Avis du vol entre Paris et Budapest en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,

Bienvenue dans ce routing multi objectif dont le but principal sera de joindre l'utile à l'agréable.
Le dimanche, je dois être à CDG pour récupérer Mme revenant de 15 j en Inde.
Donc, autant y arriver en même temps qu'elle par les airs !

En réfléchissant aux options, je me rappelle d'un dossier non soldé soit le musée Aeropark de Budapest que plusieurs membres du site ont déjà visité. D'un des FR concernés, je me rappelle que tout peut se faire à pied depuis BUD.
Par contre, pas possible de tout faire sur une journée compte tenu de la contrainte du retour le dimanche à 18h au T2C pour accueillir Mme.
Je partirai donc la veille et dormirai au plus près du but à l'Ibis Style de BUD, fort bien placé d'ailleurs (j'en prends bonne note pour un éventuel routing ex. BUD).
Pour le retour avec transit à AMS, je constate au moment de la réservation que cela permettra un possible dernier tour en A318.
Tout baigne, y a plus qu'à cliquer sur "acheter votre billet".

CDG

Pour rejoindre CDG, peu de choix.
La frosty mobile est en panne et rien ne s'oppose à exploiter pleinement son sésame Navigo.
Alors go pour le RER B pour un déjeuner cantine AF. 
Entre temps, à l'OLCI, j'ai une proposition de surclassement à 99 euros pour le dernier siège de J mais en couloir. 
Je décline puisque peu d'intérêt en sortant du salon. 

Grâce à la magie du décalage horaire, je saurai que tout est ok pour Mme qui a bien rejoint New Delhi.
Tout se déroule selon le plan ! 

Enfin, presque…car je reçois ce message pour le AMS-CDG du lendemain.
Le décalage du vol est une bonne chose car cela allonge ma correspondance d'un bon gros quart d'heure mais, le prix de cela est la suppression de mon A318 pour un A220. Bigre… Pourvu que les surprises s'arrêtent là. 
En attendant, pour le 318, ça va devenir chaud mais vu qu'il est deja loggé, la déception est moindre. 

Cette notif AF fût la seule émotion de ce trajet en RER tranquille qui me dépose avec donc une avance confortable au tableau des départs.

Le temps est au beau bien qu'un peu nuageux.

Plein d'énergie, je rejoins le PIF en un tournemain, PIF qui est par ailleurs peu chargé.

Airside et Salon

Le passage sera rapide même si un temps, j'ai frémi en voyant le contenu d'un pax devant moi dont la valise débordait d'échantillon de shampoing et autres savon en tout genre. Plusieurs sachet seront constitués pour passer le contrôle.

La cantine, c'est à droite puis à gauche.

Bain de lumière en arrivant.

Alors, du passage cantine, je n'ai gardé que les vues des plaisirs coupables…
Le moment sera agréable bien que le salon soit bien fréquenté. 

Embarquement et vol

14h45, je quitte le salon pour me rendre en porte.
Il y a un petit hic d'affichage car ce n'est pas le AF1294 qui est mentionné mais son grand frère ce qui générera une petite confusion chez une pax en provenance de GRU quelque peu inquiète. 

La bête est bien là.

14h55, je marche vers elle.

Petit trio ensoleillé de nez, instant porte et fuselage shot.

Le zoziau du jour, c'est lui.

J'arrive à ma place, laquelle semble me faire un clin d'oeil en mode, encore vous ?

La revue de l'environnement est satisfaisante.

L'horodatage de la fiche FR24 de notre avion vous a peu être mis la puce à l'oreille… va y avoir du retard.
En effet à 15h11, l'annonce d'embarquement terminé retentit.
Normalement, la fermeture porte suit dans la foulée mais 5 min plus tard, le poste nous annonce qu'un remplacement de pneu est en cours et que notre départ est retardé de 30 min.
In fine, l'aventure pneumatique s'achève  dans les temps et à 15h45, annonce porte fermée.
Push back 10 min après. 

Le taxi commence à 16h00 sous le soleil.

Le seuil de piste se profile à 16h10, nous sommes numéro 3.

On ne traînera pas en bout de piste.
Ce décollage sera très lumineux. 

Usb et Wifi sont opérationnels.
Tout s'annonce pour le mieux. 

16h30, le service démarre.
On retrouve le classique duo de choix poulet ou fromage.
Plus tard, il y aura une petite repasse pour qui souhaiterait doubler son sandwich. 

Je sais que le mois de mars apporte le printemps, mais on ne peut pas dire qu'on croule sous la neige là dessous.

Avant d'arriver, petit passage commodités au fond de la cabine.
On y joue toujours des coudes.

Le jour décline, le ciel s'embrase, l'arrivée approche.

Les descente démarre à 17h26 avec l'annonce d'un toucher à 18h00 suivi d'un roulage de 5 min.
Comme à Vienne, on peut observer à l'approche un gros complexe chimique au sud de Budapest. 
Mais, pas sûr qu'il tienne la comparaison en taille par rapport à VIE, quoique… ici on est plus haut, et le site reste impressionnant.

Les calculs sont bons, à 17h58, on sort les trains et on touche en douceur.

Notre court roulage nous mènera vers ce qui ressemble à un petit coin avec un peu d'esprit de T2G.

Ce paxbus me fera m'interroger mais au final, 

Ce sera bien un débarquement passerelle.
18h10, je suis en marche.
Les 30 min de retard n'ont pas été effacées. 

Le début du cheminement avec ses long barreaux est pas très glamour.

La suite du cheminement n'est pas non plus renversante mais elle est particulièrement brève.
J'atteins la porte de la sortie à 18h15 soit moins de 5 min après avoir quitté l'avion. 
Très efficace. 

Quelques minutes de marche supplémentaires me permettront de rejoindre l'ibis stratégiquement placé pour la visite du lendemain.

Les avions ? ce sera pour le bonus du retour.

A bientôt.