Bonjour à tous et bienvenue sur ce FR !
Aujourd’hui, je vous emmène avec moi sur mon voyage entre Paris Orly et Berlin. Préparez-vous à découvrir tous les détails de cette expérience aérienne.
Bon vol !
Le départ est prévu à 07h10, et dès 4h du matin, je me mets en route pour l’aéroport de Paris - Orly

En chemin vers l’aéroport, un épais brouillard enveloppait tout autour de nous, bien décidé à ne pas passer inaperçu. Je ne pouvais m’empêcher de penser que cela pourrait bien avoir quelques répercussions sur le vol… Mais bon, à 4h du matin, j’ai préféré jouer la carte de l’optimisme (ou peut-être simplement me mentir pour garder le moral ;) )
Aéroport Paris - Orly
J’arrive donc à l’aéroport, étant déjà enregistré et n’ayant pas de bagages à enregistrer je peux donc me permettre de me rendre directement en salle d’embarquement




je jette quand même un œil au tableau d’affichage : bonne nouvelle, mon vol est annoncé à l’heure… enfin, pour l’instant !”
07:10 - Berlin Brandenburg, c’est le mien

Je me dirige maintenant vers le PIF. Un rang en forme de serpent m’attend, mais heureusement, tout est fluide. Les agents, visiblement bien rodés, gèrent efficacement le flux de passagers, rendant l’attente presque agréable

Examen passé avec succès au PIF : rien d’illégal sur moi, je vous rassure ! :)
Une fois cette formalité derrière moi, je me dirige vers la porte E07.





Vol prévu ‘on time’. Une promesse qui, disons-le, aurait mérité un petit astérisque météo pour être totalement honnête…

L’embarquement est annoncé, et nous voilà tous en rang, prêts à monter à bord… enfin, presque. Tout s’arrête brusquement, et une dame, aussi gentille que polie, nous informe que l’avion n’est pas encore prêt à nous accueillir. Résultat, on patiente un peu, debout, avant que l’embarquement ne reprenne finalement.
Embarquement

Et là, c’est le moment ! Une fois dehors, on descend les escaliers pour embarquer via un bus. Malgré la petite fraîcheur matinale qui pique légèrement entre l’aéroport et l’abri du bus, l’excitation prend le dessus : on embarque enfin





Nous embarquons enfin, répartis dans plusieurs bus pour rejoindre l’avion stationné sur le tarmac. Étant dans le dernier bus, il a fallu attendre que les passagers des premiers véhicules montent à bord avant que notre tour arrive.
Les agents au sol, soucieux de notre confort face au froid hivernal, ont préféré nous garder à l’abri dans le bus le temps que tout soit prêt. Une attente certes un peu longue, mais bien pensée, avant de finalement prendre place au pied de l’avion

Et voilà notre destrier du jour
Un Boeing 737-800 immatriculé F-HUYG



À côté de la porte, un ‘Bienvenue’ multilingue nous accueille.
Toujours agréable de se sentir reçu, même par un moyen de transport !

Un dernier bonus…


Le vol est plein, et une fois à bord, je découvre la cabine : une teinte de vert prédomine, donnant une ambiance particulière, complétée par des éclairages d’ambiance bleus sur le plafond, créant une atmosphère moderne et un peu futuriste
22F, mon trône.


Après que tout le monde se soit installé, l’hôtesse annonce ‘boarding completed’. Mais à peine étions-nous prêts à décoller que le commandant de bord nous informe, d’un ton calme, que le brouillard nous retardera d’une cinquantaine de minutes. À l’annonce, un soupir général a traversé la cabine, suivi de quelques assoupissements subtils.
Un second souffle, un peu plus marqué, a même parcouru l’avion quand le pilote a repris en anglais, rappelant la diversité linguistique présente à bord.
Et voilà comment nous nous sommes retrouvés à attendre là, confortablement installés pendant une bonne cinquantaine de minutes. La plupart des passagers, moi y compris, avons profité de ce moment pour somnoler.
À travers la fenêtre, on pouvait à peine deviner un semblant de lever de soleil, tout en restant bien ancrés au sol.
Un peu plus tard, une annonce nous informe que nous attendons les engins de dégivrage.

Puis, comme par magie, ils arrivent enfin.

Le dégivrage commence, et ce qui est intéressant, c’est que le flux de dégivrage laisse des traces vertes sur les ailes de l’avion. Un joli arrangement, presque une symbiose parfaite entre les couleurs emblématiques de Transavia et les équipes de dégivrage.
Le vol !



Quelques minutes après ce spectacle, le pilote annonce que la tour nous donne l’autorisation de repoussage. Nous pouvons enfin commencer notre voyage après environ deux heures d’attente sur place. Oui, deux heures, ça passe vite quand on est pris dans l’excitation et l’attente !
Repoussage ..



Nous nous dirigeons ensuite vers la piste 07, mais avant de pouvoir y entrer, il a bien fallu faire la queue, visiblement, beaucoup d’autres vols attendaient eux aussi leur tour.

Une fois en piste, le pilote a mis les gaz à 50% pendant environ 30 secondes, probablement pour dégager la neige ou la glace, avant d’atteindre la vitesse maximale et de décoller


Vers l’au-delà ….



Et l’infini



Une fois en altitude de croisière, il n’y avait pas grand-chose à voir.
Je prends une photo des consignes de sécurité et des magazines que je n’ai malheureusement même pas ouverts, car je me suis assoupi pendant tout le vol.
Le vol a duré environ 1h30, et bien que j’aie cru que l’équipage passait avec des repas (probablement payants, bien sûr), j’étais déjà bien endormi.



Descente et atterrissage
Quelques minutes plus tard, l’annonce de la descente vers Berlin nous réveille.




Nous avons traversé les nuages, et une fois en dessous, le soleil qui brillait toujours au-dessus a laissé place à un ciel gris.
On pouvait voir la neige sur les toits des maisons, confirmant que l’hiver était bien là. Comme quoi, il fait toujours beau au-dessus des nuages !




Nous atterrissons finalement à l’aéroport international de Berlin-Brandenburg.
Un ralentissement plutôt marqué. Mais malgré tout, c’était toujours une belle expérience d’arriver enfin à destination.


Dernier virage

On peut donc débarquer soit par l’avant soit par l’arrière, je choisis donc de débarquer par l’arrière de l’avion pour avoir une dernière vue sur un autre Boeing du jour

Dernière vue sur notre destrier




Aéroport de Berlin - Brandenburg
L’aéroport de Berlin est plutôt jeune à peine cinq ans d’âge environ



Pas besoin de passer par la livraison bagages, vu que je n’ai pas de bagages enregistré et je me retrouve directement dehors

Merci pour le partage de ce FR, où le plaisir et l’excitation de prendre l’avion sont communicatifs!
Deux heures de retard, c’est très long…pour un non-avgeek. Pour un avgeek, c’est presque un bonus, en tout cas lorsqu’il n’y a pas de correspondance derrière.
‘’ Un joli arrangement, presque une symbiose parfaite’’ => les photos le rendent particulièrement bien!
A bientôt