Avis du vol entre Paris et Lyon en classe Affaires avec Air France

Transfert depuis le 2G, et dernier segment

Nous nous retrouvons pour ce 4ème et dernier segment de ce voyage vers Francfort où j’ai assisté au WTT Champions. 

Petit rappel du routing

Après un petit tour en paxbus depuis le terminal 2G, me voilà arrivé au terminal 2F. 

Paris semble m’aimer car aucune attente entre la descente du vol en provenance de Francfort et l’arrivée jusqu’au 2F. 

Il faut ensuite suivre les panneaux jaunes (très jaunes) : la remontée vers le 2F se fait par un petit escalier mécanique un peu caché si l’on n’y prête pas attention. 

Et me voilà donc arrivé au terminal 2F

Dîner épisode 2 au salon AF T2F

Après un débarquement de mon vol au 2G à 18h47, j’arrive devant le salon du 2F à 19h13 sans aucune attente, et sans avoir à repasser le PIF. 

J’arrive devant ce salon, bien connu, mais avec un accueil en porte inexistant : en effet, les bornes libre-service et les portiques semblent tellement priver de travail les hôtes et hôtesses d’accueil, que ces derniers ne disent même plus « bonjour » à l’entrée (et n’y répondent pas non plus). 

Le rez-de-chaussée est plutôt bien rempli et j’emprunte donc ce magnifique escalier pour me rendre à l’étage. 

Etant désormais isérois, je repère des ravioles dans le plat du chef et m’empresse donc de le choisir pour ce 2ème dîner de la journée. 

Les bouteilles d’eau ont été remplacées (avantageusement) par des fontaines, mais la quantité de canettes consommées chaque jour doit être impressionnante.

Embarquement, installation à bord et départ

Arrivée sous cette belle voute et direction la porte F26 : c’est l’heure de pointe au 2F avec de nombreux vols au départ. 

Instant P, de loin : malgré le logo Wifi à droite de la porte, ce dernier sera INOP durant le vol. 

Fuselage (armoire électrique) shot : ça pousse derrière, le vol semble plein et il semblerait que les équipes au sol veulent faire accélérer l’embarquement. 

L’accueil en porte est axé sur le rangement des valises dans les coffres à bagages : en effet, le CC montre sur sa tablette que les bagages doivent être rangés sur la tranche. De nombreuses annonces seront réalisées dans ce sens durant l’embarquement. 

Installation en 2F, une fois n’est pas coutume car j’avoue préférer (sans aucune raison) les places du côté gauche de l’appareil. 

Le pas est légèrement plus généreux que sur Embraer, et la place neutralisée du milieu reste quand même très agréable : à noter qu’aucune bouteille d’eau, serviette rafraîchissante ou oreiller n’était placés sur les sièges en J, et qu’il n’y avait pas de rideau séparant la J et la Y. 

« Embarquement terminé »… et là, c’est le drame. 

Les PNT nous informent que nous devront rester en porte une vingtaine de minutes car nous n’avons pas de créneau de décollage accordé par le contrôle. 
Vingt minutes plus tard, les PNT nous informe que la situation ne s’arrange pas à Roissy et que nous sommes retenus en porte pour une quinzaine de minutes supplémentaires. 

Pendant cette attente, les PNC resteront au galley et ne proposeront même pas une bouteille d’eau. 

Nous repoussons finalement à 21h46, avec une arrivée prévue par les PNT à 23h à LYS. 

Je profite de cette attente pour prendre connaissance de la littérature de bord. 

Les démonstrations de sécurité sont effectuées : le CC prend une voix enjouée pour les annonces « PNC aux portes », etc et taquine gentiment la jeune PNC en lui préparant le matériel pour la démonstration du gilet de sauvetage. 
Même si nous ne sommes jamais à l’abri d’un accident, la probabilité de devoir imiter Sully et se poser sur le Rhône ou la Seine assez faible. 

Nous quittons le 2F en observant ces A220 qui viennent remplacer progressivement la flotte AF. 

Petit passage devant le siège social d’AF 

Puis devant fox 2 fois : malheureusement, la qualité de la photo ne rend pas hommage à ce bel oiseau blanc. 

Décollage depuis la 8L puis virage à droite qui me permet d’observer Paris une nouvelle fois. 

Nous aurons également le chance de faire la course avec un avion AF (que je ne suis pas parvenu à identifier) à l’atterrissage sur la 8R : évidemment, nous gagnerons :)

Prestation à bord

Pendant que de nombreux passagers tombent dans les bras de Morphée, la prestation est servie. 

Nous retrouvons la « boîte » AF sur les vols domestiques en J : le contenu de cette dernière ne survivra pas, et surtout le cannelé. 

Je noterai que le CC m’appellera par mon nom lors du service de la boîte et de mon verre de jus de pomme : privilège goldesque ? Volonté d’impressionner la jeune PNC ? Ces questions resteront sans réponse. 

Descente dans la crasse vers LYS

Pour boucler la boucle, nous entamons notre descente dans le crasse vers LYS afin de nous poser en 35L. 

Les PNT n’effectueront pas l’annonce « Niveau 100 ». 

Posé (pas cassé) à LYS et freinage relativement fort pour sortir à une bretelle moins éloignée du terminal 1. 

Débarquement et sortie

Le CC et la jeune PNC nous salueront, à noter que là encore, le CC m’appellera par mon nom. 

Je me dirige rapidement vers la sortie. 

La signalétique a été améliorée au niveau de cette intersection entre la sortie, et les portes F.

Passage par la salle de livraison bagages, où je ne marque pas l’arrêt mais où certains bagages tournaient déjà. 

Sortie en pole position du terminal 1 et direction le P4 pour retrouver ma voiture. 

Merci de m’avoir suivi dans ce voyage vers Francfort : vos commentaires et remarques sont les bienvenus pour améliorer la qualité des FR. 

Pour ma course au Platinium for Life, ce routing m’aura permis d’obtenir 51XP + 30XP grâce à l’option SAF achetée avec des Miles.