Bonjour à toutes et tous. Bienvenue dans la suite de ce routing qui nous a amené aux Comores.
Premier segment du retour vers la métropole avec, pour commencer un trajet qui aurait pu être fait en kwassa histoire de bien rester dans l'ambiance.
Vous n'avez pas suivi les premiers épisodes ? Pas de soucis, voici le rappel du routing avec les liens qui vous guident directement vers les FR concernés. Pour info, le statut du vol AF1141 est passé de "à venir" à "non reporté". Les motivations seront expliquées lors du prochain FR (qui sera donc le dernier de cette série), avec malgré tout un petit chapitre qui sera consacré à ce dernier vol.
Bonne lecture !
Enchainement de vols
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- 7Trajet #7: Anjouan - Moroni (non reporté, trajet en bateau)
- 8KQ265 - Économique - Moroni HAH - Nairobi - NBO - Embraser E190
- 9KQ116 - Économique - Nairobi NBO - Amsterdam AMS - Boeing 787-8
- 10AF1141 - Économique - Amsterdam AMS - Paris CDG - Airbus A220-300
Trajet #7: Anjouan - Moroni en bateau
Un petit mot sur cette traversée qui aura "gâché" une journée et aura des conséquences sur celle du lendemain (voir bonus touristique). Pas de photo à proposer (enfin 4), et beaucoup de bla-bla. Mais je trouve que ça vaut le détour ^^ Et comme je n'arrive pas à mettre les photos dans ce qui aurait pu être un contenu masqué (spoiler), et bien vous ne pourrez échapper à cet instant lecture ^^
Nous avons pris les billets 2 jours avant à l'agence maritime. Le trajet nous coute 50 € par personne.
Rendez-vous nous est donné à 07h30 pour enregistrement et dépose des bagages.
Le jour J, à l'heure dite, les portes sont ouvertes et l'on nous demande de déposer nos valises dans les files d'attente … et de quitter cette même file pour patienter plus loin. Un peu surprenant quand il faudra reprendre nos positions à l'ouverture des guichets une bonne demi-heure plus tard.
Nous sommes ensuite dirigés vers une première salle d'embarquement après un contrôle minutieux de nos billets, passeports (ou carte d'identité pour les nationaux) et bagages cabine. Rien de très surprenant, cela se passe comme dans un aéroport.
Devant le flux de passagers (environ 400 dans le bateau), nous sommes invités à passer dans une deuxième salle. Ici, un agent nous remet des cartes d'embarquement sans plus de contrôle.
Un autre agent viendra aussi gentiment me chercher afin que je passe dans un bureau de police faire valider mon passeport et ma sortie du territoire (d'Anjouan). Ces démarches m'agacent et je fais savoir avec un ton qui ne trahit pas mon sentiment du moment, que les contrôles ont déjà été effectués à l'arrivée, et sur Anjouan et sur Moroni, etc, etc. Mais rien à faire, je dois faire valider ma sortie de l'île. Alors direction un petit bureau avec les démarches habituelles (contrôle passeport, demande de l'adresse à destination, téléphone, empreintes, photo …. que c'est lourd !!!). Le monsieur venu me chercher n'y est pour rien et est même d'une grande gentillesse. Nous toperons la main avec un grand sourire pour se quitter bons amis.
10h30 débute l'embarquement (oui pourquoi nous faire venir si tôt me direz-vous ? Je me pose encore la question). Et c'est l'heure de gloire du grand adjudant-commandant-colonel de la gendarmerie qui procède à l'embarquement des passagers ! Un grand foutoir sans nom qui a le don d'énerver tout le monde. A se demander si ce genre d'embarquement n'est pas effectué tous les jours … même plusieurs fois par jour. Mais ce monsieur est un chef et le fait savoir. Aussi, il autorise (car c'est bien de cela qu'il s'agit). Une dizaine de passager, rangée après rangée, à quitter la salle d'embarquement …Entre temps, il demande aux autres passagers restés sur les rangées, d'avancer pour occuper les sièges devenus vacants … Cela va prendre des plombes ! 3 heures pour faire embarquer 400 pax !! Car nous ne quitterons le port qu'à 13 heures.
Mais le cinéma n'est pas tout à fait terminé !
A notre tour, sous l'autorisation de notre adjudant-commandant-colonel gendarme, nous quittons la salle d'embarquement et remettons à un agent notre carte d'embarquement donnée plus tôt. Mais nous ne montons pas à bord ! Nous parcourons 5 mètres à peine pour un contrôle des billets et titres d'identité. De la nous est remis … une carte d'embarquement !!!
Vous êtes toujours la ? Parfait, nous traversons la place (une dizaine de mètres tout au plus, dans un espace totalement aéré vu que nous avons été libérés par 10) … et remettons notre carte d'embarquement arrivés sur la passerelle !!

Je m'excuse auprès de Papoumada, mais il n'y a toujours pas de kwassa prévu :)
On nous vend même une traversée à bord d'un ferry de rêve (photos issue du site internet de la compagnie maritime).


En guise de TV, on nous aura imposé TV Novelas et une succession d'épisodes de séries aussi débiles que Les feux de l'amour. Le bar a disparu. Impossible de sortir dehors.
Et la traversée a durée plus de 6 heures pour faire 130 km environ ! Un cauchemar.
Mais si on en était resté à ça.
Nous arrivons au port de Moroni à plus de 18 heures. La nuit est tombée.
Et il se murmure que vu qu'il fait nuit, ce n'est pas garanti qu'ils nous distribuent nos bagages placés en soute. La blague, vu que toutes nos affaires propres (et sales) sont dans les valises.
Faisons la courte, distribution des bagages il y a eu. Une vraie foire aux bestiaux !!! Inimaginable !
2 ferry sont débarqués en même temps (l'autre en provenance de Mayotte) et les bagages distribués sur une place à 300 mètres des bateaux. Ils sont amené par un véhicules type Espace, soit une trentaine par trajet (compter une bonne dizaine d'allers-retours pour le seul véhicule présent) puis triés à la lampe frontale (car pas d'électricité): à gauche les bagages d'Anjouan, à droite, ceux de Mayotte.
Après… à nous de nous débrouiller pour chopper un agent et lui demander nos valises, dont il contrôle les tags toujours à la frontale.
Une orgie! Et ils font ça tous les jours ! Quelle organisation !! Et il n'y en a pas hein qui semble réfléchir on dirait. Dans notre malheur, nous aurons eu la chance d'avoir toutes nos valises au 2e tour du véhicule. Courage à ceux qui seront restés.
Reste un chopper un taxi, négocier le prix et nous arrivons à la maison plus de 12 heures après être arrivés à l'enregistrement le matin. Pour environ 130 km. Nous sommes crevés.

Aéroport de Moroni
Revenons au sujet principal de ce flight-report … quelques jours après ces péripéties navales. Cette fois c'est le départ.
Nous arrivons à l'aéroport avec un taxi qui aurait bien failli nous planter (retard plus négociation tarifaire malgré un accord pris la veille) et planter un piéton dont il aura heurté le sac à dos (pas de mal, qu'une belle peur pour nous tous … mais ça aurait pu être bien pire).
Cette route est la seule route d'accès à l'aéroport.

Si j'ai bien compris, les taxis doivent payer un droit de parking mais pas les autres usagers.
Notre taxi du jour n'ayant pas mis son panneau sur le toit, nous passerons sans bourse délier.

Beaucoup de monde sur le parking.
Celles et ceux qui ont suivi les récits précédents peuvent constater que nous partirons depuis l'aérogare principale.

Une longue file de personnes bloque l'accès à l'intérieur. Je suppose un scan des bagages avant l'entrée.
Il n'en est rien. Nous doublons tout ce petit monde attendant on ne sait quoi. Un simple contrôle du passeport et nous pouvons entrer.
Nous tombons directement sur les filoguides qui permettent l'enregistrement et la dépose des bagages en soute.
Deux vols partent quasiment en même temps: le notre et Addis-Abeba 40 minutes plus tard avec Ethiopian en A350. Cela explique le monde présent sur la plateforme.

On devine juste sur le côté les PAF et PIF à suivre.

L'attente sera de courte durée. Sans doute la raison de mon empressement à faire des photos floues ?


Notre check-in a été fait en ligne la veille jusqu'à Amsterdam. Il n'est pas possible pour l'agent de nous enregistrer sur le vol AMS-CDG. Il nous faudra le faire à AMS.
Nous récupérons de jolis BP.

Nos bagages cabine sont tagués.

Un peu d'attendre pour passer la PAF (une bonne vingtaine de minutes). Mais les choses se font simplement, rapidement et avec gentillesse. Ca change.
Le PIF sera passé sans attente, dans la bonne humeur avec un personnel souriant, accessible avec qui nous aurons pu discuter et rire quelques minutes (avant l'arrivée des prochains passagers). Vraiment un moment agréable.
Nous arrivons de suite dans la salle d'embarquement.

Pas des plus agréables, disons que ça fait le job.

On peut trouver tout de même une boutique, une autre en duty free et un point de restauration. Les tarifs ne tapent pas trop fort sur l'ensemble des trois.


L'aérogare n'est pas très spotter friendly. Les baies vitrées font face aux barrières anti-souffle.

Mais avec un peu d'effort, je peux profiter de l'arrivée de cet ATR de Précision Air en provenance de Dar Es Salam (photos assez pourries prises au téléphone avec un gros zoom avant)



Notre avion arrive peu de temps après.



Le personnel s'affaire rapidement à préparer l'appareil pour notre vol.

Voici la carte d'identité de notre appareil.

Il est 14h05 lorsque nous sommes appelés à embarquer. Pas d'annonce micro, juste à la voix.

Vol KQ 265
Nous sommes toujours libres de prendre toutes les photos que l'on veut.
De trois-quart.

de l'arrière.

Instant à la dérive ^^

Pendant que Precision Air repart …

Vue de profil.

D'autres auraient dit que c'est un cap, une péninsule, la Mer Rouge s'il venait à saigner. Voici l'instant nez (oui c'est un peu court, jeune homme)


Moteur General Electric.

Premier fuselage shot.

Une porte pour notre ami Esteban.

Un deuxième instant fuselage.

L'accueil en porte est particulièrement chaleureux. Voila qui annonce un bon vol.
Nous passons par la J, qui sera pleine. Une vraie classe business avec une configuration en 2-1 et des fauteuils qui semblent confortables. Tout ce que l'on ne voit plus en Europe.


Vue sur la cabine economy.

L'espacement des sièges est plus que correct pour mon 1m78.

L'armement comprend un coussin et des écouteurs qui sont de faible qualité.


Sur ce segment, les IFE seront opérationnels. Quelques films et de la musique sont proposés. Je regrette l'absence de géovision, même si je trouve l'offre plus que suffisante pour un vol de cette durée.

Prise USB pour charger ses appareils et petit crochet "porte-manteaux" discret et peu utile.


La pochette littérature contient la fiche sécurité déjà vue, le magazine de bord, un pour le dutyfree, une planche vantant les mérites du programme fidélité Asante et le traditionnel sickbag.




La pochette littérature marque des signes d'usure évidents.

Peu de choses à voir sur l'extérieur.

L'embarquement sera rapide et touche déjà à sa fin. Les agents de pistes font les derniers checks.


Un instant pour F-OITN et quelques marques d'usure avancée.


Arrivée d'un Saab que nous connaissons bien maintenant.


Les portes sont fermées, la passerelle peut se retirer.
L'équipage passe distribuer une lingette pendant que les moteurs sont mis en route.

Avant la mise en route des moteurs, Ethiopian pointe le bout de son nez en A359.



J'arrive à lui tirer le portrait par le hublot opposé.

Les moteurs sont mis en route. L'équipage distribue une lingette rafraichissante.

Nous patientons qu'Ethiopian ait remonté la piste pour nous élancer.

Les consignes de sécurité sont diffusées sur les écrans en attendant.

Encore l'A359 qui passe juste à coté.


Allez, c'est parti ! Et mieux que des photos, une petite vidéo … avec un hublot vraiment pas top.
Rapidement, un virage à gauche. Nous serons au dessus de l'océan toute la première partie de ce vol.


Le rideau de la cabine avant est tiré. Le service va pouvoir commencer.

Comme sur les vols aller, j'ai pris soin de commander un menu hindou. Madame aura fait de même, mais en version végétarien (sans qu'elle le soit).
Le plat principal est le même que les précédents. Manque de variété certes, mais comme il est bon cela ne me dérange pas.


Nous pouvons manger tranquillement, la vue extérieure étant bouchée.

Les boissons suivent peu après la distribution de notre plateau.
Madame commande un Fanta. Un deuxième pour moi.
Notre pnc, enjoué et rieur me prend au mot et m'en offre deux. Madame ne sera pas en reste et aura aussi deux canettes de cette boisson orangée.
Point très fort de ce vol, l'équipage aura été topissime. Avenant, proactif, rieur et n'hésitant pas à échanger quelques mots.

le repas mis dans l'estomac, je m'occupe en attendant le passage du café. Le ciel se dégage pour laisser paraitre une mer d'huile. Instant winglet également.


Le café n'aura pas le temps de refroidir, le voici en approche avec au service notre super stew et sa collègue qui déposera ma tasse directement sur ma tablette.


Je ne suis pas intéressé par l'IFE (sinon un peu de musique dans mes oreilles). Je passe le temps différemment, entre prises de vues externes (nous approchons des côtes africaines à la fin du service repas) et internes.
Si nous devions échouer en mer, nous avons notre petit kwassa à bord ^^


Dar Es Salam alors que nous nous apprêtons à voler au dessus de Zanzibar.



C'est le moment choisi par l'équipage pour nous inviter à profiter du duty free à bord.

Je ne suis pas tenté aussi je file en fond de cale pour un passage aux toilettes qui sont propres.
Notre PNC en profite pour discuter un peu et me demande ma destination finale alors qu'il me précise qu'il s'agit de sa dernière rotation du jour et qu'il bénéficie de 3 jours off.

Vue de la cabine depuis le galley arrière.

Nous sommes au dessus de l'Afrique et cette couche nuageuse ne m'enchante guère. J'ai des plans en tête et ai choisi nos places en fonction.


Ca se dégage un peu au dessus du lac Jipe.

Un deuxième instant winglet pendant que je scrute l'horizon.

Et enfin, ladies & gentlemen, après avoir craint une nouvelle déception, please welcome Mount Kilimanjaro !

Il se fait un peu timide et passe juste le sommet au dessus des nuages. Mais je suis ravi de pouvoir le voir.


Difficile de faire une bonne photo. Mais j'ai bien du appuyer une centaine de fois sur le déclencheur.
Il est bien loin le temps où Pascal Danel chantait Les Neiges du Kilimanjaro. Les neiges ont fini par disparaitre avec le réchauffement climatique. Pascal Danel s'est quant à lui éteint en juillet de cette année.


Je ne veux pas abuser, mais en voici deux dernières !


Las, les PNT décident de mettre fin au game et annoncent le début de descente juste après avoir dépasser le point culminant du continent Afrique.

Nous passerons rapidement sous la couche nuageuse … comme en lévitation alors que l'équipage fait un dernier passage pour ramasser plastiques et casques audio.


Isinya puis Orly Airpark.


Le vol touche à sa fin. Le soleil donne sur mon hublot. Ca ne facilite pas les choses :)

Nous approchons la banlieue de Nairobi.


Le final se passe en vidéo !
Le toucher des roues est assez doux. La sortie vers le taxiway se fait rapidement. Nous remontons vers l'aérogare.


Emirates se prépare pour Dubaï.

Nous passons derrière Qatar Airways en A359 et Ethiopian sur le même type d'appareil. Nous pouvons deviner derrière la dérive d'un CAA.


Comme Papoumada quelques jours plus tôt, nous roulons à coté de ce Boeing 772 de l'Unicef, sous pavillon libyen.

Le 777 d'Emirates sous un meilleur angle et un 717 qui n'est plus appelé à voler.


Une meilleure vue sur l'A330 de CAA: Compagnie Africaine d'Aviation.

Cet appareil est sorti de la flotte selon airfleets. Il semble pourtant qu'il effectue encore quelques vols en wet lease pour Kenya Airways.

Un dernier virage et nous voici à notre point de stationnement porte 18.

Etrangement, tout le monde est resté bien assis après l'arrêt des moteurs. L'instant Danette se sera fait bien attendre.

Nous avons du temps alors madame vérifie l'origine des sièges. Verdict: Safran seats mais depuis la Californie.

Quelques échanges encore avec ce super équipage. Nous sortons bons derniers.

Notre Embraer E190 sera peu visible depuis la passerelle.

C'est sur ces images que s'achève ce récit. Merci pour votre lecture.
Si vous avez l'esprit joueur, un bonus touristique se cache dans cette page … un peu façon "où est Charlie" :) Le sujet du jour est le Karthala.
A bientôt


merci pour le FR et le bonus
Merci pour la lecture et le commentaire :)
Merci pour cette suite et pour les clins d'oeil.
L'ambiance en gare maritime constituerait une excellent scène de film à propos de l'absurde.
Excuses acceptées. Un voyage en kwassa aurait été plus rapide et moins contraignant.^^
rédhibitoire à mes yeux.^^
Il n'y avait pas de vol?
J'ignorais qu'il y ait des ferries Mayotte / Moroni. Peut-être via Anjouan?
Un peu le foutoir à HAH mais rien de trop grave. Y a-t-il un salon pour les ayant-droit?
Des écouteurs ont-ils été distribués? Je ne sais pas pourquoi la géovision n'a pas été prévue lors de la mise en service de ces appareils qui étaient tout beau.
Un service honnête réalisé par des PNC enjoués, le Kili qui daigne montrer son sommet : que vouloir de plus?
Très beau bonus du Karthala qui vaut le détour. En espérant que vous avez bien récupéré.
A bientôt !
Merci Franck pour la lecture et le mot laissé.
Excuses acceptées. Un voyage en kwassa aurait été plus rapide et moins contraignant.^^
-> Assurément oui !! Il faudra quand même que j'y pense :)
rédhibitoire à mes yeux.^^
-> et cela le sera à l'avenir. Nous prendrons l'avion (oui je reviens sur ma phrase su dessus et n'envisagerai toujours pas le kwassa), quitte à faire une sortie de piste.
Nous avions choisi le bateau afin de tester les différents modes de transport inter-îles (hors kwassa donc). Il y avait sans aucun doute des vols qui auraient été préférables ...surtout en Let.
J'ignorais qu'il y ait des ferries Mayotte / Moroni. Peut-être via Anjouan?
-> C'est possible mais je n'ai pas vu de bateau à Anjouan à part le notre et un départ vers Mayotte un peu plus tôt.
Pas sur non plus qu'il y ait eu des pax avant notre embarquement ou alors ils auraient été très peu nombreux.
Un peu le foutoir à HAH mais rien de trop grave. Y a-t-il un salon pour les ayant-droit?
-> Pas vu de salon. Et à y réfléchir et après revisionnage de mes photos (car je n'avais pas spécialement prêté attention), je ne suis pas convaincu qu'il y en ait en repensant à la configuration des lieux. Il y a bien une salle de prière ... mais pas de salon à mon avis.
Des écouteurs ont-ils été distribués?
-> oui, tout à fait. Et récupérés en fin de vol.
En espérant que vous avez bien récupéré.
-> Ca va beaucoup mieux merci, grâce à une reprise pro en fanfare ^^ Un peu de kiné et de sport devront faire l'affaire pour une prochaine rando en montagne.
A bientôt !
Bonjour et merci pour cette nouvelle contribution
Au port et comme dirait l'autre : C'est le bordel mon adjudant ! où comment faire simple quand on peut faire compliqué...
L'angle de vue sur la piste depuis l'aérogare est limitée.
A bord la cabine aurait besoin d'une bonne rénovation.
Le repas plutôt simple avait l'air appétissant, mais le nec plus ultra reste l'attitude des PNC au top !
Contrairement à vous, je suis un adepte de l'IFE... Comme je fréquente très rarement les salles de cinéma, je profite de mes vols pour visionner, ( en rafale ^^), la plupart des films que j'aurais aimé voir.
A zut, je ne savais pas que Pascal Danel nous avait quitté cette année...
Pas d'instant Danette à l'arrêt des moteurs ? Tous les pax étaient fatigués !
A bientôt.
Merci Hervé pour la lecture et le commentaire.
Un joli bordel en effet au port. Je ne comprends toujours pas ce manque d'organisation.
A bord la cabine aurait besoin d'une bonne rénovation. => Peut-être dans un avenir proche maintenant que KQ gagne de l'argent.
Contrairement à vous, je suis un adepte de l'IFE... => C'est parfaitement compréhensible. Je vais également peu au cinéma et nous avons banni la télévision à la maison depuis plusieurs années. Je n'ai sans doute pas trouvé mon bonheur dans l'ensemble de ces vols et préféré la tête dans le hublot ou dans le livre qui m'accompagnait.
Pas d'instant Danette à l'arrêt des moteurs ? Tous les pax étaient fatigués ! => Et si nous avions été tout simplement disciplinés ? J'ose cet espoir de le penser.
A bientôt !