Bonjour,
Nous nous étions quittés à 5h du matin dans la zone des arrivées de l'aéroport de Chisinau.
https://flight-report.com/fr/report/69787/centrum-air-5f712-dublin-dub-chisinau-kiv/
Nous y revoici, face au "Birou de tranzit" où je vais devoir attendre quelques minutes afin qu'un agent vienne à ma rencontre, car je suis le seul passager arrivant de Dublin à ne pas avoir franchi le poste frontière pour entrer en Moldavie.

Il est vrai que j'ai deux billets séparés et que je ne repars que dans huit heures (!), ce qui explique que ce transit ait été totalement impossible à déceler par les systèmes, surtout qu'il doit y avoir peu de clients de FLYONE qui effectuent Dublin-Düsseldorf en passant par Chisinau…

Je suis déjà enregistré en ligne depuis la veille mais la présence d'un agent est nécessaire pour que je puisse utiliser le circuit transit.

Une jeune fille du handling finit par arriver dans les minutes suivantes. Elle vérifie mon passeport, consulte mon PNR dans son PC et me délivre cette carte d'embarquement papier. Je n'ai pas cherché à modifier le siège 16B attribué aléatoirement par l'OLCI, un "milieu" pas très appréciable mais situé à l'issue de secours. Je reviendrai plus loin sur le type d'appareil qui va effectuer ce vol FLYONE et qui ne fait pas partie de la flotte propre de la compagnie, comme celui du vol précédent.

Sur ce, ma préposée dûment dépêchée pour la circonstance m'ouvre le chemin dédié aux pax en "tranzit" et me conduira vers un pif exclusif situé au bout de ce couloir.

Nous prenons congé une fois les pifmen arrivés, qu'il a fallu appeler eux aussi pour contrôler ce pax un peu atypique, en l'absence de tout autre flux de correspondance à cette heure là sur l'aéroport. Je me dirige ensuite sans tarder vers le salon auquel j'ai accès avec ma carte Priority Pass, baptisé à la fois "Golden Jet business lounge"…

… et "business lounge" tout court.

Sans demander mon reste je vais m'assoupir sur ce siège d'angle très confortable et entouré de petites cloisons. Quand j'ouvre un œil quelques heures plus tard, il fait grand jour.

La vue vers l'extérieur correspond à la façade de l'aérogare, sur le linéaire de la dépose des passagers, d'où l'on peut apercevoir le Tupolev 134 ex-Air Moldova qui est préservé et exposé un peu plus loin. J'avais eu l'occasion de le photographier sous toutes les coutures et de me balader autour de lui lors de mon précédent passage ici, à l'été 2022.

Le principe des petits canapés d'angle est reproduit un peu de partout, soit en individuel, soit en face à face, soit en carré pour quatre. C'est assez original mais somme toute très bien pensé comme concept.


Approchons nous du buffet.

Salades, sandwiches, céréales, sucreries, fruits, softs et alcools sont tous en libre service.


On peut aussi commander un plat chaud à la demande. Comme c'est encore l'heure du petit déjeuner, ce sera une omelette tomate fromage salade pour moi.

Je complèterai avec une salade grecque et un chausson au fromage pris au buffet.

… avant de terminer par un bon café et un cookie, tout en mettant de côté deux sandwiches pour usage ultérieur, car le salon est en train de se remplir à l'image du trafic routier aperçu depuis les baies vitrées du salon qui se densifie.

Eh oui, il faut bien prendre en compte la raison de l'explosion soudaine du trafic à Chisinau, qui a conduit FlyOne à augmenter sa flotte en ayant recours à plusieurs avions tiers : c'est avec deux ou trois aéroports polonais frontaliers (dont Katowice visité le mois précédent (https://flight-report.com/fr/report/69089/skyline-express-4m873-antalya-ayt-katowice-ktw/) l'un des points de passage utilisés pour aller et revenir en Ukraine dont chacun sait que l'espace aérien civil est totalement fermé depuis plus de deux ans. C'est donc à cadence assez élevée que des autocars comme celui-ci déversent et viennent récupérer les passagers ukrainiens qui franchissent la frontière de pays par voie terrestre.

Un dernier coup d'œil au Tupolev 134 résident…

… avant de quitter ce salon où j'aurai finalement passé plus de cinq heures de manière très confortable.

Quand je sors, je réalise que sa capacité est très inférieure à la demande, car tous ces gens attendent simplement qu'une place se libère pour y entrer à leur tour !

La foule est partout dans la zone du duty free et des salles d'embarquement.

L'espace a été agrandi et "verdi" depuis que j'étais venu il y a deux ans, quand le code IATA de Chisinau, aujourd'hui RMO, était encore KIV par relation avec Kishinev. Voir le FR précédent pour plus de remarques à ce sujet.

Dans cette même logique, le parti-pris pro-UE de la Moldavie est sans équivoque et il est même affiché haut et fort dans cette grande salle d'embarquement.

Il en est de même à l'extérieur, côté piste avec les drapeaux moldaves qui sont associés à ceux de l'UE.

Nous sommes ici à l'air libre sur une terrasse grillagée destinée aux fumeurs. La vue sur le tarmac n'est pas parfaite mais permet quand même de suivre le trafic, tous les avions étant stationnés "au large" et donc accessibles par paxbus uniquement. Le "Lounge" que l'on devine à droite sur la photo n'est pas le salon où j'ai terminé la nuit mais l'aérogare destinée aux vols privés et aux officiels.

A moins de 90 minutes du départ de mon vol vers Düsseldorf, la vue du FIDS permet de bien prendre la mesure du trafic et du réseau de RMO. A noter : FlyOne utilise à la fois le code 5F, son bi-gramme historique, mais aussi OE, qui serait celui de sa filiale roumaine, pour justifier d'un CTA européen, mais ceci n'est pas très clair car OE est aussi supposé être le code de Lauda Europe qui comme chacun sait opère uniquement sous pavillon FR. Tout ça est plutôt confus, d'autant que FlyOne a aussi une branche arménienne qui utilise le code 3F. Bref, entre 3F, 5F et OE, on s'y perd un peu…

Une heure plus tôt, alors que j'étais encore au salon, j'avais consulté flightradar24 pour constater que le vol sur lequel je compte voyager était toujours affiché en "321" alors que je suis venu ici pour voler sur le B737-900ER que FlyOne a mis à ses couleurs qui est en réalité une machine appartenant à Windrose (Ukraine). Mais pas de panique… on y reviendra plus loin… !

Retour au rez-de-chaussée d'où l'on aperçoit, à travers des vitres fortement teintées, d'une part à droite ce qu'était l'ancienne aérogare dont demeure la tour de contrôle ainsi que le terminal vip déjà cité, et d'autre part, dans le fond à gauche, une partie des avions stationnés avant leur prochain vol, dont l'A321neo Centrum Air qui n'a pas bougé depuis son arrivée de Dublin quelques heures auparavant. Plus au fond, une kyrielle d'Antonov 24/26/32 et un Yak-40 dont j'ignore s'ils sont encore en état de vol.

Autre vue du tarmac depuis la salle d'embarquement et ses vitres bleues, avec toujours FlyOne très dominant ici.

L'embarquement est lancé 30 minutes avant le départ.

Ce sera bien évidemment par bus.

Pas le plus moderne d'entre eux comme on peut voir…

Nouvel angle sur le tarmac, cette fois sans les vitres teintées.

Court trajet pour arriver à l'avion du jour, avec une vue sur une autre zone de l'aéroport où deux An-24/26 côtoient un An-12, hélas sans moteurs.

Le bus s'arrête à quelques centimètres de l'avion, ce qui est bien pour éviter aux pax de marcher mais moins pour l'avgeek qui aimerait faire une photo avec un peu plus de recul.

C'est donc en plusieurs morceaux que l'on va découvrir cet avion atypique puisqu'il s'agit d'un Boeing 737 alors que FlyOne n'exploite que des Airbus (319, 320, 321)…

… son appli ne mentionnant même pas les A321 pourtant en service depuis 2023.

La dérive est restée blanche mais le fuselage porte les marques et le nom du site web sous le même format que les avions de FlyOne elle-même. Ce B737-900ER immatriculé UR-PSI est un ancien appareil d'Ukraine International Airlines, transféré chez Windrose depuis le début du conflit Ukraine/Russie et exfiltré de son pays afin de voler en ACMI pour d'autres compagnies : Nouvelair à l'été 2023 mais il était resté tout blanc et donc FlyOne depuis le printemps 2024. Il en est de même pour le B737-800 immatriculé UR-PSF, qui possède encore la dérive bleue et jeune héritée d'UIA.

Nouvelle rafale… de photos en montant sur l'escabeau, avec cet A321 Wizzair stationné en parallèle.




Je suis le dernier pax à embarquer et, manœuvre typiquement soviétique qui me rappelle mes vols d'antan du temps du rideau de fer, c'est le rideau du galley (en tissu fort heureusement) qui est immédiatement tiré derrière moi, pour que les passagers ne voient pas trop ce qui se passe entre les agents sol et l'équipage avant le départ, puisqu'après tout cela ne les regarde pas !

Je rejoins le rang 16, issue de secours comme déjà évoqué. C'est l'étude méthodique de tous les plans cabine correspondant aux vols vendus sur le site FlyOne qui m'a permis de déceler plusieurs jours à l'avance que ce RMO-DUS allait être assuré avec ce B737-900ER. C'est déjà comme ça que j'avais identifié l'A321neo Centum Air pris la veille pour venir de Dublin. Il faut y passer un peu de temps pour comprendre, mais une fois qu'on a listé toutes les cabines possibles (A319 FlyOne, A320 FlyOne, A321 FlyOne monoclasse, A321 FlyOne biclasse, A321 affrété à Centrum AIr et les deux types de B737 dont on vient de parler, dont celui-ci, soit 7 plans cabine en tout) et bien mis les vols associés en face, on vérifie en temps réel sur flightaradr24 pendant 24h ou 48h que les vols en question sont bien ceux-là et on obtient alors la quasi-certitude que le programme des vols de chaque avion est bien établi de manière fiable, alors que ni le site web de FlyOne ni flightradar24 ne le mentionnent à l'avance !

Voilà, vous savez tout si vous vous voulez à votre tour faire l'expérience d'un vol FlyOne en choisissant à l'avance votre type d'avion ! Aux issues, le pitch est comme d'habitude plutôt sympa.

J'ai pris place au 16C inoccupé alors que les PNC passent en cabine pour vérifier si les ceintures sont attachées…

Mais le pax initialement assis en 16A ayant entamé la conversation avec un de ses amis voyageant en 15D, je lui propose d'échanger nos places afin qu'il n'ait pas à hurler pour communiquer…

… et je récupère ainsi le hublot… !

Les démos sont en cours. Les annonces sont faites en anglais, en moldave et en ukrainien, ce qui ne devrait convenir à la grande majorité des passagers pour les raisons évoquées précédemment.

Les consignes de sécurité sont typiques de Windrose avec une présentation plutôt humoristique. J'avais déjà volé en ERJ-145 de cette compagnie, alors au couleurs de Dniproavia, lors d'un voyage entre FRistes en Ukraine en 2017 (le fameux tour à Tchernobyl…) ainsi qu'en A330 affrété par UIA sur un KBP-BKK la même année : https://flight-report.com/fr/report/23178/Ukraine-International-PS271-Kiev-KBP-Bangkok-BKK/ .

Du temps de sa splendeur de compagnie charter ukrainienne qui emmenait les touristes de son pays vers l'Egypte, la Turquie, l'Italie ou la Grèce, Windrose exploitait plusieurs A320 et A321. On en retrouve nettement la trace dans les silhouettes représentées sur ces consignes, qui sont loin d'être celles d'un B737…


Il y aussi cette fiche destinée aux éventuels "pax requis" en cas d'évacuation par les issues d'ailes.

Il est 12h55 et nous sommes prêts au départ.

Au cours du roulage, j'aurais espéré apercevoir un peu plus de vieux avions parqués ci et là sur l'aéroport mais il aurait fallu pour cela être assis à droite et non pas à gauche. On ne peut pas tout voir et tout avoir…




Je me rattraperai un peu lors du décollage, sans pour autant voir d'autres curiosités que les Antonov déjà aperçus depuis l'aérogare.




La montée va s'effectuer rapidement dans ce ciel parsemé de cunimbs.




Je vais faire un tour à l'arrière alors que d'autres pax se dégourdissent les jambes. On a l'impression que nombre d'entre eux se connaissent. Peut-être un des groupes d'ukrainiens aperçus plus tôt dans la matinée en train de débarquer en car en provenance de leur pays ?

Rapide visite des toilettes.

RAS sur ce plan là.

Retour à ma place alors que l'éclairage led a été activé. Il ne s'agit pas du "moodlighting" des cabines dernier cri de certains B737NG, mais simplement de néons fluo.

Les PNC, très élégantes, vont alors procéder au service.

Bien qu'il ne s'agisse pas d'un avion inscrit sur le CTA de FlyOne (ou plus exactement sur l'un des CTA, puisqu'on a vu qu'ils en ont trois), c'est la carte BOB "FlyCafé" de FlyOne qui est proposée, à des prix plutôt modérés dont feraient bien de s'inspirer certaines compagnies.

Il existe aussi des repas à commander à l'avance. Je n'ai pas vu les PNC en distribuer mais en revanche je peux attester que le BOB a bien fonctionné, comme souvent quand les prix sont raisonnables, alors que quand c'est 10€ pour un sandwich ou 5€ pour un coca les gens passent leur tour.

C'est tout pour le contenu des pochettes de siège. Il n'y a donc pas de magazine de bord, pas plus qu'un quelconque système de divertissement embarqué. Je piquerai ensuite un petit somme pour me remettre d'une nuit pas complètement blanche mais pas non plus très conventionnelle, avant d'être réveillé par les annonces de début de descente, suivies par l'allumage des consignes "attachez vos ceintures".

La percée vers Düsseldorf est assez mouvementée en raison de grosses masses nuageuses.

Il pleut un peu de partout…

…mais pas au moment et à l'endroit où l'on atterrit.

De l'eau, il y en a aussi qui coule dans l'avion, notamment le long de l'issue de secours :-)

Mais, bon, cela n'est pas grave; on s'est posés à l'heure et on va pouvoir rejoindre l'aérogare, alors qu'une éclaircie apparaît déjà.




On va aller stationner dans une zone éloignée, au milieu de plusieurs appareils de Condor tous dans des livrées différentes.

Tout d'abord, cet A321 aux pleines nouvelles couleurs, version serviette de plage jaune, qui devrait plaire à Esteban :-)

Puis (photo faite un peu plus tard en débarquant), cet A320 aux dernières (il y en a eu tellement) anciennes couleurs.
Et enfin (photo faite également en débarquant), cet A320 aux nouvelles couleurs estampillées "touristes allemands qui réservent les transats avec leurs serviettes de plage" simplifiées à savoir fuselage blanc et dérive rayée, ici de rouge. il s'agit d'un appareil sous contrat pour la saison auprès de la compagnie Bulgaria Air (LZ-FBH).

Mais pour l'instant, depuis notre arrivée au bloc, parfaitement à l'heure ceci dit, nous sommes toujours à bord alors que l'escabeau a été positionné à l'avant et que le premier paxbus est en place.

il va alors se passer un truc assez cocasse : des annonces sont faites -de manière assez claire- pour demander à tous les passagers de rester assis (les consignes lumineuses sont encore allumées) mais deux d'entre eux n'en ont cure et se sont levés pour ouvrir les racks.

Du coup, tout le monde se rassoit. La raison de cette situation est toute simple : nous sommes bien à bord d'un B737-900, et c'est un avion particulièrement long, surtout pour la partie arrière de son fuselage. Aucun débarquement n'étant prévu par la porte arrière, des annonces sont effectuées pour inviter les seuls passagers des six derniers rangs à quitter l'avion par la porte avant.

Les derniers seront donc les premiers !

Cette fois-ci, la discipline est parfaitement respectée, et personne ne bouge (les consignes sont toujours allumées) du rang 1 au rang 25 !

Quelques minutes plus tard, tout le monde a été libéré et je prends mon temps pour y aller, préférant prendre le deuxième paxbus afin de faire quelques photos de plus de cette cabine dans son plus pur jus Ukraine International, à savoir simili-cuir bleu, mais sans têtières ce qui est dommage.

Me voilà à l'extérieur, face à cet avion unique en son genre, ou plutôt partie d'une doublette unique si l'on y ajoute son petit frère B737-800 portant lui aussi les titres FlyOne.


Une dernière photo depuis le paxbus et nous voilà partis vers l'aérogare.

Descente du paxbus comme il se doit au niveau des portes non-Schengen.

La majorité des pax sont des "non-EU nationals" mais le paraphe qui leur est destiné n'est pas en fonction.

Celui qui est destiné aux "EU nationals" fonctionne bien pour ce qui le concerne et je serai peu de temps après l'avoir franchi dans le circuit des correspondances entre les portes B et C pour un peu de spotting, mais sans y voir une pièce aussi rare que le B737 dont je descends.


J'ai un peu moins de deux heures devant moi avant le retour vers Paris, et je me dirige naturellement vers le Hugo Junkers Lounge, déjà bien connu sur ce site.

Une pensée émue pour le Ju-52 largement repris ici, les photos que l'on peut voir étant celles du HB-HOY, de moins sinistre mémoire que le HB-HOT… Me concernant, c'est sur le HB-HOP que j'avais eu la chance de voler en 2012 : https://flight-report.com/fr/report/49232/ju-air-juaspl-zurich-zrh-zurich-zrh/

A l'intérieur aussi, la part belle est faite au Ju-52 !

Ce très beau et grand salon, qui s'étend sur deux étages, est très bien achalandé en boissons et nourriture. Il a aussi un éclairage naturel, chose toujours appréciée…




… et une vue correcte sur le tarmac.

N'ayant pas spécialement faim en ce milieu d'après-midi, je me contenterai d'un goûter…

… avant de quitter les lieux pour rejoindre la porte d'embarquement face à laquelle est stationné l'E-190 d'AF/Hop qui assurera le vol de 16h50 vers CDG2G.

C'est ainsi que se termine ce récit et pat là même cette escapade d'un peu plus de 24h Paris-Paris.
Enchainement de vols
- 1TO7809 - Economique - Paris ORY > Dublin - Boeing 737-800
- 2
- 35F685 - Economique - Chisinau > Düsseldorf - Boeing 737-900ER
- 4AF1507 - Economique - Düsseldorf > Paris CDG - Embraer 190
Merci pour votre lecture.
Les affrètements Moldaves 🇲🇩 pour le grand bonheur des avgeeks.
Magnifique prise.
Merci pour le partage.
Merci Valéry. Hé oui, c'est déjà fini pour les deux B737 ukrainiens qui volaient cet été pour FlyOne. J'ai vu sur flightradar24 qu'ils avaient été convoyés à Lasham, d'où ils ne ressortiront pas forcément (au choix entre) -(1) aux mêmes couleurs -(2) en version pax, enfin pour ce qui concerne le -800 et -(3) en entier... Ceci dit, outre FlyOne dans sa version moldave, il y a FlyOne Armenia qui se défend pas mal dans ce même domaine... A bientôt.
Merci Luc pour cette suite !
Rafale quand tu nous tiens, j'en remets une couche, quelle démonstration que ce genre de publication nuit gravement à la santé.
Ou pas ^^
Ce serait ballot que l'avion se retrouve le bec à l'air quand même ^^
C'était HB-HOT, sinistre histoire qui a sonné le glas de la compagnie :(
Allez, encore 2 à lire ^^
Merci à toi Stephan,
Rafales : je crois que tout a été dit dans les commentaires des FRs précédents. Je n'en rajoute donc pas mais mon opinion sur tout ça est désormais faite si tu vois ce que je veux dire...
B739 : oui, c'est peut-être du vécu qui a entraîné la mise en œuvre de cette procédure...
Typing mistake corrigé pour le Ju. Merci.
Passager atypique : voila une définition qui te convient très bien ! ;-) J'ai adoré le birou de transit !
Le salon semble très confortable et tu as pu t'y restaurer et y dormir dans de bonnes conditions.
737 FlyOne c'est en effet original mais ton récit explique bien le pourquoi du comment.
A bientôt pour le prochain FR de cette 'rafale"
Merci Christophe pour ton commentaire.
La chance d'être tombé sur un salon confortable, car les horaires que je m'étais imposé étaient assez spartiates...
A bientôt.
Hello Luc et merci pour cette nouvelle belle prise offerte par FlyOne, toujours un petit moment émotion de voler sur un avion immatriculé UR- quand on sait les difficultés traversés par le pays depuis plus de 2 ans et qui illustre bien la raison de cette ligne et de la présence de cette machine au départ de Chisinau.
Pour le reste un vol presque sans histoire à bord d'une machine plutôt rare en Europe, le changement du prix sur la carte du BOB pour les cigarettes m'a fait rire c'est 15€ la cartouche ? 😱
Par contre la flotte qui goutte par l'issue, à mon avis il y a un petit problème de joint ou de réglage, j'espère que ça ne sifflé pas trop pendant le vol ?
Bon vols !
Merci de nouveau d'avoir commenté.
Je n'ai pas osé décollé le sticker pour voir quel était l'ancien prix de la cartouche de "Jin Ling" mais à 1,5€ le paquet, ça ramène sans doute les fumeurs occidentaux à des époques très lointaines... Après quelques recherches sur le web, car je suis totalement ignare dans le domaine, il s'agit d'une production russe actuellement interdite dans l'UE...
Pour les gouttelettes d'eau dans l'avion, c'est sûr qu'il y avait un petit problème, mais ça ne sifflait pas spécialement plus que d'habitude.
A bientôt.