Avis du vol entre New Delhi et Paris en classe Economique avec Air India

Bonjour à tous,

Après une nuit bien remplie à Delhi, il est temps pour Mme de rentrer à la maison.

Pour le retour, après les exclusivités de Flight-Reporter (PAT, DGH) ou autre originalité de type (789 Vistara) sur la liaison CDG-DEL, c'est un retour aux fondamentaux qui attend ma chère et tendre pour ce dernier vol, fondamentaux que j'avais pu découvrir en amont en consultant FR bien sûr !

Pour retrouver le pourquoi du comment de ce routing et de cette rédaction à 4 mains si vous démarrer par cet opus, n'hésitez pas à remonter au premier vol. 

DEL en mode bis

La veille, Mme avait atterri dans le terminal d'en face d'une certaine façon avec son vol en provenance de DGH.
Aujourd'hui, c'est le terminal international grande taille qui l'attend.
L'arrivée se fera en taxi pour tout le groupe à un tarif plus compétitif que la veille.
Si l'arrivée est menée sans encombre, l'entrée dans le terminal est plus sportive.
En effet, il faut montrer patte blanche pour entrer et en particulier son billet.
Inutile de dire que personne n'a de billet en main dans le petit groupe et que ca trifouillera dans les portables pour trouver un sésame.
Mais avant, histoire de porte.
En effet, le groupe se présentera à la première porte venue, la 5, mais se fera gentiment refouler vers une porte plus loin.

La raison ne sera pas claire car le waiting time pour toutes les portes (indiqué) est plus que raisonnable.
Possiblement, les premiers agents ne voulaient pas se taper le contrôle de tout un groupe de "touristes".
Chemin faisant, le groupe constate les bornes qui permettraient d'obtenir un billet papier mais personne ne réussira l'épreuve.
Vu que les portiques automatiques ne fonctionnent pas plus, ce sera donc contrôle à l'ancienne avec farfouillage de portable pour monter son billet.
Si ces errements sont un peu pénibles quand on ne comprend pas bien la logique, notons néanmoins que tout se fait dans la sérénité.

Enfin IN !
Ne reste plus qu'à se rendre aux comptoirs d'enregistrement.

De nouveau, une belle statue vous attend dans le hall.

Petite traversée du terminal qui n'est pas particulièrement bondé pour rejoindre la queue pour les comptoirs internationaux.
Le groupe commence à patienter quand un agent vient à sa rencontre et lui propose de basculer vers les comptoirs domestiques.

Officiellement, c'est pour fluidifier la queue mais dans les faits, il y a autant de monde avant le groupe dans la fil domestique.
La logique de cette décision ne sera pas évidente mais dans tous les cas, elle semble motivée par un bon sentiment.
In fine tout sera effectué sans difficulté particulière.

La valise peut enfin partir vers les entrailles de DEL.
2 informations évidentes à la consultation de cette image :
- la valise a pris un embonpoint certain par rapport au départ parisien,
- une roulette n'aura pas survécu à l'expédition indienne.
Ici, pas de serflex additionnel.

C'est donc légère comme le vent que Mme file avec sa troupe vers le combo PIF/PAF.
Le passage sera efficace pour la PAF mais sera une boucherie pour le PIF.
Près d'une heure pour passer l'obstacle pour tout le groupe compte tenu de procédures un peu erratiques et d'une gestion des plateaux / sacs pour contrôle kafkaïenne.

La boucherie du PIF ? 
Elle se devine après les comptoirs de la PAF.
Ndlr : Rappeler à Mme que les photos en zone PAF/PIF ne sont pas recommandées même si présentement, personne ne lui fera de remarque.

AIRSIDE

Sans surprise, après les contrôles, c'est un important Duty Free qui vous attend.
La grande pancarte d'accueil ne fait pas très locale.

Instant "be proud of your award!"

Au FIDS, la porte du jour, c'est la 13.
Chance ou pas ?
En tout cas, maintenant, commence un peu plus de 2h d'attente pour Mme.

Chemin faisant, quelques vues de boutique et notamment de l'aviator shop du jour et une entrée de salon dont le nom sonne plutôt frenchy.

Autant la foule semblait concentrée au PIF, autant ensuite, ce sont de grands espaces qui s'offrent à vous.
Il y a un peu de marche pour accrocher la fameuse porte 13. De quoi être jalouse des buggys passant de ci de là.
Un petit foodcourt sera également présent sur le chemin.

De même que ces originaux sleeping pods.
Sleep & Fly est moins poétique que Kiss and Fly.
Mais en cas de redeye et de transit de la mort, au diable la poésie !

Un peu plus loin, une version plus lowcost sera disponible.

La lumière est au bout du tunnel…

Des photos de Mme, il y en a une que je trouve juste magnifique mais elle arrive plus tard.
Celle-ci se défend néanmoins et vous permet de constater qu'il fait grand beau !

Derrière la vitre cela donne ça.

Cette photo m'interpellera scientifiquement. 
En effet, Mme ne lit pas FR, donc elle ne sait pas qu'il peut y avoir des clins d'œil entre FRistes à la faveur d'une fontaine.
Et pourtant, spontanément, il a pris une photo de fontaine ! Amusant.
Sachez néanmoins que des fontaines sont bien disponibles et fonctionnelles ! 

Il est midi, le vol est encore loin.
Il est donc temps d'un petit encas sur le coin d'une chaise.

Il ne sera pas question de s'éterniser car l'heure H approche, tout comme notre destrier qui se dévoile à moitié.
Il s'agit de VT-ANW, 788 de 8 ans d'âge.
C'est plutôt jeune, donc encourageant (en théorie).

12h25, l'embarquement est lancé.

Avion et vol

Le temps d'embarquer le fond de l'appareil, et c'est enfin le tour de Mme.
Cette vue vous permet de profiter de la moquette dont le motif inonde la zone dans laquelle se trouve la porte 13 et ce, jusqu'à l'avion.

Enfin presque.

Fuselage shot de profil et instant porte.

On y est.
Sur la gauche, la cabine J un poil surannée.

Mais pour tout le monde, ce sera virage à droite, direction la première cabine Y.
Cette fois ci, pas de seat gate by AI, Mme est bien à sa place.

Si le siège n'est pas des plus emballant (on est en Y), le choc est plus pour l'IFE, particulièrement daté pour un avion de 8 ans.
Disons le tout de suite, c'est un gros point noir.
La fonction tactile (si elle existe) était out et la manette fonctionnait de façon erratique. 
L'utilisation étant pénible au possible, Mme a pensé trouver son salut avec le Wifi à bord.
Mais ici, il sera limité au système de divertissement à bord (comme sur le vol interne DEL-PAT) et aussi particulièrement aléatoire sur son téléphone alors que d'autres membres de son groupe ont pu y trouver un salut relatif. 
Le divertissement à bord est cuit.
Combien d'heures de vol déjà ?
Ndlr : La surprise ne fut pas totale, car les FR précédents nous avaient alertés sur le problème associé donc aux vénérables 788. 

13h20, tout le monde est quasi au poste. 
La cabine est bien remplie.

Instant sécurité et on est bientôt prêt à partir.

13h30, push back.

Le taxi commence sous le regard des pompiers.

En moins de 20 minutes, le taxi et le décollage son tpliés. 
Bye bye DEL !

1h plus tard, l'apéro débarque.

Ce sera un déjeuner avec vue puisque pour l'IFE, c'est cramé.

15h40, le plateau fait son apparition.
Ce sera option végétarienne. 

Ce plateau fût plutôt bon mais toujours bien épicé.
Cela semble mieux passer au retour.

A 16h20, la table est débarrassée et des boissons chaudes proposées.
De quoi accompagner le dessert du jour qui n'est pas renversant voire pas terrible.

Le vol avançant lentement et l'ennui gagnant du terrain, un petit tour de cabine s'impose.
Pour rehausser l'instant porte d'arrivée, une vue d'intérieur est offerte au maître des portes.

Un mini bar de soft est disponible en fond de cabine.

Sur le retour, je vous laisse identifier le problème… 

16h40 on n'est que là, mais l'ennui sera récompensé une heure après le survol de la mer Caspienne.

En effet, de belles vues sur les montagnes approchent !

Tout comme ce Air To Air magnifique.
Malgré le manque de définition pour l'appareil, je trouve que c'est la plus belle photo de son FR avec la suivante en P2.
J'ai essayé de deviner la compagnie, mais je dois avouer mon ignorance…
Si quelqu'un à une idée je suis preneur.

Passé le Air to Air, les images des montagnes resteront magnifiques.

20h40, un deuxième service arrive.
Et il inclut un plat de poulet que Mme déclinera pour ne garder que le dessert.
Meme si ce n'est pas le plateau du siècle, l'intention est mieux que le sac bon appétit d'AF.

Arrivée

22h40 soit 18h10 à Paris, l'arrivée se profile sans autres rebondissements.

Les hublots de 787 ont l'air de perturber un peu la visibilité car tout ce qui suit n'est pas très net.
N'empêche qu'après avoir passé le Bourget, c'est enfin l'arrivée à 18h15.

Par le hublot, notre regular carrier acceuille Mme avec malice : alors, satisfaite ?

20 minutes plus tard, enfin la sortie.
Clairement, les hublots agissent sur les photos !

Quelques minutes plus tard, passage PAF avec PARAPHE qui fonctionne.
Attente, quasi nulle.

Pour les bagages, ce sera moins fluide mais la liberté interviendra peu après 19h.
A la sortie, je patiente gentiment qu'elle sorte depuis pas loin d'une heure.
Finalement, j'avais une belle marge pour mon escapade à BUD. 

Pour finir ce voyage, inédit pour Mme, la trace FR24 du jour.