Bonjour à tous,
Voici le dernier vol domestique avant le retour à la maison avec un direct Philadelphie-Nice.
Le routing est simple et détaillé ci-dessous.
Enchainement de vols
- 1Déjà publié - AA747 - Economique - Nice -> Philadelphie - Boeing 787-9
- 2Déjà publié - AA1919 - Economique - Philadelphie -> Orlando - Airbus A321
- 3
- 4AA806 - Economique - Austin -> Philadelphie - Boeing 737-800
- 5AA746 - Economique - Philadelphie -> Nice - Boeing 787-9
J'ai rendu le véhicule de location et fait le court trajet à pied pour rejoindre l'aérogare.
Il fait beau et chaud.
Il y a peu de monde aux comptoirs.
J'imprime les deux cartes d'embarquement : AUS-PHL et PHL-NCE.
Le bagage est enregistré jusqu'à sa destination finale.
2 points de contrôle sont ouverts, j'ai choisi le bon. Un agent sympathique me souhaite une bonne journée en français.
Il y a de nombreux endroits pour se restaurer.
Air Canada fait la promotion de son vol pour Montréal.
Comme souvent il y a beaucoup de monde à l'aéroport d'Austin.
J'arrive avec un peu d'avance à la porte d'embarquement et reçoit une notification par texto lorsqu'il commence.
Notre appareil arrive de mémoire de Philadelphie.
Je monte à bord de N917AN. Il a été livré en août 1999 et a donc 25 ans au moment du vol.
L'espace pour les jambes est suffisant.
La littérature est bien présente dans le bac prévu à cet effet.
Il y a un problème technique dans la cabine ce qui a nécessité l’intervention d’une équipe de maintenance.
Des travaux sont en cours pour ajouter de nouvelles portes à l'ouest de l'aérogare.
Il manque un petit bout sur le volet ?
On laisse passer 7 avions à l'atterrissage avant de pouvoir décoller.
Enfin c'est à nous.
On a décollé vers le nord.
Le centre-ville d'Austin est visible rapidement.
Puis on prend la direction du nord-est.
Le wifi est disponible.
L'accès à internet coûte 23$ pour toute la durée du vol.
Etant juste en correspondance à Philadelphie, la météo à destination a peu d'importance.
Comme d'habitude l'offre de divertissements est très large. Mais c'est sur son téléphone à défaut d'IFE.
L'appareil était presque plein.
Nous survolons le Mississippi à hauteur de Vicksburg.
L'offre de boissons gratuites est assez limitée.
Les divertissements sont présentés.
On peut choisir entre sucré ou salé ainsi qu'une boisson en canette entière.
On peut apprendre le français en visitant Nice.
On a survolé Washington mais au-dessus des nuages.
On voit l'aéroport du comté de New Castle (ILG).
Nous passons au-dessus de Wilmington, principale ville du Delaware.
L'approche se fait sur le fleuve Delaware.
Désolé pour le flou, c'est un appareil American avec une livrée historique.
Et c'est à ce moment que cela se complique, il n'y a pas de porte disponible pour nous. L'attente dure plus d'une heure. Une hôtesse passe beaucoup de temps avec certains passagers qui ont des correspondances.
Cela semble assez compliqué au niveau du trafic.
Des passagers se lèvent alors que l’on est pas encore en passerelle. Ils restent debout quand l'avion est en mouvement.
Je vais sur le site de l'aéroport de Philadelphie pour regarder la porte du vol vers Nice et y aller le plus vite possible. C'est la A24. Heureusement j'avais un délai assez long pour la correspondance donc je ne suis pas trop inquiet.
Il y a un plan et ce n'est pas à côté. Au moins je n'ai pas à changer de terminal.
Tout juste débarqué je presse le pas.
Pour terminer voici le parcours :
Je note que sur leur système de divertissement il est possible de regarder des matchs de premier league. Pas mal.
1h a attendre la porte, c’est long et nombreux sont ceux qui ont du rater leurs correspondances. Comment se fait-il qu’il n’y ait pas d’espace comme ça?
Merci pour ce FR
Je n’avais pas remarqué qu’il est possible de regarder des matchs de Premier League. Le « soccer » semble devenir de plus en plus populaire aux Etats-Unis.
Beaucoup de passagers ont certainement raté leur correspondance ce qui doit être rageant quand on est seulement à quelques dizaines de mètres de la porte.
Merci pour ton commentaire !
Hello Stéphane
Un vol très standard, avec un espace confortable pour les jambes, un catering gratuit avec une canette entière à disposition...
... Le débarquement est moins réjouissant, avec cette heure d'attente avant que les portes ne s'ouvrent. Je comprends l'impatience de certains pax.
Heureusement que ton transit était relativement long.
Merci pour le partage, à bientôt.
Salut Hervé !
Tu as bien résumé ce vol.
Même si on a un long transit, on stresse un peu car on ne sait pas combien de temps l'attente va durer. Cela semble incroyable de rater sa correspondance en étant aussi proche du terminal sans pouvoir débarquer.
Merci pour ton commentaire, à bientôt 😉