de moins de 48 heures chrono entre ces deux coups de tampon, j'accueille les rectificatifs avec intérêt.

Non, je ne suis pas allé faire mes prières, et pourtant j'en connaissais les horaires, à la minute près, grâce à cet affichage dans le lieu de mes réunions.

J'avais plusieurs excuses pour cette coupable impiété : le fait que la mosquée la plus proche de mon hôtel n'était manifestement pas encore tout à fait prête à accueillir les fidèles, étant encore au stade béton brut,

… que la salle de prière la plus proche de la salle de réunion était réservée à la gent féminine (mon écrasante mauvaise foi m'a interdit de chercher la salle symétrique),

… et enfin que personne parmi mes interlocuteurs ne semblait vouloir faire de pause à une heure adéquate. Les choses étant ce qu'elles étaient, ce bonus sera plus profane que ceux des autres vols de ce routing.
La première impression de la skyline de Doha, depuis la voie rapide depuis l'aéroport, est celle de formes assez hétéroclites.

Je me serais bien arrêté pour mieux photographier la flotte marchande qatarie, mais l'endroit pourtant idéal pour cela ne s'y prêtait pas parfaitement.

C'est le genre de détail qui montre que Doha n'a pas encore compris les détails qui font d'une ville une destination touristique majeure. D'ailleurs, Doha a beau avoir comme Nice la chaleur, la mer et les palmiers, on peut faire mieux comme station balnéaire,

Surtout si l'on interdit ces activités le long de la mer, en tout cas à cet endroit.

(La ligne supérieure, c'est facile, c'est de l'arabe. Mais la ligne inférieure ? peut-être bien de l'ourdou, la langue nationale du Pakistan, dont l'alphabet est une extension de l'alphabet persan, lui-même une extension de l'alphabet arabe)
C'est bien beau d'inciter les Qatarie à faire de l'exercice pour réduire leur diabète, mais si on leur interdit la marche au bord de mer, ça part mal.


Il faut dire que le Ministère des Affaires sociales a du pain sur la planche, car 50% des femmes Qataries ont un IMC supérieur à 30, ce qui les met au coude à coude avec les Koweïtiennes dans le championnat du monde de l'obésité féminine.

Cela pourrait expliquer qu'il n'a pas le temps de réformer sérieusement le système de la kefala, dont quelques bons esprits à la FIFA semblent avoir découvert l'existence après avoir attribué la Coupe du Monde au Qatar. Ca fait un peu désordre d'être pointé du doigt par Amnesty International et Human Rights Watch à ce sujet, et ça faisait la une du journal local en anglais déposé dans ma chambre d'hôtel. La différence avec la Chine, c'est que ce genre de sujet est à la une du journal local en anglais.
Il est vrai que les habits qu'elles portent en public ne les encouragent pas beaucoup à faire de l'exercice dans leurs déplacements. Cette femme à l'enregistrement de mon vol de retour de HIA ne porte que des lunettes noires, mais beaucoup portent un strict niqab, le voile intégral qui est désormais interdit en France.

Je m'égare…
Vous avez sans doute remarqué que le trottoir du bord de mer est en chantier. C'est vrai un peu partout dans le quartier des affaires, et c'est cohérent avec le fait que le centre de Doha est quasi-vide de piétons, de jour comme de nuit.

Dans cette ville écrasée de chaleur – il faisait plus de 40°C le jour, et autour de 35°C la nuit – ne circulent à pied que les travailleurs immigrés du bas de l'échelle, dont le confort n'est pas une priorité.

Revenons à l'architecture. C'est une affaire de goût personnel, mais elle ne m'a pas impressionné.

J'ai eu l'impression d'un ensemble hétéroclite de styles incohérents, comme s'il suffisait de dessiner une forme biscornue couverte de verre.

J'ai aussi l'impression d'une course à la hauteur – alors que l'espace ne devrait pas manquer dans une ville au bord du désert, ce qui limite la créativité. La décoration de la Doha Tower au premier plan à gauche et la forme épurée de la tour Tornade sont plutôt des exception, ici de jour

…et de nuit

Le ministère de l'urbanisme est d'ailleurs dans un bâtiment assez quelconque.


Ce bâtiment sur le front de mer n'a rien de très novateur - on a aussi cela à la Grande Motte.

En tout cas, ça construit à tout va. Contrairement aux apparences, ceci n'est pas le résultat d'un effondrement d'échafaudages, mais un futur enchevêtrement de disques dont j'attends de voir le résultat final avant de me prononcer.

Cela construit de jour comme de nuit, et c'est peut-être moins dur de travailler à la très relative fraîcheur de la nuit – il ne faisait que 33°C quand je me suis promené ici, contre 44°C en plein jour.

C'est d'ailleurs de nuit que j'ai d'ailleurs aperçu des locaux – qataris, émiratis, je ne sais – fumant le narghilé à la terrasse d'un café, le seul endroit où j'ai vu des gens à l'extérieur pour une activité de loisir. Pour le reste, les loisirs semblent plutôt limités aux centres commerciaux, comme celui-ci.


Aller chez Carrefour, que ce soit à Doha ou à Paris, n'est pas ma tasse de thé, et je suis rentré à mon hôtel.

… d'où la vue, proche ou lointaine, n'avait rien d'exaltant.


C'est la fin de ce FR et de son bonus touristique; il est temps de conclure sur ce vol.
Superbe FR, comme à l'habitude, avec des touches d'humour à la Marathon !! A très vite pour la suite :)
FR très bien raconté. Merci beaucoup !
Merci de ce fr !:)
Bon vol mais horaire vraiment digne d'une compagnie du golfe:)
Catering correct, en mode petit déjeuner.
J'aime ce tourisme un peu désabusé, en mode after dur journée de travail :))
C'est vrai que la skyline fait un peu hamburger, ça a poussé un peu au petit bonheur.
Pas de vieux quartier avec son souk? (je me renseigne en cas de stopover :))
Sinon Doha n'est pas prévu dans mes envies de voyages, et ça n'a pas changé avec ce FR !:)
En attendant la suite :)
Ah alors si il y a du vieux je dis pas !:))
Il y a le souk traditionnel Waquif que je trouve pas mal.
Cette promenade nocturne a eu lieu dans le seul créneau de temps disponible pour du tourisme.
Merci pour ce rapport unique qui porte votre marque déposée. ;)
Beau bonus nocturne avec des commentaires intéressants.
Belated thanks for this comment !
une ruche où se croisent des PAX de toutes les origines – les vêtements illustrent à quel point Istanbul est un carrefour entre Occident et Orient, qu'il soit proche ou lointain, je me suis fait exactement la même réflexion que toi lors du passage à IST.
Vol correct mais bien résumé en raison de l'horaire de nuit en cabine ECO.
Beau bonus de Doha, pour avoir vécu et travaillé un bout de temps dans un pays du golfe, tes impressions et commentaires sont bien vu.
Merci pour ce FR !
Merci à retardement pour le commentaire d'un connaisseur !
Bon FR :-)
Un oeil toujours aussi acéré pour traquer les paradoxes, les contradictions, une pointe d'ironie parfois mais un ton toujours bienveillant rappelle que Doha ne s'est pas construit en un jour et que, même si tout s'achète...
Peut-être y transiterai-je un jour, mais je ne pense pas envisager des vacances au Qatar.
Un vol TK sans histoire somme toute bien ordinaire vu que, faute de statut, tu n'as pu accéder au saint des saints d'IST.
Merci pour ce partage où rien ne manque, même pas les incises d'auto-dérision.
Merci pour ce FR Marathonien digne des meilleurs.
Vol en effet pas terrible, mais l'horaire n'aide pas, c'est quand même un des gros défauts de ces destinations.
Superbe bonus avec ce regard ironique qui le rend à la fois si agréable à lire et si complet. Il me confirme que ce n'est pas du tout une destination qui me tente.
Merci pour ce FR ! Malgré ses deux issues de secours, l'A320 d'Olympic est en fait un A319 ;)
Je corrige... avec trois ans de retard, oups !
Merci !
Merci pour ce FR.
Bonus intéressant qui nous montre la ville sous un jour (plutôt une nuit) différent(e) !
le plus difficile dans ce vol est bien le red-eye. Un bon point sinon pour les PNC qui ont chercher à faire au mieux le service pour rendre ce vol quelque peu plus agréable dans la mesure du possible.
Je ne sais pas si les qatari sont susceptibles mais je ne pense pas qu'ils apprécieraient la comparaison avec la Grande Motte concernant l'architecture d'un des bâtiments :)
A bientôt pour le vol retour.
Merci pour ce récit Marathon!
Vu qu'il a un siège au niveau du 7A, mais qu'il n'apparait pas sur les cartes, est-il utilisé?
Frachement d'après les photos, Doha est peu attirante. Aucune unité architecturale, des batiments pas toujours très beau, une ville en construction, peu d'interêts touristiques, climat aride, bref... je suis pas sûr que les conditions soient réunies pour les touristes. Et n'en parlons même pas de l'attribution de la coupe du monde au Qatar en 2022. Money Money Money :D
A+
Merci pour ce FR:le petit-déjeuner surtout à cet horaire n'est pas le point fort de TK.
L'arrivée dans le nouveau terminal DOH est nettement plus agréable.
merci pour le bonus sur cette ville qui est en fait un chantier immense.
Il y a quand même un immanquable touristique pour moi:le musée de l'art Islamique:superbe architecture et collections.
J'ai bien noté de longue date l'existence de ce musée, qui pourrait justifier d'une escale longue pour le visiter, d'autant que le Qatar a récemment supprimé les frais de visa à l'arrivée pour certaines nationalités. De là à y séjourner plus longtemps, certainement pas.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR
Vol sans histoire dans la lignée de ce que sait faire TK
Cet aéroport n'est semble t-il pas encore terminé et a été ouvert dans la précipitation
Cette ville est un immense chantier sans charme sans parler des autres aspects négatifs que vous soulignez
A bientôt
Merci pour ce FR et son bonus touristique :)
Merci pour ce FR.
Excellent bonus touristique.
Le vol red-eyes est affreux !!!
super bonus touristique.
Très bonne idée le catering en début de vol.
Merci du partage et à bientôt pour le retour.
Merci pour ce très beau FR ,
Vol agréable avec TK dans cet Airbus Sharkleté ,dommage pour l'heure tardive du vol
J'aime beaucoup l'intérieur de la cabine et je trouve l'écran top ,
Un bon catering ,
Très beau bonus touristique ,
A bientôt
Excellent ou excellent? Dur de trancher, alors je dirais que c'est excellent, tout simplement.
Merci d'avoir remis sur la pile les commentaires à ce FR auxquels je m'aperçois, le rouge au front, que je n'ai jamais répondu (la faute à une désactivation parasite des courriels d'alerte ? C'est arrivé).
Merci pour ce commentaire que je ne peux qualifier que d'excellent ! ;)
Je suis intrigué de n'avoir répondu à personne à l'époque. Quelle qu'en ait été la raison, merci à tous avec trois ans de retard !